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Se présentant sous l’appellation usuelle de « candidats sans étiquette » mais avec une coloration « divers droite » fortement prononcée, le ticket formé par les nouveaux édiles d’APPOIGNY et de MONETEAU souhaite renforcer les liens avec leurs administrés et les élus de proximité en cas de succès au soir du 27 juin aux départementales. Un credo qui ne serait pas un vain mot puisque tous deux partisans, y compris leurs remplaçants, de la maxime : « on le dit, on le fait »…

 

APPOIGNY: Ils ont du savoir-faire et veulent le faire-savoir ! C’est sous le sceau de leurs compétences professionnelles, solidement chevillées au corps que se présentent l’édile de MONETEAU, Arminda GUIBLAIN, et son alter ego d’APPOIGNY, Magloire SIOPATHIS, aux échéances départementales sur le secteur d’Auxerre 2. Deux têtes nouvelles, certes dans le microcosme politique de l’Yonne, mais visiblement pleines d’idées et bien remplies !

Même si le programme de ce binôme encouragé dans son initiative par la sénatrice UDI Dominique VERIEN demeure toujours en phase d’élaboration afin d’en enrichir la moindre ligne, de grandes orientations se font jour dans les premières explications de texte fournies par les intéressés.

Il y sera naturellement question de proximité, d’écoute, de réponses concrètes à apporter aux attentes des citoyens d’une zone géographique à cheval entre la partie septentrionale d’Auxerre (urbaine) et les communes situées en proche périphérie, plus axées vers la ruralité.

 

 

 

Un binôme qui a reçu l’adoubement d’Henri de RAINCOURT…

 

Toutefois, le duo porteur de cette ossature structurelle aux quatre visages se réclame du soutien de l’une des figures emblématiques de la politique icaunaise, Henri de RAINCOURT.

Serait-ce les liens qu’aura pu tisser durant une vingtaine d’années en sa qualité de directeur de service au sein de la grande maison institutionnelle Magloire SIOPATHIS avec l’ancien président de l’exécutif départemental ?

Serait-ce une volonté, nettement plus politique de la part de l’ancien ministre en charge de la Coopération de vouloir contrer l’initiative de la principale liste adverse, pilotée par le tandem Malika OUNES et Patrick PICARD, aux contours unionistes entre LREM et LR ?

Toujours est-il que l’ex-membre du gouvernement et sénateur de l’Yonne apporte un crédit appuyé aux duettistes qui désirent renouveau et changement de cap dans ce canton dont ils ambitionnent le gain victorieux.

Outre l’action qui les anime, les deux têtes de liste articulent leur stratégie sur la faisabilité financière de leur programme. Celui-ci n’est pas connu à l’heure de cette publication. Pourtant, comme devait le confirmer le gestionnaire du projet Christian DEUILLET, cet aspect des choses sera rigoureusement maîtrisé. Pas question de lâcher la bride et de s’embarquer dans des projets à l’emporte-pièce !

Le passé de l’ancienne assistante de contrôle de gestion au sein d’une société privée que fut durant de longues années Arminda GUIBLAIN plaide nécessairement en sa faveur sur ce sujet. Car, côté chiffres, elle doit en connaître un rayon !

 

 

 

 

Un aspect jugulaire et rigoriste garantis pour que les dépenses publiques ne s’envolent pas dans une stratosphère non-maîtrisable !

L’élue communautaire de l’Auxerrois veut aussi impulser des relations modernes avec les élus de proximité et la population. Etre en phase directe avec ces contacts relationnels permettrait de rendre espoir aux oubliés de la crise.

L’ouverture d’une permanence, exploitée sous la forme itinérante dans chacune des localités du canton, favoriserait ces échanges.

Autre volet préférentiel de l’élue de MONETEAU : l’aménagement numérique et des techniques de l’information et de la communication. Une mission que lui a d’ailleurs confiée depuis l’été 2020 le président de la Communauté auxerroise Crescent MARAULT en la nommant troisième vice-présidente.

 

 

Des appétences multisectorielles pour mieux s’investir auprès des citoyens…

 

A 56 ans, Magloire SIOPATHIS se revendique, quant à lui, d’une grande connaissance de la fonction publique et de ses complexes rouages. Il en est l’un des acteurs professionnels depuis deux décennies.

Accéder à l’un des 42 postes de conseillers dans l’hémicycle départemental serait pour lui un quasi retour aux sources. Mais, vu de l’autre côté de la lorgnette avec la stature toute fraîche de l’élu.

Il y porterait des items chers à son cœur : le développement du numérique, la promotion de la santé, la place de la jeunesse et de l’éducation, les solidarités à mettre en exergue notamment vis-à-vis des femmes qui subissent beaucoup trop de violences conjugales.

Son idée de créer un hub aérien depuis l’infrastructure logistique d’Auxerre-Branches vers les aéroports franciliens constituerait un prolongement de cet indissociable besoin d’aménagement du territoire, après la création de la zone d’activités économiques d’Aux-R-Parc, accueillie en partie sur sa commune.

Ce « technicien » de la chose publique a eu à gérer par le passé de lourds dossiers en termes de logistique comme ceux des collèges et des transports scolaires (26 000 élèves de notre département les fréquentent).

La mobilité demeure l’une de ses appétences dont il met à profit l’Agglo de l’Auxerrois en sa qualité de quatrième vice-président.

Un mot sur les remplaçants. On retrouve à ces postes un attelage composé de Dominique AVRILLOT, qui se définit, certes comme la doyenne de l’équipe du haut de ses 75 printemps mais qui est très investie dans la vie locale en qualité de conseillère municipale à Auxerre. L’ancienne infirmière dit répondre aux besoins d’un vrai engagement citoyen lorsqu’elle porte des misions car elle aime foncièrement les autres.

Agé de 52 ans, Régis CALMUS cumule les mandats de président associatif au sein de l’Office municipal des Sports d’Auxerre ou de la structure « Le Bien Vivre ». Il a souhaité rejoindre cette équipe pour sa complémentarité, sa volonté d’agir et son postulat de base : « on le dit, on le fait… ».

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 

 


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Elle l’aime ce territoire de l’Yonne, la présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté ! Et ses colistiers de la liste « Notre Région par cœur » le lui rendent bien ! Tous lui accordent leur entière confiance pour la voir renouveler son bail à la tête de l’institution qu’elle gouverne avec une main ferme contenue dans un gant de velours depuis six ans. Une photo de famille où l’on retrouve des visages connus du sérail politique. A l’instar de Nicolas SORET en chef de file, d’Isabelle POIFOL ou du sortant Gilles DEMERSSEMAN…

 

AVALLON : Satisfaite de se retrouver en un si beau cadre un tantinet bucolique et patrimonial, la présidente de l’exécutif régional ? Visiblement, oui ! Elle n’était d’ailleurs pas la seule à partager cet avis, lors de la présentation officielle de la liste « Notre Région par cœur » qui pourrait peut-être, si les suffrages lui reviennent favorables, la conforter durablement dans son rôle suprême : celui de « patronne » réélue de la vénérable institution.

La candidate socialiste, originaire de Franche-Comté, ne s’est nullement sentie étrangère dans le territoire le plus septentrional de sa contrée de prédilection. Elle y a retrouvé des figures connues et reconnues qui suivent avec passion ses combats depuis tant d’années. Des silhouettes familières qui la poussent à reprendre le leadership des forces de gauche (PS, PC, PRG et société civile) pour une seconde mandature consécutive.

 

 

Fustiger la folle course des alliances trompeuses…

 

C’est dans ce positionnement fédéraliste que s’est présentée celle qui fait nourrir de grands espoirs à toute une frange de citoyens qui se reconnaissent en ses valeurs, fondées sur l’humanisme et l’écoute. Même si la lutte sera âpre au bout de compte, sachant qu’aucune élection n’est jamais gagnée d’avance…

Fédéralisme, c’est l’un des mots clé de cette réunion de campagne. Peut-être l’une des rares qui sera organisée avec la présence d’un public d’aficionados en quantité restreinte car il semblerait que ces échéances électorales proposées dans un contexte sanitaire exceptionnel se fassent sans débats. Hormis, sans doute, ceux conçus sur les réseaux sociaux. Mais, est-ce vraiment la tasse de thé en matière de communication de Marie-Guite DUFAY ?

