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Passagère d’une superbe voiture de collection, une Citroën Traction du plus bel effet visuel et au châssis magnifiquement entretenu, la dirigeante de la SAS BATRIUM RENOV s’est prise à rêver de « libérer » la capitale de l’Yonne, encore sous le joug des occupants d’Outre-Rhin, le temps d’un défilé de véhicules militaires, très apprécié des Auxerrois.  

 

AUXERRE: Elle arbore son plus joli sourire, l’ex-adjointe de la Ville d’Auxerre qui était jadis en charge de la Jeunesse et de la Formation. Cela se déroulait sous l’ère de Guy FEREZ !

Aujourd’hui, accueillie à bord d’une magnifique « Citroën Traction » rutilante comme un sou neuf, le symbole automobile par excellence des Forces Françaises de l’Intérieur (FFI), la cheffe d’entreprise auxerroise s’est muée le temps d’un défilé de véhicules militaires dans les rues du centre-ville d’Auxerre en une « libératrice » de la cité.

 

 

 

Réunis par des collectionneurs de l’Yonne, férus de ces engins motorisés qui ont été depuis très popularisés par de nombreux longs-métrages traitant du sujet, ces véhicules militaires datant de la Seconde Guerre mondiale ont parcouru plusieurs centaines de mètres sur les axes principaux du cœur de ville au terme de la soirée commémorative sous le regard ébahi des Auxerrois curieux.

Dans le premier véhicule, ouvrant le cortège, avait pris place une Sarah DEGLIAME-PELHATE toute heureuse de se retrouver là, à bord de l’automobile mythique du constructeur français. Une façon aussi pour elle de procéder au devoir de mémoire et de ne pas oublier celles et ceux qui ont combattu autrefois pour que souffle aujourd’hui le vent de la liberté…

 

Thierry BRET

 

 


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S’appuyant sur la complicité et la plume de Jean-Claude ALLANIC, journaliste de France 2, le dirigeant de l’agence de relations presse et relations publiques PAYMAL NETWORK avait co-signé un ouvrage de référence sur les dessous des relations avec les médias en 2018. Spécialiste du design, de l’architecture et de la communication touristique, Christophe PAYMAL, après deux décennies vécues à Paris, entend bien laisser une empreinte indélébile sur sa nouvelle terre de prédilection : la Bourgogne Franche-Comté…

 

CHEVANNES: Sa silhouette et son sens relationnel sont connus de tous dans le petit village situé en périphérie d’Auxerre. Le conseiller municipal a déjà eu en effet l’heureuse opportunité de mettre en exergue ses talents en favorisant la venue d’une belle exposition photographique sur les fonds marins et la protection de l’environnement à l’amorce de l’été.

Habitant une très belle demeure patrimoniale de caractère au cœur de la bourgade, Christophe PAYMAL aime aussi se ressourcer dans l’immense espace de verdure qui lui fait office de jardin. Un parc à la dimension de ses envies de villégiature ?

Ce petit coin de paradis où sifflent les merles rieurs et où se promènent furtivement les écureuils représente un endroit salvateur pour le repos de l’âme où respire vraiment la plénitude. Un site idéal pour peaufiner durant cet été caniculaire sa stratégie afin de mieux se propulser des starting-blocks dès les premiers jours de septembre.

 

Un pur créatif de la communication et de la relation presse…

 

L’esprit de ce personnage sympathique et communicatif phosphore en permanence. Normal, ce chef d’entreprise, attaché de presse pour des agences de design, de publicité, de communication touristique cultive avec maestria sa constante effervescence : c’est un pur créatif.

L’un de ceux qui a osé franchir le Rubicon de l’entreprenariat en créant sa propre entité professionnelle en 2009 (PAYMAL NETWORK), un bureau de presse où il aime se rassasier depuis de projets intenses et insolites où la communication avec un grand « C » retrouve enfin ses lettres de noblesse.

Désormais, un peu plus éloigné de la capitale où il a œuvré durant deux décennies, Christophe PAYMAL désire poursuivre l’aventure de la mise en valeur relationnelle des autres en Bourgogne Franche-Comté. 

 

 

La distillerie VALOUR + LEMAIRE profite déjà de ses conseils…

 

Certes, la crise sanitaire et ses diverses conséquences (baisse de régime dans les affaires, insalubrité à Paris…) sont passées par là. Mais, pas seulement. Le garçon souhaitait depuis un moment se diversifier et goûter aux joies salvatrices de la province. Depuis son installation au cœur de l’Auxerrois.

L’une des premières structures départementales lui ayant accordé sa confiance, se nomme « VALOUR + LEMAIRE ». Dans le giron, on connaît très bien la fameuse distillerie de Tonnerre, portée sur les fonts baptismaux au printemps 2020, qui conçoit ses spiritueux (gins, vodkas, liqueurs) avec le concours financier de la Région. Un vrai succès…

Aujourd’hui, la structure bénéficie de l’aide précieuse et experte de ce fin pédagogue de la communication qui n’a, par ailleurs, pas hésité à publier un petit opus sur les bonnes pratiques des relations presse.

Un fascicule utile et pertinent dans lequel son auteur livre une dizaine de commentaires très avisés à son lectorat pour réussir ce délicat exercice ô combien déterminant à la notoriété d’une entreprise.

Exerçant ses activités avec une journaliste free-lance, Fabienne RIPON qui lui rédige de façon régulière des articles, ce communicant pur jus veut tisser sa toile d’araignée de manière progressive mais déterminée en Bourgogne Franche-Comté.

Ses cibles sont en priorité les PME et les PMI de tout secteur d’activité. Même si le tourisme, le design et les arts de vivre lui collent toujours à la peau. Sans doute le côté épicurien de ce personnage affable qui mérite le détour !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Le réchauffement climatique a incontestablement été alimenté par les activités humaines lors du développement industriel du XXème siècle et se perpétue. Mais, l’accroissement des températures n’est plus exclusif de l’émission des gaz à effet de serre produits par l’homme…

 

BILLET : Deux phénomènes physiques indépendants y contribuent dorénavant principalement et risquent de condamner tous nos efforts de réduction dans le futur : la fonte de la banquise et des glaciers ainsi que le dégel du « permafrost ».

Dans le premier cas, la réduction des surfaces glacées et enneigées diminue la réflexion des rayons solaires et conduit à l’élévation des températures de l’atmosphère, surtout des mers et océans.

 

 

Quant au dégel des terres (le « permafrost »), jusqu’alors gelées depuis des siècles, il libère de grosses quantités de méthane. Un gaz dont les effets de serre sont bien supérieurs à celui du Co2.

En conclusions : les conséquences des activités humaines sur le phénomène deviennent vraisemblablement marginales…

 

Michel KOZEL

 


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Après l'Aube, direction la jolie Saône-et-Loire, en Bourgogne dite du sud. Antan, la pub la dénommait celle du soleil.  Mais, désormais l'astre diurne rayonne aussi dans sa partie septentrionale ! Au siècle dernier, les livres culinaires bourguignons désignaient souvent la belle cité de Tournus (5 700 habitants environ) comme étant « LA » capitale gastronomique bourguignonne. Sa position en bord de rivière,  proche de la Bresse, pouvait l'expliquer. De nos jours, il paraît que ce serait Dijon et sa nouvelle Cité de la Gastronomie, évoquée voici quelques semaines dans nos colonnes, qui semble plutôt dévolue aux bobos citadins !

 

TOURNUS (Saône-et-Loire) : Dans cette bourgade commerçante, il a toujours fait bon s'attabler, hier comme aujourd'hui. Une belle et bonne étape, le long de l'ex-RN6, de la voie ferrée Dijon-Lyon, mais aussi proche d'une sortie autoroutière de l'A6. Près du bourg,  en direction du sud - décidément ! - se dresse l'hôtel-restaurant « Les Terrasses ». Au siècle dernier, la maison est légitimement réputée pour sa cuisine classique bien troussée : le pâté chaud de colvert  cohabite gaillardement avec le sandre bardé au jambon du Morvan, les quenelles de brochet « Henri RACOUCHOT », le poulet de Bresse sauté nature « Jean DUCLOUX » (mythique chef local de l'époque du restaurant Greuze) et autres pigeons en cocotte aux gousses d'ail confites. Sans oublier : le majestueux soufflé au dessert.

