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Partenaire numéro un du monde agricole, l’assureur mutualiste n’en oublie pas pour autant les autres filières de l’économie française. Le spécialiste de l’assurance et de la prévoyance a estimé son effort pour faire face à la crise sanitaire actuelle à 300 millions d’euros. Une somme qui concerne les entreprises des territoires obligés d’interrompre leur activité. A laquelle, il faudra ajouter les cotisations irrécouvrables qui dépasseront les cent millions d’euros…

PARIS : Les instances supérieures de l’assureur mutualiste français ont fait savoir par lettre interposée à leurs cinq millions de sociétaires leurs positions pour agir avec efficience face au contexte économique actuel.

Président du groupe, Jean-Yves DAGES s’accorde en parfaite harmonie avec le directeur général, Thierry MARTEL, pour que l’intervention porte sur trois axes essentiels à leurs yeux.

En premier lieu, le soutien à celles et à ceux qui continuent à travailler dans des conditions difficiles. Secundo, l’accompagnement envers ceux qui sont dans l’impossibilité de travailler pour les aider à surmonter cette crise sans précédent. Enfin, la préparation de la reprise afin qu’elle ne laisse personne au bord du chemin.

Cette triple action équivaut à un plan de bataille s’élevant à plus de 400 millions d’euros pour le groupe mutualiste. Soit beaucoup plus que les économies liées à la réduction du nombre de sinistres automobiles. Ce schéma tactique suit la droite ligne de la stratégie voulue par l’Etat dans son combat mené contre les effets nocifs de la pandémie.

 

Une aide légitime aux professionnels de santé…

 

« Notre premier devoir est d’être toujours en capacité de servir les prestations pour lesquelles vous nous faites confiance, précise ce courrier commun.

En substance, c’est une allusion faite aux assurances dommages comme aux assurances vie. Tandis que les marchés financiers ont été très secoués par cette crise, GROUPAMA rassure en précisant qu’elle reste une compagnie d’assurance solide et solidaire des territoires.

« Tout a été mis en œuvre pour maintenir les garanties à nos assurés en difficulté dans le paiement de leurs cotisations. Nous avons également soutenu la participation des assureurs au Fonds de solidarité nationale initié par l’Etat. Alors que nous sommes la seule profession à ce jour à avoir décidé un tel effort. Ce fonds va représenter à lui seul environ trente-cinq années de cotisations d’assurance contre les pertes d’exploitation courantes… ».

Localement, les Caisses départementales de l’assureur mutualiste ont apporté leurs soutiens aux professionnels de santé qui tentent d’éradiquer la propagation du coronavirus.

Des aides significatives ont été apportées aux centres hospitaliers. Mais, également de manière plus directe, comme par exemple l’aide à la mobilité pour celles et ceux des professionnels du milieu sanitaire qui doivent prodiguer des soins.

 

Un geste fort en direction des agriculteurs…

 

En outre, l’état-major de GROUPAMA a décidé de rembourser aux agriculteurs deux mois de cotisation d’assurance de leurs tracteurs. Un geste symbolique afin de les remercier de continuer à nourrir l’Hexagone sans que nous ne manquions de rien.   

« Nous redécouvrons en ces moments difficiles que les agriculteurs sont indispensables au monde. Nous sommes à leurs côtés pour soutenir et accompagner toutes les initiatives visant à leur fournir la main d’œuvre nécessaire à la poursuite de leur production… ».

Une manière élégante et élogieuse de rappeler que l’agriculture demeure l’un des terreaux de prédilection du groupe mutualiste…

 


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L’initiative, très louable, est le fruit de l’étroite symbiose qui s’est développée au fil du temps entre un réseau de bricoleurs bénévoles des « Ateliers des Beaux Boulons » à Auxerre, ceux du collectif « Le Maillet » à Joigny et plusieurs personnes réunies à Sens. Ensemble, et en s’appuyant sur une page Facebook, ils luttent à leur manière contre les effets de l’épidémie en fabriquant des visières de protection destinées aux professionnels de santé…

AUXERRE : Au 08 avril, le bilan des premières réalisations était le suivant : 1 965 visières de protection avaient été produites, 1 233 de ces précieux ustensiles protecteurs avaient été distribués aux personnels soignants des EHPAD de l’Yonne ainsi que dans les centres hospitaliers et aux sapeurs-pompiers. Quant aux demandes qui restaient à fournir à cet instant précis, elles s’élevaient à 1 116 unités.

Depuis le 28 mars, date à laquelle a débuté l’opération, le réseau « MAKERS 89 contre le COVID 19 » (on dirait presque le titre d’un film inspiré par MARVELS !) aura répondu présent par sa généreuse mobilisation.

