Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Six heures à peine après sa prise de fonction, Julia CAPEL-DUNN, nouvelle sous-préfète d’Auxerre et directrice de cabinet du préfet de l’Yonne Patrice LATRON, a pris ses premiers contacts avec les médias du territoire icaunais. Histoire d’évoquer son futur mode opératoire, de se présenter au travers un parcours plutôt flatteur et d’en savoir davantage sur le nouveau département qui l’accueille…

 

AUXERRE : « Je ne suis présente dans le département de l’Yonne que depuis quelques heures, mais je sais déjà que certains dossiers importants m’attendent sur le coin d’un bureau ! ». Avec un zeste d’humour, la nouvelle sous-préfète d’Auxerre, Julia CAPEL-DUNN, sait que les prochaines journées de son emploi du temps seront très chargées.

Entre les visites protocolaires aux milieux institutionnels et économiques, la gestion de dossiers quelque peu brûlants et la découverte de ses collaborateurs, la directrice de cabinet du nouveau préfet, lui-même en poste depuis le 21 août, ne devrait pas chômer un seul instant.

Agée de 41 ans, la diplômée de l’Institut régional d’administration (IRA) de Lyon troque une fonction similaire de sous-préfète des Ardennes (elle occupait le poste depuis avril 2013 à Sedan) pour une double activité de sous-préfète et directrice de cabinet dans l’Yonne.  

Un binôme efficace avec le nouveau préfet

Durant deux saisons, la jeune femme, passionnée de littérature et civilisations étrangères (licence obtenue en université à Dijon) s’applique à gérer de manière optimale d’importantes problématiques liées à l’économie dans une contrée plutôt éprouvée par la crise tout en abordant ses aspects sécuritaires. La Belgique n’étant distante que d’une trentaine de kilomètres de la seconde ville de ce territoire excentré…

Chef du département des réfugiés et de l’accueil de demandeurs d’asile au secrétariat général à l’immigration et à l’intégration au ministère de l’Intérieur en 2008, Julia CAPEL-DUNN remplace Emmanuelle FRESNAY, entre-temps nommée au sein d’une direction de ce grand ministère d’Etat.

« Je ne vois que des avantages à mon affectation dans l’Yonne, devait-elle préciser pour conclure, nous devrions former un binôme complémentaire avec le nouveau préfet, Patrice LATRON, prêts à prendre en main la gestion de tous les dossiers prioritaires… ».

Une équipe efficace au service de l’Yonne : c’est tout ce que l’on peut souhaiter aux habitants de ce territoire…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Les premières commandes d’agneaux français issus de la sélection très qualitative de la boucherie de l’Yonne viennent d’être acheminées vers la ville état du sud-est asiatique. Avec cette nouvelle corde internationale à son arc, la société de Jean DENAUX devient l’unique entreprise artisanale de ce corps de métier en France à avoir obtenu les agréments nécessaires qui lui permettent d’exporter vers ce pays…

 

SENS : Déjà bien représentés parmi les meilleures vitrines gastronomiques de l’Asie du Sud-Est (Thaïlande, Japon ou Vietnam), les produits carnés des établissements DENAUX trouvent avec ce nouveau débouché vers Singapour un point d’ancrage supplémentaire qui optimise le savoir-faire de ce fleuron de l’artisanat à la française.

Fondée en 1986, la PME de Sens procure aujourd’hui un intense bonheur pour les chefs tricolores de par le monde qui souhaitent servir une viande quasi unique à leurs convives.

Les méthodes d’affinage usitées par Jean DENAUX, cet arrière-petit-fils de boucher, ont anobli les vertus gustatives de ce produit dont les consommateurs demeurent encore très friands malgré les campagnes de sensibilisation propagées çà et là en défaveur de la viande.

Source d’approvisionnement préférée des restaurateurs français exerçant leur art culinaire en Asie, la boucherie familiale de l’Yonne s’est très vite positionnée à l’international. Le continent asiatique est devenu en l’espace de quelques années une terre de prédilection grâce à des accès privilégiés vers l’archipel japonais ou Hong-Kong, une métropole cosmopolite porte d’entrée obligatoire vers l’ex-Empire du milieu chinois.

Le volume d’exportation vers l’Asie ne cesse de progresser d’année en année pour la maison DENAUX. L’ajout de Singapour dans cette liste non exhaustive de pays si éloignés est en cela révélatrice d’une stratégie efficace, basée principalement sur les atouts essentiels de cette viande, travaillée autour de la tendreté et du goût. Ville état à la puissance économique mondiale, Singapour représente la vitrine commerciale idoine où un entrepreneur Français doit y laisser sa griffe et ses cartes de visite.

Au printemps, les établissements DENAUX avaient obtenu deux nouveaux points de chute dans cette course très réfléchie à l’export : l’île de Saint-Martin et l’île Maurice dans l’océan Indien. Un exotisme qui ne détonne pas, par rapport aux autres cibles visées par l’entreprise. Car, le potentiel de développement économique de ces paradis insulaires y est une réalité constante pour de nombreux entrepreneurs de l’Hexagone. Dont Jean DENAUX et sa fille Anaïs, en charge de l’export et de la commercialisation…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

D’ici trois ans, une trentaine d’entreprises pourraient être accueillies au sein de la seconde vitrine de la coopérative d’activités et d’emploi de Bourgogne. La ville d’Auxerre n’a pas été choisie au hasard pour y implanter cette nouvelle succursale à double entrée, vers les métiers de services et ceux du bâtiment. L’existence de réelles potentialités de développement d’entrepreneurs locaux y est pour beaucoup. D’autant plus, comme devait le confirmer Guy FEREZ, l’édile d’Auxerre lors de l’inauguration, que l’ouverture d’un tiers lieu cet automne favorisera les velléités de projets conduisant à l’entrepreneuriat…

 

AUXERRE : Fonctionnel depuis quelques semaines, le nouveau point d’accueil de L’Envol en Bourgogne devrait très vite trouver ses repères. Bénéficiant sur le même site, un appartement sur les quais de l’Yonne, d’une équipe pouvant répondre aux besoins de la filière des services à la personne et à ceux du bâtiment, la structure devrait voir converger vers elle, toutes personnes ayant plein de projets professionnels dans la tête.

Un maillage intéressant avec le futur tiers lieu

« Ces deux coopératives unies sous la même bannière servent les intérêts des entrepreneurs en leur apportant un véritable cadre juridique : ils en deviennent des salariés à part entière tout en profitant de la gestion administrative, des connaissances comptables et fiscales, de l’accès au savoir, des réseaux de communication, etc. L’envie d’entreprendre est grande sur ce territoire d’où la nécessité de délocaliser un peu de nos compétences de Dijon vers le nord de la Bourgogne… ».

Le directeur de L’Envol Pascal OLIVE, aux côtés de la responsable de l’agence icaunaise, Johanna NOLIN, accueillaient le premier élu de la Ville lors de l’ouverture officielle de cet espace. Saluant les valeurs émérites de l’économie sociale et solidaire, Guy FEREZ, insista sur ce besoin de partager les connaissances entre entrepreneurs, soucieux de réussites collectives afin d’assurer l’essentiel, c’est-à-dire de l’activité. Une dynamique, devait-il renchérir, qui ne devrait que s’accentuer localement avec l’imminente officialisation d’un tiers lieu propice à l’éclosion de nouveaux projets professionnels. Depuis leurs débuts, L’Envol et COOP en BAT auront permis à plusieurs centaines de porteurs de projets d’engranger un maximum d’activités (103 en 2016). Fédérant une soixantaine d’entités professionnelles sur la région en qualité de membres, la coopérative espère atteindre la trentaine de représentants Icaunais au terme d’un plan triennal défini jusqu’en 2020.  

Faire grossir les effectifs dans l’Yonne

Spécialiste des relations sociales et consultant en ressources humaines, Jean-Luc REUMAUX a accepté il y a quatre ans de prendre la présidence de la structure. Celle-ci ne rayonne que sur trois des quatre départements bourguignons, la Côte d’Or où elle possède son siège à Dijon, la Saône et Loire et l’Yonne.

