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Les idées reçues ont la vie longue. En matière d’emploi, le besoin de féminisation de certains métiers est encore une réalité. C’est pour briser ce plafond de verre qu’a été créé il y a près de 25 ans, sous l’égide de l’association FETE (Fête Egalité Emploi), le « Carrefour des carrières au féminin ». L’édition 2022 vient de se tenir à Appoigny. Elle a permis à un public de collégiennes et lycéennes, mais aussi de femmes en recherche d’emploi, de rencontrer une cinquantaine de professionnelles d’horizons divers venues témoigner de leur parcours et de leur passion.

 

AUXERRE : Trop de métiers sont encore aujourd’hui référencés « féminins » ou « masculins », conduisant les jeunes filles notamment, à s’autocensurer dans le choix de leurs études. Le poids des traditions aidant, elles se dirigent toujours majoritairement vers les métiers de la santé, du social, du secrétariat ou de l’enseignement, oubliant au passage les domaines scientifiques ou techniques. Y compris les métiers liés aux nouvelles technologies.

Un constat que partage Claire DUCHET, chargée de mission à l’égalité professionnelle au sein de l’association FETE, en charge de la manifestation : « quand on va à la rencontre des jeunes dans les établissements scolaires, il est un fait que la mixité des métiers est bien intégrée. Mais pas au point de les y projeter, il suffit pour cela de regarder les vœux d’orientation des filles. Ca n’évolue pas ! Elles privilégient toujours les secteurs de la santé sociale, la petite enfance, l’esthétique, la coiffure ou depuis quelques années, les soins aux petits animaux… ».

Le secteur du numérique et de l’informatique n’échappe pas à la règle : « il y a là un vrai enjeu du fait des métiers d’avenir proposés, mais les filles y sont très peu présentes. Et pour le coup, on ne peut pas dire que ce soit en raison de la force physique ou des horaires décalés, c’est bien lié à des stéréotypes et à l’éducation… ».

 

Des clichés encore éculés qu’il faut voir disparaître…

 

Ambulancière, peintre en bâtiment, technicienne en chaudronnerie industrielle, ingénieur paysagiste, sellière, mécanicienne automobile…, la liste des métiers présentés est longue et variée.

Venue en famille, Jeanne a fait son choix : ce sera l’armée : « je suis en 3e et ne savais pas trop vers quoi me diriger et là, je repars avec une idée concrète sur ce que je veux faire après être passée sur le stand de la Marine nationale… ».

Un constat positif partagé par son père : « le forum permet d’ouvrir les esprits et de rencontrer des gens qui savent partager leur passion avec les visiteurs. Il permet aussi d’élaborer des plans avec son enfant, d’échanger avec lui et c’est enrichissant pour tout le monde… ».

Pour sa part, le secteur agricole s’est depuis longtemps déjà ouvert à la gente féminine explique France LAHUTTE, animatrice emploi à la FDSEA de l’Yonne : « le monde s’ouvre aux femmes et même si quelques blocages existent encore en grandes cultures, ce n’est déjà plus le cas en viticulture, où elles sont de plus en plus nombreuses à diriger un domaine. Il y a quelques années, on me disait « je cherche un homme », aujourd’hui seules les compétences comptent… ».

 

 

Compétente et passionnée, Julie LOOMANS l’est assurément, conductrice de trains sur la ligne Morvan/Paris/Dijon depuis une quinzaine d’années. Un métier qui peine à se féminiser et sur le stand, les échanges avec les jeunes se sont faits rares tout au long de la matinée : « il y a un gros différentiel entre l’image que peut avoir le public du métier et sa réalité. Dans l’inconscient collectif, prime encore l’image de Jean GABIN dans la « Bête humaine » ! » Quant aux usagers, si surprise il y a à voir une femme conduire un train, « c’est de la surprise heureuse ». Bien loin le temps où un passager d’un certain âge voire d’un âge certain, a fait demi-tour sur le quai en l’apercevant aux commandes Julie en rit encore !

 

Le corps préfectoral très féminisé dans l’Yonne…

 

Quid de la parité au sein du corps préfectoral ? Venu saluer de sa présence la manifestation, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST se veut optimiste : « elle est en très forte progression, comme on peut le constater dans le département, où l’on compte trois sous-préfètes en fonction. Le mouvement a pris un peu de temps car la profession était au départ très masculine mais aujourd’hui nombre de collègues sont des jeunes femmes, y compris aux postes les plus importants… ».

Reste à savoir si le moment venu, son successeur se conjuguera au féminin ? Ce ne sera jamais que la deuxième fois dans toute l’histoire de la préfecture après Anne-Marie ESCOFFIER, au début des années 2000. Une nomination qui fut une première pour le département, mais reste encore aujourd’hui l’exception.

 

En savoir plus :

Basée au Centre Opérationnel de la Gendarmerie à Auxerre, Sophie DUMAS a multiplié les rencontres sur son stand, pour démystifier l’idée parfois réductrice que le jeune public peut se faire du métier : « le gendarme n‘est pas seulement celui qui se tient sur le bord de la route et met des PV ! La palette des métiers proposés est beaucoup plus large… ».

Dominique BERNERD

 

 


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Bien sûr, il y aura sur scène ce piano, probablement un Steinway de couleur noire tamisé par la lumière des projecteurs. Naturellement, le public vibrera en son for intérieur à l’idée de « la » voir enfin se produire à Auxerre. Même si elle fait abstraction des grands succès résumant quarante années de carrière avec les RITA MITSOUKO. Pour autant, la prestation de son égérie, la troublante et sensuelle Catherine RINGER, n’en sera que plus émouvante. Et épurée. Au service de la seule poésie et des textes oniriques, écrits par Alice MENDELSON.

 

AUXERRE : C’est sans doute l’évènement culturel de l’année. Même si le programme du théâtre d’Auxerre foisonne de rendez-vous riches et éclectiques jusqu’au terme de cette saison, tronquée par les soubresauts imprévisibles de la crise sanitaire. Plantons le décor ! Déjà, il y a ces textes et leur flamboyance. Ils ont été rédigés avec l’émerveillement de son autrice, à l’aube de sa vie puisque âgée de 95 ans, la surprenante Alice MENDELSON.

Une révélation littéraire sur le tard ? Sans doute ! Une personnalité unique, avec laquelle on aimerait discuter à bâton rompu des heures durant au côté de l’âtre de la cheminée. Elle jette sur le papier toutes ses impressions. Celles qui lui taraudent l’esprit, comme autant de témoignages sur tout ce qu’elle a vécu et traversé avant de quitter ce monde pour d’autres cieux.

 

Une histoire d’amitié et rien d’autre à la genèse du projet…

 

Pourtant, c’est son premier recueil de poèmes. De belles strophes écrites à fleur de peau, vivifiantes, toniques, osées qui narrent les sentiments et les passions d’une femme amoureuse de l’existence depuis les années 1950 jusqu’à aujourd’hui. Alice MENDELSON possède cet indéniable don de narratrice, de conteuse, de poétesse. Le talent scriptural s’en trouve magnifié. Des textes à forte musicalité qui pourraient même être interprétés sur scène…

Secundo, puisqu’ils seront lus face au public, celui d’Auxerre dont ce sera une première inédite dans cette configuration, il fallait des valeurs sûres dans l’expression orale et vocale pour assurer cet exercice sans filet. En transmettant la moindre parcelle d’émotion au public. En titillant les consciences de la plus infime des réflexions sur l’état de notre monde qui part à vau l’eau.

Le dénominateur commun de ces personnes qui se chargeront de faire vivre ces textes au grand jour ne sont autres que des amis de l’écrivaine. La poétesse Violaine BONEU que les amoureux de la programmation du théâtre auxerrois connaissent bien. Le conteur Pascal QUERE, qui même s’il a apporté sa complicité à l’accomplissement de ce travail, ne sera pas physiquement présent aux côtés du duo. Et…cerise juteuse sur le gâteau, Catherine RINGER ! La moitié des RITA MITSOUKO que l’on ne présente plus. Une star de ce rock tricolore décalé qui fit le beau jour des eighties.

Cette fois-ci, ce n’est pas en qualité de chanteuse de ce groupe mythique qui a éclairé plusieurs décennies de mélomanes qu’elle se présentera à nous mais bel et bien en récitante de poésies et de lectures.

 

 

Retrouver le public sur un registre inhabituel : la poésie…

 

Mais, pour celles et ceux qui seraient néophytes sur le sujet, qu’on se le dise : l’artiste possède différentes cordes à son arc et s’est déjà exercée par le passé à jouer la comédie.  

A son répertoire, il y a des films. Même pornographiques qui ont été tournés bien avant ses débuts de chanteuse en 1985. Le théâtre tient aussi une place prépondérante non excusable. Dont « Concha Bonita » où entre 2002 et 2005, Catherine RINGER occupera le devant de la scène dans une comédie musicale originaire d’Afrique du Sud, pétillante. Mais, de représentations scéniques uniquement articulées autour de la poésie, jamais.    

« J’aborde ce travail de manière très différente, confie l’artiste, jointe par téléphone, c’est une opportunité de retrouver le public sous un tout autre registre que celui de la chanson… ».

S’imprégner de textes qui célèbrent l’érotisme au féminin sous la plume d’Alice MENDELSON est une vraie partie de plaisir pour l’interprète du tube « Andy ». Des écrits pleins de générosité et de puissance qui ont été testés au Théâtre de la Huchette à Paris, antre des pièces du dramaturge Eugène IONESCO, au mois de décembre. Un avant-goût de ce qui attend les spectateurs icaunais. L’instant sera rare. Voire peut-être unique.

« On ne sait pas encore ce que l’on va faire de ce spectacle, précise Catherine RINGER, est-ce qu’il provoquera de l’enthousiasme parmi les spectateurs ? Rencontrera-t-il le succès ? ».

 

 

« Une belle parenthèse avant de me mettre en jachère… »...

 

Cette vision explicite de l’autre facette de la chanteuse, ce côté immergé et entouré d’un halo de mystère de l’iceberg, sera-t-elle suivie d’une suite, à l’aide d’une tournée en 2022 ? Pas si sûr ! L’artiste désire souffler un peu après une harassante série de récitals, consacrés au répertoire des RITA MITSOUKO durant plus de deux années et demie à travers l’Hexagone.

« Ce spectacle de poésie représente une belle parenthèse dans ma carrière alors que je souhaite me mettre en jachère pendant quelques temps. J’ai la chance de pouvoir décider et de le faire sans contrainte. C’est l’incertitude de l’aventure… ».

Disponible, agréable, accessible, la musicienne prend le temps de répondre aux interrogations. Et d’évoquer en quelques mots le lien d’amitié indéfectible qui l’unit à la plus emblématique nonagénaire de ce début d’année, Alice MENDELSON. Une amie de son père.

« C’est une grande dame, elle est formidable. Un personnage unique. Ses poèmes sont d’une rare beauté. Ils sont profonds, tendres et sensuels à la fois. Leur donner vie sur une scène est le plus des cadeaux que nous pouvons lui faire… ».

Le « nous » englobe d’autres amis. Connu pour ses travaux réalisés pour le cinéma, Grégoire HETZEL est aussi de l’aventure. Les œuvres d’Arnaud DESPLECHIN, Julie BERTUCELLI ou Mathieu AMALRIC ont bénéficié de ces lumineuses compositions. Quant à Mauro GIOLA, il assure la mise en scène d’une représentation qui ne devrait laisser personne indifférent.

 

 

En savoir plus :

L’érotisme de vivre

Samedi 05 février à 20h30.

Performance poétique avec Catherine RINGER et Violaine BONEU.

Théâtre d’Auxerre

 

Thierry BRET

 

 


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D’ordinaire, dans la salle où est accueillie la manifestation, on y célèbre des hyménées. Pourtant, les trois personnes qui attendent patiemment avant d’être citées par les orateurs du jour ne viennent pas convoler en justes noces ! Ou, plutôt si ! Avec un dispositif novateur qui va leur permettre de se marier au triptyque articulé autour de l’emploi, la formation et l’accompagnement. Le PEC, acronyme de Parcours Emploi Compétence. Presque un « oui » qui fut prononcé pour la vie !

 

AVALLON : Serait-ce un clin d’œil pérenne par rapport à la célébration de l’évènement de ce jour ? Une amusante manière de rappeler que le PEC (Parcours Emploi Compétence) peut emmener durablement les personnes avides d’insertion sociale vers une très longue carrière ? En tout cas, le lieu de la médiatisation de la signature des trois contrats PEC sur l’Avallonnais n’a pas pu être choisi par hasard. Tant la symbolique est forte !

En effet, c’est bien la salle des mariages de l’hôtel de ville d’Avallon qui a été retenue par ses organisateurs pour poser les jalons de la nouvelle existence qui débute pour les bénéficiaires de ce dispositif. Des jeunes gens recrutés dans le secteur périscolaire.

Le premier de ces heureux lauréats, jeune « marié » avec le PEC, se prénomme Guy. Inscrit à la Mission Locale depuis le 02 mars 2021, après l’obtention d’un bac pro commerce, il a rejoint le DAQ, le Dispositif Amont de la Qualification. Son objectif intégré un projet le menant vers les milieux du sport. Un projet validé puisqu’il est depuis au CPJEPS (Certificat professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport) avec l’IRFA (Institut Régional de Formation des Adultes) de Bourgogne Franche-Comté. Suite à des stages, ses formateurs ont cru en lui, exprimant un retour positif. Sa certification a finalement été validée en décembre de l’année dernière.

 

Un véritable tremplin qui mène à l’emploi…

 

Le second des candidats, Yvan, qui fréquente la Mission Locale de l’Avallonnais depuis mai 2019, a obtenu un BEP systèmes numériques. Après l’arrêt de son apprentissage au sein d’un club de football, le garçon s’oriente, avec les recommandations de sa conseillère, vers le même cursus que Guy. Les phases de tests procurant de la satisfaction à ses formateurs, sa certification a également été validée.

Quant à la jeune demoiselle, Maureen, inscrite à la Mission locale depuis le début de janvier 2022, elle a décroché un bac pro service aux personnes et aux territoires en 2019. Titulaire en parallèle d’un diplôme d’aide-soignante obtenu en juin 2021, la Ville d'Avallon lui a proposé un contrat PEC dans le secteur du périscolaire. Venant d'obtenir un emploi en qualité d’aide-soignante, la jeune fille quittera d’ici peu le PEC. Elle aura donc profité à bon escient de ce tremplin salvateur pour avoir un emploi durable !

Précisons que les deux premiers contrats ont été conclus sur une période de huit mois, avec une durée hebdomadaire de 20 heures, payées au SMIC. Le troisième « mariage » aura eu une durée de six mois payés au SMIC.

 

Une formation rétribuée à 80 % du SMIC…


A qui s’adresse précisément ce dispositif ? Très simple : à tout employeur du secteur non-marchand, sélectionné par le service public de l’emploi, en fonction de sa capacité à proposer un parcours insérant et qui s’engage à accompagner le jeune de moins de 26 ans.

L’aide à l’insertion professionnelle s’élève à 65 % du SMIC. Elle est portée à 80 % du SMIC pour le recrutement d’une personne résidente d’un quartier prioritaire de la politique de la ville ou d’une zone de revitalisation rurale, comme c’est le cas à Avallon.

Enfin, il faut savoir que le contrat de travail doit remplir les critères suivants :
être un CDD ou un CDI, avoir une durée minimale de six mois renouvelables dans la limite de 24 mois et enfin avoir un minimum hebdomadaire de 20 heures.

 

 

 

Une philosophie reposant sur le triptyque emploi-formation-accompagnement…

 

Obtenir in fine un emploi permettant de développer des compétences transférables, un accès facilité à la formation et un accompagnement tout au long du parcours tant par l’employeur que par le service public de l’emploi, avec pour objectif l’inclusion durable dans l’emploi des personnes les plus éloignées du marché du travail justifient la mise en exergue de ce schéma innovant.

Dans le cadre du parcours emploi compétences, les employeurs peuvent bénéficier d’une aide mensuelle à l’insertion professionnelle versée par l’État d’un montant de 30 % du SMIC horaire brut.

Depuis le début de 2021 jusqu’à fin décembre, ce sont 213 contrats PEC  jeunes qui ont été ainsi prescrits dans le département de l’Yonne (pour une cible de 251) et 620 contrats PEC au total pour une cible à 638 (PEC jeunes et PEC hors jeunes). Sachant que les potentiels prescripteurs sont Pôle Emploi, Cap Emploi, la Mission Locale et le Conseil Départemental. Une indéniable réussite, donc, pour ces « mariages » avec l’emploi qui ne sont pas de raison…

 

En savoir plus :

 

Ont assisté à cette cérémonie nuptiale entre les bénéficiaires du dispositif et le PEC :

Cécile RACKETTE, sous-préfète de l’arrondissement d’Avallon,

Jamilah HABSAOUI, édile d’Avallon et présidente de la Mission Locale,

Johanna SOILLY, conseillère en évolution professionnelle de la Mission Locale Référente Pôle Entreprise Emploi Garantie Jeunes,

Radouan GSSIR, directeur de la Mission Locale Tonnerre/Avallon.

 

Thierry BRET

 


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Etre soi-même, c’est quand on se sent bien ! Et se sentir bien, c’est quand on est entouré par un environnement qui reflète la profondeur de son âme…Telle est la philosophie de travail de cette épicurienne de la décoration et de l’architecture d’intérieur, la « très british » Hannah Elizabeth PURSSELL. A la tête de sa structure « Interior, Design & Creation », la gracieuse sujette de Sa Majesté magnifie comme par enchantement tout ce qu’elle touche. Intéressantes perspectives décoratives pour le CIFA de l’Yonne…

 

AUXERRE : On n’est plus à une nouveauté près quand on se rend au CIFA, le Centre interprofessionnel de formation par l’apprentissage d’Auxerre. Si ce n’est pas dans l’assiette en dégustant un succulent menu concocté par les futurs maîtres-queues du pôle restauration, c’est dans l’approche visuelle et ergonomique du site que les surprises se présentent en cascade.

Les visiteurs ont très certainement remarqué la présence d’engins de chantier qui s’activent depuis plusieurs semaines dès le portail d’entrée franchi. Les façades du bâtiment assurant l’accueil du millier d’élèves et des formateurs se transforment. Elles seront agrémentées d’ici peu d’une très belle « dentelle mécanique » du plus bel effet. A l’image du parement insolite qui orne les restaurants d’application du lieu, le « Com’des Chefs » et son corollaire en version brasserie, ouvert depuis peu.

 

 

Mais que l’on ne s’y trompe pas ! Ces travaux ne concernent pas uniquement les extérieurs. Dedans, cela bouge aussi ! La salle des formateurs est repensée afin d’apporter les conditions optimales à l’équipe pédagogique pour qu’elle puisse exercer son savoir-faire.       

Le sas d’accueil vit sa bénéfique cure de jouvence décorative. Quant aux bureaux administratifs, ils effectuent leur nécessaire mue afin de recevoir dans d’excellentes conditions les collaborateurs. Des travaux décoratifs où intervient l’égérie du bon goût et de la personnalisation des lieux, la talentueuse Hannah Elizabeth PURSSELL.

 

 

Un savoir-faire qui s’est ressourcé au Japon…

 

Créative, la ressortissante anglaise qui maîtrise parfaitement la langue de Molière depuis son installation en Bourgogne, du côté de Précy-sous-Thil en Côte d’Or, déborde d’imaginaire. C’est elle qui a totalement retravaillé l’intérieur de l’hôtel auxerrois, Le Normandie. Lui conférant ce petit aspect si cosy et le choix de ses coloris, un tantinet britannique. Un ravissement pour la propriétaire des lieux, Sylvie RAMISSE.

C’est elle aussi qui a apporté cette touche d’intimité et de raffinement au Spa du Clos à Chablis. Une bénédiction pour Noémie VIGNAUD qui en assure l’exploitation. De multiples voyages au détour de pays qui l’ont inspiré à l’image du Japon et cette passion enivrante pour sublimer l’existant en lui conférant une nouvelle jeunesse font de cette professionnelle du design d’intérieur une référence qui exporte son savoir-faire au-delà de sa terre d’adoption bourguignonne.

 

 

Au sein du CIFA, on lui doit l’agencement décoratif du restaurant d’application, un bijou de gourmandise visuelle, de l’espace dégustation des vins et de l’univers brasserie. Il suffit d’admirer le moindre drapé de ce plafond éclairé par ses jeux de lumière discrets et l’on croirait voire apparaître de petites vaguelettes.

Le « Com’des Chefs » méritait du fait de la succulence de ses mets un tel écrin de beauté. Hannah Elizabeth PURSSELL le lui a donné. « Let it be » (ainsi soit-il) comme le chantèrent si bien les BEATLES !

 

En savoir plus :

Au-delà de ces lignes, il ne faut pas omettre l'excellent travail assuré par Sébastien BELLOLI et son cabinet, UBIK Architectures. Depuis bientôt quatre ans, ces derniers accompagnent le CIFA de l'Yonne dans une profonde mutation archirecturale. 

Tous les projets de rénovation extérieurs et intérieurs ont été conçus par leurs soins. Attestant l'investissement quotidien et passionné dont fait preuve cette entreprise depuis plusieurs années sur l'Auxerrois et au-delà...
 

Thierry BRET

 

 


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Depuis mardi soir, celles et ceux des internautes qui suivent les actualités quotidiennes de la conseillère municipale d’opposition auxerroise sur sa page Facebook ont pu constater l’impossibilité de s’y connecter. Point de problèmes techniques, en vérité. Mais juste la volonté de la jeune femme de suspendre momentanément son fil de communication jusqu’à l’issue de son jugement…

 

AUXERRE : « Je veux préserver ma famille jusqu’à ce que justice soit faite ! ». Alors que les élus de l’opposition du Conseil municipal d’Auxerre lui avaient demandé il y a quelques jours de prendre ses distances avec ses activités d’élue jusqu’au rendu de la décision de justice (comme ils l’avaient fait précédemment avec Crescent MARAULT en mars 2021), Farah ZIANI vient de couper net le fil d’Ariane la reliant avec les réseaux sociaux sur lesquels elle apparaît régulièrement.

La jeune femme s’en est expliquée tardivement mardi soir en contactant la rédaction de notre média.

« Il n’aura échappé à personne que Facebook est devenu un support de communication où certains s’expriment sans retenue, au point de pouvoir nuire à la réalité des faits, au point de toucher avec gravité ma famille. Je continue à proclamer mon innocence des faits qui me sont reprochés. Je continue à demander de bénéficier de la présomption d’innocence… ».

 

 

Le silence radio sur les réseaux sociaux pour préserver sa famille…

 

Poursuivie pour des faits d’abus de confiance dans le cadre d’une transaction immobilière survenue en octobre 2020, qu’elle conteste (la conseillère municipale d’opposition d’Auxerre exerce la profession d’agente immobilière), Farah ZIANI devrait se présenter devant la justice le 10 mars prochain au tribunal d’Auxerre.

D’ici là, l’élue prépare sa défense avec son avocat. En gardant le silence, comme elle l’a confirmé lors de cet échange.

« Par voie de conséquence, je préfère désormais garder le silence sur les réseaux sociaux pour me consacrer à ma défense et pour protéger mes enfants et ma famille, explique-t-elle, je me déconnecte donc de Facebook jusqu’à l’issue du jugement… ».

Farah ZIANI n’en oublie pas de remercier celles et ceux de ses ami(e)s qui la soutiennent. Une parenthèse qu’elle veut placer sous le prisme de la sagesse et de la sérénité.

 

Thierry BRET

 


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