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Originaire de la capitale de l’Yonne, Alexandre ORCEL revient sur son territoire de prédilection en qualité de directeur des relations avec les collectivités locales. Un poste qu’il occupe depuis quelques semaines. Pour le compte de la délégation régionale d’ORANGE. Ce diplômé de l’INSA de Lyon y tiendra un rôle de conseil et d’accompagnement auprès des élus, des représentants de l’Etat et des chambres consulaires…

AUXERRE : Ayant fait valoir ses droits à une retraite méritée, Jean BERAUD a donc mis à ses fonctions au mois de décembre. Son successeur, Alexandre ORCEL, a pris le relais sur les départements de la Nièvre et de l’Yonne, afin de coordonner les ressources de l’opérateur en vue d’apporter des réponses dédiées aux besoins des collectivités.

Trois thèmes essentiels seront au centre de ses interventions : l’aménagement numérique du territoire, le développement des réseaux fixe, mobile, Internet et enfin la promotion des usages et services innovants à destination des collectivités et des citoyens.

Avec à son actif une expérience de plus de vingt années de professionnalisme exercé dans la sphère de l’informatique, Alexandre ORCEL a rejoint le groupe ORANGE en 2011.

Sa priorité sera d’apporter les solutions nécessaires et adéquates au développement économique de son nouveau lieu d’affectation. Il y est donc le bienvenu !

 


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Perfectionniste jusqu’au bout des ongles, une qualité rare de nos jours, inhérente sans doute à sa rigueur professionnelle, Maud NAVARRE aime le sens du détail. La permanence qui l’accueille depuis peu ainsi que ses colistiers des « Printemps pour Auxerre », nom de baptême de la liste qui défendra ses couleurs (vertes de préférence !) aux prochaines échéances municipales, occupe un pas de porte rue Faillot. Un local qui se situe à quelques encablures de cet hôtel de ville tant convoité. Serait-ce le fait du hasard, un clin d’œil non dénué d’humour ou un signe prémonitoire pour celle qui se voit élue au soir du 22 mars au poste suprême de maire d’Auxerre ?

AUXERRE : Inaugurer la permanence de campagne demeure toujours un acte fort pour celles et ceux qui se lancent dans une joute électorale. Petits fours, confiseries et dives bouteilles auront donc été les précieux auxiliaires de cet incomparable évènement qui officialise les choses et les rapproche des échéances. En l’occurrence, celles du premier tour de la municipale 2020, le 15 mars.

Les têtes de pont de la liste écologique « Les Printemps pour Auxerre » n’auront donc pas dérogé à cette pratique quasi institutionnalisée dans nos mœurs politiques qui favorise les retrouvailles de sympathisants et militants autour de la juste cause : la défense des valeurs. Et surtout celles dispensées dans le programme !

Alors, entre l’inéluctable conférence de presse et la convivialité qui découlait de cette soirée inaugurale plus festive, autant dire que Maud NAVARRE avait des choses à dire côté informations aux représentants des médias.

A commencer par un petit explicatif sur l’appellation de sa liste qu’elle fera connaître de manière définitive d’ici la date butoir du 27 février.

Fleuri et s’inspirant de la saisonnalité, le nom des « Printemps pour Auxerre » a finalement été retenu. Et ce depuis près d’un mois par les intéressés. Des colistiers inféodés à Maud NAVARRE qui ont aimé cette référence faite à la période temporelle, mais aussi à la nature et à l’environnement (c’était la moindre des choses) sans omettre cette fine allusion au rajeunissement et à la vitalité. Une manière de bien signifier que dans cette liste, tout y respire la démocratie participative et la présence de l’éclectisme, à travers ses sensibilités…

 

Vers une écologie favorable à la qualité de vie et non punitive…

 

La rhétorique de Maud NAVARRE n’a pas bifurqué d’un iota depuis sa dernière entrevue médiatique. Elle veut adoucir le contenu parfois austère et radical qu’ont prôné avant elle d’autres ténors de la cause écologique. Sans ambages, elle l’affirme : « Je ne veux pas porter un programme qui envisage le développement de l’écologie radicale, intenable et inacceptable… ».

S’absoudre définitivement de l’écologie punitive est sa raison d’être qu’elle mène à travers ce combat. « Nous sommes favorables à une écologie raisonnée, programmée, en accompagnant les citoyens. Nous allons nous engager sur un programme progressif en nous penchant sur les questions fondamentales que sont pour notre société la qualité de l’eau, de l’air et de la vie… ».