« Notre volonté était de nous étendre vers le territoire icaunais afin de favoriser la création de cet espace de coopérative d’entrepreneurs salariés. Six structures nous ont déjà rejoints avec des typologies de métiers très disparates : maroquinerie, charpente, graphisme, éducation pour chiens,…et nous comptons sur l’opiniâtreté de Johanna NOLIN pour grossir cet effectif initial ».

Sortir l’entrepreneur de l’isolement est l’autre argument avancé par le président REUMAUX afin d’expliquer le probable succès de la démarche. La convivialité de l’endroit et le désir de bien faire de cette équipe de professionnels à l’écoute des autres placeront Auxerre sur la bonne orbite…

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’heure des premiers bilans a sonné au sein de l’antenne icaunaise de l’association pour le droit à l’initiative économique (ADIE). Si cinquante-cinq projets de création d’entreprises ont vu le jour au terme du premier semestre grâce au micro-crédit, quarante-cinq personnes ont pu bénéficier dans le même temps d’aides favorisant leur mobilité et leur maintien dans l’emploi. Des chiffres satisfaisants pour le conseiller de la structure, Henri YOUMBI…

 

AUXERRE : Avec son équipe de sept bénévoles, Henri YOUMBI fait un travail remarquable depuis plus d’une dizaine d’années au service des personnes en voie de réinsertion professionnelle. Celles auxquelles les banques ne garantissent plus aucun emprunt dans le cadre d’un financement de projet. Or, il existe peu de probabilité de réussite pour lancer son entreprise si une enveloppe budgétaire n’est pas consentie à la mise en route d’un concept.

Créée en 1989, l’ADIE voit le jour à l’initiative de Marie NOWAK afin de trouver des outils qui permettraient de contourner cette carence. La fondatrice de la filière française vient d’être honorée par le président de la République Emmanuel MACRON qui lui a épinglé la Grande croix de la Légion d’honneur il y a peu.

Les bénévoles à la pointe des opérations…

Le système du micro-crédit provient du Bangladesh. Il y a fait ses preuves et fonctionne à merveille parmi une population désargentée mais qui ne rechigne pas au labeur. Petit à petit, ce nouveau modèle économique se développe dans l’Hexagone à différentes strates : pour maintenir l’emploi, aider à la mobilité professionnelle en finançant le permis de conduire mais aussi inciter à la création de projets.

L’instance nationale s’appuie aujourd’hui sur un réseau de 1 700 bénévoles, des personnes retraitées, issues de l’entreprise, de la banque, de l’éducation. Aux côtés des 450 collaborateurs de l’association, ils accompagnent les porteurs de projets, un public frappé de plein fouet par la précarité, vers la réussite.

« Nous recherchons de nouveaux bénévoles pour étayer nos permanences de l’Auxerrois et de l’Avallonnais. Le profil idoine à ce besoin est incarné par un retraité qui aurait envie d’apprendre et s’investir avec beaucoup de psychologie aux côtés de ces personnes. Le rôle du bénévole est primordial : ils assurent les mêmes fonctions que les salariés de la structure. Sauf qu’ils ne peuvent apposer leur signature au bas des documents en attente de validation » explique Henri YOUMBI.

Déjà un reportage sur les ondes de RMC

Pouvant prêter jusqu’à 10 000 euros, une enveloppe remboursable dans un délai de 48 mois servie à 7,37 % de taux d’intérêt, l’ADIE intervient dès le démarrage du projet d’entreprise. Ne pratiquant pas de cofinancement, l’organisme estime qu’il agit comme un premier levier, avant la prise en main après coup d’un établissement bancaire.

Les typologies des entreprises soutenues sont diverses. Une structure de recyclage des déchets, des restaurants à orientation exotique, des épiceries de village, des sociétés de service à la personne, des graphistes, etc.

« L’un des dossiers les plus insolites de cette dernière saison aura été incontestablement le concept de gîte flottant à bord d’une péniche, ajoute Henri YOUMBI, ce concept baptisé « BOUT DE ZAN » a eu les honneurs médiatiques de la station RMC début août avec d’importantes demandes de renseignements à l’issue… ».