Fustigeant la folle course aux alliances de ses adversaires (allusion à peine voilée à la liste des Républicains et à son chef de file Gilles PLATRET qui a conclu des accords avec Debout la France et un mouvement écologiste), la présidente de l’exécutif a rappelé l’identité idéologique propre à la liste qu’elle conduit : une liste de gauche, point barre !

Seul bémol pour l’élue bisontine, elle aurait voulu un rassemblement comprenant toutes les grandes composantes de la gauche, unissant socialistes, communistes, radicaux et…écologistes sous la même bannière.

Mais, rétifs, ces derniers ne se rallieront pas à son projet, préférant faire cavalier seul, du moins pour le premier tour de ces élections se déroulant en deux épisodes, les 20 et 27 juin.

 

 

 

« Les Verts désirent vivre leur radicalité, explique la présidente sortante. Puis, se voulant rassurante auprès de l’assistance, « mais les ponts ne sont pas coupés pour autant : je ne désespère pas trouver un accord de principe en vue du second tour… ».

Pourtant, se serait-elle fait un peu prier pour conduire la liste, Madame la présidente ? Ses propos surprennent les observateurs de la sphère médiatique qui assistent à sa prise de parole.

« Je n’avais pas envie d’y aller, souligne-t-elle, mais je me suis sentie une responsabilité au niveau des forces de gauche… ».

Qualifiant son bilan de réussi (« nous avons fait du bon travail » martèlera-t-elle à maintes reprises), Marie-Guite DUFAY évoqua la dure réalité de cette fusion entre ces deux régions voisines qu’étaient autrefois la Bourgogne et la Franche-Comté. Un contexte d’harmonisation difficile qui fut réalisé dans l’intérêt des habitants.

 

 

 

La Région n’a pas à rougir de ses engagements…

 

Réalisant une analyse introspective des six années de mandature écoulée, la présidente de l’exécutif passa en revue les aspects régaliens de l’organisme institutionnel. Avec ce seul credo : harmoniser davantage vers le haut !

Au-delà de la crise sociétale imprimée par les Gilets jaunes ou celle, plus dangereuse inhérente à la COVID, la Région a dû s’employer à trouver des parades efficientes mais nécessaires pour en juguler les effets désastreux sur la vie économique.  

« On a utilisé différents leviers pour développer les programmes de formation, explique l’intéressée qui revendique cette agilité et cette réactivité dans l’action. Nous avons mis en place des filets de sécurité pour protéger tous les acteurs du tourisme et de l’évènementiel mais aussi les étudiants ».

L’élue régionale rappellera en aparté comment elle a pu négocier l’achat de masques protecteurs dès les prémices de la crise pour les besoins des départements sans omettre l’anecdotique mésaventure de Bâle et de son tarmac où lui furent réquisitionnés par l’Etat lesdits masques !

Parmi les autres arguments positifs évoqués : le doublement de la rémunération des stagiaires, la création du fameux ticket de mobilité pour les salariés résidant en campagne et devant se rendre en zone urbaine pour y travailler, les gestes envers les agriculteurs dont les récoltes furent anéanties par les vagues de chaleur successives.

Reste l’emploi, parmi ces principaux items. Là aussi, la Région sous l’ère DUFAY a su se doter de nouveaux jalons qui forcément seront confortés dans le programme que la liste « Notre Région par cœur » entend bien développer en cas de réélection. C’est le cas notamment de l’hydrogène, des biotechnologies, de la métallurgie, de la mécanique, de l’horlogerie, de l’agroalimentaire.

 

 

Toutefois, la présidente n’en dira pas plus sur la stratégie à venir. Se promettant de revenir dans les huit territoires départementaux afin d’expliquer la méthodologie lui permettant d’amplifier le travail aux côtés de sa nouvelle équipe.

Une liste où se retrouvent des personnalités emblématiques de la politique départementale, à commencer par le premier d’entre eux qui ouvrira le ban en accueillant l’élue régionale, le président de la Communauté de communes du JOVINIEN et édile de Joigny, Nicolas SORET.

A 40 ans, ce dernier portera l’étendard de la gauche aux côtés de quelques indissociables partisans de cette union sacrée, gage de victoire par le passé.

Ainsi, n’est-on pas surpris de retrouver Isabelle POIFOL, ancienne adjointe à la culture de la Ville d’Auxerre sous le mandat de Guy FEREZ en seconde position, le nouvel édile d’Avallon, Jamilah HABSAOUI qui entre de plain-pied dans ces joutes régionales en quatrième de liste, le communiste et syndicaliste Patrick BLIN ou le conseiller régional sortant Gilles DEMERSSEMAN qui aimerait poursuivre l’aventure aux côtés de sa présidente. Histoire de solidifier un peu plus les liens que Marie-Guite DUFAY entretient avec l’Yonne ?

 

 

La liste « Notre Région par cœur » :

1) Nicolas SORET

2) Isabelle POIFOL,

3) Patrick BLIN,

4) Jamilah HABSAOUI,

5) Gilles DEMERSSEMAN,

6) Nathalie LABOSSE,

7) Christophe BEN ALI,

8) Sylviane TOULON,

9) José DA SILVA,

10) Béatrix ZEPPA,

11) Dominique BOURREAU,

12) Véronique CARRERE,

13) Sylvain QUOIRIN,

14) Joëlle GUYARD.

   

Thierry BRET

 

 

 

 


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La précédente version de cet outil numérique indispensable à la communication n’était pas devenue obsolète. Pire ! L’hébergeur du site communal était aux abonnés absents depuis belle lurette. D’où l’intense réflexion, entamée dès le début du semestre par la nouvelle équipe municipale. Objectif : recréer un produit 100 % newlook répondant aux besoins de la population…

 

CHEVANNES: Interactive, ergonomique et opérationnelle la version 2021 de l’espace Internet, véritable lien social et point d’information entre les habitants de la bourgade située en périphérie ouest d’Auxerre ! Tels étaient les désirs initiaux voulus par la petite cellule municipale qui a dû plancher ferme depuis le début de l’année pour en assurer un profond remodelage.  

Mise en ligne dès potron-minet ce lundi 17 mai, la variante 100 % modifiée de ce site, savamment agrémenté d’une kyrielle de renseignements pratico-pratiques et de visuels à la gloriole du village, peut donc enfin s’apprécier après plusieurs mois de circonvolutions intellectuelles et techniques.

Primo, un appel d’offres aura permis d’identifier très vite le prestataire auxerrois devant intervenir pour assurer la conception de l’ouvrage numérisé.

Secundo, une ligne budgétaire a été validée pour en régler les aspects financiers. Soit une enveloppe de quatre mille euros. Un prix qui n’a rien de prohibitif et qui se situe dans la logique des choses au niveau de la grille tarifaire lorsqu’on parle de création ou de relookage de site !

 

 

Une mise à jour régulière des informations…

 

Il est vrai que l’outil offre un maximum d’opportunités utiles pour celles et ceux qui veulent réellement s’en servir.

Possibilité de télécharger des formulaires et documents officiels inhérents à l’état civil, visualisation de six rubriques clairement définies autour de la vie et de l’actualité municipales dans ses approches les plus éclectiques, présence des bulletins communaux, mais aussi découverte des arcanes historiques de la localité : tout y est ou presque et pour le même prix en matière de consultation, c’est-à-dire entièrement gratuit !

Ce site sera réactualisé avec régularité constante une fois par mois par Patricia de SOUZA, nouvelle responsable de l’accueil et de l’état civil de la commune.  

Grâce à son arborescence résolument axée sur la plus-value visuelle (les illustrations des villageois sont les bienvenus !) et le classement catégoriel des informations, ce site devrait répondre aux attentes des villageois.

D’autant, qu’il sera également interactif et participatif, l’un des souhaits émis par l’édile Dominique CHAMBENOIT qui en a codirigé la refonte aux côtés de la première adjointe, Anna CONTANT, et de Christophe PAYMAL, le spécialiste de la communication en sa qualité de délégué.

Lors de la présentation officielle de l’outil, Dominique CHAMEBNOIT devait rappeler que « rien n’était figé, bien au contraire, et que ce site, un brin expérimental, n’attendait plus que les contributions informatives (associations, commerces, artisans, autres…) et visuelles de ses deux mille deux cents lecteurs potentiels ». Une communication qui fleure bon l’esprit de la citoyenneté ?

 

En savoir plus :

Site à consulter : chevannes-yonne.fr

 

Thierry BRET

 


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Un voile de tristesse couvre le timbre de sa voix. La conversation téléphonique se suspend un court instant. Le temps que l’émotion à fleur de peau ne soit évacuée comme balayée par un zéphyr méridional. Là où se repose durant ce long week-end de l’Ascension l’ancien édile de la bourgade icaunaise qui fait part de son ressenti. Entre désappointement et regrets. Entre colère sourde et espérance que sa candidate de cœur ne l’emporte au soir du 27 juin aux départementales…

 

MONETEAU : Affecté par l’épilogue définitif d’une vie publique bien remplie, vingt-cinq années au service des administrés de la commune périphérique d’Auxerre et autant dans l’hémicycle du Département, ne s’effacent pas en deux coups de cuillère à pot, Robert BIDEAU, d’ordinaire si tranquille, donne l’impression d’être abattu par la décision irréfutable qu’il vient de prendre.

Celle de sa démission du conseil municipal qui a été annoncée ce lundi 10 mai en son absence. Et qui a provoqué dans la foulée l’intérêt de la sphère médiatique ; le contraire eut été étonnant.

D’autant que cet adieu du conseiller départemental de la majorité acquise à Patrick GENDRAUD ne s’est visiblement pas effectué dans la légèreté. Ni dans la cordialité la plus probante. L’intéressé s’en explique lui-même dans une missive rédigée de sa plume qui a été lue dès le début de la séance municipale, se déroulant dans l’enceinte du SKENET’EAU lundi soir. Un courrier qui a aussi circulé abondamment dans le landerneau et été largement commenté par les habitants eux-mêmes.

 

Le « grand âge » de l’élu serait au centre des outrages…

 

L’élu aux quadruples mandats, ils se sont succédés entre 1995 et 2020, fait part ouvertement de sa profonde amertume et de sa rancœur envers celle qu’il a accompagnée pour « assurer la continuité de l’immense travail accompli ».

Un courrier résolument à charge, donc, contre l’actuel édile Arminda GUIBLAIN qui a succédé à Robert BIDEAU en 2020.

Le corps du texte est limpide comme de l’eau de source. Robert BIDEAU y parle de « blessure », « d’ingratitude à son égard », de « révolte » mais aussi de « confiance trahie ».

Bref, l’ancienne adjointe aux affaires sociales, qui occupe désormais le fauteuil de maire depuis la dernière échéance électorale, n’a pas besoin de se rendre chez un couturier pour refaire sa garde-robe. Elle est habillée pour la saison printanière et les suivantes des pieds à la tête !

 

 

Le fond du litige fait référence à des outrages oratoires, qui selon l’ancien élu, se sont avérés à la suite de propos des plus déplacés se rapportant à son « grand âge ». Ces paroles auraient été tenues en réunion municipale. Une motivation impérieuse qui aurait alors précipité Robert BIDEAU vers la sortie. Par la petite porte…mais dans une peine ô combien palpable.

A l’instar de la célèbre série « Aux Frontières du réel », la vérité est ailleurs, semblerait-il. La mise sur la touche de Robert BIDEAU, sans passer par la case départ pour y toucher les vingt mille euros de bonus (règle élémentaire du « Monopoly ») serait imputable, d’après lui, aux échéances départementales et à ses multiples enjeux.

 

Un soutien sans faille à son ancienne équipière Malika OUNES et à Patrick PICARD…

 

L’ex-moitié du binôme qu’il formait jusque-là avec la conseillère sortante Malika OUNES ne se représentera pas in fine pour briguer une nouvelle mandature sur le canton d’Auxerre 2. Contrairement aux tendances qui avaient pu alors circuler courant février. C’est d’ailleurs l’ancien candidat aux municipales Patrick PICARD qui lui fut opposé qui a repris le flambeau de ce binôme constitué avec la candidate sortante.

En revanche, ce tandem retrouvera bel et bien en face de lui et contre toute attente d’après l’ancien maire, le ticket formé par le duo Arminda GUIBLAIN, associée au maire d’Appoigny, Magloire SIOPATHIS.

De l’action qu’il a menée durant cette période de six années au sein de l’institution départementale aux côtés de Malika OUNES, Robert BIDEAU en tire cette conclusion heureuse : « Notre collaboration a été empreinte de loyauté et de confiance dans le seul intérêt du territoire et de ses habitants…».

Des arguments qui suffisent pour lui renouveler son total soutien lors de cette nouvelle campagne qui ne fait que débuter pour la vice-présidente de l’exécutif icaunais en charge du développement numérique et de son coéquipier Patrick PICARD.  

Arguant d’un bilan qu’il juge positif durant toutes ces années de mandat, Robert BIDEAU rappelle que le binôme qu’il formait alors avec Malika OUNES avait fait barrage efficacement contre le Front national de l’époque en 2015, totalisant 63,35 % des suffrages obtenus au second tour contre 17,21 % pour la liste des candidats bleu marine.

Des chiffres que les 11 500 inscrits du canton nord-auxerrois ne devraient pas extraire de leur mémoire selon l’ancien édile qui souhaite encore peser de tout son poids et de son influence pour faire pencher la balance électorale en sa faveur. Verdict le 27 juin au soir !

 

Thierry BRET

 


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L’entité créatrice du coussin multifonctionnel « VIKTOR », concept révolutionnaire dans l’amélioration de la gestion du quotidien des seniors et des personnes atteintes de handicap, poursuit sa quête aux côtés de KUB pour accroître son potentiel de partenaires. Après Auxerre, son dirigeant, l’entrepreneur Alain TIXIER, rencontrera ce jeudi 20 mai dès midi les investisseurs du Sénonais. Objectif : les convaincre de rejoindre le capital de la société…

 

SENS : La règle du jeu de ce futur rendez-vous, ouvert sur simple inscription aux investisseurs potentiels, se veut très élémentaire. Réunis à l’heure du déjeuner dans l’une des concessions automobile du territoire, en l’occurrence celle du groupe PANEL BMW/MINI implantée à Sens, les invités auront tout le loisir de découvrir l’univers atypique de la structure FINGERTIPS.

Juste avant d’en apprécier la praticabilité de son produit vedette, le fameux coussin multifonctionnel qui a obtenu les grâces du jury lors du concours LEPINE et des Trophées de l’Innovation des Centres E.LECLERC.

Il est vrai qu’il y a de quoi être surpris par ce désormais célèbre « VIKTOR » qui ne cesse d’interloquer celles et ceux qui en apprécient la découverte. Ce coussin ne présente pas la même physionomie ni les particularismes rudimentaires qu’un simple ustensile de confort posé sur un canapé.

Agrémenté de diverses technologies qui offrent à son possesseur une kyrielle d’opportunités heureuses dans les loisirs mais aussi les besoins prioritaires, à l’instar de la sécurité et de la médicalisation, le produit se veut être à la pointe de l’ergonomie et de l’intelligence artificielle.

Tout ce dont ont besoin aujourd’hui à leur domicile ou en établissements d’accueil les seniors ; mais également les personnes atteintes d’un handicap, les privant de la pleine jouissance de leurs possibilités.

 

 

Une mise de fonds possible dans le projet dès 1 000 euros…

 

La réussite commerciale de ce coussin connecté n’est donc pas un doux rêve pour le porteur du projet qu’est Alain TIXIER. L’essai s’est mué en succès plus que d’estime avec un chiffre d’affaires qui excède désormais les 500 000 euros et de multiples partenariats à la clé. Ce qui au vu des perspectives commerciales est loin d’être achevé.

Le responsable de FINGERTIPS recherche aujourd’hui des partenaires financiers qui viendront s’agréger à la seconde levée de fonds engagée depuis peu pour booster le développement commercial et la stratégie communication de la jeune structure entrepreneuriale.

C’est là qu’entre en ligne de compte l’association Kick Up Business (KUB), entité fédérant des investisseurs de plusieurs départements de notre territoire. L’organe gère ce jeudi 20 mai cette rencontre avec le chef d’entreprise chez l’un de ses partenaires.

Occasion pour elle de rappeler les fondamentaux de la défiscalisation au travers de l’investissement au capital, apport financier pouvant s’élever dans le cas présent sr un seuil minimal à partir de mille euros : une broutille pour les dirigeants d’affaires habitués à injecter de précieux subsides servant à l’épanouissement de projets.

 

En savoir plus :

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Thierry BRET

 

 

 


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