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La décision n’aura pas été repoussée aux calendes grecques. Le nouveau conseil municipal de la petite bourgade a coupé court aux supputations existantes autour du fameux projet d’agrandissement de la piste de l’aérodrome auxerrois. Et de la coupe inéluctable qui visait la végétation environnante. Une délibération soumise au vote a annulé les choix de l’ancienne équipe. Une victoire pour l’écologie…

BRANCHES : Voilà une affaire qui aura été rondement menée par la nouvelle équipe municipale élue au soir du 15 mars. Le vote d’une délibération qui annule sine die le programme de destruction des arbres implantés autour de l’aérodrome. Obligeant ainsi les élus communautaires et leur président Guy FEREZ à revoir leur stratégie quant au devenir du site qui devait étendre la capacité de sa piste d’atterrissage de 1 200 à 1 600 mètres indispensable à son développement économique. Le maire d’Auxerre devait annoncer qu’il ne fera pas abattre les arbres…

Lors du dernier conseil communautaire, le seul élu de l’Auxerrois qui avait manifesté sa désapprobation dans cette histoire de coupe d’arbres en votant contre n’était autre que l’écologiste Denis ROYCOURT. L’un des leaders de la liste « Auxerre Ecologie La Ville Envie » toujours en lice pour le second tour des municipales.

 

 

Mais, aujourd’hui, c’est l’autre porte-voix de cette même liste qui fait résonner la sienne en criant victoire à la suite de cette nouvelle qualifiée de positive pour l’environnement.

« Ce projet de coupe des arbres de la forêt de Branches était un très mauvais signal envoyé à l’opinion publique, confie Florence LOURY, surtout à l’heure du réchauffement climatique qui menace la planète et ne cesse de perturber les écosystèmes… ».

La mobilisation citoyenne de dizaines d’associations, de centaines de personnes et de milliers de signatures aura eu gain de cause in fine dans ce dossier.

Mais, comme le précise lucide Florence LOURY, « d’autres combats demeurent : ceux menés contre les pesticides, ceux en faveur d’un moratoire de crise sur les expulsions, ceux qui concernent les déplacements doux et le développement des énergies renouvelables… ».

Un combat qui ne fait que commencer, visiblement…

 


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Alors que beaucoup de nos compatriotes  pensent à leurs vacances estivales, en France pour un certain nombre après la période épidémique que nous venons de traverser, louer un logement meublé pour ces quelques jours de farniente semble très attractif…Explications.

TRIBUNE: Et si investir dans la location meublée saisonnière ou permanente vous interpellait ? A quoi faudrait-il s’attendre ?

La location meublée correspond à louer un logement décent, équipé d’un d’ameublement minimum défini par décret comprenant entre autres literie, plaques de cuisson, réfrigérateur, tables et chaises, vaisselle et matériel d’entretien ménager. Cette liste s’applique aux baux signés depuis août 2015.

Comment reconnaître le caractère professionnel d’un loueur en meublé ? La loi de finances pour 2020 est venue modifier les conditions pour déterminer le caractère professionnel d’un loueur en meublé.

Depuis le 1er janvier 2020, sont considérés comme professionnels, les loueurs remplissant les deux conditions cumulatives suivantes : retirer de cette activité plus de 23 000 euros de recettes annuelles ; ces recettes excèdent les autres revenus professionnels du foyer fiscal soumis à l’impôt sur le revenu (traitements et salaires, pensions et rentes, bénéfices industriels et commerciaux –autres que ceux tirés de l’activité de location meublée, bénéfices agricoles, bénéfices non commerciaux, revenus des gérants et associés).

A défaut, il s’agit de location meublée non professionnelles (LMNP). Alors quelles sont les différences au plan fiscal ?

Les régimes fiscaux des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) micro (sous condition de chiffre d’affaires) et réels sont ouverts aux loueurs en meublés professionnels (LMP) et aux LMNP.

Les différences principales résident, pour les LMP, en l’imputation des déficits éventuels de l’activité sur le revenu global et en l’exonération des plus-values de cession sous conditions.

 

 

Le cas particulier de la location d’une pièce de l’habitation principale…

 

Jusqu’alors, les revenus tirés de la LMNP (location ou sous-location) au titre de l’habitation principale étaient exonérées d’impôt sur le revenus à condition de respecter les conditions suivantes.

Les pièces louées constituent pour le locataire (ou sous-locataire) sa résidence principale ou temporaire pour les bénéficiaires d’un contrat de travail saisonnier. Le prix de la location est raisonnable…

La loi de finances pour 2020 instaure une limite d’application de ce dispositif au 31 décembre 2023.

Lorsque les pièces louées ne constituent pas la résidence principale du locataire et que le produit de ces locations n’excède pas 760 euros par an, ce dernier est alors exonéré d’impôt sur le revenu.

Avant de se lancer, pour exercer l’activité de loueur en meublé (professionnel ou non), il convient d’accomplir les formalités nécessaires d’inscription au répertoire SIRENE auprès du centre des formalités des entreprises compétent.

Anne-Sophie MAUPOIS

Un article réalisé en partenariat avec la Chambre départementale des experts-comptables de l’Yonne.

 


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Quand le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne décide de passer à l’action, ce n’est pas dans la demi-mesure ! La preuve nous en a été donnée au terme d’une séance de travail importante survenue il y a quelques jours. Une enveloppe de 3,5 millions d’euros a été votée par les membres de l’organisme pour encourager les communes à effectuer des travaux en faveur des économies d’énergie sur leurs bâtiments.

MIGENNES : Adopté le 10 juin, le plan de soutien énergétique aux communes de l’Yonne prend racine autour de quatre souches essentielles : le doublement des aides actuelles, la bonification des études, la mobilité électrique et le champ sanitaire.

Ambitieuse, la démarche s’appuie sur une stratégie de conquête qui n’a pour seul et unique objectif que de réduire la facture énergétique des 409 localités icaunaises bénéficiaires sur les 420 existantes.

Or, le nerf de la guerre demeurant toujours l’argent pour en assurer sa pleine réussite, ce plan de pure relance économique profite d’une manne providentielle de 3,5 millions d’euros. Un subside important ayant été validé par le conseil d’administration du SDEY.

Cette bulle d’oxygène salvatrice permet aux élus des collectivités locales de poursuivre leurs travaux à l’arrêt depuis plusieurs semaines du fait de la présence du coronavirus. Voire d’en démarrer certains qui demeuraient toujours en stand-by.

Immanquablement, ce qui est bon pour les collectivités l’est implicitement pour les entreprises des travaux publics, qui restent en selle pour assumer leur rôle sur les chantiers.

 

 

Le vote unanime du Conseil d’administration…     

 

La décision soumise à un scrutin n’a été qu’une simple formalité pour le président du puissant syndicat, Jean-Noël LOURY. L’unanimité faisant foi au moment du verdict de ce vote.

Un tiers des membres du CA sur quarante-huit personnes assistait par ailleurs à ce rendez-vous présentiel organisé dans les locaux du SDEY à Migennes, le premier depuis des lustres. Les absents suivaient en direct la tenue de ces échanges constructifs grâce aux moyens technologiques usuels.

 

 

Le dispositif arrêté ce 10 juin court en définitive jusqu’au 31 décembre…2021. Une orientation facilitatrice pour les édiles qui auront le temps de préparer convenablement leurs dossiers. Ces derniers ont reçu depuis le courrier explicatif leur permettant de recevoir ces aides.

 

Le volet sanitaire pas oublié par ces aides…

 

Le plan, à proprement parlé, prévoit le doublement des aides actuelles. Celles-ci se rapportent à la rénovation et à la construction de bâtiments publics. Mais également à l’installation de panneaux solaires photovoltaïques ainsi que du solaire thermique. Le développement du bois énergie (chaufferie bois, réseau de chaleur) y est intégré.

Outre la bonification des études (toujours importantes en amont pour connaître la faisabilité exacte de ces projets et leurs réalisations), le plan favorise l’essor de la mobilité électrique, l’un des leitmotivs préférés du président LOURY.

Sachant que l’aide à l’achat ou à la location de véhicules électriques passe de 2 700 euros à 3 000 euros.

Enfin, compte tenu du contexte, le volet sanitaire n’aura pas été occulté de ce soutien : le SDEY a fourni du matériel d’hygiène pour lutter contre la propagation du virus aux communes qui versent leur taxe communale sur la consommation finale d’électricité (TCCFE).

 

 

Soit un package qui comprenait vingt-cinq masques en tissu pour chaque mairie, deux bornes de gel hydro-alcoolique (une pour la municipalité, l’autre destinée à équiper les écoles publiques) et un thermomètre.

Avec l’ensemble de ces dispositifs, le SDEY endosse la houppelande du Père Noël bien avant l’heure en acteur de l’économie qu’il est devenu au fil des ans.

Dans un seul intérêt : celui d’être un accélérateur de projets qui agit en faveur de l’attractivité territoriale…et des entreprises.

 

 

 


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Le 19 juin, les automobilistes traversant l’Yonne du nord au sud reprendront pleinement possession des deux voies de circulation que forment la RD 606 entre Villecien et Villevallier. Marquant le terme du chantier de réfection de la structure et de la couche de roulement sous l’égide du Département qui en visitait ses finitions avec la présence de son exécutif…

VILLECIEN : Brûlante, la surface de l’enrobé présente de petites cloques effervescentes qui se forment de manière soudaine après le passage de l’imposant rouleau compresseur. La température du sol y est intense. On pourrait presque y casser des œufs pour en tester la chaleur !

Gare à celui qui poserait par inadvertance la pointe de sa chaussure à cet endroit ; les volutes de fumée qui s’exhalent du revêtement noir à l’odeur si caractéristique rappellent que la température dépasse allègrement les 160 degrés.

Prudents et demeurant dans l’herbe folle qui courent à leurs pieds, les élus du Conseil départemental n’en restent pas moins admiratifs devant l’avancée des travaux.

Ceux de la réfection de la structure et de la couche de roulement d’une voie d’accès qui relie les communes de Villecien à Villevallier. Mais qui est aussi l’un des axes routiers les plus empruntés par les automobilistes traversant du nord au sud le territoire icaunais.

La RD 606 puisque c’est elle dont il s’agit avait apparemment besoin d’un sérieux lifting sur cette portion. La chaussée y présentait un état de fatigue avancé, particulièrement sur les voies latérales avec de multiples déformations dues à l’intensité du trafic.

 

 

 

 

Un budget de 660 000 euros TTC pour ce chantier…

 

Débutés le 08 juin, les travaux consistaient en un rabotage de la chaussée sur environ une épaisseur de 13 à 20 centimètres sur les voies latérales et de six centimètres sur sa partie centrale.

D’ici deux jours, une fois que la totalité de cette portion d’environ deux kilomètres sera enduite de sa nouvelle couche de roulement, le chantier sera clos.

Définitivement ou presque : il ne restera plus qu’à poser les bandes blanches signalétiques sur un sol flambant neuf facilitant la conduite.

Engagés par le Conseil départemental, les travaux d’un montant de 660 000 euros TTC ont été confiés à EUROVIA, l’une des entreprises de travaux publics spécialisées dans la réfection de la voirie.

Cinquante camions transportant le bitume ont été nécessaires pour la réalisation de ce chantier qui aura reçu ses hôtes en cet après-midi estival de mercredi.

Accompagné du vice-président en charge des infrastructures et des travaux au sein du Département, Christophe BONNEFOND, le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD aura eu le plaisir d’accueillir les maires des deux communes, ainsi que le président de la Communauté de communes du Jovinien et nouvellement édile de Joigny, Nicolas SORET.

Des retrouvailles chaleureuses entre toutes ces personnalités qui n’avaient rien à voir avec la température ambiante propre au bitume fumant mais dans le respect des gestes barrières, il va de soi !

 

 

 

 


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La clinique de Sens figure désormais parmi les pionniers français en matière de désinfection par ultraviolets robotisée. L’UVD Robot a fait son entrée dans l’établissement le mercredi 10 juin pour une journée complète de test proposée par la société NEED ROBOTICS. Le savoir-faire danois arrive en France…

SENS : L’UVD Robot (ou robot de décontamination par UV-C) est né d’une collaboration entre l’hôpital universitaire d’Odense et le système de santé du Danemark en vue de réduire les infections, un projet mené de 2014 à 2017. Depuis le début de sa commercialisation en 2016, plus de cent-dix pays l’on adopté. Il est importé en France depuis avril 2020 via la société AKED. Aujourd’hui, on en compte onze, un développement accéléré par le contexte de crise sanitaire.

Créée le 01er janvier 2020, la start-up sénonaise NEED ROBOTICS, experte en solutions robotisées, endosse le rôle d’ambassadeur du projet auprès de la clinique, proposant un packaging qui inclut divers services (formation, programmation, intégration, maintenance, etc.).

Son fondateur, Ned CEKIC, espère néanmoins toucher d’autres lieux à haut potentiel de risques de contamination ; les domaines d’application de cette solution étant nombreux (industrie, laboratoires de recherche, établissements recevant du public, etc.).

 

Quand la technologie se met au service de la santé publique

 

Les ultraviolets de catégorie C sont d’ordinaire émis par le soleil. Mais la quasi-totalité de ces rayonnements, dangereux pour humains et animaux, est absorbée au cours d’une réaction photochimique avec l’ozone. Ces rayons n’atteignent pas la terre.

De fait, cette énergie est synthétisée et exploitée avec précaution depuis plusieurs années, notamment par les Etats-Unis. Elle éradique bactéries et virus à 99,99 %. Les dernières études scientifiques sur les UV et de nombreux essais ont confirmé leur efficacité dans la lutte contre les épidémies dont celle du SRAS CoV-2, et ont servi de base à la conception de l’UVD Robot.

 

 

Comment fonctionne l’UVD Robot ?

 

Ce robot de 1,71 mètre de haut et de 140 kilos fonctionne de manière autonome grâce à un système de programmation. Il est composé, entre autres, d’une carte réseau et d’un port USB qui permet de le connecter à un ordinateur.

Le robot doit scanner chaque pièce en 3D. Il faut ensuite programmer tous ses positionnements puis enregistrer l’ensemble. Une phase de test est lancée pour que tout soit calibré correctement et validé. L’appareil est ensuite prêt à l’utilisation, avec pilotage à distance grâce à une tablette. Le traitement est d’une durée moyenne de dix minutes et couvre l’ensemble de la pièce grâce à son rayonnement de 360 degrés.

 

 

 

 

Une nécessité pour la clinique de porter la désinfection à son maximum

 

En tant qu’établissement de soins, la clinique est déjà bien armée en termes de protocoles et procédures d’hygiène. Cependant, l’épidémie de SRAS l’a amenée à renforcer toutes ces mesures barrières et à repenser, plus globalement, l’organisation médico-économique de la structure.

Pour l’heure, elle se réjouit d’avoir pu tester ce matériel, notamment dans les blocs opératoires.

Une « expérience inédite et exceptionnelle » selon la directrice, Grazyna HADAMIK. L’utilisation de l’UVD Robot offre une « meilleure gestion du temps pour nos équipes », « une alternative qui nous paraît, par excellence, adaptée à cet environnement de santé », a-t-elle ajouté.

Les locaux sont actuellement nettoyés au moyen de la vapeur. Les ultraviolets, une technique également respectueuse de l’environnement, viendraient compléter ce procédé.

L’objectif premier est évidemment de sécuriser davantage les lieux à la fois pour le personnel et les usagers. Une nouvelle qui réjouit Jacqueline VANHELMONT (UDAF) et Hélène PAJOT (UNAFAM), représentantes des usagers, qui estiment que la clinique est « toujours autant tournée vers le patient ».

 

La clinique va-t-elle acquérir l’UVD Robot ?

 

Le groupe C2S, dont elle fait partie depuis 2016 est plutôt partisan de l’innovation en général et s’est montré favorable au projet.

Toutefois, cette solution a un coût d’autant qu’il en faudrait un par étage. Un seul appareil coute entre 100 000 et 120 000 euros à l’achat et une centaine d’euros par jour en location, soit environ 4 000 euros par mois.

Ned CEKIC se dit touché par la volonté de la clinique de créer un pôle d’excellence dans ce domaine et prêt à faire un véritable effort. Il souhaite vivement que les négociations aboutissent.

 

Floriane BOIVIN

 


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