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En invitant une soixantaine de partenaires économiques à une réception où régnait la convivialité, le chef d’établissement Marc BESANCENEZ a voulu marquer les esprits de ses hôtes. Créer et optimiser des relations privilégiées avec les décideurs de l’économie territoriale figurent parmi les priorités stratégiques essentielles du nouvel homme fort du groupe scolaire, lui-même issu du sérail de l’industrie. Un avant-goût du futur qui se profile désormais à Saint-Joseph…

AUXERRE : Qu’il s’agisse des deux sections de BTS, option Commerce international ou notariat, voire des cursus suivis au lycée professionnel, jamais l’établissement privé d’Auxerre n’avait connu une telle appétence avec les milieux économiques de notre département.

Et les quelques propos liminaires distillés astucieusement par le responsable du groupe d’enseignement pédagogique Marc BESANCENEZ n’ont pas démenti les orientations qui apparaissent comme naturelles dorénavant.

Le groupe Saint-Joseph-la-Salle désire développer des relations avec les acteurs et autres décisionnaires de l’entreprise. Voire les intensifier dans les semaines et mois à venir avec l’appui d’outils et de projets adaptés.

Explicités brièvement, ces arguments ont été corroborés par la directrice du pôle d’enseignement supérieur, le professeur de français Céline MARTI, qui a repris le flambeau la saison dernière de cette cellule à la suite d’Alain NOEL.

Si cette recrudescence de liens ténus avec les chefs d’entreprise se manifeste déjà avec les membres de la Chambre départementale du notariat de l’Yonne et du partenariat qui en découle, elle devrait se renforcer à l’avenir.

Le développement optimal de stages conçus en immersion au cœur des entreprises locales, tout secteur confondu, représente un sérieux plus qui devrait s’enrichir de nouveautés dès la rentrée prochaine.

Le verre à la main, les deux cadres de l’établissement purent ainsi relayer leur message auprès de leur auditoire en les invitant à poursuivre ce qui a été entrepris…

 


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Concocté par les trois chambres consulaires de notre territoire (Agriculture, Commerce et Industrie, Métiers et Artisanat), l’évènement aura le mérite d’éclairer les jeunes pousses en quête d’une orientation pédagogique, devant les mener à embrasser une carrière professionnelle. Et quoi de plus formidable pour un adolescent que l’apprentissage et l’alternance pour faire de sa vie une réussite en matière d’intégration…

AUXERRE : Du CAP au diplôme d’ingénieur, il y en aura pour tous les goûts ! Et toutes les appétences intellectuelles. Proposé ce samedi 06 avril dans l’enceinte du parc des expositions d’Auxerre, ce rendez-vous offrira une excellente opportunité pour celles et ceux qui sont à l’heure des choix. C’est-à-dire l’ensemble des élèves soucieux d’embrasser l’une des filières professionnelles les menant tout droit à un métier et à une carrière dont ils seront fiers.

Co-organisée par les trois acteurs institutionnels majeurs de l’économie du territoire, les chambres consulaires, la manifestation bénéficie également du soutien de la Région. Mais, aussi du Fonds social européen (FSE) et de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois.

L’an passé, l’évènement n’était pas passé inaperçu aux yeux du public ciblé. Plus de 1 600 visiteurs avaient arpenté les travées du parc des expositions auxerrois en recherche de l’indice suprême pouvant orienter leur choix.

Car, l’un des enjeux de cette animation est de pouvoir apporter les réponses idoines aux interrogations multiples de ces jeunes gens, fraîchement émoulus du système scolaire traditionnel et peu au fait des arcanes des milieux professionnels.

Un salon 100 % pratique pour donner un maximum de réponses…

Plus d’une quarantaine de participants ont déjà validé leur bulletin de présence sur cette quatrième édition. Des entreprises en quête d’apprentis dévoileront en parallèle un certain nombre de besoins sur l’espace Recrutement. Précisons que des offres d’emploi en alternance alimenteront les possibilités offertes auprès des futurs candidats.

Bâti sur le concept « Un lieu, trois espaces pour faire le bon choix… », ce salon « Fiers d’être apprentis » mettra à la disposition des visiteurs, accompagnés ou pas de leurs parents, de profiter de son lot d’information sur les métiers, la validation de projet, la recherche d’une entreprise.  

En outre, les entrepreneurs recevront les renseignements utiles et judicieux devant les aider à l’embauche d’un apprenti.   

