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A 87 ans, la toujours verte propriétaire du Donjon Colette BECHET souhaite passer la main et trouver un acquéreur à son historique demeure. Soucieuse que la transmission de cette forteresse datant du XIIIème siècle se fasse dans les conditions les plus optimales possibles, la « châtelaine » aimerait aussi que ce lieu atypique, site d’accueil de la vie artistique et culturelle de l’Yonne, se pérennise après elle. Une sorte de transmission testimoniale, en quelque sorte…

 

CRAVANT : C’est elle qui le dit, non sans un certain humour caustique, « pour ma fin de vie, je désire transmettre le Donjon de Cravant à des personnes passionnées de patrimoine et de vie culturelle ». Un clin d’œil que l’ancienne styliste fait à son grand âge, 87 ans, qu’on ne lui donne pas au vu de sa présence d’esprit et de son dynamisme !

Pourtant, ce n’est pas d’hier que Colette BECHET tente tant bien que mal de céder cette construction peu ordinaire qui s’érige vers le ciel dans le paysage de la localité située entre Vermenton et Auxerre.

Après moult tentatives de vente, dont la totalité se sont avérées jusqu’alors infructueuses, la propriétaire de la rustique bâtisse a vu avec grand intérêt la démarche entreprise par la collectivité locale et son représentant, le maire Alain LOURY, intéressé par le site.

 

 

« C’est une excellente nouvelle, se confie-t-elle entre deux allers retours entre Dole, où elle séjourne généralement l’hiver, et l’Yonne, le maire a porté grande attention à cet édifice chargé d’histoire, un écrin de belles pierres classé monument historique… ».

Un projet d’achat devant être présenté lors de la prochaine séance du conseil municipal le 03 mars.

Solennelle, Colette BECHET, en fervente supportrice des arts et de la culture, lance aujourd’hui un appel aux passionnés d’architecture d’art et d’histoire de la région. Les invitant à contacter le maire de la commune afin de le soutenir dans ce projet de future acquisition. Pour que cet endroit magique lui survive. Un Donjon édifié il y a neuf cents ans, digne d’être préservé et visité par une jeunesse avide de curiosité.

Thierry BRET

 


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Ce furent d'abord des  histoires de chemins, parfois peuplés de bandits. Puis, elles devinrent impériales tout d'abord, royales ensuite, pour finir nationales. Leur grande époque ! Avant l'expansion autoroutière,  dès les années 60, ces routes mythiques étaient la 1 (cap au nord), la 4 (vers  l'est), les 6 et 7, par chez nous en Bourgogne,  et la 10 en direction de  Bordeaux. Elles supportaient l'essentiel du trafic routier.


VALLOUX : Ce furent donc, leurs heures de gloire à ces auberges de bord de route et autres relais routiers. Ils étaient reconnaissables à leur logo tricolore, inchangé ou presque depuis les années 30 d'ailleurs ! Alors bienvenue aujourd'hui dans une de leurs plus belles représentantes icaunaises : « Les Chenêts »,  au nord d'Avallon le long de l'ex-nationale 6, désormais départementalisée. On se demande bien pourquoi, avoir supprimé une symbolique aussi forte de notre pays et la rebaptiser départementale 606 !

Attention au radar, avant de s'attabler dans cette excellente table, sûrement l'une des rares dans le guide Michelin, à être distingué d'un « Bib » gourmand (soit les meilleurs rapports qualité-prix) depuis sa création en 1997.

Il a avantageusement remplacé l'ancienne mention, repas, en vigueur jusqu'en 1996. Un mot sur Michelin : sans le savoir forcément,  nous devons beaucoup en circulant en voiture à deux frères, visionnaires de génie (André et Édouard MICHELIN), qui dès le début du siècle dernier, se battirent pour le revêtement de nos routes, la signalétique et les panneaux directionnels, les cartes routières. Le tout pour développer les ventes de leurs pneumatiques. CQFD !
Toujours fleurie à l'extérieur, il fait bon pousser la porte de cette rassurante auberge. En ce jour de février, l'âtre de la cheminée manifeste sa présence « réchauffante ». Voilà un quart de de siècle environ, que Bernard et Michèle GILLOT y sont installés. Antan, Bernard fut aux fourneaux de « L'Auberge du Pot d'Etain » à Noyers-sur-Serein, fermée désormais. Quant à Michèle, en arrivant ici, elle quitta définitivement le monde de la mise en plis, pour celui de la mise en place !

 



Une carte alléchante, des mets très soignés…

 


La cuisine du chef GILLOT est précise et extrêmement soignée.  L'un des produits qu'il affectionne, ce sont les « piquillos » du pays Basque, que l'on retrouve parfois en sorbet.

Un peu de monde ce midi-là, notamment un sympathique vigneron du Vézelien y déjeunant avec ses œnologues. Il en profite pour nous recommander le Puligny-Montrachet (commune qui va enfin accueillir à retardement la Grande Saint-Vincent bourguignonne en mars prochain) de son collègue Jean-Marc VINCENT.  !
La carte est toujours précise et alléchante. Mes compères de table choisissent les escargots servis dans de petits potelets. Cela change des sempiternelles coquilles, dégoulinantes parfois, car sortant du congélateur. Passons !

 

 

Un ris de veau aux morilles digne des grands classiques culinaires…

 

Ils semblent s'en délecter. J'opte pour une entrée que j'aime beaucoup. Elle fut la star des années 80 sur nombre de tables, avec le gratin de fruits en dessert. Ce sont les huîtres chaudes. Servies ici avec des légumes un brin croquants et une sauce onctueuse au curcuma (là aussi, l'épice de qualité se sent en cuisine). Ce plat est délicieux avec la mâche des huîtres et offre l'avantage de nous rajeunir par la pensée puisque pour venir en 1980 j'aurai utilisé ma Peugeot 104 SL ou ma 125 Yamaha DTMX pour circuler alors sur la Route Nationale 6 (très jolis ouvrages de Thierry DUBOIS sur l'histoire de ces routes par ailleurs.

La carte propose un grand classique : les ris de de veau aux morilles. Rien qu'à la lecture de pareille dénomination, on se pourlèche les babines ! Ce plat arrive dans une impeccable assiette chaude, avec forces légumes (carottes, choux...). La cuisson du délicat abat est impeccable - et pas à la portée du premier venu - moelleux à cœur et croustillant à l'extérieur. C'est délicieux.  Mais en impénitents gourmands que nous sommes, une cuillère de  cette délicieuse sauce en sus ne nous eût pas paru incongrue ! Miss sauce aurait trouvé à qui parler, n'en doutons pas !

 

Un dessert aérien pour clore un joli déjeuner…

 

Joli plateau de fromages, fournis notamment par le crémier du marché avallonnais, les fromages de Thomas, ou fromage blanc aux herbes, que nous choisissons. 

Comme un clin d'œil, sorte de pré dessert, nous prenons une tarte aux citrons à se partager. Je narre aux amis une anecdote du temps passé : la même semaine, j'avais dégusté ce délicat dessert ici, puis le vendredi à l'hôtel parisien « Le Lancaster », dans le 8ème, excusez du peu ! Et bien, la meilleure des deux tartes ne fut pas parisienne ce jour-là, loin s'en faut !

Non LE dessert choisi fut l'emblématique soufflé à la mandarine impériale (un digestif d'une grande finesse, clin d'œil pour la brasserie de la gare à Sens, où Sabine et son frère Fred le valorisent bien souvent aussi). Un dessert aérien,  parfait pour terminer un joli déjeuner, et unissant une subtilité de goûts entre l'appareil du soufflé, l'alcool...

De nos jours, on ne peut que regretter l'absence de ce dessert emblématique dans nombre de restaurants (à tarif équivalent), certains cuisiniers l'ayant oublié, ou (plus triste) ne sachant plus le préparer. Tant pis pour nous, pauvres clients !

Un bon café accompagné de mignardises semble sonner le signal du départ - comme à regret - de cette belle auberge, car la RN6, oh pardon la D606, nous attend.
Merci jolis aubergistes, vous, qui ne craigniez personne en Harley Davidson ! Mais demain qui pour prendre la relève de Michèle et Bernard GILLOT ?

 

 

En savoir plus :

 

Les + : mise de table soignée, très bon pain. Service attentif. Impeccables toilettes modernistes...

Les - : oh ! C'est histoire de.....! Mais il me semble qu'avant ce foutu COVID, il y avait du beurre sur table, ainsi qu'une p'tite mise en bouche, avant d'attaquer un délicieux repas !

 

Contact :

Auberge des Chenêts

89200 VALLOUX

Tel : 03 86 34 23 34

Du mercredi au dimanche midi.
Premier menu : 31 euros.

 

Gauthier PAJONA

 

 


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Ils espèrent énormément de monde. Une véritable mobilisation populaire autour d’un thème majeur qui éclaire notre existence : la paix. En pointant d’un index rageur la violation inacceptable du droit international par celui qui se moque éperdument de son application : le locataire du Kremlin. Place de l’hôtel de ville, à Auxerre, lundi soir : tous les Auxerrois sont appelés à manifester contre l’envahisseur russe…

 

AUXERRE : « Auxerre en lutte ». Contre qui ? Contre le président de la Russie Vladimir POUTINE, entré honteusement en guerre depuis trois jours en attaquant l’Ukraine. Un pays frère, le berceau fondateur de la civilisation russe. Un acte de guerre inacceptable.

D’une gravité, sans précédent dans l’ère moderne, qui nous propulse au siècle dernier, aux heures les plus sombres de l’histoire de l’Humanité. Faire entendre sa voix et le faire de manière commune et virulente, voilà ce que propose les responsables de La France Insoumise de l’Yonne. Ils invitent les Auxerroises et les Auxerroises de toutes obédiences idéologiques et sociétales à se rassembler dans la rue, afin de protester ensemble contre l’impensable.

Contre la barbarie et la bêtise. Celle d’un dirigeant qui du haut de sa tour d’ivoire, esseulé, conduit la planète et son peuple vers les abymes.

A l’instar de son leader charismatique, Jean-Luc MELENCHON, La France Insoumise a condamné cette invasion en territoire ukrainien avec la plus grande fermeté.

 

 

« A cette heure, nos pensées vont vers les populations civiles prises au piège (ndlr : déjà plus de deux cents victimes au moment où se rédigent ces lignes), et qui vivent dans la peur. L’urgence est à agir pour les protéger et exiger un cessez-le-feu immédiat ainsi que le retrait des troupes russes. La France doit porter cette exigence devant les Nations Unies… ».

La seule condition avouable aux yeux des responsables de LFI pour qu’il y ait une reprise du dialogue.

« Nous la souhaitons au sein de l’Organisation (ONU) pour la sécurité et la coopération en Europe, qui est le cadre adapté et légitime pour résoudre cette crise grave. La France doit mettre tout en œuvre pour la désescalade et le retour à la paix… ».

LFI précise dans un communiqué national son soutien à toutes les initiatives et rassemblements organisés en France en solidarité avec les populations victimes et pour la défense de la paix.

 

Thierry BRET

 

 


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Ouf, on respire chez les partisans de Jean-Luc MELENCHON. La France Insoumise (LFI) verra bel et bien son leader trublion de la sphère politique débattre lors de la prochaine joute électorale. Mais, du côté des militants du Rassemblement National (RN), l’inquiétude persiste toujours. Idem chez Reconquête ou à Debout La France. A dix jours de la clôture de la collecte des parrainages, Julien ODOUL monte au créneau. Il sollicite l’aide des présidents des EPCI. Au nom de la sauvegarde de la démocratie…

 

SENS : Cinquante petites voix. Une broutille, certes, mais il faut combler le trou pour arriver à la sacro-sainte barre fatidique des cinq cents parrainages, chiffre nécessaire pour prétendre, en étant qualifié de manière officielle, à la course à la présidentielle 2022.

Trois fois rien, en somme. Il suffirait juste que quelques élus se mobilisent enfin et remplissent en leur âme et conscience et sans esprit partisan aucun leurs devoirs régaliens, au nom de la démocratie, pour y parvenir.

Leurs devoirs régaliens ? Utiliser le pouvoir qui leur a été conféré par la constitution depuis 1962 de parrainer l’un des prétendants au fauteuil élyséen. Ils sont 42 000 à pouvoir y prétendre dans l’Hexagone. Une simplicité enfantine, donc, sur le papier, surtout quand on a seulement une quinzaine de candidats sérieux qui possèdent des velléités idéologiques à prendre le départ.

Un devoir, ne l’oublions pas, qu’ils doivent aussi à celles et à ceux qui les ont portés au pinacle de la représentativité citoyenne.

Oui mais, voilà. Sur les 42 000 élus, celles et ceux que nous côtoyons au quotidien et de proximité aux quatre coins de l’Hexagone, seulement dix mille d’entre eux ont osé franchir le Rubicon du parrainage. Avec courage et franchise.

Un excès de faiblesse inexplicable. Si ce n’est la disparition de l’anonymat qui a profondément chamboulé la donne, merci François HOLLANDE jamais à court d’une idée géniale, offrant des moyens de pression évidents à quelques politiciens usant de perfidie pour faire barrage à la démocratie. Une situation ubuesque qui provoque l’ire et des remous dans le cénacle politique hexagonal.

 

Un scandale qui serait préjudiciable à la démocratie…

 

De ce fait, à date, les Français pourraient se voir « voler » le pluralisme de l’élection présidentielle parce que plusieurs candidats peinent à boucler, non pas leur budget de campagne, mais leur indispensable validation inhérente à ces parrainages d’un autre temps démocratique !

Si Jean-Luc MELENCHON et Yannick JADOT, se sont rassurés au début de la semaine après avoir vu passer le couperet de pas loin, obtenant enfin et après moult sueurs froides lesdits sésames, quid aujourd’hui des candidatures de Marine LE PEN, Eric ZEMMOUR, Nicolas DUPONT-AIGNAN, Christiane TAUBIRA, Philippe POUTOU ou de la représentante du parti animalier, Hélène THOUY ?

En ces périodes troubles où la démocratie vacille et la liberté de penser autrement se défend armes à la main bec et ongle, et face au scandale démocratique incroyable que consisterait l’élimination d’office de ces candidats dont certains représentent près de 30 % dans les sondages, l’un des leaders régionaux du Rassemblement National, Julien ODOUL, a décidé de réagir, prenant le taureau par les cornes, et surtout sa plume pour se lancer dans un exercice épistolaire inhabituel : rédiger une lettre ouverte aux présidentes et présidents des intercommunalités de Bourgogne Franche-Comté.    

Objectif de cette missive : les appeler à se mobiliser en faveur du soutien démocratique du parrainage, qui ne fait pas foi d’engagement envers le candidat.

Un courrier dont pourrait s’inspirer les autres chefs de file des partis Reconquête, Debout La France, de la gagnante de la Primaire populaire Christiane TAUBIRA, du Nouveau Parti Anticapitaliste ou du parti animalier en l’adressant également à tous ces élus de proximité qui se doivent de préserver le peu de liberté qu’il nous reste : celui de l’éclectisme idéologique et du choix démocratique, terreau majeur d’un scrutin national tel que la France le mérite.   

 

 

 

En savoir plus :

 

La publication intégrale de cette lettre ouverte au nom du pluralisme politique et du débat d'idées : 

« Débloquez les parrainages pour que vive la République !

Mesdames les Présidentes, Messieurs les Présidents,

Notre démocratie est en grand danger. A l’heure où je m’adresse solennellement à vous, Marine LE PEN ne peut pas se présenter à l’élection présidentielle des 10 et 24 avril 2022. En effet, il lui manque 50 parrainages pour obtenir le droit de représenter des millions de Français. Comment se fait-il que cette règle des 500 signatures, aussi indigne qu’absurde, puisse priver d’élection une candidate qui a rassemblé 11 millions d’électeurs en 2017 et qui réunirait, aujourd’hui selon les sondages, entre 44 et 46% des suffrages au second tour dans deux mois ?

