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Tiens, on se croirait presque revenu à la formule des matchs disputés en aller/retour version coupes européennes ! Et pour cause, la précédente opposition entre l’AJ Auxerre et l’AS Monaco date du 28 décembre dernier. Une rencontre qui eut lieu en pleine période de « Boxing Days » à la française. Une exception culturelle pour les supporters de la Ligue 1, pas habitué à un tel calendrier. Une confrontation initiale qui s’était soldée par une défaite sur un score méritoire de 2 à 3 face au club du Rocher. En sera-t-il de même mercredi soir sur les bords de la Méditerranée ?

 

AUXERRE : Ce n’est pas vraiment le hasard. L’explication se trouve dans le principe du championnat de France, disputé en phase de matchs « aller » et de matchs retour. Un mois à peine après la première rencontre qui avait vu la formation monégasque l’emporter d’une courte tête sur les Icaunais, l’AS Monaco reçoit les protégés de Christophe PELISSIER au stade Louis II. Une rencontre qui sent le soufre pour les Bourguignons, en cruel manque de points !  

Qu’espérer, dans le fonds, de ce déplacement périlleux si loin de ses bases arrière à une heure et demie de vol depuis Orly un mercredi soir de février ?! Beaucoup de choses, si l’on en croit les propos du coach, qui lors de son point de presse d’avant-match, a assuré que le groupe effectuait le déplacement avec la ferme intention de montrer ses qualités de jeu face à l’adversaire. Et de ramener quelque chose dans la besace ?

« Nous allons apporter la même résistance sur le terrain que lors du match aller, souligna Christophe PELISSIER, qui s’épancha longuement sur le mental de ses troupes après le revers immérité face à Montpellier dimanche. Une partie perdue sur le score de deux à zéro et un pénalty raté du pauvre capitaine Birama TOURE, en manque de confiance devant la cage du portier adverse.

Il est vrai, au vue de la physionomie de la rencontre face aux Héraultais que le sort de la partie aurait pu être tout autre, avec une belle domination des Bourguignons et deux frappes qui allaient mourir sur les poteaux.

Toutefois, attention, changement de registre face aux quatrièmes de Ligue 1 et prétendants à l’Europe : l’ASM représente un tout autre calibre que Montpellier en proie aux affres du doute. « C’est une formation de très haut niveau, concède le coach qui se livre face aux journalistes, on sait très bien ce qui nous attend ! ».

Confrontée au cycle infernal de six matchs à jouer en une vingtaine de jours, dont celui de la Coupe de France face à Rodez à domicile le 08 février, l’AJA qui présentera un groupe au grand complet mercredi soir sans la moindre absence imputable à une blessure doit relever la tête très vite et sortir du guêpier de la zone de relégation où elle occupe pour l’heure la dix-neuvième place.

« Il nous faut retrouver la confiance, lâche l’entraîneur auxerrois, on n’arrive pas à concrétiser alors que l’on peut être dominateur comme face à Montpellier… ».

Défendre ses chances, crânement. Voilà l’objectif avoué et assumé par Christophe PELISSIER qui a su distiller les mots psychologiques qu’il fallait au lendemain de la nouvelle défaite de son équipe. Des mots où le positivisme et l’unité ont subjugué les joueurs avec détermination en leur permettant de retrouver le bon chemin qui mène à la victoire.

Des mots qui ne doivent pas pour autant occulter les actes ! Rendez-vous est donc pris ce mercredi 01er février à partir de 20 heures…

 

Thierry BRET

 


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Il s’en est fallu d’un tout petit rien pour que les larmes ne lui montent aux yeux. Le timbre de voix, légèrement chevrotant au terme de son discours, aura trahi son intense émotivité. Quoi de plus normal, en somme, pour celui qui a permis au centre de formation interprofessionnel auxerrois de rentrer de plain-pied dans l’ère de la modernité et de l’excellence – un credo personnel qu’il aura su également appliquer à lui-même – durant cette décennie passée à la direction de la vénérable institution…

 

AUXERRE: « Chez Marcel ». Original, puisque illustré par le portrait de l’auguste personnage peint sur la fameuse fresque murale du gymnase, le carton d’invitation propre à l’évènement – le départ à la retraite du maître des lieux - évoque la gaité, la joie de vivre, l’épicurisme, le sens de l’accueil, le professionnalisme, le sérieux. L’art et la manière d’avoir su insuffler pendant dix ans de nouveaux horizons à ce CIFA de l’Yonne, où l’excellence n’est pas un vain mot.

