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Une seule idée lui taraude l’esprit à la première des élues. Mener à bien son plan de mandat. Plutôt ambitieux, il est déclinable dans l’intérêt de la commune et de sa population jusqu’en 2026. Alors les querelles futiles sur les états d’âme de l’opposition ne la perturbent guère. « Il y a des choses plus graves dans l’existence ! Je n’ai pas de temps à perdre en pinaillant sur ces dérives politiciennes… ». La réponse de la bergère au berger, d’une rare limpidité !    

 

MONETEAU : Une fois l’effet de surprise passé, la première des élues de la commune cherche toujours à comprendre la symbolique du message, adressé  par son opposition lors du conseil municipal de novembre.

Pour mémoire, les six représentants de la minorité s’étaient abstenus de suivre la séance en quittant derechef les lieux quelques minutes après l’ouverture des travaux. Un problème de sémantique inhérent au terme « municipalité » dont nous avions relaté longuement les faits dans ces colonnes.

Or, à ce jour, Arminda GUIBLAIN le confère humblement : elle n’a toujours pas compris la signification exacte de ce geste de mauvaise humeur, à ses yeux qualifié de « futile ».

D’autant qu’elle affirme pratiquer la règle de la totale transparence depuis qu’elle a succédé au poste de maire, occupé jusqu’alors par Robert BIDEAU.

Alors, la volte-face soudaine des élus de l’opposition la désole. Au nom de la démocratie et surtout de la mauvaise image que cet acte de pure politique politicienne renvoie vers les citoyens. Qui n’ont certes pas besoin de cela en cette période conjoncturelle si délicate, entre le rebond de la COVID et la hausse galopante des prix !

« Je m’interroge sur les positions tenues dès ma prise de fonction d’élue municipale par Patrick PICARD, leader de l’opposition. A l’époque, ce dernier clamait à qui voulait l’entendre que son action s’inscrirait dans l’opposition constructive. Or, aujourd’hui, force est de constater que j’attends toujours des actes… ».

 

"Rendre visite aux plus mal lotis qui ont des raisons de se plaindre"…

 

La conseillère départementale de l’Yonne qui forme un duo représentatif avec Magloire SIOPATHIS regarde droit devant elle. Balayant du revers de la main, les allégations de ses contradicteurs.   

« Je pense sincèrement que Patrick PICARD (il se présentait face à elle lors des dernières cantonales) n’a toujours pas digéré sa défaite, ajoute-t-elle, je comprends parfaitement que cela soit difficile à admettre et que cela puisse l’affecter mais il y a des choses nettement plus graves dans l’existence qu’une simple défaite électorale… ».

 

 

Une flèche décochée par l’édile qui commence à être excédée par ces « chicayas » stériles permanentes. Et de poursuivre sur la même veine : « Je ne comprends pas la mauvaise foi et la méchanceté, je n’ai pas de temps à accorder à ces vaines polémiques… ».

Et de conclure, « j’invite l’opposition à aller rendre visite aux plus mal lotis de notre société ! Eux, ils ont des raisons de se plaindre ! ».

 

 

Une boutade autour d’un livre destiné aux scolaires…

 

D’autant que selon elle, les élus de l’opposition ne se précipiteraient pas en ordre de bataille pour honorer de leur présence les travaux proposés lors des commissions. « Ils n’y assistent jamais, résume en une phrase lapidaire Madame le maire.

Arminda GUIBLAIN regarde la ligne bleue de l’horizon des Vosges ; c’est-à-dire la réalisation de son plan de mandat qui s’articule autour de plusieurs gros chantiers, expliquant une enveloppe budgétaire de plus de 16 millions d’euros.

La construction d’un nouveau groupe scolaire, assorti de son espace de restauration et une salle ouverte aux activités, justifient l’emploi d’une telle somme.

Puis, concluant sur une boutade, le maire de Monéteau rappelle qu’un ouvrage destiné à la sensibilisation des élèves des classes de CM2 sur le rôle et le fonctionnement de la commune a été distribué gracieusement à la rentrée.

Le livre, « A la découverte de la commune », évoque au fil des pages ce qu’est une municipalité, un conseil municipal, son mode opératoire et ses délibérations.  

« Les enfants âgés de 11 ans comprennent parfaitement de quoi il s’agit au terme de leur lecture… ». Le cadeau de Noël idéal à offrir aux élus de l’opposition ?

