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Le CIDFF 89 délocalise en centre-ville à Auxerre : un appartement « témoin » des violences faites aux femmes
octobre 21, 2022Lumineux – il est pourvu d’un petit balcon prolongeant la perspective visuelle sur un espace arboré -, l’appartement de type F3 proposé à la location se veut très fonctionnel. Doté de deux bureaux – la confidentialité y est donc pleinement garantie -, il dispose aussi d’une salle de réunion (l’ancien séjour quelque peu réaménagé) et d’une cuisine où y règne la convivialité à certains moments de la journée. Bienvenue dans les nouveaux locaux du CIDFF 89 : le Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles de l’Yonne…
AUXERRE : C’est un nouveau monde, version la « Terre promise » en ce qui concerne l’accueil de son siège social, que vit désormais l’équipe de la structure associative auxerroise, en charge d’accueillir et d’écouter ces femmes et ces familles de l’Yonne qui sont privées de leurs droits les plus fondamentaux.
Maltraitances, violences conjugales, harcèlements…autant d’items très sérieux, à la limite du gravissime, au cœur des préoccupations quotidiennes des deux juristes qui siègent dorénavant dans les deux bureaux de cet appartement pas comme les autres.
Celui du Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles. Une entité, apparue en 1995 dans la capitale de l’Yonne, qui exerce une mission d’intérêt général confiée par l’Etat dont l’objectif est de favoriser l’autonomie sociale, professionnelle et personnelle des représentantes de la gent féminine.
Une mission ressemblant le plus souvent aux douze travaux d’Hercule, en vérité ! Tant les sujets où les femmes sont humiliées, rabaissées, anéanties, meurtries parfois dans leurs chairs…ne manquent pas.
Vingt-sept années d’interventions auprès de femmes et familles malheureuses…
Entre divorce complexe, harcèlements sur son lieu de travail, violences conjugales à répétition, difficultés financières en permanence, soucis de logement…, les juristes du CIDFF 89 Noémie et Ophélia n’ont malheureusement que l’embarras du choix pour exercer leurs talents en s’appuyant sur le droit, rien que le droit.
C’est sûr en vingt-sept années de pratique, toutes vécues dans ce bâtiment architectural si emblématique du quartier Sainte-Geneviève à Auxerre, « le Phare » qui sera démoli dans les semaines à venir, il a dû s’en dire des choses !
Ne parlons pas des émotions, voire des moments d’espérance, aussi pour celles de ces femmes qui osaient enfin franchir la porte de ce « confessionnal » grandeur nature pour se plaindre de la dure réalité de leur douloureuse existence.
Marie-France JEANSON, première présidente de cette structure associative qui ne fait pourtant pas la « une » des médias alors que les sujets, dont elle traite avec pertinence le contenu, s’affichent en large calligraphie sur les manchettes des journaux, s’en souvient encore. Son travail fut plus qu’honorable au fil des années.
Elle en a été remerciée chaleureusement par l’actuelle responsable, Simone PARIS, à l’occasion de cette cérémonie inaugurale, une sorte de « pendaison de la crémaillère » entre représentants des corps institutionnels – Juliette ROME, déléguée aux droits des femmes et à l’égalité, représentant la préfecture -, politiques (la sénatrice de l’Yonne Dominique VERIEN n’aurait manqué pour rien au monde ce rendez-vous) et associatifs où bon nombre de têtes connues de la place auxerroise avaient tenu à prendre part à cet évènement dont Serge LE DOUSSAL (ex-comité de la Franck Pineau), l’ancien premier adjoint de la Ville d’Auxerre Guy PARIS, président d’AMIDON 89 ou encore Monique HADRBOLEC, ancienne élue départementale et municipale.
Trop chaud l’été, trop froid l’hiver : même la météo aura bafoué les droits des femmes au Phare !
Le Phare, aujourd’hui vaisseau fantôme immobilisé dans la mer des Sargasses de la décrépitude en attente de sa destruction, fut largement évoqué par Simone PARIS. Non sans une once d’humour, d’ailleurs, de l’intéressée…
« Nous y avons vécu quatre déménagements contraints, car cette très belle structure architecturale, ancrée dans un quartier populaire, ouverte vers le ciel avec ses verrières remarquables et remarquées devait aussi montrer ses points de faiblesse au cours des années. Trop chaud en été, trop froid en hiver. Avec en sus, des inondations récurrentes observées dans plusieurs bureaux avec des conséquences désagréables pour ses occupants… ».
A force de déménagements successifs, l’équipe du CIDFF 89 aura fait quasiment le tour des bureaux ! Mais, toujours dans l’entente et la bonne humeur, visiblement.
Désormais, installée au 29 B du boulevard Vaulabelle, la structure va donc poursuivre son combat journalier pour que les droits des femmes et des familles ne soient plus jamais bafoués.
Thierry BRET
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Cité 89 : entre l’Etat et les collectivités territoriales, on est à l’heure de la co-construction pour Pauline GIRARDOT
octobre 20, 2022Elle a pris un réel plaisir à découvrir un évènementiel qu’elle ne connaissait pas encore, la nouvelle secrétaire générale de la préfecture de l’Yonne Pauline GIRARDOT. Et pour cause : ce rendez-vous monté de toute pièce au service des collectivités territoriales n’avait plus donné signe de vie depuis bientôt…quatre ans, crise sanitaire oblige ! La porte-parole du préfet Pascal JAN – ce dernier excusé rencontrait à Dijon le nouveau préfet de Région Franck ROBINE – n’aura pas manqué de saluer le travail exemplaire réalisé par les collectivités durant cette période si complexe…
AUXERRE : Invitée à la tribune officielle afin de clore la cérémonie protocolaire de l’inauguration de la 15ème édition de « Cité 89 », la représentante de la préfecture de l’Yonne, Pauline GIRARDOT, profita de l’aéropage de personnalités de la vie institutionnelle, politique et économique locale se tenant face à elle pour rappeler la « nécessaire mobilisation commune de toutes les énergies, invitant chacun à dépasser les egos pour travailler ensemble au devenir du territoire de l’Yonne ».
Un message fort que la sous-préfète d’Auxerre délivra dès le début de son intervention, se référant aux notes qu’elle avait placées sur le pupitre de l’estrade. Etat et collectivités locales doivent donc œuvrer dans la même direction, c’est-à-dire celle de l’intérêt général.
Un Etat déjà très présent sur le terrain, se donnant pour mission d’aider et de soutenir les élus dans leur mandat. Naturellement, en raccord synchrone avec l’actualité, Pauline GIRARDOT ne pouvait occulter l’un des items essentiels qui préoccupe à l’heure actuelle les représentants des collectivités icaunaises : la hausse des prix de l’énergie.
Avant de s’appesantir davantage sur le rôle de l’Etat qui selon sa propre vision, possède un rôle de facilitateur, d’accompagnateur et de catalyseur des projets des collectivités territoriales. Un organisme préfectoral qui est, par ailleurs, dans l’écoute desdites collectivités.
La transition écologique, cheval de bataille de la préfecture dans l’Yonne…
« Le préfet Pascal JAN nous a demandé – les sous-préfets – de venir à votre rencontre ainsi qu’à celles de vos équipes, notamment les secrétaires de mairie, poursuivit la jeune femme, à l’occasion de réunions de terrain à l’échelle des intercommunalités… ».
Dans le concret, ces rencontres favorisant les échanges et la concertation se mettent en place au niveau de leur organisation et seront ainsi proposées aux élus locaux entre la fin de l’année et le début de l’année suivante.
Puis, la fonctionnaire évoqua une autre thématique qui avait toute sa place dans les réflexions de ce « Cité 89 » édition 2022 : la transition énergétique et écologique. La première préoccupation du corps préfectoral dans l’Yonne.
A ce propos, le préfet Pascal JAN a suggéré, il y a peu, que la DETR (Dotation d’équipement des territoires ruraux) soit mobilisée prioritairement sur les projets qui concourent à l’amélioration de la transition écologique des territoires. Et en particulier, tout ce qui concerne le bâtiment. Une prise de décision devant renforcer l’attractivité et la résilience face au changement climatique.
95 % des collectivités devraient voir leur DGF en progression en 2023…
Parmi les autres points marquants de ce long discours inaugural, la secrétaire générale de la préfecture aborda ensuite les difficultés des petites communes à pouvoir boucler leur budget. Un sujet en lien direct avec leur capacité d’investissement.
« L’Etat soutient les collectivités avec un niveau historiquement élevé de dotations. Si vous regardez le projet de loi de finances, il est prévu que la DGF 2023 (Dotation globale de fonctionnement) soit relevée à 320 millions d'euros, au lieu des 210 millions d'euros actuellement. Et donc 95 % des collectivités devraient voir leur dotation se maintenir ou augmenter… ».
Des éléments de réponse qui ont dû sans doute rassurer les élus, très attentifs aux propos tenus par la représentante de l’Etat.
« Il existe aussi d’autres dispositifs, renchérit la jeune femme, qui sont en train d’être mis en œuvre à l’instar du bouclier tarifaire pour les toutes petites communes et le filet de sécurité qui se déploie… ».
En outre, l’Etat apporte également des réponses au niveau de la capacité d'investissement – « on a bien conscience que fonctionnement et investissement, même s'ils sont séparés d'un point de vue comptable, sont évidemment liés ! » - souligna Pauline GIRARDOT. D’ailleurs, pour corroborer ses dires, la Première ministre Elisabeth BORNE n’a-t-elle pas annoncé la création d’un Fonds vert avec une provision financière de 1,5 milliard d'euros au démarrage, porté à 2 milliards d'euros à destination des collectivités locales. Une aide conséquente qui confortera les collectivités territoriales à réaliser leurs projets en faveur de la transition écologique.
Une démarche de co-construction entre Etat et collectivités…
« A ce sujet, confirma l’oratrice, on sait que l'on doit encore travailler ensemble dans une démarche de co-construction pour développer les énergies renouvelables et sortir progressivement des énergies fossiles. Et pour remplir en conséquence nos devoirs envers nos concitoyens… ».
L’intervenante ne put conclure son discours sans se référer à une autre transition : celle du numérique.
« Je me félicite vraiment de l'avancement du déploiement du très haut débit dans le département, devait-elle commenter, le développement des infrastructures avance à grands pas. La totalité du département de l’Yonne devrait être couverte à la fin de l'année 2023 grâce à l'action résolue du Conseil départemental et des opérateurs qui collaborent au projet… ».
Un projet où l’Etat joue également sa partition, sa contribution financière dépasse désormais les 22 millions d’euros…
Thierry BRET
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La rue est à eux pour mieux revendiquer : l’intersyndicale plus que jamais debout, prête à la lutte à Auxerre...
octobre 18, 2022Le soleil était de la partie en ce jour de grève, qualifiée de « mardi noir ». Dardant de ses chauds rayons un cortège de plusieurs centaines de personnes qui emprunta à pas lents l’itinéraire habituel des manifestations revendicatives. Une de plus, pourrait-on dire ! Mais, il est vrai qu’au sortir de la crise sanitaire de la COVID, la situation sociale ne s’améliore guère dans le pays, tant au niveau du pouvoir d’achat que de la maîtrise de l’inflation. Deux motifs suffisants pour descendre dans la rue à Auxerre…
AUXERRE : Flanqués de leurs tenues rouges coutumières, reconnaissables parmi mille, les militants de la CGT, en très grand nombre, ouvraient le cortège de cette manifestation sociale très suivie, organisée contre la baisse du pouvoir d’achat et en faveur du droit de grève. Ils précédaient ceux de Force Ouvrière mais aussi de la FSU ou encore des adhérents de Solidaires.
Un long cortège qui chemina lentement au cœur de la capitale de l’Yonne sur un itinéraire le conduisant depuis son point de départ, place de l’Arquebuse, jusqu’au terme du « voyage », la place de la préfecture où l’Union départementale CGT de l’Yonne demanda à être reçu en audience auprès du préfet de l’Yonne.
Parmi les slogans entendus durant cette déambulation de l’intersyndicale : on aura noté à titre d’exemples quelques phrases choc, « la rue est à nous ! », « augmentons toutes les grilles de salaire dans les branches », « oui au droit de grève » ou encore « revalorisons le point d’indice de la fonction publique ».
La retraite à 60 ans, la hausse du pouvoir d’achat et le droit de grève défendus…
Scandés dans un microphone au son très approximatif par l’une des responsables de la CGT placée en tête du cortège et derrière la banderole, les messages étaient systématiquement salués par une salve de contentement de la part des grévistes.
Seul bémol de ce flot de paroles versé en continu sur le parcours, un tantinet ironique que ne manquera de relever l’oratrice, le credo sur « l’égalité salariale entre les femmes et les hommes au travail » n’obtint pas tout à fait le même succès, du côté des hourrahs ! Intervention de l’intéressée : « ah, et bien là, je ne vous entends pas ! ».
Puis, les messages reprirent en cadence au rythme de l’avancée de la longue procession syndicale. Favorables à la revalorisation des pensions – beaucoup de retraités avaient intégré le cortège -, ou l’obtention de la retraite à l’âge de 60 ans à temps plein. Les emplois dont le service public a grandement besoin furent également évoqués. A l’instar de la diminution du temps de travail.
Il y a quelques jours, l’Union départementale CGT de l’Yonne avait signifié son total soutien aux salariés grévistes des raffineries. S’insurgeant de fait contre la pratique, qualifiée « d’illégale » de la réquisition, voulue par la cheffe du gouvernement, Elisabeth BORNE.
« Le gouvernement ne nous volera pas nos droits… »
« Il est important de préciser qu'ici la réquisition de ces salariés grévistes est illégale puisque non prévue par la loi. La réquisition « légale » des grévistes dans la fonction publique existe et n'est pas une chose nouvelle : prenons l'exemple de l'hôpital public où les salariés ne peuvent plus se mettre en grève, c'est-à-dire ne pas être à leur poste de travail puisque le manque de personnels flagrant entraîne de l'assignation jusqu'à la réquisition de tous les agents, et de fait, aujourd'hui, leurs revendications justes sur les embauches, les conditions de travail et les rémunérations sont étouffées dans un manque de visibilité de la population… ».
Une chose est sûre avec cette démonstration publique dans les rues d’Auxerre, comme partout en France en cette journée de grève nationale : les représentations syndicales ne veulent pas mettre un genou à terre face au gouvernement.
« Il ne nous volera pas nos droits, en montant la population contre nous, confia déterminé l’un des responsables de la manifestation.
A bon entendeur…
Thierry BRET
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Vaincre le cancer du sein à plate couture : des « coussins-cœur » comme exutoire à la Mission Locale d’Auxerre
octobre 17, 2022Coudre contre la douleur. Coudre, aussi, pour redonner espoir à toutes celles qui souffrent dans leur chair et qui poursuivent avec force le combat avec toujours la même abnégation. Entre volontarisme, courage et pugnacité, l’initiative de la Mission Locale d’Auxerre se veut participative dans le cadre d’un atelier collectif de couture qui vise la sensibilisation et le soutien moral…
AUXERRE : Il y eu jadis, un slogan publicitaire qui stipulait que l’on pouvait passer de nombreux messages à l’autre avec des fleurs. Au-delà de la prose « horticole », la Mission Locale auxerroise a semble-t-il trouvé un dérivatif différent, mais tout aussi efficient et visible, à partir de travaux de couture. Confectionner des coussins en forme de cœur afin de les adresser à l’Espace Rencontre et Information (ERI) accueilli au Centre hospitalier de Dijon est en la preuve manifeste.