Un carton invitant à la convivialité – elle sera bel et bien présente tout au long de cette cérémonie de départ à la retraite sans tralalas ni fioritures mais tellement juste et humaine au vu du travail effectué – et à la dégustation de bons produits, ceux du terroir mis en évidence par l’illustration de cette vitrine rappelant un bouchon que l’on suppose lyonnais !

Logique, pour cet amoureux de la bonne chère et du bon vin – en cela, le restaurant d’application « Le Com’des Chefs » aura su répondre à son appétit et à ses attentes – qui devrait s’en retourner définitivement dès le 01er février chez « La Dame de Haute-Savoie », son épouse Jacqueline, qui l’aura attendu chaque week-end à leur domicile dans cette belle région de France, une fois le devoir pédagogique effectué dans l’Yonne, elle-même entrepreneuse dans la filière du bâtiment.

 

 

Le CIFA vers la modernité et l’excellence au centre de tout…

 

Heureux Marcel FONTBONNE ! Lui qui affublé d’une toque blanche et de la vêture de chef gastronomique sur le carton d’invitation s’est même permis le luxe de donner de sa personne dans l’exemplarité professionnelle jusqu’au bout de son mandat directionnel en passant un…CAP cuisine dans l’établissement dont il assumait la pérennité et la notoriété. Histoire de vivre un cursus éducatif comme ses élèves !

Bien sûr, il y avait pléthore d’invités. Bien sûr, le tout Yonne avait effectué le déplacement pour cette cérémonie qui ne tomba pas dans le pathos – on regrette toujours celles et ceux qui partent – mais qui resta profondément vibratoire et sincère au plan émotionnel.

C’est sous un tonnerre d’applaudissements, formule chère à Jacques MARTIN que l’assistance bien « chauffée » par un Maxime LAUZET au micro, le gestionnaire de la communication du CIFA, que l’ex-directeur de l’établissement et néophyte de la retraite arriva sur la scène faisant office de tribune en fendant la foule. Une arrivée de rock star qui se livrera malgré tout avec pudeur sur l’estrade lors de sa prise de parole auréolée de sensibilité.

Avec solennité mais également un zeste d’humour qui lui est propre, Marcel FONTBONNE remercia le président du conseil d’administration du CIFA, Michel TONNELLIER, pour la qualité de son discours introductif. « Vous m’avez convaincu, président, donc je reste ! ».

Puis, regagnant en sérieux, il évoqua cette nouvelle vie qui se présente à lui désormais. En poste à Auxerre depuis 2012, Marcel FONTBONNE n’eut de cesse d’améliorer la qualité de vie et de l’enseignement de ce centre pratiquant l’alternance dans bien des filières professionnelles. De la coiffure aux métiers de la mécanique, de la filière des métiers de bouche à l’esthétisme, de la vente à la gestion.

Deux plans de développement plus tard (« Le CIFA vers la modernité » et « L’excellence au centre de tout ») donnèrent une sérieuse impulsion au projet organisationnel voulu par l’établissement auxerrois. Marcel FONTBONNE, volubile, s’en amuse en public : « si j’étais resté à mon poste, j’aurai poursuivi avec le projet « L’excellence au service des arts », mais aussi des arts culinaires, des arts de la table, ceux de la coiffure, etc. Vous voyez, même aux portes de la retraite, je conserve encore de l’imagination ! ».

Eclats de rire général parmi l’assistance qui savoure ces moments croustillants où la chaleur humaine est bien présente.

 

 

« Soyez fiers du CIFA et de ses potentialités pédagogiques… »…

 

Puis, revenant sur le binôme formé pendant tant d’années avec Michel TONNELLIER, le jeune retraité retraça les temps forts de cette doublette qui symbolisera la réussite et l’essor de ce CIFA de l’Yonne, connu et reconnu au niveau hexagonal par la somme des initiatives qui y sont prises.

On a tous en mémoire le fameux défi culinaire (toujours et encore, c’est vraiment la marotte du retraité savoyard !) IRON COOK, plébiscité par les plus grandes toques de France. Mais, aussi le « Clic Store », espace pédagogique unique en France faisant la part belle au monde virtuel ou le salon de coiffure plus vrai que nature, épaulé par L’Oréal, parce que le CIFA le vaut bien !

Homme de challenge, humaniste, Marcel FONTBONNE a su relever les défis avec la complicité de ses équipes dévouées et investies. « Je ne me suis jamais ennuyé au CIFA, ajouta-t-il, et j’ai l’intention de ne jamais m’ennuyer pour la suite de mon chemin ».

Chevalier dans l’Ordre national du mérite, Marcel FONTBONNE s’est souvent montré bon prince avec les acteurs institutionnels et économiques de la ville, à qui il doit la réussite de sa carrière icaunaise. Il tenait à le mentionner lors de son discours.

« Tous m’ont aimablement accueilli et soutenu dans mes diverses actions, souligne-t-il, quand j’en avais besoin… ».

Désireux de créer un mode de vie différent à la retraite –  la formule « on change de patron quand on est à la retraite, et on passe de celui qui vous a embauché, à celle qui vous a épousé est à conserver dans les annales -, Marcel FONTBONNE se fendit d’un autre de ces bons mots, rappelant qu’il serait un collaborateur difficile, voire contestataire dans sa nouvelle existence ! Fier du travail accompli avec ses collaborateurs à qui il aura dit au-revoir et merci…

 

Thierry BRET

 

 


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Présent ce dimanche au stade Abbé Deschamps, l’ambassadeur plénipotentiaire de la République populaire de Chine, Lu SHAYE, a répondu favorablement à une invitation lancée par le propriétaire de l’AJ Auxerre, James ZHOU. Une manière symbolique de célébrer le nouvel an chinois, placé sous le signe du lapin…

 

AUXERRE : Selon vous, pourquoi le football de haut niveau ne parvient-il pas à percer en Chine ?

C’est difficile à dire, mais l’histoire du football en Chine est beaucoup plus récente qu’en France. A peine une trentaine d’années pour les matchs professionnels contre plus d’un siècle en France. La culture du foot existe en Chine, mais n’y est pas aussi solide qu’ici, que ce soit au niveau de la formation des joueurs ou du système d’organisation. Personnellement, j’en suis désolé, même si je ne suis pas expert en la matière, mais j’espère que les échanges sur ce plan entre nos deux pays, ne feront qu’améliorer les choses et un club comme l’AJA a un rôle à jouer bien sur… 

Sport et politique ont toujours été étroitement liés. On se souvient de la première visite du président américain Richard NIXON en 1972 et de ce qu’on appelait alors la « diplomatie du ping-pong »…

Oui, je crois que la diplomatie du foot peut exister à son tour. Et si la France nous aidait à améliorer notre niveau concernant ce sport, ce serait un grand succès de la diplomatie et cela pourrait même avoir une signification politique… 

 

 

En ce début de nouvelle année, que souhaitez-vous pour votre pays ?

Bien sûr, le bonheur, le succès et la prospérité… 

Et pour le reste du monde ?

La même chose ! (rires). Mais aussi la stabilité, le développement et la paix. Il y a la guerre dans le monde aujourd’hui.Et on espère qu’elle prendra fin au plus tôt. La Chine et la France peuvent ensemble faire des efforts en ce sens… 

Pour en revenir au sujet du jour, quel est votre pronostic pour ce match de l’AJA contre Montpellier ?

Je prévois 2 à 1… En faveur de l’AJA bien sûr ! (rires).

 

Propos recueillis par Dominique BERNERD

 

 


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La séance de vœux des élus du Rassemblement National de l’Yonne s’est muée en un exercice oratoire récapitulatif des premières actions concrétisées sur le terrain par les intéressés eux-mêmes depuis la prise de leurs fonctions. Un bilan non exhaustif de sujets, effectué sur différentes strates d’intervention. Qu’elles soient hexagonales, régionales ou locales. Avec à la baguette, le chef de file de la représentation souverainiste sur le territoire, un Julien ODOUL, très en verve qui devait profiter de la circonstance pour rappeler que le RN reste le premier parti d’opposition à la gouvernance actuelle…

 

AUXERRE: L’heure du bilan s’est-il établi en guise de grandes résolutions à tenir chez les élus du RN ? Afin de montrer toute leur détermination à jouer plus que jamais leur rôle de premiers opposants à la politique gouvernementale et au chef de l’Etat en 2023 ?

C’est en substance le message liminaire qu’ont voulu passer le parlementaire de l’Assemblée nationale Julien ODOUL (député de la troisième circonscription de l’Yonne) et les deux conseillers régionaux, assis à ses côtés à la tribune d’une rencontre avec la presse, Audrey LOPEZ et Pascal BLAISE. Le député de la première circonscription de l’Yonne Daniel GRENON était excusé pour raisons personnelles.

Prenait part également à cette explication de texte très fournie dans les détails, Xavier ROSALIE, le singulier maire de Piffonds qui ne pratique pas la langue de bois dans ses propos et multiples anecdotes qui relatent le quotidien de sa commune rurale.

 

Quatre propositions de lois portées par Julien ODOUL…

 

A quoi servait exactement cet exercice oral, se définissant comme une véritable rétrospective des actions menées lors de ce semestre écoulé ? A prouver en l’argumentant de chiffres et d’exemples détaillés à l’appui que les élus du RN ne restaient pas les bras croisés comme des spectateurs inertes en attendant que les choses se passent au sein des hémicycles respectifs qu’ils fréquentent. Y compris à la Région

Cet entretien testimonial autour du bilan de ces six derniers mois de 2022 devait s’articuler autour des propositions de lois – au nombre de quatre - déposées par Julien ODOUL dont la toute dernière se rapportait à la possibilité de pouvoir expulser un étranger sous le coup d’une OQTF. Il fut également question des textes visant à interdire les rodéos urbains sauvages. Des actes d’incivisme qui font avec régularité constante la une de l’actualité. Mais, il était aussi question du texte offrant la possibilité de financer le permis de conduire via le compte personnel de formation ainsi que celui renforçant le respect et le bien-être animal afin de mieux lutter contre les abandons massifs de nos amis domestiques chaque année en France. Environ 100 000 animaux laissés au bord du chemin en moyenne, ce qui est en toute objectivité proprement scandaleux...

 

Des travaux rejetés par « dogmatisme et bêtise » par les autres groupes…

 

Le travail des parlementaires du Rassemblement National – le groupe d’opposition le plus important en termes de représentation au Palais Bourbon - se traduit aussi dans les faits par vingt-huit questions écrites au gouvernement. Celles-ci ont touché des sujets de terrain, la résultante de sollicitations d’élus locaux ou de représentants associatifs – notamment le thème des transports avec le TER circulant au nord de l’Yonne, la désertification médicale ou le besoin d’un second lycée sur le Sénonais ainsi que la hausse des charges pour les locataires de logements sociaux…, sans omettre les professionnels – on pense aux artisans boulangers et aux bouchers devant faire face à l’augmentation inéluctable des coûts de l’énergie.    

Ne se privant pas de prendre la parole dans le saint des saints de la vie démocratique que représente l’Assemblée nationale, l’élu de l’Yonne est intervenu dix-huit fois au micro, la plus récente abordait le port de la tenue uniforme des scolaires dans les écoles et les collèges. Un item proposé dans le cadre de la niche parlementaire du groupe bleu marine qui n’aura pas connu le succès auprès des autres députés ni leur approbation, puisque rejeté à l’instar des six autres projets présentés par le RN.

« Par dogmatisme, bête et méchant de tous les autres groupes politiques, ces propositions de lois ont été rejetées systématiquement, lâche un Julien ODOUL profondément amer, ces propositions concernaient la vie quotidienne des Français en augmentant leurs salaires, en luttant contre les inégalités à l’école, en refusant les ZFE, ces zones territoriales anti-pauvres qui vont exclure de fait toutes celles et ceux qui ne peuvent pas acquérir un véhicule électrique. C’était aussi revivifier la démocratie en instaurant les principes de la proportionnelle. Bref, que du bon sens partagé par une large majorité de Français et cela a été balayé…».

La verrue au beau milieu de ce bilan semestriel du RN ? Vraisemblablement !

 

Une pique qui cible les élus des Républicains qui ne « travaillent » pas !

 

En qualité de président de groupe au Conseil régional Bourgogne Franche-Comté, Julien ODOUL procéda ensuite à un exercice similaire, résumant point par point les activités de sa formation durant l’année écoulée à Dijon.

« Nous sommes rentrés dans l’hémicycle régional en juin 2021 avec l’intention de protéger les citoyens de notre territoire, souligne le député de l’Yonne septentrionale, cela s’est traduit dans les faits par plus de deux cents prises de parole en séance plénière, cent-quatre textes qui ont été déposés depuis le début du mandat. Sur la seule année 2022, c’est 151 interventions orales, 56 textes déposés, 41 amendements, quinze motions et vœux…Très franchement, nous sommes le seul groupe d’opposition régionale à remplir notre mission car les élus Les Républicains ne travaillent pas, de manière volontaire ou involontaire, peu importe ! ».

Et le numéro cinq de la formation bleu marine de saluer le travail des deux conseillers régionaux assis non loin de lui, Audrey LOPEZ et Pascal BLAISE. Ce dernier ayant pris souvent la parole sur le dossier dont il a la charge au sein de sa commission, c’est-à-dire les transports.

Défense des automobilistes avec la suppression de la TIPCE, désertification médicale ou gratuité des transports pour les étudiants, autant de sujets au demeurant importants qui auront été défendus par les élus du RN dans la capitale des ducs de Bourgogne l’année dernière.

Julien ODOUL rappela aussi son attachement patrimonial au site de l’abbaye de Pontigny – « un sujet qui n’a pas fini de faire parler de lui déclare-t-il un brin prophétique, il existe une sorte de malédiction sur ce dossier ! » - mais aussi autour de la mobilisation contre la fermeture de BENTELER, le site industriel de Migennes et la perte de ses 400 emplois, « une motion a été rédigée par tous les groupes, adoptée à l’unanimité… ».   

Considérant le bilan de l’année écoulée, « riche » et « constructif », le porte-étendard du souverainisme à l’estampille RN ne comprend pas l’obstruction permanente faite par les élus des autres formations envers leurs projets. Une forme de « sectarisme » primaire qui n’apporte rien de bon à la vie démocratique, selon lui. L’un des enjeux politiques de la nouvelle année qui commence pour changer de paradigme…

 

Thierry BRET

 

 


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C’est sûr, les supporters du club n’oublieront pas de sitôt l’épique année 2022. Synonyme de retour parmi l’élite nationale après une décennie de disette infructueuse, la période écoulée restera donc gravée dans les annales de cette formation qui peut drainer plus de trois cents personnes, à l’occasion de la cérémonie des vœux. Accueillis au Silex, ils auront permis de retracer, entre bilans divers et perspectives,  l’existence d’une structure sportive qui demeure le phare éclairant l’actualité sportive de ce territoire icaunais…

 

AUXERRE : L’heure n’était pas aux circonvolutions intellectuelles et aux supputations en tout genre pour savoir si, in fine et au terme d’un championnat de France particulièrement âpre et disputé cette saison avec quatre relégables en bout de course, si l’AJ Auxerre allait échapper ou pas aux fourches caudines de la descente vers l’enfer ! Même si l’espoir demeure et persiste pour les actuels dix-neuvièmes de la Ligue 1 – rien n’est jouté évidemment ! -, il était davantage question de retracer via une vidéo de cinq minutes à l’appui – le cadre du Silex et son obscurité le permettait judicieusement – les moments forts de cette année 2022, que nous laissons derrière nous.

Une année mémorable à bien des égards qui devait se concrétiser par cette remontée en division supérieure, parmi l’élite hexagonale, au terme d’une compétition en Ligue 2, de très haut niveau, et après l’ultime étape, soit la double confrontation en qualité de barragiste face à une légende du football tricolore, une AS Saint-Etienne, au bord de l’asphyxie depuis trois ans. Deux rencontres bien gérées pour marquer l’histoire déjà antépénultième du club et forger son aura, bien au-delà de notre département…

 

 

Un panorama en images des plus réjouissants !

 

Si le pénalty du capitaine Birama TOURE face à Saint-Etienne a fait encore dresser les poils de tous les aficionados réunis au Silex, l’auditoire se sera aperçu au fil de ses images à visionner dans un esprit très bon enfant que l’AJA et ses dirigeants n’avaient pas chômé lors de cet exercice si intense et particulièrement éclectique à bien des égards : création du salon 1905, agrandissement de la boutique, apparition sur les fonts baptismaux de la fondation « Horizon AJA », pose de la première pierre du futur musée, sans omettre les résultats sportifs obtenu par le centre de formation au travers de ses différentes équipes (N2, U19 et U17), et naturellement, le parcours en R1 de valeureuses féminines qui mouillent le maillot bleu et blanc.

A cela, comme une cerise confite à déposer sur le moelleux du gâteau, il fallait ajouter à ce chapitre mémoriel la belle épopée de l’équipe première jusqu’à cette insoutenable séance de tirs au but victorieuse !

Les discours devaient se succéder sur la scène de la salle culturelle auxerroise. Un Baptiste MALHERBE, dans son rôle de président exécutif très communicatif – lui aussi aura pris des galons au cours de cette saison écoulée ! – qui aura insufflé l’envie et l’espérance avec ses propos rassurants quant aux objectifs de maintien à envisager d’ici le mois de mai. Il y croit et c’est bien là l’essentiel pour que cette soirée amicale, avec les partenaires, les institutionnels et les élus locaux, s’inscrive dans la fête.

Même le coach, Christophe PELISSIER, prit le micro en félicitant le club et le travail effectué lors de la saison 2021/2022, qu’il n’a pas vécu aux côtés de ses joueurs mais en souhaitant vivre pareilles festivités au terme de la saison en cours, dès que le club de l’Yonne aura assuré son maintien parmi les meilleurs.

 

 

Un gardien roumain prêté par l’Inter de Milan dans les cages de l’AJA…

 

A l’instar de l’année dernière, à pareille époque, James ZHOU, l’actionnaire majoritaire de l’AJA, adressa ses vœux à l’assistance sur écran interposé, à l’aide d’un document filmé. Précisant dans ces quelques images que son rêve s’était enfin réalisé avec l’accession du club bourguignon en Ligue 1.  

Quant au remplaçant de Benoît COSTIL – le gardien titulaire de l’AJ Auxerre a trouvé un nouveau point de chute après son départ au LOSC -, il devait être présenté avant le terme de la cérémonie. Il s’agit d’un garçon natif de Roumanie, Ionut RADU, âgé de 25 ans, prêté par l’Inter de Milan jusqu’à la fin de la saison pour protéger les buts auxerrois.

On notera également la présence sur scène aux côtés des joueurs et du staff de l’AJA de Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental de l’Yonne, de l’élu régional Gilles DEMERSSEMAN, représentant Willy BOURGEOIS (vice-président en charge du sport et de la communication de la collectivité) et de  Crescent MARAULT, président de l’Agglomération de l’Auxerrois et maire d’Auxerre.

 

Thierry BRET

 


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