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Les caisses de retraite s’acheminent lentement mais sûrement vers la cessation de paiement. Il s’agit désormais pour la gouvernance de prendre le taureau par les cornes. En appliquant les vraies mesures qui s’imposent. Et pas de gesticuler avec de pseudos réformettes comme il se pratique usuellement en France depuis trois décennies. Quelles réformes successives ont ainsi été faites ? Elles se résument par la formule lapidaire suivante : « consolider la tour Eiffel avec un morceau de sparadrap ! ». Deux ans après chaque réforme, la presse se fait l’écho de la descente vers l’abîme de notre système de retraite par répartition et observe de manière inexorable que le déficit des régimes AGIRC ARRCO est encore plus profond que prévu !

TRIBUNE : C’est presque devenu une litote récurrente dans notre univers sociétal : l’ineffable Conseil d’orientation des retraites (COR) annonce régulièrement que les caisses AGIRC ARRCO seront en déficit d’ici dix à douze ans. Et chaque fois, à peine publié, le rapport nous apprend que le passif prévu pour cette perspective est déjà là !

Prenons les derniers chiffres dans leur brutalité : le déficit cumulé de l’AGIRC ARRCO en 2016 s’élevait à 4 milliards d’euros. Celui de 2017 s’établissait à 3 milliards d’euros. Quant à l’exercice antérieur, il culmina à 2 milliards d’euros. Bref, une simple arithmétique totalisant le déficit de ces trois dernières années nous amène à 9 milliards d’euros !

Comment cela est-il possible ? C’est tellement simpliste que personne ne le voit. Alphonse ALLAIS nous a déjà expliqué pourquoi les mouches qui, bien qu’elles passent toute leur journée en marchant sur des ex folio, ne savent pas lire ! La réponse est basique comme pour les déficits des caisses complémentaires : elles sont trop près des lettres !

Examinons donc ces références statistiques qui expliquent ce déficit : la caisse ARCCO fédère douze millions de retraités. Celle de l’AGIRC en regroupe 2,7 millions. Or, le nombre de cotisants n’est pas proportionnel au nombre d’inscrits. Les actifs cotisants de l’ARRCO sont 18 millions de personnes. Ils sont quatre millions à cotiser à l’AGIRC. Depuis la publication de ce ratio, les chiffres ont quelque peu évolué… en pire au niveau du ratio cotisants/retraités.

Un système insoutenable dans le temps…

Comment voulez-vous que 4 millions d’actifs cotisants puissent financer une retraite complémentaire de 2,7 millions de personnes ? Même chose pour les 18 millions d’actifs cotisants de l’ARRCO face aux 12 millions de retraités.
Quelqu’un a eu un jour une idée de génie : fusionner les caisses ARRCO et  AGIRC. C’est ce que l’on a pu appeler derechef « le trou dans le trou ».

En quoi cette fusion a-t-elle changé ce ratio d’actifs cotisants par rapport à des retraités en nombre croissant ?

Comme vous le savez, les caisses AGIRC ARRCO fonctionnent selon le système à points. Un processus que le « Grand Réformateur » veut instaurer en France à l’instar du modèle suédois.

Sur le principe de mettre de l’ordre dans cette jungle de 42 caisses de retraites, on ne peut qu’acquiescer. Encore ne faut-il pas donner au système de retraite à points une fonction qu’il n’a pas : celle d’assurer l’équilibre financier des caisses de retraite.

En ce sens, le Premier ministre, Édouard PHILIPPE l’a clairement explicité : « le système à points n’a pas pour objet d’apporter un financement aux retraites ». Voilà qui est dit… mais personne ne l’a écouté !

La retraite à points ne finance pas les caisses de retraite…

Soyons clairs : le système de retraite à points permet d’unifier l’inextricable fouillis du système français qui génère des injustices indignes de la République. Et, de surcroît, dans lequel personne ne comprend plus rien.

Le système de retraite à points a pour objectif, également, de mesurer au niveau individuel, à tout instant, le montant de la pension auquel un actif aura droit. C’est un thermomètre.

Au niveau national, il permet d’évaluer l’engagement total des retraites, également à tout instant. C’est un baromètre. 

En aucun cas, le système de retraite à points ne constitue un moyen de financement des retraites. Un exemple suffit pour nous remettre les pieds sur terre : la valeur du point ARRCO en 2002 était de 1,0530. En 2018, elle était de 1,2588. Soit une augmentation de 20 % alors que l’inflation pendant ce même laps de temps a été de 30 %. 

Le point de retraite a une valeur arbitraire, modifiable à volonté.  Ainsi, les caisses AGIRC ARRCO en difficultés ont recours à cet expédient : on réduit la valeur du point et on arrive même à faire encore mieux. On décide qu’une partie des cotisations ne donnera pas lieu à des points qui se transformeront en retraite.

C’était simple, il suffisait d’y songer. La retraite à points, fort de ce constat, a effectivement un bel avenir devant-elle !

Emmanuel RACINE


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Dès le 25 juillet, le triumvirat porté à la tête du projet de construction d’un futur club d’entreprises dans l’Yonne sera déjà sur le pont. Appelé à se rendre à Paris pour y rencontrer le Haut-Commissaire en charge du Plan « 10 000  entreprises », ce trio d’entrepreneurs, désigné sous le prisme du volontariat, sera à pied d’œuvre. L’enjeu, il est vrai, est de taille. Constituer un nouvel organe structurel pouvant accueillir toutes les bonnes volontés entrepreneuriales esquisse les contours de la feuille de route initiale. Adoubée par l’Etat qui en est l’instigateur, l’entité sera étroitement épaulée par les services de la DIRECCTE. Auxquels s’ajouteront des acteurs incontournables de l’économie, à l’instar de la CCI, du MEDEF, de l’UIMM ou de Pôle Emploi…

AUXERRE : Au terme de passionnants échanges nourris par les commentaires pertinents d’une soixantaine de décideurs, le préfet de l’Yonne Patrice LATRON dut enfin se résoudre à poser l’inévitable interrogation. Qui parmi cette assistance se portait volontaire pour former le nécessaire noyau du futur club d’entreprises que le représentant de l’Etat appelait de ses vœux ?

Comme à l’accoutumée, le silence régnait de part et d’autre dans la salle. Même si une irrésistible envie de pousser le bouchon un peu plus loin titilla les esprits des plus véloces !

Contre toute attente, peu imaginait au démarrage de l’explication de texte fournie par les serviteurs de l’Etat, préfecture et DIRECCTE, que le mode applicatif du Plan « 10 000 entreprises » supposerait la création d’une structure.

Il aura donc fallu patienter un long moment, au détour de prises de parole diverses et variées, avant que ne s’ébauche réellement l’éventualité.

Celle-ci, suggérée par Patrice LATRON lui-même, comporte plusieurs avantages. Primo, créer une structure officielle intègre les priorités définies par le programme « 10 000 entreprises ». Secundo, l’initiative répond à ce besoin d’échanges constants et cette quête légitime d’être informé.

Fort de ces arguties, il ne resta plus qu’à identifier un ou plusieurs leaders issus de la caste entrepreneuriale pour poser les jalons. A ceci près qu’il était impérieux de choisir, non pas un chef, mais des coordinateurs volontaires.

Un, puis deux, puis trois volontaires à la candidature !

Avant même qu’ils ne fassent acte de prétention, les candidats furent confortés par les propos de l’UIMM et du MEDEF. Les structures patronales accompagneront la démarche. Idem pour la DIRECCTE. Cette dernière mettra à contribution ses services pour appuyer les managers. L’unité départementale de l’Yonne, dirigée par Gérard MACCES, assurera le secrétariat et les besoins administratifs. Quant à la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, représentée par l’un de ses élus, René CORNET, elle devrait être partie prenante dans ce projet…

Le silence ne resta pas suspendu très longtemps. Le premier à dégainer en confirmant main levée qu’il était très intéressé pour apporter sa pierre à l’édifice ne fut autre que le directeur d’établissement icaunais de GROUPAMA Paris Val-de-Loire, Jacques BLANCHOT. « Cela m’interpelle mais, je ne veux pas porter le projet tout seul ! ».

Il n’en fallu pas plus pour que la dirigeante de BC Entreprise, Emmanuelle BONNEAU, lui emboîte le pas et valide elle aussi sa candidature.

Puis, d’un binôme initial, la tête de pont du futur concept se transforma en un trinôme grâce à l’affirmation du directeur de Pneu LAURENT à Avallon, Arnaud MALECAMP de rejoindre l’aventure.

Les trois volontaires savent que le farniente n’est désormais plus d’actualité pour les jours à venir. Un déplacement à Paris le 25 juillet figure d’ores et déjà dans leurs agendas.

Ce rendez-vous servira de point d’ancrage pour rencontrer le Haut-Commissaire en charge du Plan « 10 000 entreprises ». Une seconde rencontre, organisée à Avallon, réunira le trinôme le 26 août juste avant la rentrée. Elle favorisera la concertation avant d’officialiser définitivement ce nouveau club auquel il sera indispensable de donner un nom avec la bénédiction de l’Etat.


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Qualifiée d’importante et de décisionnaire, la rencontre qui se joue ce mercredi 17 juillet à l’Hôtel de la Région dans la capitale bourguignonne aura un impact conséquent sur la pérennité du Pôle de référence « Son, vibration et acoustique ». Construit pas à pas depuis 2013 par le président de l’association « défiSON », Serge GARCIA, ce projet s’il recevait l’onction du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté ouvrirait grande la porte pour accéder enfin aux soutiens des services de l’Etat et de Bruxelles...

DIJON (Côte d’Or) : Accompagné de Patrick COTTIN, secrétaire de l’association qui prône le développement économique de la filière acoustique, vibratoire et sonore auprès des entreprises et des milieux institutionnels, et d’Angélique FAVIER, représentante de l’Agence économique de la Région (AER) en sa qualité de chargée de mission dans l’Yonne, Serge GARCIA livrera un énième combat lourd de conséquence aujourd’hui dans la capitale des Ducs de Bourgogne.

Les représentants du mouvement associatif seront reçus ce mercredi par les responsables du service « Innovation et Filières » de l’organe exécutif régional.

Il s’agira de présenter les enjeux offerts par la création du Pôle de référence « Son, vibration et acoustique – Carrefour national », un concept novateur que les intéressés aimeraient inscrire dans le programme stratégique de « Recherche, innovation et filières » de la Bourgogne Franche-Comté.

Rappelons que ce concept protéiforme aux multiples opportunités en matière de dynamique de l’entrepreneuriat et de l’emploi représente à ce jour l’unique programme économique digne de cette appellation à l’échelle de l’Yonne.

Il se positionne aussi comme le seul pôle de ce type conçu au niveau régional et national qui serait opérationnel dans le territoire le plus septentrional de Bourgogne Franche-Comté.

Il n’est pas trop tard pour soutenir le projet !

A ce jour, 63 entreprises, associations et structures institutionnelles ont donné leur quitus en soutenant financièrement ce projet. Dix-huit nouvelles entreprises sont en phase de rejoindre cet effectif qui ne cesse de croître dans le département de l’Yonne.

Toutefois, la jauge idéale pour démontrer que les décideurs économiques du territoire icaunais se mobilisent autour de cet auxiliaire commun et indispensable au développement économique dans leurs territoires est de deux cents membres.

Comme l’explique Serge GARCIA, confiant (il pense dépasser la centaine d’adhésions cet été), ce chiffre de deux cents adhérents n’est pas le fruit d’un pur hasard statistique. Il représente le socle minimal du développement du Pôle de référence au niveau régional et national.

Moyennant quoi, il n’est pas trop tard pour encourager l’initiative en se ralliant au projet et en s’acquittant d’une cotisation modique : l’essor de l’emploi et des initiatives économiques sur notre département n’a pas de prix !


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La présentation du plan « 10 000 entreprises » est effective ce mercredi 17 juillet dans les locaux de la Maison de l’Entreprise. En partenariat avec la DIRRECTE, le MEDEF, l’Union des Industries des Métiers de la Métallurgie (UIMM) et Pôle Emploi en déclineront les principales orientations en présence du représentant de l’Etat, le préfet Patrice LATRON. Ce dernier marque ainsi son appétence pour tout ce qui a attrait de près ou de loin au développement économique de notre territoire…

AUXERRE : Ce devrait être une réunion d’échanges. Nourrie et constructive. Devant déboucher sur des pistes de réflexion sérieuses. Ce 17 juillet, de 9h45 à 12h00, la Maison de l’Entreprise de l’Yonne accueillera de nombreux acteurs de la sphère économique et institutionnelle autour d’une thématique précise : le plan « 10 000 entreprises ».

Initié au plan national par le gouvernement dans le cadre de la mobilisation du tissu entrepreneurial en faveur de l’emploi, ce dispositif concerne tout naturellement l’Yonne.

La DIRRECTE interviendra en préambule de la rencontre afin de présenter son offre de services concernant l’emploi et l’accompagnement des entreprises. Puis, seront évoqués les quatorze thèmes de ce fameux plan afin de sensibiliser et mobiliser les structures professionnelles de notre territoire : PME/PMI, entreprises de taille intermédiaire mais aussi les filiales des grandes sociétés.

On l’aura compris : le but de la manœuvre est de créer une véritable synergie entre toutes les composantes afin que cela soit favorable à la création de nouveaux emplois sur notre territoire…

Un plan articulé autour de quatorze thématiques…

Pour mémoire, les quatorze items de ce plan sont les suivants :

  • Stages de 3ème pour les jeunes des QPV (en lien avec le PAQTE1),
  • Contribution à l’orientation et aux « parcours avenir » de découverte de l’entreprise,
  • Accès de tous les jeunes à l’apprentissage et à l’alternance, en particulier jeunes des QPV et jeunes en situation de handicap,
  • Réalisation de parrainages,
  • Accompagnement et recrutement de jeunes issus de parcours d’insertion (E2C, EPIDE, Garantie jeune etc.),
  • Partenariats renforcés avec les réseaux de l’inclusion et de l’IAE (accompagnement, formation, recrutement),
  • Accompagnement et recrutement de travailleurs handicapés,
  • Recrutement dans le cadre de l’expérimentation « emplois francs »,
  • Accompagnement et recrutement de réfugiés (programme Hope, etc.),
  • Formation et insertion dans l’emploi de personnes (dont jeunes) placées sous main de justice,
  • Mise en place de démarches innovantes en faveur de « l’emploi/inclusion »,
  • Participation au changement d’échelle dans l’offre d’insertion par l’économique (clauses sociales marchés publics, politique d’achats responsables, sous-traitance dans le cadre de l’OETH2, etc.),
  • Mises en situation professionnelle, recrutements de personnes en parcours d’insertion ou issues de parcours d’insertion,
  • Engagements pour l’accès solidaire aux produits et services (alimentation, énergie, eau, etc.).

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L’industriel qui écoule 93 % de sa production à l’export a accueilli une trentaine de membres du réseau régional lors d’une visite de courtoisie. Celle-ci était agrémentée d’une conférence explicative sur les pratiques professionnelles usitées en ce lieu. Cette plongée au cœur des méthodes de fabrication de SKF Slewing Bearings aura suscité bon nombre de commentaires élogieux…

AVALLON: L’unité de production locale est référencée centre d’excellence pour le groupe SKF dans le monde en matière de roulements d’orientation. Sa visite a donc séduit, avec évidence, les membres du réseau Entreprendre Bourgogne. Ces derniers, une trentaine d’éléments, ont eu l’agréable opportunité de pouvoir découvrir les moindres recoins de ces ateliers qui permettent de concevoir 3 500 roulements par an.

Ce rendez-vous, avant la pause estivale, avait été concocté de main de maître. D’une part, grâce au travail de logistique assuré par la chargée d’implantation dans l’Yonne du réseau d’entrepreneurs, Sophie BERNARD. En second lieu, grâce au sens relationnel du nouveau manager général du site : Frédéric BOUILLY.

C’est d’ailleurs celui-ci qui procéda à l’accueil du petit groupe. Il introduisit ensuite la conférence informative sur ce cadre de vie.

Employant 180 collaborateurs, SKF conçoit dans ses ateliers des roulements d’orientation de 0,5 à 8 mètres de diamètre en version monobloc. Certaines pièces peuvent mesurer jusqu’à 16 mètres de diamètre en version segmentée.

Précisons qu’un roulement d’orientation n’est autre qu’un assemblage de bagues conçu pour supporter des charges lourdes et des phases de renversement. Les secteurs ciblés sont les mines et carrières, les tunneliers, la métallurgie, la défense mais aussi le ferroviaire et la marine.

Dans le domaine énergétique, le monde de l’éolien et de l’offshore se sert également de ces produits atypiques.

 

 

Pourvu de certifications, SKF est engagé dans une démarche de développement durable en s’impliquant dans des projets d’éoliennes et de récupération des énergies des océans.

En l’absence de Vincent PICQ, président du réseau Entreprendre Bourgogne dans l’Yonne, c’est le directeur général Arnaud GRAVEL qui apporta les commentaires d’usage liés à l’actualité du moment.

L’Yonne dispose d’une antenne à l’excellente fonctionnalité qui ne cesse de progresser depuis ses débuts avec aujourd’hui une cinquantaine d’adhérents.  Dont de nouveaux entrepreneurs. Ils ont su créer une véritable dynamique autour de leurs projets et en défendant les couleurs du réseau, à l’instar de l’un des lauréats 2019 (premier dans la catégorie développement), Yannick DAVOUZE, le responsable d’IDXPROD, plébiscité à Dijon en juin à l’occasion de la soirée des Lauréats.

 


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