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Sous le masque, le sourire ! Sans même le voir, on le devine. Arborant avec fierté le label France Relance que vient de lui remettre en main propre le représentant de l’Etat, le chairman du Laboratoire MACORS Eric DELAYE ne peut être que satisfait de la journée. En obtenant une subvention de 800 000 euros de l’Etat, la structure peut nourrir de belles ambitions en 2022 et poursuivre ses investissements.

 

AUXERRE : Tout est résumé ou presque par la phrase du préfet Henri PREVOST en clôture de cette visite officielle consacrée à l’une des belles pépites industrielles, implantée en périphérie de la ville.

« C’est vraiment un excellent exemple de ce que permet le Plan de Relance pour rendre plus compétitives les entreprises… ».

Quelques minutes auparavant, le représentant de l’Etat venait de remettre le fameux trophée de plexiglass à son hôte, le dirigeant de la structure entrepreneuriale. L’objet symbolise le soutien de la Nation à l’une de ces entreprises qui intervient dans le domaine de l’industrie et en favorise l’innovation.

Du petit lait à déguster avec délectation pour les forces encadrantes de Laboratoire MACORS Auxerre, l’un des quatre sites de production de la société en France. Une entité qui est depuis 1990 à l’apanage du groupe industriel hexagonal, GALIEN, l’un des spécialistes dans la fabrication de produits pharmaceutiques.

 

 

Une aide qui intègre le programme France 2030…

 

A l’instar des trois autres unités de production, réparties en Bourgogne septentrionale (Nevers, Sens et Monéteau où s’affaire une dizaine de personnes), GALIEN dispose d’une force de frappe impressionnante pour répondre à la demande galopante de produits issus de la pharmacopée.

Plus de 50 % des spécialités thérapeutiques conçues par les laboratoires MACORS s’exportent dans plus d’une quarantaine de pays. Quand on parle des vertus bénéfiques de l’industrialisation !

Un chapitre que ne manqua pas de soulever le haut fonctionnaire en charge de la gouvernance préfectorale. Expliquant le bien-fondé de ce Plan de Relance à multiples ogives qui cible particulièrement bien les projets novateurs.

Aider à grand renfort de subventions et de subsides les entreprises d’aujourd’hui, celles qui sont en parfaite possession de leurs moyens en matière d’objectifs, c’est nécessairement poser les jalons utiles du programme France 2030, exposé il y a peu par le Président de la République Emmanuel MACRON.

 

 

Le plaisir de l’Etat à accompagner les entreprises innovantes…

 

Dans le cas présent, le schéma est on ne peut plus séduisant de l’avis du locataire de la préfecture. « Dans le secteur du médicament, un domaine extrêmement stratégique au vu du contexte actuel, il est important de pouvoir avoir la maîtrise de ces productions en termes de quantité et de qualité ! ».

Par conséquent, soutenir financièrement une chaîne logistique favorisant la fabrication de médicaments s’inscrirait presque parmi les axes prioritaires !

Une jubilation quasi palpable dans les propos du préfet de l’Yonne qui n’hésitera pas à formuler la phrase suivante : « C’est un plaisir pour l’Etat d’accompagner les laboratoires MACORS dans cette voie ». Celle du soutien à l’innovation industrielle, nécessairement pourvoyeuse d’emplois !

Un aspect que le préfet de l’Yonne aborda volontiers au moment de son laïus.

« Pour accompagner la volonté de réindustrialiser le pays, il faut aussi s’appuyer sur de la main d’œuvre. L’industrie a changé et elle offre de belles opportunités en matière de recrutement ! ».

 

 

Alléger les tâches humaines complexes grâce à des investissements en matériel…

 

Des arguments qui firent mouche parmi l’assistance alors que le laboratoire MACORS Auxerre est en perpétuelle quête de besoins humains, en moyenne une trentaine d’intérimaires mais aussi des techniciens à embaucher dès que possible.

« Il faut proscrire de nos pensées que l’industrie ne proposerait que des tâches difficiles, ajouta Henri PREVOST, c’était le cas par le passé. Aujourd’hui, grâce aux investissements très importants qui permettent d’accompagner les structures dans leur modernisation, certaines tâches délicates sont allégées. En valorisant le travail de l’homme en entreprise, cela contribue à rendre plus attractifs encore ses postes à pourvoir ».

Précisément, et grâce à l’enveloppe issue du Plan de Relance, suite à l’appel à projet « Industrie du futur », le Laboratoire MACORS Auxerre pourra remplacer certaines machines de production et améliorer les processus de fabrication, tout en se dotant de nouveaux logiciels plus performants.

Un programme d’investissement s’élevant à 4,4 millions d’euros dont 800 000 euros sont apportés par l’Etat via cette opération de soutien dans la corbeille de la mariée.

Précisons que dans l’Yonne, quarante-et-une entreprises industrielles ont bénéficié de ce dispositif ; des aides de plus de 4,8 millions d’euros in fine. Des actions concrètes pour l’Etat.

 

Thierry BRET

 

 


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L’excellence est à l’honneur dans l’Yonne. Et prendre part au fameux Concours général agricole ne peut que la conforter. Surtout à partir de produits élaborés avec l’art et la maîtrise de la vinification. C’est le principe de la pré-sélection de crus de nos terroirs par un jury composé d’esthètes en la matière. Deux cent cinquante échantillons ont été passés au crible lors d’une séance gustative matinale. Sous l’œil avisé de Jean-Baptiste THIBAUT, viticulteur lui-même et vice-président de la Chambre départementale d’Agriculture.

 

BEINE : La finale se déroulera le 27 février prochain à Paris. Dans le cadre exceptionnel du Salon international de l’Agriculture, porte de Versailles. L’un des temps forts de cet évènementiel qui nous revient deux ans après sa dernière édition. Entre-temps, la COVID est passée par là !

Alors pour cette épreuve pré-sélective des vins du Chablisien et du Grand Auxerrois, se déroulant dans la salle des fêtes de la petite commune située entre Chablis et Auxerre, Jean-Baptiste THIBAUT n’aurait voulu en aucun cas manquer son lancement officiel. Fait dans les règles sanitaires d’usage. Organisé par les services de la préfecture.

Logique, le Concours général agricole est le fruit d’une initiative portée en 1870 par le ministère de l’Agriculture. C’est donc la seule et unique manifestation de la sorte à incomber à l’organisation de l’Etat.

 

 

Une soixantaine de vins sélectionnés faisant office d’ambassadeurs liquides de l’Yonne…

 

A l’issue de ce rendez-vous d’épicuriens et de professionnels de la chose vineuse savamment triés sur le volet, une soixantaine de crus ont été retenus. Ils seront les ambassadeurs liquides de ce département qui possède de belles pépites et ramène à chaque édition son lot de distinctions et de médailles nationales.

Y figurer pour les viticulteurs est capital. L’évènement séculaire jouit d’une importance phénoménale parmi le sérail des professionnels de la vigne. Un avis que partage Jean-Baptiste THIBAUT.

« La Chambre départementale de l’Agriculture met tout en place pour en favoriser sa réalisation. Etre sélectionné et pouvoir concourir avec ses vins représente énormément de travail pour les viticulteurs. C’est de la reconnaissance à l’état brut ! Cela démontre le plus souvent qu’il y a une continuité dans la qualité de leurs produits. Une médaille se vit comme une véritable plus-value qualitative et permet de différencier les domaines… ».

Le passage obligé pour amener à l’excellence ? Peut-être, tant la motivation des viticulteurs est grande dans les phases préparatoires de ce rendez-vous.

 

 

Le bonus de la récompense se convertit en plus de ventes dans les commerces…

 

Autre aspect intéressant selon Jean-Baptiste THIBAUT : cela permet aux jeunes professionnels de la vigne de se lancer dans le grand bain de l’optimisation du savoir-faire. En plaçant leurs produits sous le feu des projecteurs des médias qui ne loupent pas l’occasion d’en parler.

Naturellement, l’impact est conséquent sur les ventes de ces vins qui sont primés. Se sentant rassurés sur la qualité des produits, les consommateurs sont plus enclins à acheter la bouteille médaillée à l’inverse de celle qui ne l’est pas.  

Parmi les nectars dégustés ce jour, des grands crus, bien sûr mais pas seulement. Les vins blancs comme les vins rouges ont recueilli les suffrages des dégustateurs ainsi que les crémants. Du chablis, of course, mais aussi des côtes d’Auxerre, des vins du Tonnerrois, de la Côte de Joigny ou du Vézelay. Un large éventail de succulences acidulées, sucrées, aux arômes travaillées, à la rondeur en bouche confirmée, à la forte minéralité.

Notons que cette année, le Concours général agricole fait la part belle aux bières artisanales. Vingt-quatre échantillons des brasseurs du cru ont pu être ainsi soumis à la sagacité gustative du jury. De la pure logique face à l’émergence constante des micro-brasseries qui prennent de l’essor dans le paysage. Parmi les autres spécialités pouvant concourir dans la catégorie des produits, ajoutons-y pêle-mêle deux fromages, un miel, une liqueur et même une viande.

 

 

La petite leçon de dégustation de Jean-Baptiste THIBAUT…

 

Quant aux critères retenus servant de base à la future pré-sélection de ces crus, citons de prime abord la limpidité des vins. L’aspect visuel est fondamental tant pour les blancs que pour les rouges. L’observation de la fluidité du contenu dans le verre est un autre élément primordial à prendre en considération.

« Vous remuez le verre tout en délicatesse, ajoute en expert Jean-Baptiste THIBAUT, et là, vous voyez comment il tourne et quels sont les reflets de la robe du vin… ».

D’où l’importance de l’éclairage de la pièce qui accueille ce type de manifestations. A Beine, les cinquante personnes formant le jury y ont vu clair !

« Après, bien sûr, il y a le nez. Alors là, précise le viticulteur, c'est important de savoir si c'est un vin qui est très exubérant ou alors s’il possède davantage de profondeur. Il faut lui laisser le temps de venir. Donc, la température est aussi très importante pour pouvoir laisser sortir et optimiser tous ses arômes... ».

Ensuite, place seulement à la dégustation en faisant travailler un autre sens : le goût.

« C’est l’ultime étape pour savoir s'il y a de la profondeur et de la longueur en bouche. Mais, attention, en fonction des jurés, on n'a pas forcément les mêmes goûts et les mêmes envies ! ».

Toutefois, on peut faire confiance à l’expertise de ces professionnels de la dégustation de la dive bouteille, amateurs et épicuriens aguerris à l’exercice.

Plus on pratique, plus on maîtrise. Une chose est sûre : les vins sélectionnés pour représenter la filière viticole de l’Yonne à Paris le 27 février n’auront pas été choisis par le plus pur des hasards. De plus, comme chacun le sait, il n’existe pas !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Le 09 juin prochain paraîtra son troisième volet autobiographique aux éditions du Sarment. Il se nommera « La Valeur ». Un clin d’œil à son ancienne vie « De la banque à la rue, de la rue à la paix ». Après ses deux premiers opus « Tous les banquiers ne finissent pas en prison…moi c’était dans la rue », sorti en 2011 et « Cancer, de l’espoir à l’espérance » en 2018, cet ultime ouvrage sera l’aboutissement de tous les coups durs qu’il a connu dans sa vie. Mais qui lui ont aussi permis de se trouver là où il est aujourd’hui et d’avoir enfin pu poser ses valises et retrouver une sérénité.

AUXERRE : Pour passer une retraite paisible, Jean-Paul ALLOU a choisi le sud de la France dans un petit village situé entre Grasse et Draguignan. Il y alterne son temps entre l’écriture et le bricolage, passion récente, mais nécessaire pour l’embellissement de sa maison. Pourtant lors d’une rencontre avec un compagnon du Tour de France lorsque ce dernier avait voulu lui montrer comment travailler, à l’époque cela lui semblait une perte de temps vu qu’il n’était pas très doué de ses mains ; vexé le compagnon lui avait alors rétorqué : « un homme n’est pas qu’une tête ou que des mains, mais il est un tout ».

Aujourd’hui, il va même, jusque dans les détails et en souvenir de cet apprenti qui lui avait dit « ce qui ne se voit pas, doit être mieux fait que ce qui se voit », emprunter un nouveau chemin. Celui de l’écriture, alternant textes poétiques et brèves de comptoir.

 

 

 

Inspiré de Christian BOBIN, Jean-Paul ALLOU se livre dans son dernier opus. « Journal froissé ». A l’instar des réseaux sociaux où fleurissent de petites phrases inspirantes, l’auteur nous offre ses mots « cadeaux ». Ils sont une invitation où chacun doit y puiser un message.

« Victime ou coupable, ce ne sont que des rôles que l’on a envie de jouer. On met le costume qui convient, jusqu’au jour où on décide de se dépouiller et de se parer de la joie d’aimer ». Mots glanés au comptoir : « Non, je ne porte pas de petite culotte, le temps de l’enlever et tu peux laisser passer une occasion… ».

La plupart de ses textes se veulent provocateur vis-à-vis du pouvoir mais cet ancien formateur, conférencier, coach dans le domaine de la finance, qui a connu la rue et une vie de SDF, a vécu deux ans chez les moines. Il a enfin appris à lâcher prise sous le soleil du sud, et y vit sereinement avec sa nouvelle compagne qui le soutient dans son écriture, étant elle-même artiste. Elle a d’ailleurs illustré le recueil de textes « Journal froissé ». A lire sans modération !

 

Maryline GANDON

 

 


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Pour une surprise, elle fut de taille. Invité à répondre aux questions formulées par le journaliste de France Inter, Philippe BERTRAND (Carnets de Campagne), le dirigeant de la start-up icaunaise Eric DELAFONTENELLE ne se doutait pas avant ce contact téléphonique que la jeune entreprise spécialisée dans le recyclage de textile sensibiliserait une radio nationale. C’est chose faite avec une diffusion programmée de cet enregistrement ce vendredi 21 janvier aux alentours de 12h30…

 

AUXERRE : Emission radiophonique d’une quinzaine de minutes, diffusée du lundi au vendredi juste avant le « Jeu des mille euros » sur France Inter, « Carnets de campagne » fait la part belle à celles et à ceux qui développent des initiatives locales abouties dans l’univers culturel, social et économique. Avec un focus appuyé sur l’économie solidaire.

C’est donc tout naturellement après le relais d’une information parue sur le quotidien « Les Echos » que l’emblématique station de la Maison de la Radio s’est intéressée au sujet du jour, à savoir la start-up de l’Yonne ECOLLANT, placée récemment sous le feu des projecteurs médiatiques car figurant parmi la liste des structures entrepreneuriales bénéficiaires du plan de relance de l’Etat. Une information qui avait été relayée en son temps dans les colonnes de Presse Evasion.

Il y a quelques jours, entre 14 et 16 heures, le dirigeant de la start-up Eric DELAFONTENELLE eut la surprise d’être joint par notre confrère Philippe BERTRAND, animateur de ladite chronique.

 

 

La première interview accordée pour un média national…

 

Au téléphone, le journaliste de la radio lui posa quelques interrogations relatives à l’activité de la société et les raisons pour lesquelles les institutionnels (et en particulier l’ADEME) ont décidé d’accompagner le projet de développement d’ECOLLANT moyennant le plan de relance (une enveloppe d’environ 500 000 euros). Il y eut aussi un couplet sur le Pôle environnemental d’Auxerre où se situe le siège social de l’entité. L’une des deux entreprises à y être domiciliée.

Au terme d’un entretien cordial d’une dizaine de minutes, Eric DELAFONTENELLE réalisa en fait que c’était la première fois qu’il accordait une interview à un média de l’Hexagone !

Le dirigeant de la structure aura vécu là une grande première : il a hâte d’écouter le fruit de cet échange, diffusé ce vendredi 21 janvier à 12h30 dans la fameuse émission. Une excellente entrée en matière au plan de la communication pour bien débuter l’an neuf !

 

Thierry BRET

 


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Dans la vie professionnelle, il ne faut pas s’en faire ! On dirait presque un plagiat de l’un des succès emblématiques de Maurice CHEVALIER dans le texte. Pourtant, le credo de Michaël OUDMEDJKANE repose bel et bien sur cette pratique vertueuse. A l’aide de son entité, OBIANCE, l’entrepreneur propose de traiter toutes les questions de stress et de bien-être qui bouffent le quotidien des Français au travail.

 

AUXERRE : L’heure est à la relaxation dans les entreprises. Surtout pour les cadres et les collaborateurs qui n’en peuvent plus d’accumuler des heures et des heures de présence au labeur, noyées par le stress et la productivité à outrance.

Massages assis (un régal pour les cervicales qui sont mises à délicates contributions durant d’interminables journées vécues derrière l’écran de l’ordinateur), méditation, prise de conscience ou encore luminothérapie, le catalogue proposé par OBIANCE est on ne peut plus sympathique. Sur le papier mais aussi en réel.

Bon nombre de structures entrepreneuriales sont désormais séduites par ces concepts qui font florès à travers l’Hexagone. Dans l’Yonne, plus particulièrement, l’entité portée par Michaël OUDMEDJKANE fait recette en élargissant son panel d’interventions. Le succès est au rendez-vous. L’entrepreneur sillonne aujourd’hui la France entière pour y prêcher de sages paroles : apporter et optimiser le bien-être au cœur du monde professionnel. Comme ce fut le cas récemment dans un centre hospitalier auxerrois.

 

 

Joindre l’utile à l’agréable même sur le lieu de travail…

 

Des séances de détente à apprécier sans aucune modération qui peuvent être financées par des organismes mutualistes. Les grands groupes lorgnent de plus en plus sur ce créneau devant apporter une plus-value physique et mentale à leurs collaborateurs. La SNCF, EDF, La Poste, mais aussi Carrefour ou l’un des piliers de la cosmétique et du luxe à la française, YSL (Yves Saint-Laurent) utilisent les services de la SARL.

Naturellement, le milieu hospitalier et sanitaire, particulièrement exposé au stress et à la tension nerveuse, est en ligne de mire au plan du développement stratégique du chef d’entreprise. Michaël sait prodiguer avec ses équipes de spécialistes ses conseils qui peuvent atteindre les rivages éloignés des DOM TOM comme à la Réunion ou à Mayotte.

Joindre l’utile à l’agréable même au cœur du système professionnel n’est plus un vain mot. OBIANCE et sa palette d’une vingtaine de déclinaisons bien-être y pourvoient pour le plus grand bonheur de celles et de ceux qui passent dans les mains expertes de ces spécialistes de la détente.

 

Thierry BRET

 


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