 

 

 

La « fidélité » : le maître mot de la famille CARRETTE…

 

Bref, tout va bien pour le chef Michel CARRETTE et son élégante épouse, Henriette, que l'on entend de loin, grâce aux cliquetis de ses chaussures à talon ! En 1999, déjà détenteur d'un « bib » gourmand, le Michelin leur y adjoint une étoile. Maison ainsi doublement récompensée (système que Michelin ne maintint que quatre à cinq ans ensuite...) et l'assurance pour les gourmets d'une étape gourmande de grande qualité. Pendant ce temps, Jean-Michel, leur fils unique, est cuisinier chez TROISGROS à Roanne, l'un des temples culinaires de l'époque. 
Mais en 2005, c'est le drame. Michel, âgé de 52 ans, décède prématurément.  Dans des conditions pas forcément faciles, Jean-Michel revient alors précipitamment reprendre la succession paternelle en cuisine. Il est épaulé par Amandine, sa jeune et charmante épouse, et sa maman. Cet excellent cuisinier, pudique et discret, aura tout d'abord à cœur de maintenir l'étoile Michelin, gagnée par ses parents. Il sut alors avec intelligence et compétence, s'appuyer sur la brigade créée par son papa. « Fidélité » : un vrai mot chez les CARRETTE...

 

 

Place aux produits locaux qui ont la part belle !

 

Et comme petit à petit l'oiseau fait son nid, Jean-Michel conserva le pâté en croûte paternel - dont il est un orfèvre - mais fit peu à peu évoluer sa cuisine, et l'établissement. De concert avec Amandine qui le transforma de fond en comble. La traditionnelle auberge de bord de route nationale s'est muée en un antre gourmand dans laquelle de grandes baies vitrées inondent de lumière ce décor de matériaux bruts (bois et pierre). Sans oublier l'apaisant jardin, dixit le Michelin.

Adieu menus formels ! Selon l'appétit,  le convive choisit trois, cinq, huit plats (menu à partir de 35 euros). Les produits locaux y ont la part belle : les ablettes de la Seille (cours d'eau local) accompagnent un Américano hors du commun, ou encore les légumes de Jérôme, le fidèle maraîcher. 

 

 

 

 

Le clin d’œil sympathique au terroir de l’Yonne…

 

Les vins sont souvent ceux de jeunes vigneronnes et vignerons qui viennent de se lancer ! De jolies assiettes dans lesquelles sont dressées des mets fins et délicats : on pense aux tomates de Jérôme et leur eau goûteuse et sucrée ;  l'étonnant carpaccio de haricots verts au coq (quel accord !), les petits pois, l'impeccable langoustine cuite sur bois ou le pigeonneau délicatement rosé (petit clin d'œil affectueux à la cuisine paternelle, peut-être...).

Le comté de vingt-quatre mois râpé et sa crème au Savagnin sont aussi un modèle du genre. Et, c'est sciemment que l'on conserve un « p'tit » cocorico icaunais pour la fin, puisque la truite servie provient de Crisenon !

 

 

 

Un régal de s’attabler dans cette maison qui pourrait être la nôtre…

 

Le tout, avec un service jeune et dynamique, auquel Lou, la fille de la maison, vient  d'ailleurs parfois prêter main forte ! Les chambres sont modernes elles aussi, à l'unisson de cette table pas comme les autres. Dont la décoration fut notamment prise en charge par une ancienne icaunaise, Martine FENART, mariée à Joël qui fut maire du village de Villiers-Louis.

Ce n'est pas par hasard si  l'on fait, depuis Sens, trois heures de train confortable (profitons encore des dernières rames Corail !) pour s'attabler ici, où, sous la férule d'Amandine, de Jean-Michel et de leur brigade, l'on se sent, l'espace d'un déjeuner, un peu comme chez soi !

 

 


En  savoir plus

 

Les - : le temps y  passe trop vite !


Les + : belle mise de table où le pain et le beurre sont délicieux. 

 

 

Contact :

Hôtel-restaurant aux Terrasses

18, avenue du 23 janvier

71700 Tournus

Téléphone : 03. 85. 51. 01. 74.

Fermeture le dimanche et le lundi.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 

 


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Bénéficiaire du plan de relance accordé aux structures industrielles lors de la crise sanitaire de la COVID, BAM – traduction littérale pour « Business ALU MASUE » – faisait partie des entreprises biffées par la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY à son agenda lors de sa mini-tournée, jeudi dernier, dans l’Yonne. Si la fonderie se porte bien du côté de sa valeur ajoutée et de son gain en compétitivité, c’est le volet énergétique qui aura été l’un des thèmes de discussion. D’autant qu’il y a urgence pour tenter de faire face aux hausses considérables attendues à l’automne…

 

DIJON: Lors de la conférence de presse qu’elle a donnée à l’hôtel de la Région vendredi en fin de matinée, la présidente de l’exécutif de Bourgogne Franche-Comté Marie-Guite DUFAY s’est montrée particulièrement vigilante et inquiète quant à l’envolée inflationniste des coûts de l’énergie, devant impacter durablement les industriels au cours des semaines à venir.

Une situation qui pourrait mettre en péril bon nombre de PME/PMI confrontées à des hausses très significatives imputables au contexte géopolitique actuel. Celles-ci utilisant obligatoirement du gaz et de l’électricité pour alimenter leurs unités de production. Si ce n’est pour s’éclairer et se chauffer.

Faisant une courte digression sur la thématique du jour (la rentrée scolaire dans les lycées où là aussi des coupes sombres doivent s’envisager pour réaliser des économies plus ou moins drastiques), l’élue régionale a évoqué devant les journalistes, à titre d’exemple, les préoccupations existentielles des dirigeants de la fonderie BAM à Joigny.

 

Une forte présence concurrentielle de sociétés américaines et indiennes…

 

Structure, au demeurant de belle envergure et créatrice de valeurs ajoutées, dans laquelle la présidente s’est immergée en compagnie de Nicolas SORET, édile de la ville du Centre Yonne, et de Gilles DEMERSSEMAN, l’un des conseillers régionaux de l’Yonne, ce jeudi.

Précisons que BAM dont le responsable n’est autre que Bruno JANVIER a obtenu à l’instar de vingt-et-une autres industries de Bourgogne Franche-Comté de précieux subsides, soit une enveloppe de 800 000 euros, dans le cadre du plan de relance économique, catégorie fonds de soutien à la modernisation et à la diversification des filières automobile et aéronautique, en 2021.

 

 

Concevant des pièces et de petits composants pour divers secteurs économiques comme l’automobile, l’électroménager, l’aérospatiale, l’agriculture, les poids lourds ou encore l’aéronautique, sans omettre le secteur de l’énergie, BAM est confrontée à une très forte présence concurrentielle sur les différents marchés où elle intervient. Notamment des enseignes qui sont implantées aux Etats-Unis ou en Inde.

Or, ces sociétés extra-européennes ne subissent pas de plein fouet les conséquences funestes de la pénurie d’énergies qui frappe le Vieux continent depuis que la Russie a envahi son voisin ukrainien et a coupé de manière progressive le robinet de l’énergie.

 

Une lettre au ministre de l’Industrie pour étendre le bouclier énergétique…

 

Déductions prévisibles : les factures de gaz (+ 8 %) et d’électricité (+ 11 %) s’envolent pour la PMI et cela ne semble pas être terminé au vu des projections particulièrement pessimistes qui sont annoncées par tous les experts d’ici l’hiver prochain.

Un état de fait très anxiogène à vivre pour les dirigeants de la société qui ont interpellé Marie-Guite DUFAY lors de son séjour à Joigny. Celle-ci, avec un zeste d’ironie destiné à ses détracteurs, en profita pour rappeler aux représentants des médias « qu’elle ne pratiquait pas le tourisme industriel lors de ces immersions dans les entreprises ! ».

Pour preuve de leurs utilités, la présidente de l’exécutif évoqua l’existence d’un bouclier tarifaire voulu par l’Etat devant soutenir et protéger certaines entreprises. Celles les plus exposées à l’augmentation des prix du gaz ainsi que les entreprises les plus fragiles.

Usant de son levier politique, Marie-Guite DUFAY s’est fendue dès le lendemain de sa visite icaunaise d’une lettre adressée au ministère de l’Industrie, suggérant au passage un élargissement de ce bouclier tarifaire protectionniste au bénéfice des entreprises. Notamment, les fonderies, considérées comme des établissements très énergétivores.    

« La Région se doit d’aider la société BAM face à cette problématique énergétique, ajoutera-t-elle en guise de conclusion, si nous le faisons pas, quid de son avenir ? ».

La balle est désormais dans le camp de la ministre Agnès PANNIER-RUNACHER quant à la solution efficace à préconiser !

 

Thierry BRET

 


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