Une judicieuse opération de sensibilisation qui est orchestrée durant la campagne nationale « Octobre Rose » - celle qui concerne le dépistage du cancer du sein – et qui mobilise le jeune public qui fréquente d’ordinaire le site de cet organisme, voué à l’orientation et à l’insertion dans la vie active.
Plusieurs rendez-vous – le prochain se déroule ce mardi 18 octobre de 13h30 à 16h30 dans les locaux de la Mission Locale d’Auxerre au 1 avenue Rodin – sont ainsi proposés par les responsables de ladite structure. En accointance avec la Ligue contre le cancer, cette animation « coussin-cœur » consiste à confectionner ces objets en forme de cœur afin d’aider de manière psychologique les personnes atteintes de la pathologie dans l’épreuve des douleurs post-opératoires qu’elles subissent après une intervention chirurgicale.
Cette année, les jeunes gens qui transitent par la Mission Locale sont donc invités à participer à ces séances de travaux manuels afin de les sensibiliser à la cause, tout en développant leur esprit de partage et de solidarité.
Thierry BRET
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Il rejoint le Conseil d’Etat : les adieux du préfet de Région Fabien SUDRY à la Bourgogne Franche-Comté
octobre 17, 2022Dire que ce haut fonctionnaire connaissait bien la Bourgogne Franche-Comté serait un doux euphémisme ! Lui qui avait débuté jadis sa carrière préfectorale du côté de Louhans, en Saône-et-Loire, avant de rejoindre la Côte d’Or où l’attendait d’autres aventures professionnelles. C’est Franck ROBINE, qui lui succède aujourd’hui à ce poste à double responsabilité de préfet de Région et préfet de Côte d’Or…
DIJON (Côte d’Or) : C’était une figure connue et reconnue de la sphère institutionnelle régionale. Promenant de temps à autre sa silhouette et sa soif de découverte dans le département le plus septentrional de la contrée au détour de grands évènementiels.
A 65 ans, le préfet de Région et de Côte d’Or Fabien SUDRY a donc tiré un trait définitif sur sa carrière préfectorale, lors d’une cérémonie officielle vendredi soir, organisée en présence de nombreuses personnalités de la vie publique régionale. Un départ qui le mènera à Paris où il rejoint désormais le Conseil d’Etat, la plus haute instance de justice administrative de l’Hexagone.
« Servir l’Etat dans les territoires de la République était un choix assumé, revendiqué, précisera l’intéressé lors de sa prise de parole, un choix où il avait eu beaucoup de chance… ».
En 1987, c’est en qualité de sous-préfet de l’arrondissement de Louhans, en Saône-et-Loire, que débuta dans le corps préfectoral Fabien SUDRY qui aura eu ensuite à gérer lors de ses fonctions plus récentes les vagues successives de la COVID, le plan économique France Relance, la crise humanitaire imputable au conflit en Ukraine, les crises sociales, etc.
On notera parmi les personnalités présentes à cette réception l’ancien ministre du Tourisme et des PME/PMI Jean-Baptiste LEMOYNE, sénateur de l’Yonne, François PATRIAT, sénateur de Côte d’Or et ancien ministre de l’Agriculture, François REBSAMEN, ancien ministre du Travail et actuel édile de Dijon, Michel NEUGNOT, vice-président de la Région, Crescent MARAULT, président-maire de l’Agglomération de l’Auxerrois…
Nouveau préfet de Côte d’Or et de la Région, Franck ROBINE prend ses fonctions dès ce lundi 17 octobre.
Thierry BRET
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