Seuls 20 % des dossiers n’arrivent pas au terme du cheminement d’obtention du micro-crédit. Mais, le responsable de l’ADIE dans l’Yonne espère infléchir la courbe dès la prochaine saison…

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Même si l’univers économique des milieux agricoles s’obscurcit depuis trois ans, la filière reste encore porteuse d’emplois. Les besoins de recrutement existent parmi les exploitations céréalières de la région Bourgogne Franche-Comté. Les bienfaits des circuits courts, issus de productions locales, intéressent, quant à eux, un nombre accru de consommateurs avertis, toujours en quête de produits authentiques. Consciente de ces enjeux, la MFR du JOVINIEN, implantée depuis si longtemps à VILLEVALLIER, prépare la relève professionnelle de ce secteur d’activité, par le biais de formations alternantes qualitatives…

 

VILLEVALLIER : Le postulat n’a rien d’irrationnel lorsque les jeunes pensionnaires pénètrent dans l’enceinte de leur nouvel établissement. Pour 90 % d’entre eux, le système éducatif traditionnel représente une véritable sinécure à vivre au quotidien. Pire : au plan psychologique, la plupart de ces jeunes gens ont décroché inévitablement du collège.

Entraînant avec eux une multitude d’interrogations et de doutes quant à la suite de leur existence, partagée avec leurs familles. Combien se sont demandés ce qu’ils deviendraient demain en ne fréquentant plus l’école ?

Soutenir les jeunes en déliquescence avec l’école

Or, il existe d’autres voies. Qui ne se résument pas à un placard ou à une porte vers l’oubli et le chômage. Elles requièrent de l’abnégation et du courage ; elles en appellent au civisme, au respect d’autrui, au sérieux dans l’approche comportementale et surtout à l’envie de…travailler. La MFR (Maison Familiale et Rurale) du JOVINIEN symbolise cette alternative. Ses taux de réussite aux examens le prouvent.

« Notre équipe a pour vocation de guider les jeunes apprenants vers leur devenir, rappelle Yannick VILLAIN, directeur de l’établissement.

Avec le soutien de sa présidente, Sylvie LOGETTE, elle-même parent d’élève, le responsable du site a redéfini le rôle stratégique du moniteur, cet intervenant professionnel qui prodigue conseils et messages forts. « On reprend le suivi de ces jeunes dès le moment où ils nous rejoignent à l’aide d’un enseignement constructifs et pratique. C’est une mise en situation de la réalité offerte par la filière vers laquelle ils vont se destiner… ».

L’alternance : un apport positif pour les jeunes

S’immerger au cœur de l’entreprise procure une chance supplémentaire aux jeunes ayant opté pour cette forme d’apprentissage. A leur rythme, les élèves, issus de 4ème reprennent pied progressivement. Ils ne transgressent pas d’un iota avec le contrat moral établi entre leur famille, le centre de formation et eux-mêmes. La clé de voûte de ce système pédagogique repose sur cette équation. Cocoonés par leurs accompagnateurs, ils partagent leur quotidien entre la vie en cours et l’internat, sans omettre les loisirs, formant petit à petit une vraie famille. Un noyau dur qui n’éprouvera qu’une seule envie à terme : réussir.

Depuis le 28 août, les nouveaux élèves des classes de 4ème et de 3ème s’habituent à leur nouvel environnement. Les plus anciens y retrouvent les lieux avec enthousiasme. Quant aux partenaires des milieux économiques, ils demeurent fidèles à cet état d’esprit véhiculé par le centre de formation. C’est le cas du Conseil départemental de l’Yonne qui, avec quatre collèges dont il assure la gestion, intègrent des apprentis en restauration collective. L’autre filière professionnelle enseignée à la MFR. Mais, c’est aussi l’exemple réussi de plusieurs entreprises qui bénéficient des services du centre. ORPEA, dans le cadre de la logistique mise en place pour ce type d’établissement accueillant des seniors ou de la société ELITE Restauration, un des leaders de la restauration collective en France.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil