Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Le déploiement du très haut débit par fibre optique à Sens a fait l’objet d’une conférence de presse passionnante, en présence de Marie-Louise FORT, présidente de la Communauté d’agglomération du Grand Sénonais et de Véronique MORLIGHEM, déléguée régionale d’Orange en Bourgogne. Si une première phase de travaux, permettant cette optimisation du très haut débit FTTH est en cours, le terme de ce chantier, prévoyant une couverture totale de la ville, sera effectif à l’horizon 2020. Entre-temps, une seconde campagne de travaux aura eu lieu dans de nouveaux quartiers de la cité la plus septentrionale de l’Yonne au cours de l’année 2018…

SENS : Qu’on se le dise ! La fibre optique est une réalité tangible à Sens ! Lors d’une récente conférence de presse, programmée dans les salons de l’hôtel de ville, la déléguée régionale d’Orange en Bourgogne, Véronique MORLIGHEM et la présidente de la Communauté d’agglomération du Grand Sénonais et maire de la Ville de Sens, Marie-Louise FORT se sont félicitées de l’avancée technique de ce déploiement de la fibre optique. Il devrait s’achever à l’horizon de 2020, terme définitif de ces travaux d’installation.

Un déploiement décliné selon différentes étapes et trois lots…

A ce jour, plus de 1 100 logements sont raccordables à la fibre optique : ce sont plus de 17 700 foyers concernés. Certaines entreprises peuvent également bénéficier de ce confort optimal de débits et d’usages innovants. A Sens, ce déploiement se conceptualise sous la forme de trois lots. Le premier englobe près de 5 100 logements dont 30 % sont implantés en ville. Géographiquement, cela se rapporte aux quartiers de Sainte-Béate, de la clinique Paul Picquet, des Champs-Plaisants, du secteur de l’hôpital et des Charmilles ainsi que les rues Saint-Pierre-le-Vif et le haut de la rue Alsace-Lorraine. Une quinzaine d’armoires techniques (chacune d’entre elles pouvant desservir environ 360 logements) ont été installées.

Le deuxième lot est sectorisé vers le sud et le sud-ouest de la ville avec une couverture de 5 600 logements. Dès le premier semestre, la tranche initiale de la pose des armoires nécessaires au raccordement sera opérationnelle. La validation de ce processus  est en cours avec les équipes de la municipalité.

Quant au lot numéro trois, toujours à l’étude pour sa finalisation, il s’appliquera au centre-ville et à la  partie orientale de l’agglomération. Soit in fine, un total de 7 000 logements. Il est le plus délicat à mettre en place car le dossier se gère en concertation directe avec les architectes des Bâtiments de France du fait de l’important patrimoine historique existant.

Proposé à un rythme progressif, ce déploiement comporte plusieurs étapes obligatoires : les études en coordination avec les équipes techniques municipales, l’installation desdites armoires de rue donnant la possibilité à l’ensemble des opérateurs de venir proposer leurs services et le tirage de la fibre dans les fourreaux de génie civil déjà en place.

Dernier point fondamental à la réussite de l’exercice : les habitants de ces différents quartiers doivent communiquer dès que possible auprès de leur syndic et de leur bailleur immobilier s’ils désirent être raccordés à ce nouveau réseau. Le raccordement de leur immeuble doit ensuite être soumis à un vote lors d’une assemblée générale. Puis, l’opérateur désigné pourra installer les points de branchement en face de chaque logement tandis que le client sélectionnera le fournisseur d’accès Internet de son choix, ce dernier effectuant le raccordement final à son domicile.

Côté communication, et surtout transparence, ORANGE innove en devenant le premier opérateur à mettre en ligne sur le site, « reseaux.orange.fr », une cartographie détaillée de la couverture de ce déploiement à la fibre optique qui soit compatible avec les ordinateurs, tablettes et autres smartphones. Histoire de connaître toutes les étapes de ce projet en temps réel !

Un réseau 100 % fibre, synonyme de performance jusqu’au logement et en entreprise…

Dans l’Yonne, ce sont une vingtaine de communes qui sont concernées par ce vaste chantier. Il représente 54 000 logements à couvrir, soit 27 % des habitations du département. Quatre agglomérations (Auxerre, Saint-Georges-sur-Baulche, Monéteau et Sens) sont engagées dans ce programme novateur où près de dix mille logements sont éligibles à la fibre optique.

