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Le top départ de l’épreuve est donné pour une durée de huit heures ! Le 38ème concours de « l’Un des Meilleurs Apprentis de France » (MAF), spécifique au métier de jardinier-paysagiste, se déroule dans la petite fraîcheur matinale de ce vendredi saint, juste derrière les locaux du CFA La Brosse, centre de formation agricole par l’apprentissage. Une opportunité pour les six candidats de se mettre en lumière sous l’œil scrupuleux du jury, avec l’objectif de glaner les médailles des concours départementaux et régionaux…

 

VENOY : Mais il ne s’arrête donc jamais, Marc LABARDE ! Le président départemental de la Société nationale des Meilleurs Ouvriers de France de l’Yonne (MOF) s’affaire déjà avec minutie et concentration derrière son écran, pianotant sur le clavier ses premières impressions de ce qu’il a vu extérieurement avec le lancement de ce nouveau concours.

Une double épreuve en vérité puisque s’organisant tant au niveau départemental que régional. Même si le nombre de candidats désireux y prétendre se résumerait presque à la portion congrue, soit six jeunes gens hyper motivés de bien faire et de réussir à décrocher – peut-être – les places qualificatives pour le national de la discipline – le métier du jour qui est concerné est celui des jardiniers-paysagistes - devant se disputer à l’automne quelque part dans l’Hexagone.

Bref, dès potron-minet, ces six là – quatre garçons du CFA La Brosse suivant un cursus en baccalauréat professionnel en aménagement du paysage et deux autres de leurs condisciples en provenance de la MFR de Gron chère à Stéphane PERENNES ! – n’ont pas hésité à braver la température frisquette et humide de ce matin blafard pour se plonger dans l’étude de cas du jour : la réalisation d’une scène de jardin originale et harmonieuse comprenant la création d’un muret conçu en pierre sèche, un dallage, un pavage, des plantations avec arbustes à fleurs, conifères et autres végétaux, un espace vert en gazon de placage.

 

 

 

Valoriser les jeunes apprentis qui osent relever le défi…

 

Un chantier prenant racine sous le regard scrutateur des membres du jury (quatre professionnels des services espaces verts des communes de Chablis et d’Auxerre notamment) et de Marc LABARDE, qui arborant comme à l’accoutumée son immuable écharpe rouge, veillait à la bonne application d’un règlement hyper scrupuleux. Normal, on participe tout de même à l’un des plus beaux concours de prestige réservé aux apprentis !

Pour Hélène DECULTOT-TREMBLAY, directrice du CFA La Brosse, toute heureuse d’accueillir ce concours en ces murs, un tel évènement est indispensable car il permet de valoriser les jeunes apprenants à leur juste valeur, ils sont prêts à relever le défi. Il est vrai que de gagner un MAF dans son existence fait toujours recette sur une carte de visite remise à un employeur, un sésame plus facile pouvant aider à s’insérer dans la vie active…

 

Thierry BRET

 

 


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Jusqu’au premier avril 2023, il présentait un profil de « globe-trotter » professionnel vantant le savoir-faire de la technologie made in France et de sa filière des télécommunications, le futur patron de la région Grand Nord-Est de la société Orange ! Nommé directeur de zones sectorielles englobant les Hauts-de-France, le Grand-Est et la Bourgogne Franche-Comté, Thierry MARIGNY, à 59 ans, se lance un tout autre défi : celui d’imposer sa griffe et son expérience sur cette partie de l’Hexagone.

 

DIJON (Côte d’Or) : C’est certain, question climats et températures, le nouveau dirigeant de l’un des principaux opérateurs de télécommunication dans le monde risque de s’apercevoir du changement !

Lui qui était depuis 2018 l’un des artisans du développement du groupe Orange sur la zone Afrique et Moyen-Orient (Jordanie, Tunisie, Sénégal, Liban…) y perdra au change, du côté de l’ensoleillement. Mais, il y gagne une belle promotion avec ce retour en France, devenant de facto l’un des ambassadeurs territorial de la directrice générale du groupe aux 43,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires, Christine HEYDMANN.

Diplômé de l’IMT Business School, Thierry MARIGNY, natif de la capitale, presque sexagénaire, possède dans sa besace un DESS en télécommunications, agrémenté d’un Master en gestion de l’Université Paris-Dauphine. A 59 ans, et après avoir exercé moult responsabilités au sein du groupe, notamment dans le marketing mobile mais aussi pour le compte de la marque en assurant son développement promotionnel, le nouvel impétrant à la fonction directionnelle Grand Nord-Est voulait relever un challenge supplémentaire.

 

La modernisation des réseaux : la première des priorités !

 

En succédant en ce mois d’avril à Ludovic GUILCHER – ce dernier est promu directeur en charge de la mise en œuvre du nouveau modèle d’entreprise porté par Christine HEYDMANN – Thierry MARIGNY hérite d’une équipe efficiente, forte de 8 000 femmes et hommes, ayant pour objectif de maintenir le leadership d’Orange dans les réseaux de télécommunications.

Un beau challenge, d’autant que parmi les projets à venir à brève échéance, on peut identifier la modernisation des réseaux Très Haut Débit sur le fixe avec le déploiement de la fibre optique et sur le mobile, avec la présence de la 5G.

C’est sûr : Thierry MARIGNY, au vu de son emploi du temps très serré, devrait très vite s’accommoder, sans trop s’en préoccuper, des rigueurs du climat continental qui l’attend désormais !

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Résolument « familiale ». Telle est l’approche novatrice, bienveillante mais légitime portée par l’établissement bancaire interrégional dans son plan d’action qui se décline en 2023. Une banque, toujours aussi verte à plus d’un titre, mais davantage axée sur l’ensemble des maillons de la cellule familiale, depuis le plus jeune âge jusqu’aux seniors. Une volonté intrinsèque pour ce « façonneur d’avenir » qui entend être l’un des grands acteurs économiques du territoire…

 

TROYES (Aube) : Il y en a pour tout le monde au Crédit Agricole ! C’est une évidence dans les faits, et cela devient même le credo de l’établissement bancaire de Champagne-Bourgogne.

Se positionner comme étant le « partenaire incontournable de la famille » se mue en une réalité palpable à l’analyse des principaux chiffres qui ont été communiqués par le groupe lors de sa conférence de presse annuelle. Un exercice oratoire, dédoublé physiquement – l’un à Dijon, l’autre qui l’aura précédé d’une journée à Troyes – et qui aura servi de prétexte à ses dirigeants de pouvoir expliquer avec moult détails les données statistiques de l’année écoulée.

En choisissant cet axe marketing très marqué qui se décline à toutes les sauces – « être la banque de la famille » -, le Crédit Agricole Champagne-Bourgogne souhaite surtout être apparenté à un « amortisseur de la crise » au plan sociétal. Des crises successives que traverse et encaisse le pays depuis bientôt trois ans qu’elles soient sanitaires, économiques, énergétiques et inflationnistes.

Comment pourrait-il en être autrement à bien y regarder ? D’autant que quatre habitants sur dix établis dans cette double région sont clients, voire sociétaires de la fameuse maison !

 

 

Une belle formule, en vérité : « façonneur d’avenir »…

 

Dans les faits, les porte-voix de la « Banque verte », à commencer par le président Jean-Yves REMILLET, et le directeur général, Emmanuel VEY, veulent accentuer leur mobilisation et celle de leurs équipes sur leurs territoires de prédilection, afin de financer l’économie locale avec une écoute attentive et optimiser en parallèle le développement durable des quatre départements que sont l’Aube, la Côte d’Or, la Haute-Marne et l’Yonne.

L’objectif est simple sur ce terrain de jeu : se présenter comme un « façonneur d’avenir ». La belle formule, en vérité…

Agir sur le présent pour mieux modeler le futur de sa clientèle : voilà une ambition louable, presque à la limite de la philosophie, pour une banque qui a contribué au bien-être, en les finançant, de quelques 22 744 projets de vie issus de ces familles au cours de la seule année 2022 !

Soit dans les faits, 1,3 milliard d’euros de crédits qui auront été réalisés, notamment, dans le domaine de l’habitat, celui-ci demeurant l’une des priorités majeures des Français.

 

 

Un leader sur sa zone de chalandise pour les assurances…

 

Cette politique verte – de la pure logique lorsque l’on défend depuis des lustres les intérêts et que l’on finance les projets des professionnels des filières agricoles et viticoles du territoire mais pas que – s’est déclinée également par le biais d’offres de prêts travaux verts et à l’Eco prêt à taux zéro. Dans le concret, 1 641 foyers ont bénéficié l’an passé de ces dispositifs financiers, permettant de les encourager dans ce parcours de rénovation énergétique nécessaire de leur logement. Un franc succès par ailleurs !

Mais, les besoins de la famille supposent aussi de se munir de protections assurantielles garanties et fiables. Sur ce chapitre-là, le Crédit Agricole a aussi mis le braquet supérieur l’année dernière, confortant sa pôle-position de leader régional avec la souscription de 443 124 contrats d’assurance. Précision qui permet d’apprécier la vivacité de ce secteur d’activité : 13 450 nouveaux clients en auront fait la première demande en 2022. Pas mal !

L’assurance est le reflet flamboyant de ce cocon protecteur que souhaite développer l’établissement auprès des cellules familiales qu’il travaille via son réseau d’agences de proximité.

A date, 44,3 % des clients de Champagne-Bourgogne sont assurés par la caisse régionale. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : après un sinistre, 93 % de ladite clientèle s’estiment amplement satisfaites de la réactivité et de la pertinence d’intervention du Crédit Agricole.

Ce qui aujourd’hui fait de cette banque mutualiste la première de la catégorie des banquiers assureurs sur sa zone de chalandise. Parce que les familles le valent bien selon la formule publicitaire empruntée à un poids lourd de la cosmétique !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Au XIXe siècle, lors de l'invention du chemin de fer, une locomotive à vapeur tirait des wagons. Cela constituait un train. Cela perdura longtemps : les locos devinrent diesel ou électriques mais le train demeurait. Désormais, ce binôme mythique de l'histoire du chemin de fer est en train de disparaître. Adieu les locos ! Adieu les wagons suspendus et confortables sur nos lignes de chemin de fer…

 

BILLET : C'est l'heure désormais des rames automotrices dans lesquelles l'embarquement des passagers est facilité. On pense aux fauteuils roulants et aux poussettes, accessibles au niveau du quai. Le hic ? Le confort y a disparu et nos navetteurs Icaunais vont vite regretter les vaillantes voitures « Corail ».

En 1975, l'apparition des wagons Corail révolutionna le transport des voyageurs à la SNCF. La plupart des voitures y ont un couloir central. Les sièges y sont  de couleur orange, « LA » couleur de ces années si florissantes.

Sur le plan de la sécurité, les contrôleurs ferment via une commande hydraulique les portes au moment du départ. Les rames sont sonorisées, ce qui permet de diffuser des annonces. Tout cela est novateur.

 

L’époque mythique des locomotives est révolue…

 

Accessibles au 160 km/h, les temps de trajet se réduisent : Paris-Marseille passe de 7h45 à 7h. Ces voitures au siège épais sont fort bien suspendues et l'on y voyage fort confortablement, en pouvant ranger une valise  à l'entrée du wagon.

Rien de cela dans les plus modernistes rames « Bombardier » - l'intérieur montre des signes précoces de vieillissement - ou celles de « MOBIGO », siglée par la Région : « Emmène-moi où je veux (sauf grève, panne et autre retard !).

Le confort y a disparu, un peu comme les nappes au restaurant ! C'est une époque révolue ! Dans les rames « MOBIGO » : peu de toilettes et aucun logement dédié aux valises. Question secousse : c’est à l’identique des manèges de la foire ! Effet garanti !

Quant aux rames « Bombardier », il faut faire attention au chauffage surpuissant mais mal réglé, si d'aventure en hiver, on y est assis proche de la brûlante cloison !
Aussi, c'est bien plus qu'une époque du transport ferroviaire qui disparaît avec la fin des wagons et des mythiques locomotives : les « 2D2 », les « CC 7 100 » (championne du monde de vitesse en 1955 à 331 km/h) et surpuissantes « CC 6 500 », star du rail des années 70 !

Au revoir confortables wagons « Corail » : les voyageurs vous regretteront longtemps. Et bonne retraite...à l’âge de 48 ans !

Quai numéro 2, le train rapide « n° 5 049 » va partir. Attention au départ. La SNCF vous souhaite un agréable voyage !

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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Forcément, ça tousse un peu dans le quartier de l’avenue des Clairions. Les rares riverains rencontrés par inadvertance par une matinée un peu glaciale voient plutôt cela d’un « mauvais œil ». Même si, sur l’ancien site d’EDF à Auxerre, le nouveau lieu de villégiature des gens du voyage respire la tranquillité et la parfaite discrétion. On dirait même qu’il n’y a pas âme qui vive alentour ! Depuis plusieurs jours, caravanes et fourgonnettes se sont installées à cet endroit. Pour combien de temps, s’interroge-t-on inquiet, dans le proche voisinage…

 

AUXERRE : Une caravane à la couleur immaculée. Une autre, un peu plus loin, près du grand bâtiment, style Pailleron, désormais à l’abandon qui accueillait jadis les bureaux d’EDF. A ses côtés, deux fourgonnettes. Blanches, elles aussi. Quelques voitures stationnent, çà  et là attendant leurs conducteurs. Depuis une dizaine de jours, le parking et le parvis de l’ancien siège départemental de l’opérateur connaît une certaine effervescence avec cette présence pour le moins inattendue. Certes, mais tout cela se vit dans une relative discrétion. On est bien loin du flux de véhicules professionnels au coloris bleu qui circulaient autrefois en ces murs, siège de la délégation départementale d’EDF !

Toutefois, les riverains dont certains ont leurs habitations qui surplombent et jouxtent les grilles de l’ancien édifice de l’entreprise sont encore sous le coup de la surprise. Elle est de taille, il est vrai : ils ne s’attendaient pas à voir débarquer les gens du voyage en ce lieu à l’abandon.

Quelques-uns sont indifférents. D’autres vitupèrent car ils craignent avant toute chose les nuisances occasionnées par cet emménagement intempestif : « c’est impensable de voir tous ces véhicules et caravanes investir la cour de ce site ! Que fait la Communauté de l’Auxerrois pour y remédier ? ».

Sont-ils au « courant » de la situation, sans mauvais jeu de mot lié à l’endroit choisi par les occupants du site d’EDF ?!

 

 

Les aires de moyen passage sont payantes donc inintéressantes !

 

Interrogé par téléphone, le vice-président communautaire ayant la charge de ce toujours très délicat dossier, Dominique CHAMBENOIT, l’est parfaitement, en effet. Sa réponse est on ne peut plus évidente dans le fond : « On ne peut pas les expulser tant qu’on n’a pas le terrain approprié, cette fameuse aire de grand passage que je réclame à la collectivité depuis la prise de mon mandat ! ».

La gestion des gens du voyage ressemble aux feuilles d’impôts que l’on découvre avec agacement chaque année dans sa boîte aux lettres. Immuable et sans solution pour y échapper !

« Bien sûr, ajoute le maire de Chevannes qui connaît le dossier sur le bout des doigts car confronté très régulièrement à cette problématique récurrente, il existe bien des aires de moyen passage sur l’Auxerrois avec moins d’emplacements à pourvoir mais qui ont un coût. Mais, les gens du voyage ne les fréquentent guère parce que les prestations de service proposées y sont payantes… ».

 

 

C’est donc la crise économique même dans cette caste non sédentaire et itinérante de la société hexagonale – celle-ci se compose de tziganes, de gitans, de roms, de roumains, de yougos, de manouches, de forains etc. – qui ne désire pas s’acquitter de la facture d’eau (3,50 euros du mètre cube et des 0,14 centimes d’euros du kW/h) de la facture d’électricité obligatoires, proposées sur les sites d’accueil dédiés.

Sachant aussi que pour avoir accès à ces aires de moyen passage comme il en a fleuri un peu partout dans les grandes agglomérations de l’Yonne, les possesseurs de véhicules (automobiles, fourgonnettes, caravanes…) doivent présenter naturellement une police d’assurance afin d’être dans le respect de la réglementation sur site. Or, dans la plupart des cas, certaines carences existeraient aussi à ce niveau-là !

 

 

Une solution à l’étude trouvée d’ici l’été sur l’Auxerrois : c’est possible !

 

Ainsi, à titre d’exemple, l’aire de moyen passage de la Route de Toucy pourrait accueillir des nouveaux venus. A l’heure actuelle sur la vingtaine d’emplacements disponibles, quatorze restent désespérément vides, faute de tout occupant !

Toutefois, Dominique CHAMBENOIT se veut optimiste. La situation devrait se décanter au cours de ce semestre – il ne reste pourtant plus que trois mois – pour que la Communauté de l’Auxerrois règle les choses, en choisissant un site de 4 hectares qui soit adapté à l’accueil de ces rassemblements en nombre, provoqués par cette population le plus souvent en mouvement.

Des pistes très sérieuses sont à l’étude et devraient aboutir, selon l’élu, avant le terme de la période estivale.

Selon les statistiques de 2021, 570 caravanes dont sont propriétaires les gens du voyage ont donc transité par l’Auxerrois. Deux espaces de moyen passage sont en cours d’aménagement du côté de Toucy et de Sens, pour apporter de réelles solutions.

2023 pourrait donc être la bonne année, avec l’ouverture de cette aire de grand passage sur l’Auxerrois, tant attendue par les riverains et espérée par les gens du voyage eux-mêmes qui galèrent aussi pour pouvoir se poser. Ce serait la meilleure des solutions pour que ces « problèmes de cohabitation issus du voisinage » deviennent obsolètes à l’avenir…

 

Thierry BRET

 


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