Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743
Littérature policière et chant choral inspirent le jury des Prix Initiatives Associations de la Banque Populaire BFC
février 20, 2019Instaurés depuis 2006, les Prix Initiatives Associations ont pour vocation de récompenser chaque année deux structures lauréates par département. Qu’elles soient clientes ou non de l’établissement bancaire, ils illustrent les actions prises dans le domaine de la solidarité, l’éducation, l’environnement, le sport amateur, la culture et le patrimoine. Toutefois avec un sérieux bémol à la clé qui peut s’avérer rédhibitoire s’il n’est pas respecté scrupuleusement : la réalisation, le lancement et le développement du projet devront se concevoir dans le département ad hoc. Dans l’Yonne, L’Escargot Noir qui promeut le premier salon de la littérature policière à Sens et l’Association Musiques et Spectacles, facilitatrice à l’éveil musical et choral, ont obtenu les suffrages d’un jury de professionnels…
AUXERRE : Portés par la Fondation d’entreprise Bourgogne Franche-Comté Solidarité, appareil inhérent à la Banque Populaire régionale, les Prix Initiatives Associations offrent chaque année l’heureuse opportunité à des structures associatives de pouvoir se distinguer pour leur travail et leur sens de l’abnégation.
En partenariat avec la CASDEN, l’organisme financier soutient les actions locales de ces entités qui font œuvre de citoyenneté et de prosélytisme dans leur environnement.
En recrutant de nouveaux membres motivés, par exemple, au sein de ces outils régis par la loi de 1901. En déclinant, aussi, des opérations sociétales que l’on peut qualifier de capitales dans des domaines aussi éclectiques que fonctionnels que sont la pratique du sport amateur, de la culture, du patrimoine, de l’environnement, de la solidarité ou encore de l’éducation.
Des items forts qui intègrent précisément les pôles référentiels du jury, soucieux de peser le pour et le contre avant de décerner les précieux sésames, pouvant expédier l’heureux bénéficiaire du challenge un cran au-dessus. C’est-à-dire à l’échelle régionale pour y disputer la grande finale.
Un empilement de gains et d’euros supplémentaires…
Dix-huit lauréats, in fine, profiteront de la bonne grâce de ce défi, où l’originalité, mais également la pertinence du projet, suscite de l’intérêt parmi les membres du jury. L’Ain, la Côte d’Or, le Doubs, la Haute-Saône, le Jura, la Nièvre, la Saône-et-Loire, le Territoire de Belfort et l’Yonne, soit les neuf départements formant l’identité géographique de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté et du Pays de l’Ain.
Côté prix, les lauréats se voient remettre une récompense financière de mille euros. Une manne quasi providentielle qui peut représenter un sacré coup de pouce pour le développement de l’action mise en exergue.
Sachant qu’après coup, pour les lauréats, qu’il est toujours envisageable de concourir au niveau régional. Et de gonfler ses gains en obtenant pour les vainqueurs, trois mille euros supplémentaires !
Enfin, pour être tout à fait complet sur le processus de ce challenge, les sociétaires de la Banque Populaire régionale peuvent désigner le Prix Coup de Cœur parmi les trois derniers prix. Soit un subside complémentaire de trois mille euros pour le gagnant de ce super jackpot !
Encore une étape avant de toucher le gros lot régional…
La désignation des deux lauréats de l’Yonne représentait donc une grande première pour le nouveau directeur régional, en charge du développement de l’Yonne, Yann NUNES. Une vingtaine de dossiers de candidature avait été sélectionnée pour cette édition 2019. La plupart instruits par les conseillers commerciaux des agences de la banque.
Bénéficiant d’une cote d’amour sans équivalence de la part du jury, la candidature de l’Escargot Noir vira largement en tête à l’issue de la présentation de l’ensemble des prétendants.
Créée en 2018, la structure promeut la littérature policière sur le Sénonais. Un projet de salon où seraient accueillis plus de trente auteurs de polars se préfigure à l’horizon du mois de mai.
Son dauphin, l’Association Musiques et Spectacles obtint une méritoire deuxième place, qualificative elle-aussi pour la finale régionale prévue le 10 avril à Nevers, lors de l’assemblée générale des sociétaires.
Le projet de création d’une chorale interrégionale de 120 enfants a semble-t-il titillé la fibre artistique de plusieurs jurés, sensibles à la dimension culturelle de cette initiative.
Si les remises de ces deux prix s’effectueront courant mars, les deux heureux récipiendaires n’en ont donc pas fini avec le concours. Place à la finale régionale et à la possibilité de glaner le gros lot !
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Européennes : François-Xavier BELLAMY en vrai chef d’orchestre des Républicains veut éviter les fausses notes
février 17, 2019Désigné à la surprise générale par Laurent WAUQUIEZ pour conduire la liste des Républicains aux futures échéances européennes du 26 mai, le philosophe de 33 ans, âge empli de symbolique, incarne le renouvellement d’une droite plurielle qui veut faire abstraction de ses divisions latentes. Aux côtés d’Agnès EVREN, vice-présidente de la Région Ile de France et du député sortant, le Louhannais Arnaud DANJEAN, l’élu de Versailles entend bien interpréter une partition collective aboutie, à l’image d’un chef d’orchestre vertueux à l’écoute et au diapason de ses instrumentistes…
PARIS : Le pari est-il risqué pour la formation politique présidée par Laurent WAUQUIEZ ? En adoubant un trentenaire, fraîchement émoulu du cénacle politique, et en le plaçant sur le devant de la scène nationale, le chef de file du principal parti de l’opposition à la majorité présidentielle casse les codes usuels dans la constitution d’une liste électorale. Il n’y aura pas de leaders charismatiques parmi le trio de tête de cette sélection représentative de compétences, devant faire campagne à hue et à dia, à travers la France jusqu’au printemps.
Des flèches acérées de la part des Républicains eux-mêmes…
Un choix qui n’a pas l’heur de faire l’unanimité parmi les rangs des Républicains. Valérie PECRESSE et Jean-François COPE, dont c’est le grand retour depuis quelques semaines dans la bulle médiatique, ont vertement critiqué cette nomination. L’ancien responsable de l’UMP et maire de Meaux n’y a pas été de main morte dans ses commentaires acerbes décochés contre la jeune tête de liste.
Ce dernier s’interroge même sur le bien-fondé de cette désignation, arguant qu’il n’était pas certain de déposer dans les urnes le jour J un bulletin au nom de l’élu versaillais !
Son de cloche similaire, quoique un peu plus nuancé du côté de la responsable de « Libres ! ». La présidente de la région Ile de France, Valérie PECRESSE, considère peu représentative la liste des Républicains aux Européennes. Celle-ci ne portant les valeurs que d’une droite « minoritaire » sur les grands enjeux sociétaux.
François-Xavier BELLAMY n’a pas tardé de monter au créneau afin de réagir sur l’envoi de ces flèches empoisonnées qui l’attristent profondément. Lui qui désire à l’instar d’un chef d’orchestre être rassembleur au sein de sa propre famille se désole de ces signes ostensibles de désaccord.
Pourtant, la garde rapprochée de Laurent WAUQUIEZ a donné quitus au jeune enseignant en philosophie. A commencer par le secrétaire général délégué des Républicains, le député de la première circonscription de l’Yonne, Guillaume LARRIVE, qui l’accompagnait lors de sa première immersion en terre de l’Yonne, le 07 février dernier.
Ce jour-là, aux côtés de ses deux colistiers qui constituent le trio de tête de cette liste aux 79 noms, François-Xavier BELLAMY avait pu découvrir l’une des richesses économiques de ce territoire rural, la viticulture en visitant l’exploitation du Domaine Serge BIENVENU à Irancy. Avant de pouvoir disserter sur les bienfaits de l’Europe et expliquer le programme porté par Les Républicains face à de jeunes sympathisants et militants qui étaient conviés à la salle des fêtes de Migé.
Mais, qu’importe ! Le jeune homme à la tête bien remplie ne souhaite pas s’alanguir davantage sur ces épiphénomènes de circonstance. Son objectif est de creuser son sillon vers un rassemblement le plus fédérateur possible, et de manière très éclectique, bien au-delà de son propre camp.
Un profil très conservateur qu’il qualifie de « personnel »…
L’adjoint au maire de Versailles affûte ses armes ; d’autant qu’il peaufine encore cette fameuse liste qui sera intégralement dévoilée d’ici le 16 mars. Avec peut-être, quelques surprises à la clé.
Incarnant la jeunesse et surtout le renouvellement de la politique, François-Xavier BELLAMY désire être au service des citoyens, afin de les réconcilier avec une Europe vertueuse, à l’écoute des territoires.
« Nous ne devons pas reproduire les schémas peu constructifs d’il y a vingt-cinq ans, aime-t-il préciser, l’Europe que je souhaite forte est un outil indispensable pour lutter contre la progression des populismes et de l’insécurité… ».
