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Présente au vernissage de la nouvelle exposition accueillie à l’Espace culturel de l’hôpital, l’édile de Tonnerre s’est dit très satisfaite de la pertinence artistique proposée par le travail de la cinéaste/scénariste Emmanuelle MICHAUX. Découvrant avec grand intérêt l’œuvre de l’artiste franco-suisse, Dominique AGUILAR a salué l’ingéniosité créative de la jeune femme et la qualité d’une exposition qui offre une dynamique culturelle de belle envergure à l’agglomération tonnerroise…

TONNERRE : Disposant de l’Hôtel-Dieu et s’appuyant sur la présence d’un complexe cinématographique labellisé « Art et Essai », la ville de Tonnerre possède de solides atouts à faire valoir dans le domaine patrimonial et culturel. Sans omettre l’Espace spécifique de l’hôpital, devrait-on ajouter !

Admirative devant le travail intimiste et insolite de la cinéaste/scénariste Emmanuelle MICHAUX, le maire de Tonnerre Dominique AGUILAR s’est félicité de la qualité des expositions qui sont dorénavant accueillies sur le site. Appréciant l’éclectisme de ses créateurs qui se posent durant plusieurs semaines dans cet antre de la culture, l’élue n’a pas boudé son plaisir de découvrir les subtiles finesses de l’imaginaire, inculquées par l’artiste, au détour d’un photogramme ou d’un tableau.


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A la croisée des mémoires individuelles et collectives, l’artiste franco-suisse décline un énigmatique travail visuel conçu autour du culte du souvenir. Invitant le public de l’Espace culturel de l’hôpital de Tonnerre vers un étrange voyage, entre la vie et la mort. La jeune femme propose un mix insolite de vidéo, photogrammes, peinture, collages et feuille d’or qui nous incitent à côtoyer de singuliers personnages de la vie ordinaire. Un rameur qui s’exerce à la pratique de l’aviron sur un plan d’eau. Un homme et une femme qui flânent à pas lent sur une plage. Cet espace d’éternité est à admirer jusqu’au 31 janvier 2019. S’il sublime l’existence par le rendu qualitatif de ces témoignages sur clichés, il pousse aussi à l’introspection au plus profond de soi et vers la transcendance…

TONNERRE : L’au-delà inspirerait-il l’approche artistique de la brillante Emmanuelle MICHAUX ? Petite déjà, la future professionnelle du monde des arts puisait dans un imaginaire exacerbé pour en tirer la quintessence subliminale offerte par l’image. A l’âge de 12 ans, la  jeune fille, digne héritière de son père qui épousait les causes passionnelles du cinéma amateur, se projette dans sa première réalisation cinématographique. Traitant, au passage, un sujet complexe et abscons mais ô combien symbolique.

Qu’on en juge : son personnage central, une femme venue de l’au-delà, entraîne un jeune adolescent avec elle. Le mot « fin » apparaît dans les mains du garçon. Ce plan définitif clôt ce premier opus de manière abrupte.

Préserver la vie et la mémoire des êtres s’inscrit donc comme une priorité absolue dans ce travail intense, concocté par une artiste multicanale. Vidéo, photogramme, œuvres picturales, mais aussi travaux de collages et de feuille d’or représentent autant de vecteurs d’expression qui offrent la liberté et une magnificence à l’artiste, originaire de la région parisienne.

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Faire ressurgir la mémoire des êtres…

Ce travail mémoriel, Emmanuelle, le dévoile aux aficionados de l’Espace culturel du séculaire hôpital de Tonnerre. Après l’exposition « Prendre Soin » (2017), celle exotique mais empruntée d’une force mystique et religieuse consacrée à l’Ethiopie de Paola VIESI, et plus récemment, « Résonance de la Couleur », à l’estampille de Caroline COPPEY (2018), voici le temps de « Réparer le Monde », une exposition troublante arborant la signature d’Emmanuelle MICHAUX.

Conçue à partir de la collection personnelle de son père, dont le regret dû à l’absence pèse de tout son poids autour de chaque pièce de l’exposition, l’œuvre d’Emmanuelle MICHAUX se distille comme des morceaux de films en super 8 par petites touches. Ce sont ces fragments de vie qui ressurgissent ainsi de façon inopinée dans ce curieux espace visuel. Sur les murs de l’ancienne pharmacie hospitalière. Mais aussi, à même le sol. Voire dans les écrans cathodiques, placés çà et là, qui diffusent en boucle vidéo et photographies.

Développant un méticuleux travail de sauvegarde, la cinéaste/scénariste insuffle de la vie à ses multiples personnages, anonymes et dont elle ne connaît pas elle-même les cheminements de l’existence, les rendant plus accessibles et plus proches encore.

Un subtil espace de résilience pour les visiteurs…

Cet assemblage de tranches de vie, mis bout à bout, créé un fascinant puzzle. Chaque brique s’intègre à la perfection parmi ce maelström de visages furtifs, joyeux, tristes, distants et secrets.

Le travail de la jeune femme n’est pas sans rappeler la méthode japonaise du « Kintsugi ». Il s’agit dans ce cas précis de réparer les porcelaines ou les céramiques brisées au moyen de laque saupoudrée d’or. Ici, les aspérités de la pellicule ne sont pas gommées. Bien au contraire, Emmanuelle MICHAUX en souligne les blessures et la fragilité. Préservant ainsi le fondement authentique de sa création.

 


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C’est une véritable invitation au voyage vers la ville d’Auxerre que propose le professionnel de l’image avec la réalisation de ce court-métrage. Et surtout, pour celles et ceux qui l’ont déjà visionné, l’occasion de pouvoir découvrir deux des complexes hôteliers du chef-lieu du département bourguignon : l’IBIS Centre et le tout récent, IBIS Budget, qui est fonctionnel depuis le mois de juin. Le professionnel auxerrois a pu ainsi honorer avec sa touche et sa sensibilité personnelles cette commande de film, à la suite d'une sollicitation par le propriétaire des établissements hôteliers, Alain GEHIN.

AUXERRE : Derrière cette réalisation cinématographique originale, il y a surtout le signe fort d’un encouragement à la création audiovisuelle sur la région de l’Auxerrois. Un soutien qui n’est malheureusement pas à l’apanage de la réalité quotidienne.

Travaillant en parfaite symbiose avec le réalisateur de ce court-métrage, bel outil de communication sur les atouts touristiques de la ville et les potentialités offertes par la présence hôtelière du groupe IBIS, Alain GEHIN, propriétaire des deux hôtels IBIS de la rive droite d’Auxerre, était parti sur ce projet avec des idées bien précises. Instigateur du concept, il s’est rapproché du vidéaste Pascal DELAGNEAU, un spécialiste du court-métrage d’entreprise mais aussi de productions audiovisuelles relatant les évènements de la sphère culturelle et artistique.

L’objectif de ce challenge visuel, faisant la part belle à la créativité et à l’esthétisme de l’image, s’inscrivait dans une pure démarche de valorisation de la ville d’Auxerre, vue sous le prisme d’une qualité optimale de l’accueil offerte par ces deux établissements hôteliers.

Le synopsis a mis l’accent sur les opportunités offertes par les hôtels, judicieusement positionnés aux abords de l’Yonne. Mais, à travers ce documentaire, le cinéaste accentuera le trait sur la joliesse du cadre de vie présenté par la ville, sa renommée imputable à la valeur sportive et le poids d’une AJ Auxerre toujours aussi prégnante (l’un des fers de lance des préférences dans les passions qui animent Alain GEHIN depuis longtemps) et le volet festif et convivial de la ville, à travers ses animations régulières.

Une collaboration complice et fructueuse…

« Le chef d’entreprise m’a ensuite entièrement fait confiance pour la mise en scène, confie Pascal DELAGNEAU, ce fut une collaboration sympathique, vécue avec réellement de plaisir aux côtés de ses équipes, des acteurs et des figurants… ».

Techniquement, le réalisateur n’a pas hésité pour la conception de certaines prises de vue à recourir à l’emploi d’un drone. « L’idée conceptuelle sera de suivre tout naturellement le fil de l’eau, la proximité de l’Yonne, comme arcane principal et fil conducteur de ce film, précise le créateur audiovisuel.

Le résultat est proprement réussi. Les images aériennes qui permettent une vision globale insolite de l’infrastructure et de cette partie de la ville émanent de la dextérité vigilante de Pierre-Alexandre DARDOISE, gérant de la société DRONE PAD. Ce passage du court-métrage devait se faire dans les règles de l’art sécuritaire (avec l’aval de la Ville), la présence d’un ensoleillement légitime pour optimiser le rendu de l’image et sa qualité de perception, mais également sans vent qui aurait pu déstabiliser le petit appareil.

« Toutes les courtes scènes du film reflètent de ces petits moments de vie empruntés au quotidien, explique Pascal DELAGNEAU, en fait, je voulais une construction simple mais aussi très efficace… ».

S’inspirant souvent de cette impression de voyage et de balades impromptues, le réalisateur a laissé libre cours à son imaginaire pour produire le meilleur de lui-même. On le constate de facto dans la première partie de cet opus, avec la touriste qui rejoint l’hôtel à pied depuis la gare sur une note musicale de bonne tenue « On the road for holidays » de Vincent TELLIER.  Autre séquence significative : le jeune couple qui emprunte la fameuse passerelle surplombant la rivière et gagne sa chambre…

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La présence de figurants de poids dont l’inusable Guy ROUX…

La diffusion de l’« Ode à la joie », hymne musical devenu le symbole de l’Europe, la vision furtive de Guy ROUX, en figurant populaire ou l’évocation de Chablis assurent une part d’intérêt croissante à ce travail de longue haleine. Pascal DELAGNEAU a pris soin de le fignoler avec minutie. Caméra au poing, il a aussi sublimé le jeune mannequin qui avait œuvré pour l’association Cœur de Ville de Sens, dans une approche candide, et pleine de fraîcheur.

L’illustration de l’IBIS Budget s’est forgée sur la présence d’un jeune couple d’amoureux, originaire de Toulouse, en goguette le temps d’un week-end dans la capitale de l’Yonne. « Nous avons souhaité que ces jeunes gens expriment une joie de vivre, aussi bien dans leur chambre que dans notre ville d'Auxerre, argumente le réalisateur, monté avec des séquences festives, dont le festival CATALPA ou « Fleurs de vigne », Nelly et Thibaut ont joué le jeu dans une parfaite allégresse, et ça se voit ! ».

Recherchant en permanence le maximum de sincérité de ses acteurs et figurants dont Guy ROUX qui n’est plus à un film près (le charismatique ancien entraîneur de l’AJA a prêté sa silhouette à plus d’une vingtaine de réalisations), Pascal DELAGNEAU a voulu rendre crédible chaque scène de son film. Ce fut une expérience inouïe où il y aurait à raconter sur chaque moment et personne immortalisée par l’objectif de la caméra. « C’est l’humain qui a été mis en valeur, et pas les murs ou le mobilier, plaisante-t-il.

Le choix de la musique de Vincent TELLIER est prédominant. « C’est notre quatrième collaboration : elle a été très inspirante lors du montage ».

Celui-ci a été effectué à la maison ! Comme aime le préciser le cinéaste alors que la tendance actuelle, et même parfois pour de grandes marques, est de se servir sur le net pour récupérer des images libres de droits ! Un film à découvrir sur les réseaux sociaux et dans l’univers audiovisuel des établissements hôteliers, référence suivante : https://www.youtube.com/watch?v=sibJJZOxy3A   


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Jusqu’au 23 novembre, une kyrielle d’artistes peintres, sculpteurs et photographes du Continent noir se succèdent dans le cadre du Festival AFRIK’AU CŒUR à Auxerre et à Monéteau. C’est précisément dans l’antre du SKENET’EAU, l’infrastructure culturelle de la commune périphérique du chef-lieu de canton, que le plasticien Bruce CLARKE a procédé au vernissage de son exposition ce mercredi. Pour la plus grande joie des amateurs d’art…

MONETEAU : Militant anti-apartheid convaincu, Bruce CLARKE éprouve une passion viscérale pour l’Afrique. Auteur d’une sculpture mémorielle sur le génocide rwandais, « Le Jardin de la Mémoire », un projet soutenu par l’UNESCO, l’artiste, blanc, voue un amour sans borne à l’Afrique du Sud, pays dont il n’est pas originaire puisqu’il est natif de Grande-Bretagne. Cosmopolite dans l’âme, il s’est même installé en France après des études aux Beaux-Arts à Leeds. Aujourd’hui, il vit en Afrique du Sud.

Sa visite dans le cadre du Festival AFRIK’AU CŒUR intègre donc l’exceptionnel. Lui qui a fait de son travail de plasticien un engagement politique constant pour dénoncer les douleurs morales de cette planète.

L’œuvre de Bruce CLARKE qui a été dévoilée lors de ce vernissage concocté de main de maître par André HULNET, président du festival, et de son comité d’organisation, vise à stimuler la réflexion sur le monde contemporain. Un devoir de mémoire artistique mais utile pour ne rien omettre des vérités qui doivent se connaître autour de nous.

Privilégier l’informatif plutôt que le décoratif…

Au SKENET’EAU, le public a pu apprécier son travail consacré aux migrants. Dans un ensemble de toiles, baptisé sobrement les « Fantômes de la mer ». Déjà par le passé, l’artiste avait eu à traiter dans ses œuvres des thèmes forts se rapportant à l’esclavagisme, au colonialisme, à la mondialisation.

Photographe, collaborateur périodique de revues africaines, Bruce CLARKE a publié des reportages sur l’Afrique du Sud, la reconstruction lente et délicate du Rwanda et le retour des réfugiés du Libéria.

Se plaçant en dehors de l’art complaisant et décoratif, l’artiste britannique veut s’efforcer de peser sur le cours de l’histoire. Il nous propose sa vision personnelle mais ô combien réaliste de la vie au quotidien. En l’occurrence celle de ces milliers de migrants qui tentent vainement de gagner les côtes européennes sur de frêles esquifs, exposés à tous les dangers. Juste pour nous faire réfléchir sur le sens de leur existence. A méditer…

 

  

   

 


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Vice-présidente de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre en charge de la culture, Pascale GROSJEAN a été l’une des instigatrices de ce nouveau dispositif. Il favorise l’accès aux activités artistiques et la connaissance de la culture pour les enfants scolarisés. Ce procédé se mettra en application dès le mois de janvier 2019.

SAINT-AMAND EN PUISAYE (Nièvre) : « Le Contrat local d’éducation artistique est l’œuvre d’une convergence partenariale forte entre les acteurs de notre territoire ayant attrait au développement de la culture envers les jeunes générations… ».

Satisfaite de la tournure des évènements, l’élue de Puisaye-Forterre, Pascale GROSJEAN, salue l’initiative prise par la Communauté de communes et ses partenaires, à la suite de la validation de ce CLEA d’une durée de trois ans.

« Ce contrat est d’un intérêt majeur pour notre territoire, précise-t-elle, il est le fruit d’un travail de concertation, pleinement abouti, avec l’Education nationale et le Département. ».

Alors que le comité technique devait assurer sa première réunion de travail ce mercredi 13 novembre, ce Contrat local d’éducation artistique, lui, ne verra le jour de manière effective qu’au début de l’année prochaine.

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Dix-sept dossiers déposés à la date limite des candidatures…

Qualifiant ce processus, de « véritable outil servant à la démocratisation de la culture destinée aux plus jeunes », Pascale GROSJEAN s’est dite très enthousiaste devant la mobilisation des nombreux projets culturels et artistiques déjà présentés dans la phase sélective.

Dix-sept dossiers ont ainsi été déposés dans la besace de la communauté de communes. Tous ne verront pas le jour. D’autant, que la thématique se rapporte à la mémoire sonore et visuelle.

Sans déflorer le contenu de ces actes de candidature, on sait que certains dossiers traitent de la vulgarisation à l’image, de la découverte du milieu de l’audiovisuel et de la radio en ligne, voire des enjeux inhérents à la création d’une médiathèque.


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