 

Thierry BRET

 

 


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Marcher pour mieux progresser sur le chemin de sa destinée. Pour être enfin reconnu comme de véritables pères, à part entière, qui doivent bénéficier des mêmes droits que la mère, en cas de séparation et de garde d’enfant. Durant plus d’un mois, un groupe d’une dizaine de personnes a parcouru près de 800 kilomètres, de Marseille à Paris, pour alerter l’opinion publique lors d’une action pédestre pacifique. En sensibilisant à chaque étape des représentants de la classe politique…

 

AUXERRE : Motif de la revendication : l’égalité parentale. L’unique et la seule qui offrent aux deux parents divorcés ou séparés les mêmes droits et devoirs en cas de garde d’enfant.

Pour se faire entendre, en sensibilisant le plus possible les médias et l’opinion publique, pas d’autre alternative que d’accomplir un très long périple de près de 800 kilomètres à travers l’Hexagone, du sud depuis Marseille en remontant vers le nord et sa destination finale à Paris.

Un parcours éprouvant pour les organismes à réaliser à pied, il va de soi. Tels des pèlerins sur la route de Compostelle. Mais, attention, il n’est pas question ici de repentance ni de rédemption. Mais, bel et bien de l’affirmation de soi en dénonçant des abus qui s’accumulent depuis trop longtemps.

Comment ? En faisant de la résidence alternée le principe de base fondamental dans le futur de ces relations à établir entre parents divorcés, en renforçant la législation lors de non-représentations d’enfant et surtout en luttant à travers des mesures très concrètes contre l’éloignement géographique volontaire de la progéniture.

Autant de blessures intimes dont souffrent au quotidien bon nombre de ces pères divorcés et séparés, justes bons à être jetés en pâture au plan de la justice et à honorer rubis sur ongle la pension alimentaire !

 

 

Rencontre en haut lieu à l’Assemblée nationale : objectif atteint !

 

Alors quand les membres de ce collectif, baptisé « La Marche des pères pour l’Egalité parentale », ont mis au point leur insolite projet, ils se sont sentis reliés comme les cinq doigts de la main, à l’unisson de leur combat.

Partant du postulat que chacun luttait d’arrache-pied pour obtenir dans leur vie familiale la résidence alternée, ce petit groupe d’une dizaine de personnes s’est entendu très vite sur les modalités à suivre. Tant logistique qu’organisationnelle.

En provenance du Cap d’Agde, de Toulouse, de Nice, de Bordeaux, de Lyon, de Vendée ou d’Alsace, ce petit groupe, mixte, accompagné de leur mascotte un chat qui lui voyageait tranquille dans l’utilitaire suiveur, s’est lancé ce défi à peine croyable : gagner la capitale afin d’y rencontrer le porte-parole du gouvernement après une manifestation nationale organisée place de la Bastille. Tout un symbole !

Le 17 décembre dernier, le collectif a eu le bonheur de se voir ouvrir les portes du Palais Bourbon et de faire part de leurs doléances.

D’après eux, des engagements positifs ont été pris dans le bon sens. Ils ont été reçus par des responsables des cabinets ministériels d’Adrien TAQUET, secrétaire d’Etat chargé de la Protection de l’enfance et du Garde des Sceaux, Eric DUPOND-MORETTTI.

 

 

Une étape dans l’Yonne pour témoigner de la réalité…

 

Dans l’Yonne, le petit groupe a fait étape en Puisaye-Forterre lors de sa récente traversée qui le conduisait vers le Loiret après la précédente étape, vécue du côté de Clamecy.

A Villiers-Saint-Benoît, le collectif a été rejoint par Daniel DELVERT, membre de l’association Egalité parentale et résident à Auxerre. Il a été accueilli par le vice-président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre et maire, Patrick BUTTNER.

Daniel DELVERT devait rappeler en substance que « dans l’Hexagone, sur quatre millions d’enfants de parents séparés, seulement 12 % vivaient leurs relations parentales en résidence alternée… ».

C’est nettement moins que dans les pays limitrophes. Ce chiffre s’oriente à la baisse pour les enfants de moins de quatre ans, puisqu’il n’excède pas 4 %.

Pourtant, Daniel DELVERT n’en démord pas : « la résidence alternée représente la meilleure des solutions possibles pour la stabilité de l’enfant ».

Au détour de leurs pérégrinations, les membres du collectif ont eu l’opportunité de pouvoir échanger avec différents élus et parlementaires.

Des rencontres qui se sont avérées passionnantes au sujet de la prévention des conflits familiaux et sur la nécessite de légiférer sur la phase évolutive de la résidence alternée sans pour autant l’imposer. En parallèle, la députée du Vaucluse Souad ZITOUNI avait adressé un courrier officiel au Garde des Sceaux. Preuve que dans la caste politique, les soutiens se manifestent…

 

Thierry BRET

 

 


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Les habitants de la région Bourgogne Franche-Comté n’ont quasiment pas de responsabilités dans les dérèglements climatiques qui nous affectent à l’heure actuelle. D’autant que notre contrée émet moins que les trois principaux sites sidérurgiques de l’Hexagone. Conspuant le catastrophisme alarmiste des écologistes, le président du groupe RN de Bourgogne Franche-Comté, Julien ODOUL, livre ses impressions dans cette tribune…

 

DIJON (Côte d’Or) : « Lors de l’Assemblée plénière du 17 décembre, les écologistes de la majorité au Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté ont mis sur la table une « déclaration d’urgence climatique ».

En faisant preuve d’un catastrophisme sans égard, ces derniers préfèrent adopter les postures et les caricatures grossières, alors que le sujet de l’écologie suppose un débat raisonné et éloigné de toute forme de communication partisane et idéologique.

En effet, il est utile de rappeler que les habitants de la région Bourgogne Franche-Comté n’ont quasiment aucune responsabilité dans les dérèglements climatiques.

Dans sa note de synthèse du mois de novembre dernier, la collectivité régionale a mis en avant le fait que l’ensemble des activités sur son territoire avait généré de l’ordre de 22 millions de tonnes équivalent CO2 de gaz à effet de serre en 2018, tandis qu’à l’échelle mondiale, cela représentait 36 milliards de tonnes, soit 0,06 % des émissions au niveau global.

 

 

Changer le modèle économique, du mondialisme au localisme…

 

Plus concrètement, la Bourgogne Franche-Comté émet moins que les trois plus gros sites sidérurgiques français (c’est-à-dire les usines de SOLLAC Atlantique à Dunkerque, d’ARCELORMITTAL Méditerranée à Fos-sur-Mer et de SOLLAC Lorraine à Florange), qui ont conjointement rejeté 21,7 millions de tonnes équivalents CO2, ou moins encore que la seule centrale à charbon de Bełchatów en Pologne.

A rebours des déclarations hors-sol, les élus régionaux du Rassemblement National préfèrent opter pour une démarche responsable et enracinée dans le réel en souhaitant élaborer une action publique concrète et de bon sens.

La pollution « française » étant principalement liée aux importations et non à la consommation intérieure, c’est donc notre modèle économique qu’il faut changer en passant du mondialisme au localisme.

En d’autres termes, il serait beaucoup plus utile de généraliser le développement des circuits-courts sur l’ensemble du territoire régional afin de mieux manger tout en réduisant l’empreinte carbone de notre région. De même, l’implantation de 1 800 éoliennes à l’horizon 2050 torpille les ambitions vertes et vertueuses des écolos de salon car cela nécessitera d’arrimer cette fausse énergie renouvelable à des centrales à gaz ou à charbon ».

 

Julien ODOUL

 


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Par essence, qu’elle est la mission réelle du service téléphonique « 36 46 » au sein de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de l’Yonne ? Un jeu d’enfant, en vérité, puisque c’est un service gratuit, assorti du coût de l’appel, qui a pour vocation d’honorer tout ce qui concerne de loin ou de près les remboursements de prestations des assurés. En aucun cas, il ne traite de sujets liés à la COVID. Or, le service est à l’heure actuelle à saturation !

 

AUXERRE : La plateforme téléphonique, baptisée « 36 46 » de la CPAM de l’Yonne, est au bord de l’apoplexie depuis plusieurs jours. Saturée d’appels en tout genre se rapportant aux nombreuses problématiques de la crise sanitaire et de ses questionnements qui y sont affectés, le service ploie sous les coups de boutoirs insistants des téléphones d’assurés qui ne cessent de sonner de façon répétitive.

Un renseignement sur le passe sanitaire à résoudre par ici, une interrogation sur l’injection de la troisième dose par là et le tour est joué : le « 36 46 » ne souhaite plus répondre à ces sollicitations pour cause de surchauffe !

« Notre plateforme téléphonique reçoit actuellement beaucoup d’appels d’assurés qui ont eu leur troisième injection, précise la direction de la communication, et cette troisième injection ne figure pas sur leur passe sanitaire… ».

Diverses origines peuvent ainsi expliquer cette absence d’annotation dans le dossier. Un problème informatique, un retard, voire un  oubli. Or, la situation est telle depuis plusieurs jours que les opérateurs de la plateforme croulent sous des demandes qui ne les concernent pas.

 

 

Le « 36 46 » ne peut rien faire en guise de réponse concrète puisque ne s’occupant que de problématiques inhérentes aux remboursements des prestations.

Le message transmis par la Caisse Primaire d’Assurance Maladie est d’ailleurs sans équivoque sur la démarche à suivre : pour obtenir les réponses adéquates à leurs interrogations, les assurés doivent retourner au centre de vaccination ou revoir le professionnel de santé ayant vacciné la personne.

Apparemment, les assurés ne sont pas les seuls à s’être posé ces questions en sollicitant la plateforme téléphonique de la CPAM. Des professionnels de santé, tels que des médecins, ont fait de même sur ce fameux numéro 36 46. Qui aujourd’hui ne peut plus répondre !

 

Thierry BRET

 


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Le président Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, entouré des membres du bureau de la Communauté de Communes de Puisaye-Forterre (CCPF), a présenté lors d’une conférence de presse les axes des grands chantiers prévus en 2022. Un exercice dont il est coutumier désormais. Une prise de parole qui a été proposée juste avant que le Conseil Communautaire ne soit réuni dans la salle des fêtes pour la séance plénière…

 

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : Avec vingt entreprises retenues par la commission d’appel d’offres pour un total de 7 834 583,45 euros hors taxes, le dossier du centre aquatique de Toucy est fin prêt.

« Le chantier peut être lancé dès le printemps 2022 » précisa Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI lors de son intervention.

Selon Alain DROUHIN, vice-président chargé des finances, « le prévisionnel est respecté » car les subventions obtenues représentent 50 % du montant total.

« Il y aura un centre de remise en forme et vous pourrez tous y aller ! » a lancé à la cantonade le président de la CCPF, peut-être soucieux de dérider un auditoire rendu muet par le coût de ce chantier qui a gonflé année après année.

Du côté du Centre international de formation aux métiers d’art et de la céramique (CNIFOP) à Saint-Amand-en-Puisaye, la démolition des bâtiments amiantés a été ordonnée par l’exécutif. Seules deux entreprises icaunaises sont habilitées à exécuter ces travaux. Ce sont les établissements MICHEL à Auxerre qui ont la charge de ce chantier délicat.

« On passera à la nouvelle construction début 2022 » indique encore le président qui, en pleine forme, se sent de taille à bousculer le calendrier.

L’avant-projet sommaire concernant le siège de la CCPF est sur l’agenda présidentiel au premier trimestre 2022. Il sera suivi par l’appel d’offres à l’automne, avant que ne débutent les travaux en 2023.

 

 

Plusieurs autres chantiers sont déjà dans le viseur…

 

« On va envisager la construction d’une crèche à Saint-Fargeau » a ajouté  Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI avant de parler avec enthousiasme du SIMI.

Au Salon de l’Immobilier d’Entreprise, l’agence de développement de la région Bourgogne Franche Comté abritait la CCPF sur son stand.

« Nous étions la seule collectivité rurale » dit le président qui ajoute que « ce type d’action devra être poursuivi à l’avenir ».

Le Conseil départemental de l’Yonne a par ailleurs débloqué 5,4 millions à investir en équipements de santé, avec le concours des communautés de communes.

 

 

Des débats animés et contradictoires en séance communautaire…

 

L’attribution des marchés de travaux pour le centre aquatique de Toucy provoqua des échanges animés au cours desquels on nota que « le total dépasse de 400 000 euros le montant espéré ». Ce qui a conduit Jean-Noël LOURY, maire de Val-de-Mercy à voter contre. Nonobstant, le projet de construction du centre aquatique est adopté avec 50 voix pour, contre six refus et quatre abstentions.

Quant au retour de compétences des piscines de Bléneau et Charny-Orée-de-Puisaye à leurs communes respectives, il a été validé par 45 voix pour, douze voix contre et trois abstentions après que Jean-François BOISARD, maire de Saint-Privé, ait déploré le fait que « ce ne soit pas chiffré ».

En fin de séance, le président a présenté Bernard RISTORD, nouveau directeur des services à la CCPF.

 

Thierry CARABIN

 

 


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