Le chef de file des Républicains aux Européennes n’est pas tendre avec le Rassemblement national. Un parti qu’il conspue.
Pourtant, depuis la date de sa désignation officielle, le 29 janvier, beaucoup à droite se questionnent sur le positionnement intellectuel du philosophe. Très conservateur, François-Xavier BELLAMY rejette le principe du mariage pour tous. Son refus de l’IVG perturbe les esprits des plus modérés de ses propres partisans. Engendrant bon nombre d’inquiétudes.
Qu’à cela ne tienne, le jeune homme qui excelle dans l’exercice de la communication, balaie cela d’un revers de la main et fustige le côté « réducteur » qu’ont fait de lui les médias de la presse parisianiste.
Sillonner l’Hexagone au cours de ces prochaines semaines permettra de démystifier l’image du jeune candidat qui veut être un représentant sérieux et utile au développement de l’Europe. Et dans l’intérêt de ses populations…
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Les infractions aux stupéfiants supplantent les fautes commises sous l’emprise de l’alcool sur nos routes…
février 16, 2019La mobilisation du mouvement revendicatif, identifié par les « Gilets jaunes », aura eu, au-delà de l’aspect économique, une toute autre conséquence importante dans notre paysage. Depuis la mi-novembre, les forces de l’ordre ont concentré leurs activités aux abords des ronds-points et des défilés contestataires, délaissant quelque peu leurs missions habituelles au niveau de la sécurité routière. Les dégradations répétitives observées sur les radars fixes faussent également le bilan des infractions, relevées par les forces de l’ordre en 2018. Une chose est sûre, si l’alcoolémie régresse de manière relative, les infractions dues à la prise de stupéfiants s’envolent…
AUXERRE : Les mauvais résultats des chiffres de la sécurité routière (lire article correspondant) enregistrés en 2018 auront pour conséquence évidente de renforcer le nombre de contrôles au cours de ces prochains mois. Même si le nombre de suspensions de permis a connu une baisse appréciable. Il est passé de 1 924 en 2017 à 1 777 en 2018, soit un recul de - 7,64 %.
Interrogés par le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, le colonel Renald BOISMOREAU, commandant le groupement de gendarmerie de l’Yonne et le commissaire Thomas BOUDAULT, directeur de la sécurité publique du département, ont eu tout le loisir de brosser, statistiques à l’appui, un bilan précis de l’exercice écoulé.
Les effets nocifs du cannabis au volant…
Deux facteurs à risque inquiètent plus particulièrement les représentants des forces de l’ordre. La vitesse excessive sur les routes de notre territoire qui demeurent des causes aggravantes en cas d’accident.
Le nombre de suspension de permis pour excès de vitesse, hors radars fixes, a ainsi augmenté de 1,65 % ces douze derniers mois.
Mais, le sujet de préoccupation qui perturbe les esprits des forces de l’ordre se situe ailleurs. Du côté de la consommation effrénée de stupéfiants (principalement le cannabis), qui associée à d’autres produits euphorisants comme l’alcool, engendre des effets catastrophiques derrière le volant.
Le nombre de contrôles a connu une forte hausse. De 13 %, qui se traduit comptablement par les chiffres suivants : 3 328 cas relevés en 2018 a contrario des 2 937 cas, l’année précédente.
Des radars fixes toujours aussi efficaces…
Paradoxalement, le nombre de suspensions de permis pour ce motif a lui fortement baissé ; soit de moins 31,5 %. Sans doute que les consommateurs de ces substances illicites prennent davantage de précautions en évitant les déplacements sur les routes.
Une note satisfaisante dans cet état des lieux contrasté : les infractions relatives à l’alcoolémie ont chuté de manière quasi imperceptible, à peine 1 % (0,9 %). Il en va de même des contrôles occasionnés sur les routes en matière de dépistage d’alcool dans le sang. La baisse s’élève à 2 %.
Quant aux radars, ils continuent à flasher à tout va ! Les fixes ont pris en flagrant délit 69 510 automobilistes en 2018 contre 65 289 l’année d’avant. Toutefois, les radars embarqués connaissent une forte diminution de leurs activités, avec 29 614 infractions relevées, soit une dégringolade de 35,3 % par rapport à 2017.