Salon de l’apprentissage et de l’alternance 

AUXEREXPO,

Samedi 06 avril 2019

Inauguration à 11 heures en présence de Jean-François LEMAITRE, président de la délégation Yonne de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat interdépartementale Côte d’Or, Nièvre, Saône-et-Loire et Yonne, Arnaud DELESTRE, président de la Chambre d’agriculture de l’Yonne et Alain PEREZ, président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne.

 


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Activités ludiques et animations créatives, inspirées par des jeux issus de toutes les époques, ou encore ateliers culinaires…ce florilège de distractions composera la nouvelle manifestation portée sur les fonts baptismaux les 06 et 07 avril par l’Agence de développement touristique et Relais territorial des offices de tourisme de l’Yonne, Yonne Tourisme. L’incontournable rendez-vous des petits et des plus grands sera désormais à institutionnaliser parmi notre environnement…Avec cette fois-ci, la cellule familiale en guise de cœur de cible.

VENOUSE : Patrimoine, gastronomie, culture, loisirs, artisanat, nature…L’offre de loisirs et d’activités de divertissement est pléthorique sur notre territoire. Durant deux jours, les 06 et 07 avril, elle va se mettre à la disposition des parents, accompagnés de leur progéniture, dans le cadre d’un nouveau concept, dû à l’insatiable créativité des services ad hoc de l’agence de développement, Yonne Tourisme.

La « Family Week » puisqu’elle se nomme ainsi avec curieusement sa référence angliciste (?), déclinera sa toute première édition. Un rendez-vous attractif pour le noyau familial qui n’aura in fine que l’embarras du choix parmi une kyrielle de possibilités distrayantes afin de vivre d’intenses moments de saines complicités.

Outre la découverte subtile et toujours agréable des produits du terroir, les visiteurs apprécieront la quarantaine de stands et autres points de convergence, tenus par les partenaires du réseau « FAMIL’YONNE ».  

Un réseau, intégralement conçu par la vénérable institution touristique du département, qui commémore aujourd’hui sa décennie de présence dans le sérail icaunais.

Statué par une charte et un cahier des charges à respecter scrupuleusement par ses adhérents, le réseau est devenu un label. Fédérant une centaine de partenaires économiques, c’est-à-dire les forces vives de ce tourisme en plein essor sur notre département.

« FAMIL’YONNE » possède à son catalogue riche et nourri plus de 130 animations destinées de manière spécifique aux juniors et à leurs parents. Même les hébergements et lieux de restauration se sont engouffrés dans cette manne providentielle de la diversification intelligente ; qu’il s’agisse de campings, chambres d’hôtes, hôtels, restaurants, gîtes de séjour, meublés, etc.

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Un évènement qui devrait prendre son essor…

Valoriser l’offre familiale de notre territoire représente l’enjeu prioritaire de ce rendez-vous qui devrait s’inscrire dans le marbre à l’avenir. Le choix de la Grange de Beauvais n’est pas anodin, de surcroît. L’ancien site monastique se prête à merveille, avec son infrastructure adaptée à de telles retrouvailles, favorisant les activités de plein air et intérieures. Tout en y ajoutant un zeste de pédagogie et d’environnement propice à la réflexion.

Quant à la présidente de l’agence, Anne JERUSALEM, elle se félicite du déroulement de ce premier rendez-vous fleurant bon le printemps. Consciente que cette nouvelle manifestation renforcera un peu plus l’aspect communicatif de l’offre familiale envers un large public.

D’ailleurs, l’élue du Conseil départemental ne manque pas de préciser que « le territoire de l’Yonne va devenir grâce à cet évènementiel novateur la destination idéale pour vivre des vacances réussies en famille… ».

On peut lui faire confiance ainsi qu’au service communication de l’agence Yonne Tourisme pour distiller ces arguments promotionnels bien au-delà de nos frontières…

Renseignement :

www.famille-yonne.com


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S’appuyant sur l’expertise et les compétences de Pôle Emploi Auxerre, le géant de l’industrie touristique et des loisirs à l’international organise deux jours durant des séances de recrutement dans la capitale de l’Yonne. A l’instar de celles déclinées dans le reste de l’Hexagone. Objectif : pourvoir dans l’instantanéité mille postes qui viendront grossir les rangs de cette vitrine incontournable des arts de vivre à la française. Quarante-quatre personnes en quête d’emploi ont ainsi répondu à leur convocation au premier jour de cette session. Seule une quinzaine d’entre elles bénéficieront d’entretiens individuels leur permettant d’affiner leur profil pour exercer un job parmi la centaine de métiers proposés…

AUXERRE : Après Besançon et Dijon, Auxerre est donc la troisième étape de cette séance de recrutement tous azimuts concoctée par Pôle Emploi pour les besoins du Club Méditerranée à travers la France. Chaque année, le poids lourd du tourisme mondial propose au rythme des trois saisons principales (printemps, été, hiver) ces rendez-vous qui lui permettent in fine d’accroître son potentiel de collaborateurs. Mais, c’est bien la première fois que le site de l’organisme public auxerrois accueille l’une de ces sessions. Avec à la clé, plus d’un millier d’emplois à pourvoir dès que possible !

Le but étant d’alimenter le potentiel de G.O (gentils organisateurs) et G.E (gentils équipiers) de trois villages opérationnels en France : l’un en Savoie, l’autre près de Grasse et le dernier situé à La Rochelle.

Après la projection d’un moyen métrage de 45 minutes expliquant les valeurs du Club Med et l’éclectisme de ses différents métiers (une centaine environ y est exercée), vint le temps ensuite des entretiens individuels. Pour celles et ceux qui avaient une réelle appétence à se projeter à plus long terme vers ce projet.

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Près de cent cinquante candidats sélectionnés en amont…

Les services de Pôle Emploi Auxerre n’ont pas ergoté sur les moyens pour ce rendez-vous matinal. Conviant ainsi près de cent-cinquante demandeurs d’emploi à prendre part à cette séance collective. Quarante-quatre personnes se présentaient en début de séance. Certaines avec de réelles motivations comme cette jeune femme qui postulait pour une fonction d’hôtesse d’accueil, se plaignant que la plupart des entreprises de l’Yonne ne recrutaient plus cette typologie de métier. Cette dernière participera d’ailleurs aux entretiens individuels, menés par le chargé de recrutement de la direction des ressources humaines du groupe, Joe BOULVERT.

L’an passé, le Club Méditerranée devait recevoir plus de 100 000 demandes de candidature. Ces prétendants espéraient exercer un emploi dans l’un des 70 villages de vacance que le groupe possède de part et d’autre du globe.

Si la maîtrise de l’anglais et du français demeure indispensable, les postulants peuvent aussi posséder des connaissances appréciables en portugais (du fait de la forte fréquentation de la clientèle brésilienne), du russe et du mandarin. Quant aux offres, elles restent éclectiques et nécessitent des prérequis en matière d’expériences et de diplômes selon la catégorie professionnelle (cuisine, petite enfance, administratif, hôtesse d’accueil, commerciaux, chef de rang dans l’hôtellerie-restauration, professeur de sport…).

Evolutifs, ces postes peuvent aboutir à l’obtention de plusieurs contrats à durée déterminée. Mais, aussi de pouvoir prétendre à des CDI, en France comme à l’international. Majoritairement, les métiers issus de l’hôtellerie et de la restauration représentent le plus fort contingent de nouvelles recrues (51 %). 41 % des filières porteuses d’emploi proviennent du domaine sportif et des loisirs auxquels il faut ajouter le secteur de la petite enfance et de la famille. Enfin, un reliquat de 8 % correspond aux métiers supports s’identifiant à ceux de la vente et de l’administratif.

 

 


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La planète se réchauffe. Oui, de temps en temps, elle se refroidit. C’est vrai aussi. Sur la base de ce constat, à ce jour les discussions sont plutôt enflammées. Ce qui ne va pas contribuer au maintien de la température de la planète en dessous d’un seuil vivable. Donc une des questions qui se posent est : quelle est la contribution humaine à ce sujet ? Cette question m’a amené à investiguer plusieurs thèmes, comme par exemple : combien de pétrole et de charbon l’homme a-t-il carbonisé depuis 1800 ? Combien de CO2 a-t-il rejeté dans l’atmosphère ? Quelle est la part de la contribution thermique des activités humaines au final ? Voici des éléments de réponse…

TRIBUNE : Mon propos n’est ni de convertir qui que ce soit dans une croyance ou l’autre, simplement apporter une contribution à la réflexion du moment. Je dois pour cela, et tout d’abord, remercier une personne qui se reconnaîtra sans doute à la lecture de ces quelques lignes, si elle en a l’occasion.

En effet, dans le cadre des réunions publiques liées au « Grand Débat », un interlocuteur m’a qualifié, après mon intervention, de climatosceptique. Ceci m’a poussé non pas à une introspection ni à une analyse psychiatrique, mais à quelques calculs dont je présente ci-après les résultats.

Je laisse le soin au lecteur de vérifier ceux-ci. Les connaissances requises sont d’un niveau de collège (calcul du volume d’eau des océans) à un niveau lycée maximum (chaleur requise pour chauffer la marmite), puis un niveau licence peut-être pour les compositions de la matière, plus un peu de bon sens (je ne connais pas le niveau d’études pour cela !).

Elévation de + 1,26°C depuis 1830 : contribution thermique maximale des activités humaines + 0,0162°C.

Ainsi, en Mtep (Mega Tonnes équivalent pétrole), l’homme a extrait de l’ordre de 196 000 Mtep de pétrole et 172 000 Mtep de charbon depuis 1830. Par ailleurs, le volume d’eau des océans et de toutes les mers adjacentes est de 1,337E+21 litres (1,337*10…00…00 = soit « Un » et « 21 zéros » derrières ; là, avec ce nombre de zéros, on n’est peut-être pas au litre près, même s’il a plu hier quelque part sur la planète, je ne vais pas en tenir compte !).

Ainsi, imaginons que l’on mette toute l’eau de la planète dans une casserole et que l’on chauffe celle-ci avec tout le charbon et le pétrole extrait depuis 1830, la température monterait de ……… 0,0027°C ! Moins de 3 millièmes de degré !

Cependant, comme l’on sait aujourd’hui que la température des océans est invariable à plus de 700 mètres de profondeur, limitons notre casserole à cette hauteur et faisons bouillir la marmite toujours avec la même source d’énergie. On atteint alors l’élévation faramineuse de …. 0,0149°C !

Reprenons le même raisonnement pour réchauffer l’air. Là, le résultat serait de 2,91°C ! Cela commence à parler. De même si toute cette énergie ne servait qu’à réchauffer la terre sur 15 mètres de profondeur (invariante en deçà), on aboutirait à une élévation de température de 0,45°C.

Par conséquent, si l’on veut déterminer l’équilibre thermique résultant de toute cette énergie chauffant l’air, la terre jusque 15 mètres de profondeur et l’eau à 700 mètres de profondeur, on obtient une élévation de température moyenne de 0,0147°C, soit moins de 1,5 centièmes de degré.

Donc, si le système planète est une cocotte fermée et que toute l’énergie développée par l’homme reste dans la cocotte, on voit bien que cet aspect énergie thermique des combustibles fossiles ne peut justifier une élévation de température de + 1,26°C depuis 1830. On peut ajouter à ce raisonnement les centrales nucléaires, depuis cinquante ans en cumul, elles ont ajouté à cette énergie environ 10,5 % du total et l’on en déduirait une élévation de température de 0,0162°C.

De plus, ces chiffres sont majorant car tout le pétrole extrait n’est pas transformé en énergie thermique (exemple les sacs plastiques). De même que l’énergie électrique de source nucléaire ne finit pas uniquement en chaleur. Par exemple, lorsque vous élevez une tour en béton ou en bois, il y a transformation en énergie potentielle au fur et à mesure de la superposition des étages.

Il s’agit de l’effet de serre du Co2 !

Donc, le constat +1,26°C découle peut-être de l’effet de serre imputable au CO2. Regardons cela de près.

Comme l’on connaît la composition atomique du brut extrait en moyenne, du charbon, on peut déterminer combien de Co2 maximum on produit sur une hypothèse de transformation totale des atomes carbones en molécules de CO2. Là encore, le calcul va être majorant car même si rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme…mais tout ne se transforme pas en Co2 !

Donc, un calcul majorant aboutit en 2016 par exemple à une émission de Co2 de 37,57 GTCo2 (giga tonnes de Co2) pour une valeur officielle de 34,2 GTCo2 cette année-là.

Ainsi, le cumul est de 1750 GTCo2 environ de 1830 à 2018. Est-ce là la cause de l’effet de serre annoncé ?

Reprenons pour cela le dernier rapport du GIEC qui mentionne que de 1998 à 2012, la température moyenne de la planète a évolué de +0,04°C par décennie.

Sachant que la température moyenne, que les divers observatoires internationaux indiquent, était de + 0,271°C en 1998 par rapport à la moyenne de référence, et qu’en 2018 elle était de + 0,364°C, on est bien sur une tendance de + 0,044°C/10ans. On notera au passage que sur 21 ans d’observation, une projection amènerait à + 0,44°C en un siècle, ce qui est dix fois moins que les projections officielles du GIEC.

Si l’on regarde sur cette même période les émissions de Co2 par l’homme, en cumul de 1998 à 2018, il a émis plus de 40 % du total recensé depuis 1830. Ainsi, si l’effet de serre n’est pas saturé, l’augmentation de Co2 devrait s’accompagner d’une augmentation significative de température. Or depuis 1998, la température a cru de 0,65 % du thermomètre Celsius (soit 3,3°/00 °K de l’échelle thermodynamique), alors que le Co2 a augmenté lui de 40 %, donc 60 fois plus). On devrait alors conclure à la saturation du phénomène, plus de Co2 n’entraînant pas plus de température.

Si l’effet de serre est saturé, la température ne peut que croître, indépendamment du taux de Co2. Au fur et à mesure que s’accroît l’énergie du système planète, alors qu’en 2016 on relevait + 0,57°C mais en 2017 la température était redescendue à + 0,46°C et en 2018 à + 0,364°C. On en conclut que l’effet de serre n’est ni saturé ni insaturé du fait du Co2. Une des conclusions logiques qui en découle est que l’effet de serre imputable au Co2 est très largement surestimé, sans aller conclure qu’il n’y a aucun lien de cause à effet.

Où est passé tout ce Co2 ?

Maintenant, si l’on suppose que tous les atomes de carbone de toutes les énergies fossiles (il faudrait y ajouter le bois, c’est vrai) se combinent avec l’oxygène pour former du Co2, alors l’homme a émis dans l’atmosphère depuis 1830 l’équivalent de 319ppm et depuis 1980 l’équivalent de 159ppm. Or de 1980 à 2018, la concentration de Co2 dans l’atmosphère est passée de 330ppm à 410ppm.

Ainsi la concentration de Co2 dans l’atmosphère a augmenté de 85ppm alors que l’homme en a émis 159ppm de plus. Où est la différence sur seulement 39 ans ? Le GIEC base en partie ses hypothèses sur le fait que le temps de résidence du Co2 dans l’atmosphère est de cent ans.

L’homme en émet donc beaucoup plus que ce que l’on retrouve dans l’atmosphère. La température monte beaucoup moins que les modèles informatiques sensés modéliser tout cela. Cela commence à faire beaucoup de questionnement sur la doctrine officielle. Le lecteur notera au passage qu’il n’est pas question sur le site de Légifrance d’une loi de « transition écologique », mais d’une loi de « transition énergétique ».

En guise de conclusion…

Les chiffres ne reflètent absolument pas les explications régulièrement admises quant à l’évolution du climat. L’urgence est donc à la sagesse, au recul, et à la recherche.

Notamment, tout progrès en matière d’économie d’énergie (on n’a pas de pétrole mais paraît-il des idées), de réduction d’émission de polluants (à justifier, ici le Co2 ne semble pas très polluant, même sous l’angle de l’effet de serre) et de préservation de la biodiversité ne peut qu’être bénéfique. Si ceci ne conduit pas à l’asphyxie économique. J’incite le lecteur intéressé à se pencher sur la notion du « pari de Pascal ».

Cependant, je crois (il s’agit là d’une croyance, pas d’une connaissance) qu’il faut se garder de l’approche qu’avait publiée un des principaux rédacteurs du quatrième rapport du GIEC (ce qui suit est une connaissance pas une croyance) : « si vous voulez des crédits pour faire de la recherche, il faut proposer aux peuples et aux gouvernants des scenarii catastrophes ».

Je finirais par demander à tout lecteur de bien vouloir m’éclairer sur les erreurs de raisonnement que j’aurais pu commettre dans ces développements ; ceux-ci se basent uniquement sur des ordres de grandeurs.

Comme tout calcul, la sensibilité à certains paramètres peut être importante. Par exemple, si vous estimez que la profondeur des océans affectée par la chaleur émise du fait de l’activité humaine n’est que de 10 mètres et non pas 700 mètres, vous obtenez une élévation moyenne de température de la planète depuis 1830 de 0,5°C et non pas 1,5 centièmes de degré.

Toutefois ce résultat ne justifie toujours pas les + 1,26°C constatés depuis 1830.

Denis MOUGEOLLE

 

 


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