Vous avez la capacité et la responsabilité d’éviter un naufrage démocratique sans précédent qui serait lourd de conséquences pour la pérennité de nos institutions déjà fragiles et pour la paix civile. Nombreux sont les maires que nous rencontrons qui se refusent à parrainer la candidate que je soutiens par crainte des pressions réelles ou fantasmées, des intimidations ou des représailles politiques. Comme vous le savez, l’organisation territoriale actuelle assure une place prépondérante et une influence notable aux exécutifs des communautés de communes, communautés d’agglomération et métropoles. Face au scandale annoncé qui verrait la disqualification de trois candidats légitimes représentant plus de 40% de l’électorat, vous devez agir rapidement pour débloquer la démocratie !

Dans l’esprit du geste républicain exemplaire de David LISNARD, président LR de l’Association des maires de France, qui a envoyé son parrainage à Jean-Luc MELENCHON, je vous demande d’inviter tous les maires de votre collectivité qui n’auraient pas encore effectué leur devoir, à donner leur signature républicaine à Marine LE PEN avant le 4 mars. 

Il ne s’agit pas d’un soutien ou d’une adhésion politique mais fondamentalement d’un acte civique pour que cette campagne présidentielle se tienne dans de bonnes conditions dans le respect de la diversité des opinions et avec le souci de la représentativité des Français.   

Je vous prie d’agréer, Mesdames les Présidentes, Messieurs les Présidents, l’expression de mes salutations républicaines.

Julien ODOUL

Porte-parole du Rassemblement National

Président du groupe Rassemblement National

Conseiller régional de Bourgogne Franche-Co ».

 

Thierry BRET

 


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Elle se félicite de la concrétisation de ce partenariat qui s’avère judicieux à bien des égards, la présidente de la Communauté de communes Le Tonnerrois-en-Bourgogne. En apposant sa griffe au bas de ce contrat de relance et de transition écologique (CRTE), signé avec l’Etat et le Département, Anne JERUSALEM impulse une nouvelle dynamique à son projet de territoire où les synergies ne manquent pas…

 

TONNERRE : Construire un vivre ensemble où l’envie de travailler sur l’attractivité résidentielle en faisant évoluer les services publics et la politique rurale, tout en y facilitant les mobilités, constitue le socle stratégique du projet de territoire appliqué à cette zone orientale de notre département. D’ailleurs, le nom de code de ce concept résonne plutôt bien aux oreilles : « Synergies Tonnerroises ».  

Un souffle de dynamisme que souhaite propager la présidente de l’EPCI, Anne JERUSALEM, signataire le 18 février du CRTE aux côtés du préfet de l’Yonne, Henri PREVOST, et du Conseil départemental de l’Yonne, représenté par l’un de ses vice-présidents, Pascal HENRIAT.

Si ce secteur géographique est le plus petit territoire ayant été retenu dans le cadre de ce programme, il n’en demeure pas moins que l’initiative menée à travers cette démarche se veut constructive et prégnante.

 

 

« Nous menons un projet de territoire co-construit avec l’ensemble de la société civile (entreprises, associations…) qui nous permet d’être au plus près du terrain, a déclaré Anne JERUSALEM, en proposant des initiatives en adéquation avec les besoins de chacun ».

Des projets qui s’avèrent réellement structurants pour ce territoire et qui seront financés par l’Etat et le Département. Ceux-ci concernent l’installation de nouvelles entreprises, la création de passerelles efficientes entre les acteurs de la zone, le développement de l’innovation technologique et sociale, la facilitation des mobilités durables. Le volet de l’alimentation et de l’essor des circuits courts intègrent également ce schéma.

Enfin, la conscience climatique est prise en compte par les responsables de la communauté de communes Le Tonnerrois-en-Bourgogne. La rénovation énergétique des bâtiments communaux et scolaires, d’une part, mais aussi l’accompagnement des projets de diversification agricole et l’amélioration des cœurs de ville, grâce au Fonds Façade et le Fonds Petit Patrimoine bâti, s’inscrivent parmi les priorités.  

 

Thierry BRET

 


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