Enfin, depuis la mise en place de la limitation de vitesse à 80 km/h sur le réseau des routes françaises, les résultats sont plutôt rassurants. Avec la baisse des infractions observée un peu partout dans l’Hexagone.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Sécurité routière : le préfet Patrice LATRON délivre un carton rouge aux automobilistes de l’Yonne
février 16, 2019C’est un zéro pointé manifeste que le représentant de l’Etat distribue aux automobilistes de notre département. Et, il n’y a pas de quoi pratiquer la demi-mesure ! Jamais, le bilan de la sécurité routière n’a été aussi mauvais alors que dans la grande majorité des cas, les infrastructures ne sont pas mises en cause en matière d’accidentologie. Hormis une faible lueur d’espoir concernant la baisse du nombre de blessés hospitalisés par rapport à 2017, les chiffres dévoilés à la presse par le préfet Patrice LATRON laissent aphones les observateurs. Alors que l’évolution en France connaît une légère embellie, sans doute imputable à la limitation de la vitesse sur les routes, l’Yonne se distingue dans le sordide en enregistrant des statistiques qui placent notre territoire bien au-delà de la moyenne nationale. Consternant…
AUXERRE : Malgré une mobilisation sans retenue des acteurs de la sécurité routière, force est de constater que l’accidentalité demeure le sujet de préoccupation majeure du représentant de l’Etat. L’œil noir, Patrice LATRON n’a pas caché son mécontentement à l’énoncé des résultats pour l’année 2018 lors de la conférence de presse lui permettant de tirer les conclusions de l’année écoulée.
Le bilan sur nos routes n’autorise pas à l’optimisme, il est vrai. Non seulement, le nombre de tués se situe à un niveau très élevé, plus de trente victimes l’année dernière, mais en outre, le taux de gravité des accidents de la circulation s’est encore détérioré. Il faut d’ailleurs remonter à 2012 pour trouver d’aussi mauvais indicateurs avec à l’époque vingt-cinq personnes décédées.
Autre commentaire révélateur de la performance calamiteuse observée sur le réseau routier : le nombre de tués sur cent accidents corporels s’élève dans l’Yonne à 15 en 2018, alors qu’il n’est que de six à l’échelon de l’hexagone. Quant à l’indice de mortalité, c’est-à-dire le nombre de tués par millions d’habitants, il connaît une nette dégradation. Rapporté à la population, le nombre de personnes tuées par millions d’habitants équivaut à 106 victimes dans l’Yonne alors qu’il se stabilise à 51 personnes au niveau national.
Des chiffres au-dessus de la moyenne nationale…
Courroucé, le préfet ne supporte plus, à raison, que les accidents soient deux fois et demie plus meurtrier sur sa zone de compétence habituelle que sur l’ensemble du territoire français.
A ce propos, et par comparaison, l’évolution du nombre d’accidents corporels en France s’est tassée de – 4,8 % entre 2017 et 2018. Entraînant de facto une diminution du nombre de tués (- 5,5 %), de blessés (- 5,4 %) et de personnes hospitalisées (- 24,8 %). A l’inverse, quand il commente les chiffres de l’Yonne, Patrice LATRON ne peut qu’exprimer sa surprise. Car, la tendance s’inverse lourdement. Le nombre d’accidents corporels a progressé de + 10,90 %, augmentant le nombre de tués (+ 12,5 %) et de blessés (8,60 %). Maigre consolation : seul le nombre de personnes hospitalisées décroit de manière flagrante, ramené à – 14,95 %.
Dans les faits, 234 accidents corporels sont venus ternir l’année 2018, provoquant le décès de 36 personnes, blessant 292 d’entre elles et envoyant au service des urgences 131 individus.
Les causes ont été abordées. Dans 81 % des cas, elles sont imputables à des fautes de comportement des usagers de la route. Le non-respect des règles de la circulation est ainsi pointé du doigt par Patrice LATRON : « 33 % des accidents mortels s’expliquent par des dépassements que je qualifierai de dangereux, et par le refus de respecter les priorités, précise-t-il, nos services ont relevé que 8 % de ces accidents prennent leurs sources dans les pertes de contrôle des véhicules… ».
Les excès de vitesse, malgré le durcissement de la limitation, n’ont pas été éradiqués pour autant.
Reste la délicate problématique des addictions. L’alcool et les stupéfiants ciblent davantage les jeunes conducteurs. Dans les faits, cela correspond à 23 % des accidents aux conséquences irrémédiables.
Une accidentalité accrue pour les 18/24 ans et les plus de 65 ans…
Mais, s’il est un point qui choque personnellement le préfet de l’Yonne, c’est bien le nombre d’accidents qui touche de plein fouet les jeunes automobilistes. 13 % des tués de 2018 sont issus de cette tranche d’âge. Inacceptable pour le représentant de l’Etat.
A l’autre extrémité de la pyramide des âges, les seniors de plus de 65 ans représentent plus du tiers des tués sur nos routes alors que cette tranche d’âge équivaut à 22,5 % de la population de l’Yonne. Quant aux auteurs de ces catastrophes irréversibles, 27 % ont entre 25 et 39 ans.
Précisons que 60 % des faits divers se sont produits sur les routes départementales, réputées plus dangereuses. A contrario, les nationales et le réseau autoroutier ne concernent à part égale que 12 % de cette accidentologie.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Le groupe JEANNIN dispose de passerelles stratégiques pour conquérir la clientèle de Paris et de l’Ile de France
février 12, 2019L’ouverture de la nouvelle vitrine commerciale de l’un des concessionnaires historiques de France, depuis 1968, nous rappelle sa forte appétence à pouvoir s’adapter, toujours, aux besoins du marché et à ses impérieuses exigences. En abattant la carte du modernisme et de l’ergonomie fonctionnelle de son nouveau point de vente à l’estampille du constructeur allemand, Volkswagen, le groupe JEANNIN positionne inlassablement ses atouts dans l’une des zones économiques à fort potentiel de la région francilienne, la Seine-et-Marne. Une voie royale pour rayonner large, au-delà de ce territoire, en faisant un astucieux clin d’œil aux consommateurs de la capitale…
MAREUIL-LES-MEAUX (Seine-et-Marne) : Jouxtant ou presque le bâtiment qui accueille la concession AUDI, inaugurée en 2011, le nouveau point de vente VW du groupe JEANNIN AUTOPRESTIGE 77, reçoit les férus de la marque du constructeur d’outre-Rhin depuis le 28 janvier dernier.
Quelques mois après sa mise en chantier, l’édifice est désormais opérationnel pour vanter les mérites des berlines et SUV de l’enseigne. Toutefois, le concessionnaire bourguignon occupait déjà cette zone de chalandise très stratégique depuis bientôt vingt-trois ans, date de l’ouverture de l’ancienne concession.
Le groupe préconisait l’agrandissement de son show-room et désirait se positionner sur une zone plus facile d’accès. Ergonomique, répondant au cahier des charges voulu par Volkswagen, la nouvelle structure construite à quelques encablures de l’autre enseigne phare distribuée par le concessionnaire de Bourgogne devint une évidence côté logistique.
Respectueuse des ultimes concepts de merchandising, prescrits par le constructeur allemand, la concession se veut accueillante et très cocooning. Une valeur ajoutée importante pour le groupe JEANNIN qui a suivi à la lettre les codes de conceptualisation du site.
L’un des plus anciens distributeurs automobiles de l’Hexagone poursuit ainsi, grâce à cette implantation supplémentaire, son subtil maillage du territoire francilien.
Déjà avec l’ouverture de la concession AUDI, il y a quelques années, au même endroit, JEANNIN Automobiles avait savamment préparé sa venue sur cette zone à forte potentialité économique. Une trentaine de collaborateurs ont su patiemment nouer des liens relationnels étroits avec les consommateurs du cru, prouvant la passion de leur métier tout en inculquant une dimension humaine à leur entreprise. Une griffe propre au groupe que la nouvelle concession VW sera déclinée à sa manière.
Un véritable arsenal pour répondre aux besoins du marché…
Nonobstant ces deux enseignes vedettes dont il assure la promotion, le groupe piloté par Yves JEANNIN possède bien d’autres atouts dans sa besace. Distributrice multimarques, l’entreprise aux 210 millions d’euros de chiffre d’affaires, aux vingt-cinq points de vente et aux 380 collaborateurs s’est offert un luxe avouable avec le rachat en juillet 2018 de la société SMDA.
Réalisant un chiffre d’affaires évalué à 18 millions d’euros pour une trentaine de salariés, l’entité cédée par Jean-Pierre DAMACE commercialisait les marques Skoda, Mazda et Suzuki. Un pôle implanté à Melun propose aujourd’hui ces trois enseignes.
Si l’on ajoute à ce panorama non exhaustif, les modèles du constructeur japonais NISSAN, présent à Vert-Saint-Denis depuis 2016, le groupe JEANNIN a en sa possession un véritable arsenal de produits détonants pour optimiser sa conquête des parts de marché francilienne.
D’autant que le groupe est également présent à Coulommiers et à Fontainebleau, deux autres portes d’accès névralgiques de ce marché capital aux portes de Paris...
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99