Bref : l’écologie représente à ses yeux un  visage humain et sans contrainte.

 

Une liste qui se construit dans une mûre réflexion…

 

Quant à la liste, elle se construit avec sérénité et patience. Dans un esprit tout à fait démocratique.

« La campagne démarre à présent et on a besoin de talents, de gens motivés, pour la composer en parfaite quiétude et dans l’analyse. Nous sommes fiers qu’elle ne soit pas encore complète : c’est la preuve que nous ne forçons nullement l’ordre des choses et que nous prenons le temps de la consolider avec des personnes volontaires et utiles aux intérêts d’Auxerre… ».

Bénéficiant des soutiens officiels du mouvement Europe Ecologie Les Verts et de Génération Ecologie, la liste « Les Printemps pour Auxerre » déroulera sa réflexion articulée autour de cinq grands piliers thématiques : la santé, l’éducation, la sécurité, l’environnement et le pouvoir participatif.

 

 

Tous les détails devant être largement explicités d’ici la date butoir de février. Reste désormais l’hypothèse de la non-qualification pour le second tour. Quelles seraient alors les consignes de vote données par Maud NAVARRE et les siens ?

La réponse nous est parvenue par la voix de l’une de ses plus fidèles porte-étendard, issue du centre, Farah ZIANI : « Notre liste ne rejoindra jamais celle de Guy FEREZ au second tour. D’ailleurs, il n’y aura pas de discussions avec quiconque. Nous avons l’intention de porter notre projet jusqu’au terme de ces échéances… ».

Avec la victoire comme objectif final ?

 

 


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On ne peut décemment pas parler de victoire pour qualifier le résultat positif obtenu par les deux établissements de l’Yonne, nos seuls représentants, lors du concours de cuisine national « La Meilleure brigade de France ». Un challenge annuel organisé par METRO sous le parrainage de la Toque triplement étoilé Gilles GOUJON. Mais bel et bien d’une véritable razzia quant aux résultats et accessits !

PARIS : « La Côte Saint-Jacques », la maison deux étoiles au MICHELIN de Jean-Michel LORAIN a remporté brillamment le premier prix de ce challenge annuel en ajoutant dans sa besace deux prix spéciaux : celui de commis de cuisine et celui de maître d’hôtel.

Le second sur le podium n’est autre que « Le Rive Gauche », dont l’exploitante est sa sœur, Catherine. L’établissement a lui aussi glané un sésame supplémentaire avec le prix du chef 2020.

Les deux références de l’art culinaire de Bourgogne ont donc trusté à eux seuls les distinctions principales lors de ce prestigieux concours gastronomique accueilli la semaine dernière à l’école FERRANDI de Saint-Gratien (Val d’Oise).  

Cette compétition, sixième du nom, mettait en présence six équipes sélectionnées au niveau de l’Hexagone. Le thème était de rendre un hommage appuyé à deux légendes éternelles de la gastronomie française, et internationale, Paul BOCUSE et Joël ROBUCHON.

 

 

Deux recettes ont ainsi été travaillées : les ravioles de langoustines sans truffes mais avec une sauce servie à l’anglaise en guise d’entrée et la poularde de Bresse en vessie accompagnée de trois garnitures dont une tourte devant être confectionnée à base de crêtes et rognons de coq…

L’équipe de « La Côte Saint-Jacques » était composée du chef Alexandre BONDOUX, Nicolas KELLER, apprenti et du maître d’hôtel, Pascal BONDOUX. Le restaurant « Le Rive gauche » s’est appuyé sur le savoir-faire expérimenté du chef Jérôme JOUBERT, de l’apprenti Nicolas GIRARD et du maître d’hôtel, Edwige COUPERY.

Précisons pour mémoire que la troisième place de ce concours est revenue au restaurant parisien, « JA Evènements », et à l’équipe emmenée par le chef  Alexis BLANCHARD.

 


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Au premier février, le fameux placement ne proposera plus qu’une rémunération s’élevant à 0,5 % d’intérêt. Un taux de rentabilité que beaucoup considèrent comme amorphe pour garantir la pérennité d’un placement. Pour autant, faut-il le rejeter de nos possibilités d’épargne ?

TRIBUNE : Nous sommes passés de 8,5 % (le plus haut niveau dans l’histoire) en 1981 à 0,5 % (dès février 2020), avec le taux de rentabilité le plus bas depuis deux cents ans.

Né en 1818, en même temps que la Caisse d’épargne de Paris, le livret A fait figure d’ancêtre parmi les placements financiers modernes qui sont encore proposés sur le marché.

L’Etat voulait obtenir des capitaux afin de combler les trous financiers creusés par les guerres napoléoniennes. Le livret est accessible à tous, sans exclusive d’âge, de fortune et de sexe. Il constitue, à l’époque, une innovation dans le monde de l’épargne. A l’origine, c’est un placement à vue, une création philanthropique avec l’ambition de résoudre la question du paupérisme. Aujourd’hui, les sommes recueillies servent à financer le logement social. Mais, 0,5 % d’intérêt : c’est très bas ! A 0,07 %, on pourra toujours se prendre pour James Bond ! Mais trop bas, par rapport à quoi ?

Souvenons-nous : en 1981, avec une inflation à 13,4 % et un livret rémunéré à 8,5 %, le taux était psychologiquement acceptable pour les épargnants : un différentiel de près de 5 % au détriment du pouvoir d’achat. On est malgré tout satisfait. Aujourd’hui, ce livret va se situer à 0,5% pour une inflation à 1,4 %, chiffre référent de décembre 2019. Soit un différentiel de 0,9 %. La différence est plutôt rassurante mais tout le monde râle un peu. De forts taux d’inflation, dans les limites de 10 à 15 % démontrent un impact psychologique positif chez les titulaires de ces livrets.

Les chiffres clés du livret A…

Le livret A n’a pas vocation à couvrir l’inflation. Si on applique la formule de calcul du taux de rémunération, on obtient un taux de 0,23 % ! Heureusement, la règle édictée par l’Etat fixe un rendement minimum de 0,5 %. Mais pour combien de temps encore ?

Nous recensons aujourd’hui : 55 millions de livrets A et 35 millions de détenteurs (contre 28 déposants le premier jour de sa création), soit un encours global de 360 milliards d’euros en dépôts. Selon une association des consommateurs, la CLCV, en 2018, l’écart de 1 % entre l’inflation et le taux de rémunération du livret a généré une perte de pouvoir d’achat de 3,6 milliards d’euros (1% de 360 milliards de dépôts) : c’est juste.

 

 

Cependant, François CARLIER, délégué général de la CLCV affirme que cette somme non versée, c’est autant d’argent gagné par les banques : ce qui est archi faux !

Il semble méconnaître la gestion d’une banque ou faire juste un peu de manipulation politiquement stratégique. Ce raisonnement est du même niveau que le discours de Madame, lorsque de retour des boutiques elle déclare à son tendre époux : « aujourd’hui, grâce à des soldes à 50 %, j’ai économisé 300 euros ! ».

Pourquoi est-il nécessaire de conserver son livret A ?

Garder son livret pour faire une bonne action envers le logement social ? Entendons les sarcasmes ! Nous avons tous joué au « Monopoly », tirer une carte « Chance ? » qui nous donnait quelques sueurs froides. « Faite des travaux dans vos maisons » disait l’intitulé.

Sans monnaie, on avait perdu au jeu ! Alors oui, il faut conserver un ou plusieurs livrets. La raison d’être de ce livret demeure sa disponibilité. Retenons, qu’à l’inverse des placements financiers (Bourse…), les placements bancaires de cet acabit ne présentent aucun risque sur le capital.

Un placement sûr, disponible et dont le rendement est acceptable par rapport à l’inflation représente une épargne de précaution. C’est-à-dire la boîte de métal ou le bas de laine de nos grands-mères ou les noisettes de l’Ecureuil (souvenons-nous de l’antique logo des Caisses d’épargne).

Alors, conservons ce livret A qui reste invariablement « une poire pour la soif », à boire sans modération…

Jean-Paul ALLOU

 

 


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L’amélioration des infrastructures ferroviaires s’inscrit parmi les priorités essentielles en Bourgogne Franche-Comté. 2020 ne dérogera donc pas à la règle à l’instar des années précédentes. Avec un budget très conséquent qui s’élève à près d’un demi-milliard d’euros. Deux objectifs répondent à ce vaste programme de chantiers qui vont se décliner au fil de ces douze prochains mois : la performance et la qualité du réseau ainsi que la progression du cadencement qui ne peut se faire sans en optimiser la pleine sécurité…

DIJON : Et un demi-milliard d’euros à déposer dans la corbeille de la mariée !  Comme étrennes, c’est plutôt une excellente nouvelle pour le réseau ferré de la région. Pour que ce dernier ne cesse de séduire et encourager des voyageurs de plus en plus adeptes au transport ferroviaire et à conforter leur choix. Voilà ce que sera en toile de fond le programme d’investissements lancé en 2020 par la branche réseau de la SNCF sur notre territoire.

Comme elle l’avait déjà réalisée au cours du précédent exercice, la Société nationale des Chemins de Fer poursuit ses actions concrètes afin de garantir la sécurité des circulations ferroviaires qu’il s’agisse du transport de voyageurs (une moyenne de 650 circulations personnes par jour) et de fret (trois cents circulations en moyenne par jour) sur notre contrée.

Outre les investissements initiaux liés à cette modernisation de l’infrastructure (une enveloppe de 385 millions d’euros), cent autres millions d’euros viendront s’ajouter et compléter ce bouquet financier important dans le cadre de la maintenance du réseau et de son entretien.

 

 

Un réseau ferroviaire qui gagne en performance…

 

Quant aux cibles bénéficiaires de ces réhabilitations, elles se nomment passages à niveau, poses de signalisation, rénovation des voies. La sécurité figure ainsi parmi les items les plus souvent cités dans les explicatifs fournis par la direction territoriale de la SNCF Bourgogne Franche-Comté.

Cette stratégie vise au maintien d’un réseau ferroviaire le plus performant possible. La décision représente aussi du pain béni pour les quelques 3 600 collaborateurs que compte le groupe. Un personnel qui se mobilise au quotidien sur le territoire régional pour relever ces défis.

Dans l’absolu, ce schéma tactique qui s’effectue sous la houlette du Plan Etat/Région/SNCF priorise l’industrialisation des moyens de production, la digitalisation du suivi de la maintenance et surtout la mise en place de nouveaux systèmes d’exploitation.

Bref, ce plan d’envergure concerne l’ensemble des départements du territoire. Avec ses enjeux forts consentis à la sécurité des trains, la régularité des circulations et même le volet sociétal qui favorisera l’accessibilité aux gares des personnes à mobilité réduite.

 

 

La ligne grande vitesse Sambourg/Vergigny sécurisée…

 

Dans l’Yonne, c’est principalement la ligne LGV qui sera pourvue de la plus grosse enveloppe cette année. Soit 80 millions d’euros qui seront consacrés à la réalisation de ces travaux de modernisation. Il s’agira de remplacer l’existant, abîmé par les effets nocifs des conditions climatiques, le tonnage des trains, la fréquence de passage, l’intensification des circulations ou encore par l’impact inhérent à la grande vitesse. Autant de facteurs de risques qui déforment les rails et le ballast au fil du temps. Et qu’il est indispensable de changer.

Mais, ces chantiers qui permettront aux voies ferroviaires de se refaire une virginité devraient être au nombre d’une dizaine sur le territoire cette année.

Le renouvellement des aiguillages s’inscrit parmi ces priorités. Ceux-ci facilitent les déviations et les croisements des convois sur les voies ferrées. Naturellement, leur état, scrupuleux, est la garantie d’une sécurité optimale à apporter aux voyageurs.

Vingt millions d’euros seront ainsi destinés à ces opérations dont le site de Tonnerre (4,7 millions) lors de travaux réalisés du 31 août au 16 novembre. Certains ouvrages d’art, en terre et hydrauliques (tunnels) seront eux-aussi réaménagés au cours de la saison dans plusieurs départements.

Quant aux passages à niveau, ils ne seront pas omis de cette vaste campagne de réhabilitation (nous y reviendrons sur un article spécifique).

Quarante-quatre millions d’euros seront également affectés à la signalisation de la très fréquentée ligne Paris-Lyon-Marseille Saint-Charles entre les portions de Laroche Migennes et Blaisy Bas (Côte d’Or).

La présentation de ce chantier herculéen qui attend la SNCF Réseau cette année en Bourgogne Franche-Comté a nécessité la tenue d’une conférence de presse à Dijon. Une prise de parole où se retrouvaient Jérôme GRAND (directeur territorial Bourgogne-Franche-Comté SNCF Réseau), Éric PIERRAT (secrétaire général des affaires régionales de la préfecture de Région) et Michel NEUGNOT (vice-président en charge des transports au sein du Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté).

 

 


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