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Innovation : les générateurs de petit volume offrent de réelles opportunités à CHAROT
février 08, 2019Depuis le 01er janvier, le groupe industriel de Sens s’offre de réelles perspectives d’accroître ses parts de marché au plan national grâce à la commercialisation d’un produit novateur. Celui-ci, baptisé « NOVO GAZ » intègre l’une des segments qui faisait encore cruellement défaut à l’entreprise : le générateur à gaz de petite taille. Désormais, CHAROT lance un sérieux avertissement à l’ensemble de la concurrence avec de solides espérances au niveau des ventes auprès des installateurs…
SENS : L’année ne pouvait pas aussi bien débuter pour le groupe industriel de l’Yonne spécialisé dans la conception de ballons d’eau chaude sanitaire. Après plusieurs mois d’analyse et d’étude de faisabilité, CHAROT a enfin sorti un nouveau produit sur l’une des strates de cet imposant « mille-feuille » que constitue ce secteur d’activité à l’échelle nationale.
Le « NOVO GAZ » correspond à un générateur à gaz de nouvelle génération qui trouve une place légitime sur le segment des ballons d’eau chaude de petit volume.
« Nous possédons depuis toujours une excellente notoriété sur le marché des gros générateurs, confie Pascal CHAROT, dirigeant de la société éponyme, mais nous n’étions pas encore placés sur cette gamme de produits. Or, régulièrement, une forte demande émanait du terrain par les commerciaux qui prennent le pouls sur la réalité des besoins… ».
Lancé le 01er janvier, le nouveau produit offre de belles perspectives de vente pour l’industriel. Il concerne des cibles consommatrices de générateurs de petit volume, c’est-à-dire des salons de coiffure, des structures hôtelières articulées autour d’une vingtaine de chambres.
Un bonheur technique ne vient jamais seul…
Seconde innovation : le réchauffeur de boucle. Ce système a été élaboré pour équiper des établissements hôteliers d’une dizaine d’étages. Placé à chaque pallier, ce concept intermédiaire permet de chauffer l’eau de manière constante et tempérée à tous les niveaux d’un bâtiment. L’innovation porte sur la possibilité de changer les éléments chauffants de cette technique sans procéder à une vidange ni en modifiant l’installation.
Placé à la verticale, le système permet aux opérateurs de réaliser des vidanges avec aisance et d’extraire les impuretés se déposant dans les tuyaux.
Plusieurs ballons d’eau chaude ont subi un léger lifting technique afin de mieux correspondre aux attentes des installateurs et de leur clientèle.
A l’aide de ces nouveautés, le groupe CHAROT devrait conforter ses parts de marché, notamment sur le segment du chauffage eau chaude sanitaire qui représente à ce jour 80 % de son chiffre d’affaires. Celui-ci s’élevait à 26,3 millions l’an dernier.
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La FDSEA, sans surprise, a été réélue dans un fauteuil à la Chambre d’agriculture de l’Yonne jusqu’en 2025…
février 07, 2019L’excitation des grands soirs électoraux n’était guère palpable dans le bureau de vote des élections professionnelles du monde agricole, ce mercredi soir à Auxerre. Bien qu’il y ait des innovations techniques apportées à ce mode de scrutin avec l’avènement de l’expression électronique. Nonobstant cet artifice numérique, devenu incontournable, le taux de participation global, in fine, équivaut à 28,6 %. Opposée à la Confédération paysanne et à la Coordination rurale, la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA) n’a connu aucune difficulté pour poursuivre à la tête de la chambre consulaire départementale sa gouvernance, via une nouvelle mandature de six ans à la clé…
AUXERRE : Le nom du successeur du président de la Chambre d’agriculture de l’Yonne, Etienne HENRIOT, n’est pas encore connu. Mais, déjà, les supputations vont bon train dans le landerneau agricole local.
Pour se faire, les observateurs devront faire montre de patience, jusqu’à la date du 04 mars, pour en connaître davantage sur le profil type de l’heureux élu. Celui qui aura la lourde tâche de présider l’organe indissociable du monde agricole. Organe en pleine mutation du fait de la régionalisation avec la Franche-Comté.
Ce jour-là, le 04 mars, une session spéciale sera organisée dans les locaux de la vénérable institution. Un fait qui a été confirmé par le directeur de la chambre, Hervé MIVIELLE, qui assistait avec beaucoup d’intérêt au dépouillement des bulletins de vote mercredi soir.
Non seulement, les nouveaux élus, issus de ce scrutin, occuperont pour la première fois leur fonction. Mais, en outre, ils auront pour mission initiale à élire leur représentant suprême dans le fauteuil présidentiel. Avant de désigner les membres du nouvel exécutif qui composeront le bureau.
D’ici là, en excellent président investi jusqu’au bout de son mandat, Etienne HENRIOT assurera la gouvernance de l’institution sous un mode intérimaire. Ce dernier conservant par ailleurs de nombreux mandats dans les milieux de l’agriculture.
Un suffrage très favorable à la FDSEA…
Dans le principal collège, celui des « chefs d’exploitation et assimilés » qui donnent la ligne directrice de l’appareil institutionnel, la FDSEA supplante largement les deux autres forces en présence, remportant le scrutin avec 60,76 % des suffrages. Quatorze sièges tomberont ainsi dans l’escarcelle du syndicat majoritaire. La Coordination rurale obtient un score de 20,05 % tandis que la Confédération paysanne plafonne à la limite des 20 % des votes (19,19 %). Dix-huit sièges étaient dans la balance de cette future représentativité.
Elue également à une large majorité, la FDSEA remporte le scrutin du collège des « propriétaires et usufruitiers ». Le syndicat en fera de même pour le collège des « anciens exploitants et assimilés » avec un score de près de 75 % (74,75 %). La Confédération paysanne récoltant au passage 25,27 %.
Trois personnes occuperont également un poste dans le collège des « salariés de la production agricole ». Ils représentent la CFTC Agricole (27,42 %), la CGT (25,08 %) et la CFDT (19 %). Force Ouvrière (14,72 %) et la CFE-CGC (13,71 %) fermant la marche de ce scrutin.
Quant au collège des « salariés des groupements professionnels agricoles », qui enregistre 2 302 inscrits, il aura vu une légère domination de la CGT (28,37 %) devant la CFE-CGC à 25 %.
Le collège « coopératives de production agricole » livrera aussi son verdict. Un siège reviendra à la CUMA (Coopérative d’utilisation de matériel agricole) avec un score digne d’un plébiscite, soit 100 % des votants !
La FDSEA gagnera sans l’once d’un accroc le collège « autres coopératives » où trois sièges étaient à pourvoir. Score de 100 % des suffrages.
Le collège « caisses de Crédit agricole » est dévolu à la Caisse du crédit agricole, de manière légitime. Tandis que le collège « caisses d’assurance mutuelles agricoles et caisses de Mutualité Sociale Agricole (MSA) » sera assuré par la MSA GROUPAMA avec là-aussi un score sans appel de 100 %.
Enfin, l’ultime collège, celui des « organisations syndicales à vocation générale d’exploitants agricoles ou de jeunes agriculteurs », il revient à la FDSEA qui a obtenu gain de cause auprès des votants.
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Le groupe BELLIER choisit l’Arizona pour gravir une marche supplémentaire à l’export
février 07, 2019Structure entrepreneuriale en perpétuelle croissance depuis ces trois dernières saisons, le groupe BELLIER livrera d’ici quelques jours ses premiers escaliers, des produits uniques conçus sur mesure, aux Etats-Unis, sous sa marque habituelle OEBA. La PME concrétise ainsi plusieurs mois d’intenses démarches consacrées à l’export vers le continent nord-américain. Et plus particulièrement dans l’état de l’Arizona où elle vient de prendre ses marques…
FAY-AUX-LOGES (Loiret) : Concevant des produits de belle facture, des escaliers traditionnels réalisés sur mesure à base de bois, de verre et d’inox, le groupe BELLIER entame ce mois-ci une phase stimulante de sa longue existence.
Ses deux premières commandes, des escaliers produits dans l’unité de production du Loiret, destinées à l’export seront livrées et posées sur le sol américain avant la fin de février.
Profitant d’une opportunité très bénéfique, Samuel POISSON, président de la SAS, mise aujourd’hui sur le volet de l’international pour faire croître l’outil de travail qui emploie aujourd’hui plus d’une cinquantaine de collaborateurs. Et de facto son chiffre d’affaires.
Une immersion en Arizona aura permis au dirigeant de la PME de nouer des liens stratégiques et précieux avec des architectes et constructeurs de maisons individuelles. L’objectif étant de capitaliser sur le savoir-faire de l’entreprise et les valeurs du made in France pour importer sur un marché américain aux fortes potentialités de développement des escaliers à la française.
Se situant sur la cible du moyen/haut de gamme, l’activité pourrait être soutenue à terme au pays de la bannière étoilée. En effet, peu de fabricant d’escaliers traditionnels y exercent leur influence.
L’ouverture d’un show-room à Phoenix à l’étude…
Représenté sur place par un consultant multicarte qui fait office aussi de distributeur, le groupe BELLIER ambitionne de réaliser un chiffre d’affaires de 400 000 euros dès le démarrage de cette nouvelle activité américaine. Du moins pour la première année. Avant d’envisager de dépasser le million d’euros de chiffre d’affaires, un objectif qui surviendrait un peu plus tard.
Développer un maillage territorial en Arizona, couplé avec l’ouverture d’un show-room à Phoenix, la capitale de cet état, permettraient très vite d’assurer la prospérité de la marque OEBA aux USA.
D’autant que les premières consultations commerciales, auprès de contacts implantés au Texas et dans d’autres états limitrophes, s’avèrent déjà probantes.
Même si le groupe ne possède pas encore d’expériences comparables à l’export, malgré une tentative qui se révéla infructueuse au Moyen-Orient il y deux ans (présence sur un salon professionnel à Abu Dhabi), BELLIER souhaite jauger le marché nord-américain afin de bien en comprendre les mécanismes. D’ailleurs, sa capacité, pour l’heure, se limite à ces projets circonstanciés en Arizona.
La PME aux 5,6 millions d’euros de chiffre d’affaires a bénéficié du soutien de BPI et de ses partenaires bancaires habituels pour consolider ce projet de développement extra-européen.
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Intelligence artificielle : la France n’a pas encore pris conscience des réels enjeux pour l’économiste Elie COHEN
février 05, 2019L’intelligence artificielle (IA) dont beaucoup d’exégètes de la sphère économique aiment se faire l’écho par voie de presse passionne le cénacle politique dont le député Les Républicains de l’Yonne, Guillaume LARRIVE. Ce thème aux enjeux sociétaux importants faisait l’objet d’une de ses questions au gouvernement, adressée mi-janvier au ministre de l’Education nationale Jean-Michel BLANQUER. Notamment sur son application dans le domaine de l’Education nationale. Profitant de la venue à la Maison de l’Entreprise de l’Yonne de l’un de nos plus brillants économistes, Elie COHEN, l’homme politique icaunais a pris soin d’interroger directement l’érudit sur sa vision personnelle d’une thématique qui pourrait révolutionner à brève échéance bien des aspects fonctionnels de notre monde…
AUXERRE : Même si les propos de l’économiste lors de sa conférence donnée devant un parterre de chefs d’entreprise ne se cantonnaient pas à l’approche globale de l’intelligence artificielle, il ne pouvait occulter un tel sujet au moment des échanges avec l’auditoire.
Brossant jusque-là, et avec beaucoup de réalisme le panorama d’une situation conjoncturelle plus que délicate pour notre planète, Elie COHEN aborda l’un de ses thèmes de prédilection actuels. Grâce à une perche interrogative que devait lui tendre une de ses « connaissances » en la personne du député de l’Yonne, Guillaume LARRIVE.
Assis au premier rang et très attentif au moindre mot prononcé par l’interlocuteur durant son long exposé, l’élu de la seconde circonscription fut prompt à poser l’une des questions initiales de cet échange de belle facture. L’intelligence artificielle s’invitant ainsi dans cette conférence où jusqu’alors Elie COHEN avait effectué une vaste circonvolution analytique de notre monde en déliquescence à grand renfort d’arguments empruntés à la géopolitique, aux milieux de la finance et à la macro économie.
Il est vrai que ce sujet de l’intelligence artificielle n’avait rien de décalé dans le débat du jour. Il ponctue l’actualité, parfois à grands coups de manchettes explicatives au détour de la presse spécialisée.
Sériant son intervention, le député de l’Yonne souhaitait en savoir davantage sur l’impact et l’évolution de cette intelligence dite technologique sur la société française et son système économique. Une question précise qui nécessita une réponse qui devait l’être tout autant de la part du conférencier.
La France accuse du retard sur la Sillicon Valley et la Chine…
Derrière le contexte de la technologie pure, l’intelligence artificielle et son application de plus en plus prégnante parmi notre société induisent nécessairement des interrogations sociétales, voire politiques que tout un chacun est en passe de se poser. Des choix de vie et d’orientation que souhaitent approfondir les décideurs des pouvoirs publics.
Se référant à une étude récente publiée par l’organisme américain d’analyses sociologiques Mc KINSEY, Elie COHEN n’a pas fait de fioritures pour donner ses éléments de réponse à la question du parlementaire.
La France ne figure pas parmi les cinq pays au monde ayant bien pris en compte les réels enjeux et conséquences de l’intelligence artificielle sur son mode sociétal. Ni même sur les implications économiques.
« C’est un vrai problème que nous observons aujourd’hui, continua-t-il, nous avons sous-investie massivement dans ce secteur et n’avons pas pris pleinement conscience de ses véritables intérêts… ».
Pourtant, Elie COHEN admet que des tas de projets ont vu le jour ici ou là à travers l’Hexagone. Que des « tas de gens s’agitent avec véhémence autour de ces concepts ». Oui, mais voilà : la France ne possède pas la clairvoyance ni le dynamisme de la Sillicon Valley américaine. Ni le système applicatif de grandes firmes chinoises, elles-mêmes soutenues par leur gouvernement, pour obtenir de facto la pleine maîtrise de ce sujet.
« Ne nous y trompons pas, clame l’orateur, les Chinois ont pour objectif d’être les leaders en la matière dans un avenir très proche. Nous autres, Français et Européens, ne sommes pas de la bonne taille pour être à la hauteur des vrais enjeux de demain au niveau de ces technologies. Nous ne convergeons pas vers une vision globale et pratique de leur usage… ».
Il n’est pas certain, au terme de cet échange inattendu entre l’économiste et le politique, que les réponses de l’orateur aient pleinement rassuré ce dernier. Toutefois, et Elie COHEN de le rappeler avec une note d’optimisme, il est vraisemblable, que l’intelligence artificielle aura un impact indéniable sur certains secteurs de l’activité économique, à commencer par celui de la santé. Demain, et grâce à l’utilisation de ces auxiliaires technologiques novateurs, des interactions apparaîtront entre les praticiens et les aides obtenues grâce à l’apport de l’intelligence artificielle. Sans qu’il y ait un recul de l’emploi. Bien au contraire…
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Les Positives Entreprises de la CCI se délectent de leurs immersions au plus près des décideurs de l’économie…
février 04, 2019Le 13 février, les acteurs de l’entrepreneuriat de l’Yonne auront la possibilité de prendre part aux 19ème Brunch des Positives Entreprises. Un concept de mise en relation qui perdure depuis mai 2016 à l’initiative de la Chambre de Commerce et d’Industrie. Après la découverte des Moulins DUMEE, le mois dernier, FIMM, l’une des trois sociétés du groupe MOMENTUM, accueillera sur son site de Joigny celles et ceux des entrepreneurs qui souhaitent optimiser leur réseau de connaissances. Mais aussi développer des affaires…
AUXERRE : Spécialiste dans le domaine des solutions de manutention professionnelle, MOMENTUM dispose avec ses trois structures (MANUVIT et WHIP TRUCK, toutes deux entreprises normandes localisées à la Ferté-Macé, et la bourguignonne, FIMM, basée dans l’Yonne) d’indéniables atouts lui ayant permis de devenir au fil des ans une référence nationale.
Disposant de bureaux d’études intégrés, et de deux unités de production, ce groupe familial peu connu dans la sphère médiatique représente pourtant un des fleurons de cette industrie qui aime jouer la carte du collectif. Grâce à son fort ancrage territorial au plus près des PME.
Ce groupe qui s’inscrit dans le schéma de l’industrie du futur « à la française » accueillera le 13 février prochain la communauté des Positives Entreprises. Ce réseau initié, avec brio, par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne.
Comme le stipule l’animatrice de cette entité (un réseau parmi les réseaux) Christine JAN, chef de projet sur les RIDY (Rencontres industrielles régionales) dont la future édition se déroulera à Auxerre à l’automne le 03 octobre, « nous mettons tout en œuvre pour que cette communauté soit créatrice de valeur pour les entreprises qui y participent… ».
Moyennant une inscription modique de 25 euros par personne qui couvre les frais de la formule brunch qui y est assortie, les chefs d’entreprise et les cadres ont la faculté de pouvoir disposer de deux heures de leur précieux temps, celui de la pause déjeuner, pour découvrir les arcanes de l’une des sociétés ayant le vent en poupe dans la région et de pouvoir joindre l’utile à l’agréable en développant leur réseau en toute convivialité.
La formule ne cesse de plaire. Enregistrant à chaque rendez-vous mensuel de nouveaux adeptes. L’estampille de la chambre consulaire à l’organisation de cet évènementiel confère une crédibilité et un sérieux supplémentaires à l’exercice. Quant aux qualités de l’animatrice experte es organisation évènementielle, elles ne sont plus à démontrer !
Une plongée dans l’univers de la minoterie aux Moulins DUMEE…
Mi-janvier, la cinquantaine de participants habituels a été reçue par Hervé de ROMEMONT, le PDG des Moulins DUMEE, à GRON. L’occasion était excellente d’y visiter le nouveau site de production de ce poids lourd de la minoterie.
Dotée d'une capacité de stockage en blé de 11 500 tonnes et d'une capacité de production de 450 tonnes par jour, la nouvelle usine bénéficie d'une informatisation globale très innovante qui permet d'offrir une farine de qualité optimale. Ayant boostés ses volumes de 25 %, les Moulins DUMEE peuvent, grâce à ce processus innovant, élaborer des farines mélangeant jusqu’à dix variétés de blé ainsi que des farines répondant aux besoins spécifiques de ses clients : farines panifiables, farines composées, farines bio, farines industrielles, farines pâtissières et améliorants.
Fort d’un effectif de 70 collaborateurs, les Moulins DUMÉE accompagnent également les boulangers dans leur installation (formation, conseils, financement…).
Précisons que le mois prochain, le 19 mars, les Positives Entreprises de la CCI changeront radicalement de thématique. Elles se pencheront sur le milieu de la machine agricole avec en fil d’Ariane la présentation du groupe ALABEURTHE.
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