Composé d’une quarantaine de personnes, ce groupe de bénévoles travaille à la conception de visières homologuées en s’appuyant sur la technologie des imprimantes 3D qui sont ensuite acheminées en direction des professionnels de santé, de sûreté et de sécurité.

A ce groupe initial s’ajoutent celles et ceux qui collectent l’indispensable matière première servant à confectionner les objets, les assemblent et les font parvenir à leurs destinataires. Ce réseau trouve une nouvelle caisse de résonnance en s’amplifiant au quotidien.

 

Un besoin constant de matières premières…

 

Face à la recrudescence des demandes, le réseau doit faire face au manque de réassort, en optimisant son approvisionnement. Comme le précise Loïc VIGNET, l’un des porte-parole de la structure : « Nous avons besoin de plusieurs éléments pour fabriquer ces visières de protection, c’est-à-dire des bobines de filament plastique pour assurer l’impression des supports de visière, des feuilles plastiques transparentes, des élastiques de maintien et autres consommables… ».

Un appel à la générosité a été lancé auprès des milieux industriels et économiques il y a quelques jours par les « MAKERS ». Ils espèrent ainsi avec cette collecte de matières premières récupérer le nécessaire pour assurer la continuité des approvisionnements de ces visières qu’ils destinent à celles et ceux qui luttent d’arrache-pied contre le coronavirus.

 

 

Organisés en cellules opérationnelles, les « MAKERS 89 » s’occupent de la logistique (la collecte des différents ingrédients servant à fabriquer cette visière). Une entité spécifique prend à sa charge la gestion des fournitures en recherchant les professionnels capables de fournir les matières premières. Une autre cellule gère la veille impression. C’est-à-dire qu’elle effectue une surveillance technologique quotidienne pour trouver de nouveaux modèles en lien avec les autres réseaux existants. Les demandes sont traitées par la cellule ad hoc. Elle répond également aux besoins en fonction de l’état des stocks. Le pôle stockage ayant lui la responsabilité de conditionner les supports de visière, les élastiques et les feuilles de plastique en y ajoutant une notice d’utilisation et de montage.

Précisons qu’une cagnotte a été créée. S’élevant à mille euros, elle est reconduite chaque semaine afin de répondre aux nouvelles demandes, aux besoins d’approvisionnement et à l’évolution de la situation.

 

Un prix de revient d’environ un euro par visière !

 

Quant à la communication, elle incombe à la cellule support. Elle a construit des liens étroits avec les médias régionaux qui suivent cette aventure altruiste et solidaire.

Aujourd’hui, les caractéristiques du matériel recherché sont les suivantes : de la bobine de filaments plastiques PLA, ABS ou PETG pour l’impression du support de la visière, des feuilles A4 transparentes pour la visière, des élastiques pour le maintien autour de la tête (x2), des consommables et pièces d’usure pour les imprimantes 3D.

A titre informatif, concevoir de telles visières revient à dépenser pour l’impression d’un support de visière (0,66 euro), élastique pour le maintien autour de la tête (0,10 €), feuille de plastique transparente (0,10 €). Soit un total de 0,86 € !

Auxquels s’ajoutent principalement les frais logistiques et de fonctionnement et d’entretien des machines environ 0,14 €. Soit un prix de revient unitaire d’environ 1 € pour une visière standard. Actuellement, la fabrication est effectuée gracieusement par les bénévoles des « MAKERS ». Le réseau jouera d’ailleurs la carte de la solidarité jusqu’au bout puisqu’il reversera en cas de fonds non utilisé l’intégralité des sommes récoltées à une association en lien avec la lutte contre le COVID 19. Une initiative qui ne manque ni de panache ni de vertu…

 


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Sous l’égide du représentant de l’Etat, le préfet Henri PREVOST, les chambres consulaires (Chambre de Commerce et d’Industrie, Chambre des Métiers et de l’Artisanat et Chambre d’Agriculture), mais aussi les organisations patronales (elles sont représentées par le MEDEF) la Banque de France et les administrations (DDFIP, DDT, UD-DIRECCTE) ont constitué un groupe de travail aux premiers jours du confinement. Objectif : répondre aux attentes des entreprises…

AUXERRE : L’accompagnement et l’entraide font figure de règle d’or de cette cellule de crise consultative et opérationnelle qui réunit l’ensemble des acteurs publics et économiques de notre territoire. Sa mission est de suivre avec la régularité d’un métronome chacune des entreprises dans ses besoins de soutiens financiers.

Proposant des points réguliers entre ses interlocuteurs, c’était encore le cas la semaine dernière le mardi 07 avril, l’entité se définit comme un facilitateur au traitement des problèmes de financement rencontrés par certaines entreprises en proie à de sérieuses difficultés vu le contexte sanitaire.

Les membres de cet organe institutionnel veulent également faire connaître et fédérer les initiatives des sociétés icaunaises dans la fabrication d’équipement de protection individuelle. A l’instar des masques ou des visières.

 

 

Parmi ses autres priorités : la relance des chantiers publics et privés dans le respect des gestes barrières et des recommandations d’usage.

Afin de gagner en efficience et rapidité, la cellule s’est dotée de plateformes numériques qui lui permettent de relayer les informations utiles auprès de ses utilisateurs.

Elles sont à consulter sur les références suivantes :

http://www.yonne.gouv.fr/Actualites/COVID-19-information-et-soutien-aux-entreprises et https://www.covid19-entreprises89.fr/

 

En complément, voici le lien vers le site de la Chambre des Métiers et de l'Artisanat : https://artisanat-bfc.fr/article/coronavirus-dispositif-special-de-votre-cma

 


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Nos politiques sont en panne de créativité ! Ils cherchent des solutions pour l’après crise. Sans pouvoir se mettre d’accord sur les méthodes d’investigation, de travail, de résolution de problème, de démarche… Ils nous rebattent les oreilles avec les bonnes vieilles méthodes du passé qui, devenues obsolètes, ne leurrent que celles et ceux qui manquent d’imagination…

TRIBUNE : La planète se voile la face en peignant, inconsciemment la dystopie du monde de demain. A la manière de nos grands-mères, nos dirigeants rapiècent de vieux pantalons usagés, décrépis et irrécupérables !

A l’échelle de l’Europe, ils sont incapables d’inventer l’avenir. Les gouvernants reprennent les vielles solutions économiques et sociales d’hier. Les responsables européens nous parlent d’instaurer un plan « Marshall ». Mais, quel est le rapport avec 1945 ?

Faut-il inonder l’Europe (Etats, entreprises) de crédits ? Pour acheter quoi et surtout à qui ? Pour aggraver les déficits commerciaux ? Une politique de l’offre est aujourd’hui tout aussi vouée à l’échec qu’une politique de la demande ! Aucune d’entre elle ne pourra contenir une évolution forte du chômage. Seule une nouvelle méthode de répartition des richesses semble urgente face à la stagflation (récession et inflation) qui menace.

Faut-il injecter des capitaux en masse pour relancer l’économie ? Une soi-disant solution miracle pour la relance, vaine théorie keynésienne, qui n‘a jamais prouvée son efficacité. Mais hélas, elle a aujourd’hui la faveur de nos politiques pseudo-libérales !

Alors, est-ce qu’il faut revenir à Friedman avec la théorie monétariste et le laisser-faire, prêche contre Keynes et la « non-intervention » de l’Etat dans l’économie ! Cela ne peut pas marcher.

Les contribuables, sur pression de l’Etat, ont sauvé les banques après la crise de 2008 ! Nous ne pourrons pas rééditer l’exploit !  Quelles seraient les solutions efficientes pour faire face à une situation inédite dans notre histoire ? Un environnement tumultueux qui cumule une crise sanitaire, sociale, financière et économique. Il ne trouve aucune équivalence donc aucune solution passée dont on pourrait s’inspirer.

 

Inventer l’avenir, c’est imaginer ensemble le monde que l’on souhaite…

 

Techniquement, on retrouve de la stagflation. C’est-à-dire un surendettement global (Etat, entreprise, particulier…), une pauvreté grandissante (600 morts de froid chaque année), une immigration non maîtrisée, un environnement naturel en pleine déliquescence… Les risques de fascisme et de totalitarisme ne sont peut-être pas si loin.

Le locataire de l’Elysée est clair dans ses aspirations pour les Français, lorsqu’il affirmait il y a peu : « La Coupe du monde est réussie quand elle est gagnée ». En conséquence, seule la victoire compte…pour les vainqueurs !

Or, la richesse des uns devient le résultat de la performance individuelle alors que la misère et la pauvreté des autres illustrent leur incapacité à s’adapter et à devenir riche !

Pire encore : le monde voulu par notre président se résume à cette injonction : « Il faut que les jeunes aient envie de devenir milliardaire… ».

Encore faut-il avoir un échantillon personnel à présenter ! Une subtile stratégie encore appelée « mythe de la performance » qui dépolitise les problèmes et évacue toute question de justice sociale.

Inventer l’avenir, c’est se projeter demain. Imaginer ensemble le monde que l’on souhaite, afin de décliner les actions à mener, sans aucune référence aux solutions du passé.

Alors le moment présent, dans l’action, deviendra la valeur actualisée du futur. Nos capacités créatrices sont mises à rude épreuve : quelle place pour l’individu, quelles valeurs doivent prédominer (au lieu de la sempiternelle itération de « liberté-égalité-fraternité » qui hélas demeure trop souvent lettre morte) ?

Quelle est la place de la France dans le concert européen ? Quelles doivent être les formes de solidarité et d’équité entre les peuples ? Peut-on imaginer une économie de partage, sans croissance et sans déficit budgétaire ? Oui, bien sûr !

Mais en associant les forces vives de ces spécialités : scientifiques, économiques, sociologiques…afin d’éclairer et d’affirmer la volonté du peuple !

On ne peut plus confier les clefs du pouvoir à une seule personne, élue par une minorité de citoyens qui jouerait notre avenir à pile ou face : « pile je gagne, face tu perds ! ».

Souvenons-nous de la citation de l’économiste David CAYLA : « Les économistes me font penser aux conquistadors qui dévastèrent des civilisations entières au nom de la quête des cités d’or…».

Jean-Paul ALLOU

 


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Globalement, les dispositifs d’accompagnement mis en œuvre au profit des entreprises devraient s’élever à plus d’un milliard d’euros pour cette banque. Ce chiffre traduit la réactivité de l’établissement à vouloir s’engouffrer dans la brèche de la solidarité. Dès le 25 mars, date de la mise en place du Prêt garanti par l’Etat (PGE), le réseau mutualiste répondait aux attentes des entreprises qui en exprimaient le besoin. Au 06 avril, elle avait accordée plus de mille PGE pour cent millions d’euros d’encours.

DIJON : Précisons tout de go, que ces montants s’ajoutent aux 250 millions d’euros d’échéances reportées depuis le début de la crise. Quoi qu’il en soit, le réseau de la Banque Populaire a décidé de ne pas rester inactif dans la période actuelle en apportant des solutions adaptées aussi bien pour les ménages que dans l’intérêt des entreprises.

Pour ces dernières, l’établissement bancaire a conçu un programme d’accompagnement sur mesure. Il s’articule en plusieurs items : le report au cas par cas et ce jusqu’à six mois pour les remboursements des crédits, l’assurance de contacts avec un conseiller sous un délai de 48 heures maximum, être un appui dans l’accélération de la prise en charge des dossiers de sinistres et leurs indemnisations, proposer des dispositifs sécurisés de fonctionnement à distance et être le relais dans la distribution des prêts garantis par l’Etat, les fameux PGE.

En parallèle, la banque diffuse une analyse quotidienne des marchés financiers. Afin de suivre en temps réel les évolutions de ceux-ci dans le contexte si particulier que nous connaissons.

 

85 % des agences continuent d’offrir leurs services…

 

Le réseau a fait le choix de laisser des équipes présentes sur le terrain. En continuant à servir et à recevoir les clients tout en tenant compte des mesures barrières. La liste des agences ouvertes est d’ailleurs consultable sur le site de la banque.

Aucun risque de pénurie par ailleurs n’est à prévoir pour les distributeurs qui ne manqueront pas d’argent : le réapprovisionnement est assuré de manière régulière et l’accès aux GAB s’effectue normalement pour celles et ceux qui sont en quête de liquidités.

Toutefois, les responsables de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté, à l’instar de Yann NUNES, directeur régional de l’Yonne, invite la clientèle à privilégier les solutions de paiement sans contact. Ils permettent avec la carte bancaire de réaliser ses achats de manière totalement sécurisée et sans manipuler d’espèces afin d’éviter les contacts physiques.

L’usage des services à distance offre le respect des mesures de limitation de déplacements voulues par le gouvernement. Ils se conçoivent par téléphone ou par e-mail, ou via le centre de relation clientèle au 03.80.48.50.00. (Appel non surtaxé).

Enfin, la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté est très attentive à la recrudescence de la fraude numérique (phishing).

Elle rappelle à ses sociétaires et clients qu’elle ne demande jamais d’information par mail comme des identifiants ou mots de passe, des éléments sur une carte bancaire ou encore les codes de validation d’achat sur Internet.

L’établissement régional a su faire montre de solidarité en octroyant dernièrement une dotation de 32 000 masques de protection au centre hospitalier et universitaire de Dijon afin qu’ils soient distribués aux soignants du territoire…

 


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