Rappelons qu’ORANGE a démarré ce déploiement en Bourgogne Franche-Comté dans 55 localités dont 34 pour la seule région Bourgogne et compte déjà plus de 182 000 logements éligibles. Au plan national, ORANGE poursuit son investissement de trois milliards d’euros sur la démultiplication de la fibre optique. Dès 2018, l’ambition de l’opérateur est de raccorder 12 millions de logements et de dépasser la barre des vingt millions deux ans plus tard. Au 01er juin, ORANGE comptait 1,690 million de clients fibre dans l’Hexagone.

Grâce à cette technologie, les utilisateurs profiteront à l’avenir de différents usages en simultané accessibles sur tous les écrans du foyer comme le streaming vidéo, les contenus Ultra Haute Définition, le stockage sur le cloud, le son Haute Définition ou la caméra 360 °…mais cela engendrera aussi l’explosion au plan économique de la télémédecine et du télétravail.

Un seul regret que la périphérie de Sens ne soit pas impactée…

Commentant la phase évolutive de cette stratégie, Marie-Louise FORT a déploré que seule la Ville de Sens soit directement concernée par ce déploiement de la fibre optique alors que les autres communes du Grand Sénonais ne s’inscrivaient pas encore dans ce schéma opérationnel.

« C’est dommageable car le nord de l’Yonne est en perpétuel développement à la fois démographique et économique. Il est regrettable que nous ne soyons pas en capacité au niveau politique d’honorer et d’accélérer le mouvement. Parler de la ruralité du territoire, c’est aussi mettre en avant le télétravail. La fibre optique représente un vecteur technologique majeur pour y parvenir… ».

Constatant aussi que les éléments techniques étaient là à notre disposition, l’élue du Sénonais rappelait que « des fonds devraient être engagés par la collectivité et la force gouvernementale pour atteindre ces objectifs prioritaires à terme…».

« Je me réjouis, devait-elle ajouter, que le premier lot implique beaucoup de foyers de la ville et notamment les ensembles de soins que sont la clinique Paul Picquet et le Centre hospitalier. La libre optique équivaut à une chance inéluctable pour le développement de la télémédecine et l’amélioration de la santé sur nos territoires…».

Evoquant, enfin, la convention de partenariat conclue avec l’opérateur ORANGE, Marie-Louise FORT précisa que « toutes les armoires de rue facilitant le raccordement aux offres de services des spécialistes du très haut débit seront posées d’ici 2020 ; la totalité des logements raccordables au plus tard en 2022…».

Quant au déploiement qui est devenu le fer de lance d’ORANGE, entreprise qui réalise aujourd’hui 40,9 milliards de chiffre d’affaires dont 16 % sont consacrés aux investissements indispensables à l’optimisation de la fibre optique et à la valorisation des licences 4 G (1,2 milliard d’euros), il place le professionnel de télécommunications dans un leadership confortable.

Présent dans une trentaine de pays, ORANGE emploie 158 000 collaborateurs dont 93 000 en France. Son nouveau plan stratégique « Essentiels 2020 », dévoilé en mars 2015, positionne le groupe parmi les valeurs sûres des marchés boursiers mondiaux, à la fois sur « Euronext » à Paris et sur le New-York Stock Exchange…  


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’Yonne peut s’enorgueillir de posséder sur son territoire une antenne ultra dynamique du premier réseau d’écoles de commerce post-bac en France, l’EGC. L’établissement, accueilli au cœur du village d’entreprises géré par la Chambre de Commerce et d’Industrie, a récompensé il y a peu une dizaine de jeunes diplômés, lors de la traditionnelle cérémonie de remise de distinctions. Une étape symbolique  et conviviale qui clôture un cycle pédagogique à vocation commerciale et marketing de trois ans distillé par des enseignants et vacataires issus du monde professionnel…

SENS : A l’énoncé des statistiques dévoilées par le président de la CCI de l’Yonne, Alain PEREZ, lors de la septième cérémonie de remise de diplômes début décembre, on comprend mieux l’appétence des milieux institutionnels et économiques locaux en faveur de l’Ecole de gestion et de commerce basée dans le nord de l’Yonne.

Des résultats encourageants d’une promotion à l’autre…

Référence à part entière de l’enseignement supérieur opérationnel sur notre territoire, l’EGC, créée en 2008, a acquis petit à petit ses lettres de noblesse au sein du paysage pédagogique bourguignon.

Qu’on en juge : en presque dix saisons de fonctionnement, le campus du réseau des CCI a formé 151 étudiants dont 55 apprentis depuis 2010, délivré 82 diplômes et surtout proposé plus de 500 stages en entreprise dont une centaine qui ont été dirigée vers l’international, sur le continent européen mais aussi à destination de l’Asie, pour des périodes d’immersion allant de trois à cinq mois sur le terrain.

Quant aux professionnels, issus de groupes reconnus de l’entreprenariat régional (CHAROT, TRANSDEV, ULMANN, CHEVILLON, etc.), ils se mobilisent chaque année avec enthousiasme et plaisir pour apporter leurs compétences et savoir-faire aux jeunes pousses lors de jurys permettant de valider les acquis.

L’expertise des entreprises et d’enseignants de qualité…

Membre d’un réseau national existant depuis trente ans et qui comptabilise 2 200 étudiants formés chaque année parmi les vingt-deux établissements, 900 diplômés par an et un vivier de 21 000 anciens étudiants, l’Ecole de gestion et de commerce de Sens bénéficie d’un taux d’insertion professionnelle de 80 % six mois après l’obtention du précieux sésame servant à intégrer la vie active.

La plus-value de cette école, conduite avec maestria par Hervé AUBERGER qui dirige en parallèle la destinée du pôle formation de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, repose sur cette relation sectorielle privilégiée avec le tissu économique de proximité.

Apporter une réponse concrète aux besoins des cadres intermédiaires des entreprises de l’Yonne est devenu l’un des axes essentiels qui justifie le mode opératoire de l’école.

« Nous travaillons deux zones géographiques majeures, explique Hervé AUBERGER, le secteur septentrional de l’Yonne mais cela tend aussi à s’élargir à l’ensemble du département depuis quelques saisons et la zone sud de la Seine-et-Marne… ».

Proposer une alternative pédagogique  de proximité aux bacheliers de l’Yonne…

D’ailleurs, 20 % des étudiants qui fréquentent le deuxième étage du village d’entreprises de Sens proviennent de l’Ile de France. L’autre vecteur intéressant qui explique le succès de cette structure d’enseignement supérieur depuis qu’elle a vu le jour, c’est la baisse de l’évasion des bacheliers Icaunais vers les départements limitrophes. Car, 80 % de ces jeunes gens poursuivent leur troisième cycle vers Dijon ou se rendent à Paris. Voire à Troyes ou Orléans.

« N’oublions pas d’intégrer l’enseignement supérieur parmi les leviers stratégiques du développement économique de notre territoire, précise Alain PEREZ qui rappelle les fondamentaux du concept « CCI Yonne Campus » initié par ses soins en 2016, en conservant nos jeunes talets dans l’Yonne, nous contribuons ainsi à dynamiser note département en répondant aux besoins et compétences des entreprises… ».

Forte de 45 étudiants, l’Ecole de gestion et de commerce de Sens ne cherche pas à remplir coûte que coûte ses promotions. Rester à dimension humaine est un aspect prépondérant à la réussite de ce concept pédagogique qui devra cependant répondre à de nouveaux objectifs en 2018…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le centre de réparation et entretien automobile de Joigny diversifie ses activités commerciales, à la suite d’une acquisition indispensable à son développement : une machine performante destinée à nettoyer les filtres à particules. Cette orientation stratégique de la SARL représente une valeur ajoutée indéniable pour Luc VEYRAND, expert en motorisation, qui a rejoint l’entreprise parentale depuis quelques années. Conçu par l’industriel italien « TECHNIFAP », et distribué à travers l’hexagone par « SPORT SYSTEM » depuis Albi, l’appareil a nécessité 50 000 euros d’investissement. Médaillé d’or au salon « Equip’Auto » de Paris, et opérationnel depuis le mois d’août, l’ensemble offre à ASJ la possibilité d’engranger de nombreux rendez-vous lucratifs…   

JOIGNY : Plus de 5 000 euros de chiffre d’affaires supplémentaires obtenus chaque mois depuis le mois d’août : l’installation de ce nettoyeur ergonomique de filtres à particules engendre de prometteuses retombées financières pour la société familiale dirigée par Ludovic VEYRAND. Son fils, Luc, ne tarit pas d’éloges sur cette machine à la fonctionnalité éprouvée depuis plusieurs mois qui permet de redonner une seconde jeunesse à une pièce mécanique maîtresse de l’automobile qui nécessite un entretien de manière régulière.

Un cycle de nettoyage automatique et d’une rare efficacité

« Quand cette pièce se bouche à cause de l’accumulation des impuretés, explique le jeune homme, féru de moteurs en tout genre (il a travaillé plusieurs mois dans le milieu sportif du rallye automobile au service d’un team national ayant ses bureaux sur le célèbre circuit de Nogaro), le propriétaire du véhicule est dans l’obligation de la remplacer avec la seule alternative d’en acquérir une neuve. Ceci suppose des coûts onéreux qui peuvent aller au-delà des mille euros de budget selon la politique tarifaire de certains constructeurs… ».

Même si divers nettoyants ont été testés pour préserver la pièce existante auparavant, peu de résultats semblaient convenables jusqu’à présent sur ce marché de l’entretien automobile. C’est ici que le fabricant transalpin, TECHNI FAP, entre en jeu. L’ingénierie de l’industriel italien échafaude alors une machine que l’on peut qualifier de révolutionnaire. Distinguée sur la plupart des salons professionnels européens, elle adopte une solution de nettoyage pragmatique et surtout efficiente.

Fixé à l’intérieur de l’appareil, le filtre à particules reçoit un fort volume d’air qui additionné à une puissante pression de l’eau décolle la suie et les saletés contenues dans chacune des alvéoles de la pièce. Le schéma se répète à maintes reprises avant l’opération de séchage, redonnant une virginité fonctionnelle au filtre. La durée de cette symbiose air/eau n’excède pas une soixantaine de minutes d’une intervention, entièrement automatisée. Une fois lavée et séchée, la pièce mécanique équipe de nouveau le véhicule. Que ce soit une automobile traditionnelle mais aussi un engin agricole ou un poids lourd puisque AUTO SERVICE JOVINIEN peut assurer l’entretien de ces véhicules motorisés.

L’exclusivité dans l’emploi de cette machine dans l’Yonne

Selon la typologie de la pièce, le consommateur déboursera entre 300 à 400 euros hors taxes pour réaliser l’opération. C’est-à-dire une prestation deux fois moindre que l’achat d’un nouveau filtre !

« Ce concept ingénieux se situe dans une logique de développement durable, précise Luc VEYRAND, les boues souillées que nous récupérons à l’issue du lavage se recyclent. Les produits utilisés sont propres et l’opérateur travaille sans précaution particulière sur une machine qui est hermétique de manière intégrale…».

A la suite d’un séjour à Albi en février 2016, Luc VEYRAND découvre l’originalité de ce concept novateur. « Le fabricant italien venait d’en achever la construction et les premiers appareils se commercialisaient sur le territoire… ».

Convaincu par la pertinence de cet auxiliaire numérique à l’entretien des filtres à particules, Luc se rapproche de SPORT SYSTEM. L’entité assure la vente à travers le pays.

« ASJ a conclu un contrat d’engagement avec cette dernière société. Ce qui nous a permis d’avoir l’exclusivité de ce produit sur le département de l’Yonne… ».

Installé début août, il n’a pas d’équivalent en Bourgogne Franche-Comté même si le maillage souhaité par le distributeur albigeois s’étend aujourd’hui vers le Pas-de-Calais, la Drôme, l’Aisne ou les Landes.

Création d’un poste de mécanicien supplémentaire…

Avec un chiffre d’affaires annuel qui oscille entre 800 000 et le million d’euros, AUTO SERVICE JOVINIEN connaîtra sans aucun doute une année 2018 intéressante à la suite de cet investissement. Un nouveau poste de mécanicien avec un profil bac pro répondra aux impératifs professionnels imputables à cette recrudescence d’activité observée depuis quelques mois.

Ce centre d’entretien automobile, né il y a treize ans et spécialiste sur le segment des 4X4, a su aussi au fil du temps se diversifier en assurant le contrôle et la réparation de flottes professionnelles (collectivités, taxis) tout en accordant une large place à la clientèle de particuliers. Via la vente de véhicules neufs et d’occasion qui lui conforte un positionnement privilégié sur cette zone de chalandise à forte potentialité.

En 2015, Ludovic VEYRAND rachète le point de vente d’un agent Renault basé à SENAN, et s’ouvre ainsi le marché fructueux du dépannage assuré sur l’autoroute A6 par cette entité distincte, devenue « SENAN Automobiles ».


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Après un amorçage réussi en 2017, le réseau des MFR de Bourgogne Franche-Comté renouvelle pour la seconde année consécutive cette initiative expliquant le parcours pédagogique qui conduit aux grandes filières de la vie professionnelle. A travers quatre forums, accueillis dans les principales villes du territoire, la fédération régionale des Maisons familiales rurales apportera des réponses précises aux collégiens et lycéens, mais également aux étudiants, enseignants et demandeurs d’emploi désireux d’en savoir davantage sur les formations par l’alternance ou par apprentissage, après les classes de 4ème et 3ème, du CAP au Brevet de technicien supérieur (BTS).

DIJON : Tenue en janvier 2017, la précédente édition avait enthousiasmé les élèves de nombreux établissements scolaires de Besançon et sa périphérie. Il devrait en être de même en cette période de janvier aux quatre coins du territoire régional.

Un panel éclectique de métiers présent sur les forums

S’inscrivant parmi les axes majeurs de la communication de ce réseau de centres de formation, les Forums des métiers offriront gracieusement la possibilité aux jeunes générations et aux équipes enseignantes d’obtenir des réponses concrètes aux multiples questions liées à l’orientation.

Concoctées sous forme d’animations, ces journées donneront la possibilité aux visiteurs de pouvoir assister à des séances démonstratives et d’échanger en direct avec des partenaires professionnels. Quelques jeunes, très motivés, apporteront leur témoignage par rapport au bien-fondé de cet événement, permettant aussi de vérifier un projet de formation.

Parmi les filières présentes lors de ces quatre événementiels, citons l’agriculture, les services aux personnes, le tourisme, la restauration, le commerce et la vente, les aménagements paysagers et espaces forêts, la maintenance des matériels, la métallerie soudure, la prévention et sécurité, l’informatique ou les métiers de la vigne.

Touche de particularisme non dénué d’intérêt : les milieux animaliers seront dignement représentés avec des spécialistes d’élevages canin et félin ou ceux de la filière équestre.

Une foultitude de dates et de rendez-vous à biffer sur les agendas…

Parallèlement à ces manifestations, l’ensemble des MFR de Bourgogne Franche-Comté ouvriront leurs portes les 03 février et 03 mars 2018 pour accueillir et orienter les jeunes.

A noter que le 03 mars, 47 centres de formation par l’alternance de Bourgogne Franche-Comté procéderont à l’accueil du public lors de portes ouvertes, et dans ce contexte, toutes les Maisons Familiales Rurales de la région qui appartiennent aux CFA des MFR de Bourgogne et aux CFA des MFR de Franche-Comté participeront à cette manifestation.

Les forums des métiers se dérouleront le samedi 13 janvier de 9h30 à 17h00  à Dijon, salle de la Grande Orangerie au Parc de l’Arquebuse ; le mercredi 17 janvier de 9h30 à 17h00 à Besançon, salle de la Malcombe, avenue François Mitterrand ; le samedi 20 janvier de 9h30 à 17h00 à Auxerre, Bâtiment le 89, 16-18 Boulevard de la Marne et le samedi 27 janvier de 9h30 à 17h00 au Creusot, salle de l’Alto, Avenue François Mitterrand…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La recrudescence du nombre de cambriolages depuis plusieurs mois dans le département de l’Yonne a comme conséquence directe la propagation élargie du dispositif de participation citoyenne à l’échelon des communes. Près de trente protocoles ont ainsi été initiés avec le concours de la préfecture et des forces de la gendarmerie ou de la police. Mais, cela reste très nettement insuffisant au vu de la topographie de notre territoire qui comprend 428 localités. Néanmoins, vingt-deux autres agglomérations montrent déjà leur intérêt à la concrétisation de ce projet qui créé du lien social parmi la population et génère davantage de sécurité dans les villages inféodés à cette charte d’engagement volontaire.

AUXERRE : Opérationnelles depuis l’instauration de ce concept dans l’Yonne en 2015, 568 personnes, ayant bénéficié de séances pédagogiques à la connaissance de ce protocole, incarnent aujourd’hui cette participation citoyenne palpable sur le terrain au niveau de la sécurité.

Il s’agit de femmes et d’hommes, le plus souvent des retraités, issus à forte majorité de la gendarmerie nationale, qui s’investissent sur une zone géographique précise (quartier, lotissement, résidence, bourgade…) à travers une démarche collective qui vise à accroître le niveau de sécurité d’un secteur de vie.

Les services de l’Etat mobilisés contre la délinquance…

Mis en œuvre depuis de nombreuses années aux Etats-Unis et en Grande Bretagne, ce dispositif de participation citoyenne sur la base du volontariat ne rencontre pas suffisamment le succès qu’il mérite auprès des populations françaises. Pourtant, ce processus sécuritaire est amené à se développer de manière très significative dès 2018 en Bourgogne du nord comme devait l’évoquer le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, lors d’une conférence de presse justifiée par la signature de ce protocole avec la municipalité de CHARMOY.

« La lutte contre la délinquance, notamment contre les vols, demeure une priorité pour les services de l’Etat. Ce concept est de faire participer la population d’une commune, d’un quartier ou d’une zone pavillonnaire à la sécurité de son environnement. En partenariat avec les acteurs locaux de la sécurité. Il est fondé sur la solidarité de voisinage et vise à développer un comportement de nature à mettre en échec la délinquance… ».

Si quelques édiles montrent encore une certaine réticence à appliquer ce dispositif dans leur bourgade, d’autres en revanche constatent  « qu’une meilleure remontée des renseignements est nécessaire à l’action des forces de l’ordre… et en apprécient ses bienfaits ». Quant aux habitants de ces agglomérations, ils ont accueilli ce dispositif avec bienveillance, sans éprouver le moindre sentiment de délation ou des effets intrusifs dans leur quotidien.

« Je souhaite parler aux élus qui exprimeraient encore des réserves, précise Patrice LATRON, l’intérêt de la commune ainsi que celui de ses habitants sont prioritaires… ».

Présence d’une signalétique à vocation dissuasive…

Concrètement, les référents volontaires et bénévoles sont nommés par les maires afin d’être en relation étroite avec les services de sécurité (gendarmerie, police). Un doute, voire une inquiétude se traduira systématiquement par un contact pouvant prendre la forme du fameux appel 17 en cas d’urgence.

« Attention, ajoute le préfet, les remontées de renseignements devront respectées les droits fondamentaux individuels des personnes, et se déroulées dans le cadre strict du civisme et du droit… ».

Naturellement, ce dispositif n’a pas vocation à se substituer à l’action de la gendarmerie ou de la police. Elle exclut l’organisation de toute patrouille ou intervention. Enfin, une signalétique spécifique existe. Elle est apposée à l’entrée des communes ayant adopté ce protocole sécuritaire. Représentant un œil grand ouvert, ces panneaux rendent la confiance à la population tout en restant dissuasif auprès des contrevenants qui viendraient réaliser quelques menus larcins. Seul accroc dans cette stratégie bien huilée : les panneaux disparaissent de la circulation, ils sont retirés dès le lendemain de leur pose aux abords des routes. Les services du Département n’appréciant pas ce type d’initiatives au demeurant rassurantes…une problématique qui ne devrait plus avoir cours prochainement !

Car la présence de cette signalétique diminue à elle seule le nombre de méfaits dans les zones qui en sont pourvues.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil