Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743
Ne pas abandonner à leur triste sort les Afghans qui ont servi les intérêts de la France : un devoir qui répond au code de l’honneur
avril 01, 2019Nous autres, les Français, sommes, c’est bien connu, les meilleurs du monde. Il suffit pour s’en convaincre d’écouter les multiples débats dont la télévision nous abreuve à longueur de journée. Nous sommes à l’origine des Droits de l’homme. Nous avons fait la Révolution qui a été un modèle vertueux pour l’ensemble de la planète. Nous avons été en Europe dont nous sommes à l’origine de la vision moderniste le « Peuple des Lumières ». