Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Pour sortir de terre une telle infrastructure, cela supposait respecter à la virgule près une contrainte économique. De la pure logique, en cette période de rare complexité au niveau des marchés. Pour autant, le résultat est à la hauteur des espérances. Après une si longue attente de près d’une décennie ! Le nouveau gymnase du collège Albert Camus à Auxerre, d’un montant global d’1,8 million d’euros, est l’œuvre du cabinet ATRIA Architectes…

 

AUXERRE: Benoît BAZEROLLES s’est fait très discret en demeurant un peu en retrait des opérations inaugurales mardi après-midi. Dommage ! Il n’a pas été convié dans le cadre du protocole officiel à pouvoir s’exprimer lors de cette inauguration où la fine fleur de la vie institutionnelle et politique de notre territoire était pourtant bien représentée. Tant au niveau du public de suiveurs qui ne boudait pas son plaisir de profiter de chauds rayons de l’astre diurne quasi à son apogée que derrière le pupitre où se sont multipliées les interventions orales au micro.

Pourtant, avec son collaborateur au sein du cabinet ATRIA Romain PIERSON, l’architecte auxerrois n’en reste pas moins le lucide concepteur créatif de ce complexe sportif financé conjointement par le Département et la Ville d’Auxerre, à hauteur d’1,1 million d’euros. Un ouvrage qui aura mis, tout de même, près de dix ans à sortir de terre (à lire les autres articles à venir sur le sujet).

Mais, la patience a été récompensée. La livraison de ce gymnase flambant neuf permet d’augurer de belles perspectives au sein de ce collège qui n’en a pas encore terminé avec les améliorations structurelles. Il est prévu notamment la réfection et l’agrandissement des demi-pensions dans les mois à venir. Les études doivent être rendues par les maîtres d’ouvrage, courant septembre.

 

L’ajout d’un mur d’escalade : une idée non prévue initialement…

Particularisme qui a séduit les visiteurs de ce site : le mur d’escalade. Toutefois, ce détail sportif ne s’inscrivait pas dans le schéma originel de la construction.

« En fait, explique Benoît BAZEROLLES, à qui nous avons donné la parole, le mur d’escalade ne représentait qu’une option à l’origine de ce projet. Le budget ne permettait pas son installation. Mais, la consultation d’entreprises s’étant avéré fructueuse et ayant pu dégager des économies, nous avons réussi à le rajouter parmi les éléments à construire ! ».

Un choix qu’approuve également le conseiller départemental Yves VECTEN, présent lors de cette cérémonie, pour qui ce « mur était indispensable au vu du faible coût à rajouter dans l’enveloppe budgétaire ». Idée que partage le président Patrick GENDRAUD qui s'est essayé à gravir quelques plots pour le fun.

 

 

Quant au chantier, il s’est déroulé dans le respect du cahier des charges. A l’exception d’une dizaine de jours du fait de la pandémie. Le gymnase a été livré dans les délais requis. Un an après la pose de la première pierre.

Eriger un gymnase n’était pas une découverte pour l’architecte auxerrois. L’associé du regretté Jean-Pierre BOSQUET (il ne faut pas omettre Annick WOROBEL pour compléter ce judicieux trio) s’était déjà fait les dents au début des années 2000 sur le gymnase du collège Mallarmé de Sens.

 

La quête actuelle : la recherche de projets structurants…  

 

La réhabilitation est devenue l’une des ressources intellectuelles essentielles sur lesquels Benoît BAZEROLLES et ses équipes d’architectes (ils sont au nombre de huit) interviennent à l’heure actuelle.

D’ailleurs, beaucoup d’études sont en cours de réalisation. Entre réflexion énergétique sur des bâtiments et aménagement de futurs vestiaires destinés à équiper des complexes sportifs, comme à Héry, à titre d’exemple. Mais, ce n’est pas tout. ATRIA planche aussi sur de nouvelles réalisations au centre hospitalier ou travaille à l’installation d’une salle destinée aux résidents de la maison de retraite de Vézelay.

Moins conventionnel et peu enclin à la légèreté : le cabinet auxerrois réfléchit à la conception d’une maison funéraire à Corbigny, dotée d’un environnement commercial.

La recherche de dossiers structurants demeure toutefois la priorité absolue de l’entrepreneur qui a maintenu ses équipes durant la période de crise. La relance s’amorce : chacun semble être affûté à dégainer aussi vite que son ombre dans les starting-blocks.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Intense journée que celle de ce jeudi 02 septembre, prévue au programme de la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY ! Accompagnée de la rectrice de l’académie de Dijon, l’élue se rendra le matin en Saône-et-Loire pour y visiter le lycée Mathias à Chalon-sur-Saône. Avant de converger l’après-midi vers Besançon où l’univers du lycée Jules Haag lui sera présenté…

 

DIJON (Côte d’Or) : Les distances ne semblent pas effrayées la présidente de l’exécutif régional. Bon pied, bon œil avec la reprise officielle des activités après la période estivale, Marie-Guite DUFAY vivra cette journée du jeudi 02 septembre sur un rythme passablement endiablé !

Le matin aux alentours de 10 heures, l’élue franc-comtoise se rendra en présence d’Océane CHARRET-GODARD, vice-présidente en charge des lycées, de l’offre de formation, de l’apprentissage et de l’orientation en Saône-et-Loire. Précisément dans cette bonne ville de Chalon-sur-Saône où elle découvrira aux côtés de Nathalie ALBERT-MORETTI, rectrice de l’académie de Dijon, les innovations apportées au lycée Mathias, un établissement d’enseignement général qui accueille près de 1 800 élèves.

Toutefois, la présidente devra surveiller son timing avec une grande minutie ! En effet, quelques heures plus tard, soit dès 15 heures, Marie-Guite DUFAY est attendue dans la cité bisontine dans le Doubs. Objectif : visiter en compagnie du recteur de la région académique régional et chancelier des universités, Jean-François CHANET, le lycée Jules Haag. Bref : une journée très active que vivront également certains conseillers régionaux invités à faire de même le jour de la rentrée dans huit complexes pédagogiques.

 

 

Un budget annuel de 419 millions d’euros à l’actif de la Région…

 

Dans l’Yonne, c’est le troisième vice-président de l’exécutif régional, Nicolas SORET, qui sera sur le pont. L’élu de Joigny se rendra au lycée polyvalent du Parc des Chaumes à Avallon où il sera accueilli par les équipes de l’Education nationale.

Ces visites servent à dévoiler les nouveautés de cette rentrée.

D’une part, il y a les divers investissements réalisés par la Région (un budget de 419 millions d’euros en 2021). En insistant sur les nouveaux locaux, les équipements professionnels et numériques, la restauration, les projets en faveur du développement durable et de la transition énergétique.

Parmi les engagements majeurs de cette rentrée, citons le maintien des aides tarification sociale pour la restauration et l'Internet, le transport scolaire régional gratuit et le nouveau dispositif de lutte contre la précarité numérique.

Sans omettre le plan de relance régional. Soit une enveloppe de 40 millions d'euros qui favorise l’accélération de la transition énergétique dans les établissements.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

D’argousin à vétille en passant par coquecigrue et billevesée, des centaines de mots ont disparu de notre langage. Faut-il les sauver pour autant ? C’est le propre d’une langue vivante, des mots meurent et d’autres font leur entrée ! Nous avons décidé de dérider un peu nos lecteurs en proposant un texte truffé de termes, disparus complètement pour certains et en voie d’extinction pour d’autres.

 

TRIBUNE : Hep ! Les argousins arrivent et les pandores font le siège de nos cités. Quand les forbans défilent, les babillards racontent des histoires d’hier, lorsque des femmes callipyges revêtaient leurs plus beaux atours…

Adieu badauderies dans les rues de l’enfance, çà et là, dans les bouges malfamés on pouvait entendre : « ola tavernier, baille-nous de ton vin et du meilleur ! ». Tandis que certains, habilles au déduit,  fredonnaient la chanson à la mode : « C’est la java la plus bath », d’autres un peu éméchés, aux calembredaines bancroches, commentaient sans barguigner les dernières frasques de leur dulcinée. Partis dès potron-minet et rentrés à la brune tombante, nos compères, afin de ne pas être brocardés en entendant crier des « crévindiou » ou des « cré Augustin », apportaient à leur légitime un brimborion ou un caraco !

Les cagots aux propos cauteleux côtoient les capons en mal de carabistouilles. Clampins et chemineaux errent le long des routes et commettent leurs méfaits, avant d’être défendus dans un prétoire. Bavards et robins s’affrontent violemment tandis que les prévenus débagoulent sans vergogne en regardant voler les coquecigrues !

Diantre, fichtre, palsenbleu ! Bigre le bougre ! Saperlipopette ! Chacun enchaîne derechef des exclamations désuètes venues d’ailleurs et d’un autre temps. Ces temps immémoriaux où l’on pouvait s’esbaudir devant un étalier, avant de s’esbigner en loucedé.

A la gare, les portefaix ont disparu, les faquins, les marauds, les coquins, les lascars et autres vauriens sont définitivement rangés dans les placards de Molière et de Zola. Brassens voulait chanter dans la langue des vieux pour les paltoquets, les bobèches, les foutriquets et les fesse-mathieux !

Nous faisons fi des fla-flas, des chichis ou tralala, c’est bon pour les flambards et quelque flandrin ! Près des vestiges des fortifs de Paris, les gandins se pressent, arborant leurs génitoires et leur air goguenard. On peut encore entendre les goualantes de la môme Piaf… les gourgandines et les hommasses, les mafflues et autres radeuses, arpentent toujours la rue Saint-Denis, laissent aller leurs suivez-moi-jeune-homme,  pour que les gommeux et les jean-foutre jettent leur gourme ou les matent par l’huis d’un lupanar.

Les gueux et les va-nu-pieds donnent aux grimauds leurs lettres de noblesse. Jocrisses et jouvenceaux, en l’absence d’écus sonnants et trébuchants, les purotins dis-je, devront faire macache. Holà manant, presse le pas, les tire-laines ne sont pas loin et la fumée matutinale monte des toits, enrobe de nostalgie tes rêves melliflus. Mâtins et mirliflores donneront à cette momerie moult sourires entendus à faire tourner la nénette et nous rendre toqués ! Opiniâtre, j’assume ces nasardes, peu me chaut, conscient de ma nitescence, je suis un ruffian…

La patache pour l’enfer va bientôt emporter les cauchemars du jour, les pauvrets et les peccamineux non repentis ! Pékins, pendards et péronnelles, pétunent et potinent allègrement sur les dernières bacchanales aux priapées fantasmagoriques auxquelles elles ont participé ! Des ragots à graver sur un torche-cul parfumé de mensonges… Ils entrent, trotte-menu, comme des tranche-montagnes qui ne renoncent pas à leurs perversités…

Lectrices et lecteurs, si vous demeurez pantois et si vous êtes à quia c’est logique. Saperlipopette, vous n’êtes pas des traine-savates, tout juste des rastaquouères qui ont fait ribote de ces bons mots de la vraie langue de Molière, d’Hugo et de bien d’autres…

Que les scrogneugneu passent leur route et gardons la sagesse dans un cénacle de vertu.  Subséquemment, la sapience seoit mieux… N’ayez pas la venette, ces vétilles deviennent turlutaines pour tous ces valétudinaires qui ont besoin de doper leur système immunitaire.

Et ne l’oublions pas, dans tous ces vieux mots, l’or y vit !

  

Jean-Paul ALLOU

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Mais, où est donc passée la signalétique indiquant les déviations, ces voies salutaires à emprunter pour s’extraire de ce guêpier ? Depuis quelques jours, circuler à Auxerre, à bord de son automobile, ressemble à s’y méprendre à une sinistre farce. Sauf qu’à l’heure de pointe et surtout à la veille de la rentrée scolaire, les automobilistes risquent de rigoler jaune derrière leur volant…

 

AUXERRE: On se croirait plongés au beau milieu d’un sketch du regretté humoriste Raymond DEVOS qui savait manier les mots pour nous faire oublier nos maux ! Ceux du quotidien, ayant trait une fois n’est pas coutume à la libre circulation routière au cœur de la ville.

Depuis le début de la semaine, l’envahissement exponentiel des travaux de voirie de tout poil a atteint un tel paroxysme en matière d’intensité que même un moniteur d’auto-école n’y trouverait pas ses pédales de sécurité afin de garder le contrôle de son véhicule !

Rue du 24 août coupée, boulevard du 11 novembre barré, accès en direction du centre-ville depuis le pont de Vallan bloqué… : heureusement que le coronavirus a empêché cet été les touristes de passage à venir en masse se perdre dans ce dédale de rues et de ruelles à traverser pour tenter de retrouver leur chemin !

D’autant que par endroit, les panneaux de déviation sont quasi inexistants, obligeant le malheureux automobiliste à s’aventurer à l’aide de son GPS (c’est du vécu) à tâtons pour sortir de ce labyrinthe qui n’a rien de mythologique !

 

 

A tester près du complexe cinématographique avec un petit parcours sympa où quelques sens interdits viennent mettre un peu de piment dans ce jeu de rôle, pas drôle du tout !

Bref : si vous êtes inattentifs, ce qui fut le cas, vous êtes bon pour un second tour gratuit sans avoir arraché le pompon !

Au rond-point menant vers Toucy, la palme de l’incohérence revient au trop plein de panneaux cette fois-ci ! On vous indique que l’accès vers Toucy est coupé à huit kilomètres de là, que les rues ramenant vers le centre-ville sont condamnées et que celles que vous avez empruntez pour arriver à ce point de chute insolite bénéficient elles aussi de déviations ! Kafkaïen à l’extrême !

A croire que l’humour doit s’afficher sur l’espace public cet été. Mais, rira bien qui rira le dernier ! Surtout dès ce milieu de semaine avec le retour de nos chères têtes blondes à l’école et de la fantastique cohue que ce flux imposant de bambins et d’ados de retour sur le devant de la scène pédagogique va avoir comme incidence sur la circulation par parents nerveux interposés. Fulminant au volant de leurs voitures roulant au pas. Il n’y a pas qu’à Paris qu’il y a de bonnes idées pour circuler à vitesse réduite en ville !

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Investir en faveur de l’éducation et miser sur le devenir de la jeune génération : tel est le credo de l’institution départementale avant la rentrée scolaire qui frappera ses trois coups ce mercredi. Dans un exercice oratoire dont il est coutumier à pareille époque, le Conseil départemental par la voix de son président, Patrick GENDRAUD, a brossé dans le détail les grandes lignes de son projet 2021/2022…

 

AUXERRE: L’avenir de la jeunesse et la pérennité de son éducation scolaire ? Ce n’est pas un leurre au Conseil départemental de l’Yonne ! Rien que pour cette nouvelle saison qui s’amorce à grand pas, c’est un budget destiné à la réalisation de travaux et pour le fonctionnement des établissements de trente-trois millions d’euros qui a été inscrit sur les lignes budgétaires du vénérable organisme ! Une enveloppe en hausse, il va de soi, votée à la quasi-unanimité.

Côté réfections, réaménagements et adaptations en tout genre, le Département a sensiblement augmenté sa manne financière, accordée à ce poste clé pour valider une pédagogie probante qui doit s’exercer dans un cadre propice, moderne et accueillant.

Quinze millions d’euros en lieu et place de la petite dizaine de millions d’euros qui étaient jusque-là consentis d’ordinaire les années antérieures. D’ailleurs, ce n’est qu’un début.

 

 

 

La progressivité de cette enveloppe vitale à l’enseignement du second degré ne devrait pas se cantonner à la seule saison nouvelle qui nous incombe. Une moyenne de 20 millions d’euros de budget destinés aux travaux de rénovation de la trentaine de collèges sous la coupe du Département serait allouée à l’avenir.

Une logique implacable pour le président de l’exécutif. Celui-ci veille à l’optimisation qualitative de l’accueil des 14 043 collégiens, répartis parmi les différents établissements publics implantés sur le territoire et la constante modernisation de ces derniers. Rappelons que les deux mille élèves fréquentant le privé intègrent également ce choix politique.

L’aide au fonctionnement entre groupes scolaires issus du public et du privé s’effectue de la manière suivante : 4,5 millions d’euros sont ainsi attribués aux établissements publics, tandis que ceux à l’estampille du privé perçoivent plus d’1,6 million d’euros.

 

 

Un ticket repas au prix modéré de 3,82 euros…

 

Une autre caractéristique de cette stratégie favorable à l’épanouissement des élèves prend forme avec la restauration. 1,6 million de repas ont été distribués au cours de l’exercice précédent dans les restaurants scolaires de notre territoire. Sachant que dix mille élèves bénéficient de la demi-pension. Quant au prix du ticket journalier, il n’est que de 3,82 euros à la charge des familles alors que le coût de revient s’élève à 8 euros.

Mais, comme devait le rappeler le président GENDRAUD face à la presse ce mardi en milieu de matinée, « il n’y a pas que l’aspect financier de la restauration qui nous interpelle, la qualité des repas que nous devons servir à nos enfants reste primordiale… ».

Et de citer la relation avec les producteurs du cru en phase de développement, identifiée par la plateforme AGRILOCALE. Un outil qualitatif se situant tout à fait dans l’esprit du bien mangé, cher à l’esprit de l’ancien maire de Chablis, pour nourrir les jeunes ouailles de l’enseignement.

« Nous sommes une collectivité de proximité, justifie le président de l’organe départemental, donc à ce titre, il faut en tirer les avantages… ».

Au-delà du simple contenu au fond de l’assiette, le bien mangé puise ses bienfaits dans la volonté de décliner des actions purement éducatives.

 

 

Cent mille euros par an consacrés au volet du numérique…

 

C’est d’ailleurs le fruit d’un partenariat entre la Région, le rectorat et le Département qui est à l’origine de la mise en exergue de l’ENT, l’environnement numérique de travail. Conséquence : une ligne budgétaire de 100 000 euros est dédiée annuellement à l’essor de ces technologies au sein des collèges de l’Yonne. Des sites devant être raccordés à la fibre optique qui ne cesse son déploiement.

Exprimant sa reconnaissance envers les 315 agents départementaux qui exercent leurs activités au service de l’éducation, Patrick GENDRAUD leur tire son chapeau, selon la formule consacrée.

« Ces travailleurs de l’ombre ont droit à la lumière, devait-il ajouter avant que ne soit projetée une courte vidéo conçue par le service communication traduisant le travail de ce personnel ô combien capital.

Avant de clore son intervention, Patrick GENDRAUD mit l’accent sur la réalisation de quelques opérations majeures sur 2020/201 dont la livraison du nouveau gymnase au collège Albert-Camus à Auxerre (1,8 million d’euros) ; le programme d’amélioration thermique de deux bâtiments et projet de modernisation de la demi-pension au collège des Champs-Plaisants à Sens (une enveloppe de 2,4 millions d’euros pour un chantier qui débutera en 2022) ; la restructuration du collège Restif de la Bretonne à Pont-sur-Yonne en 2023 (du petit lait pour le premier vice-président et maire de la localité Grégory DORTE attentif aux propos) ; l’inauguration prochaine de la demi-pension du collège de Villeneuve-la-Guyard pour 3 millions d’euros ; celle du collège d’Avallon pour 6,5 millions d’euros ; les travaux énergétiques du collège Châteaubriand de Villeneuve-sur-Yonne (2,5 millions d’euros), etc.

Autant d’éléments tangibles démontrant que le Conseil départemental de l’Yonne a vraiment fait de l’avenir de la jeunesse et de la pérennité de son éducation l’une de ses principales priorités.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil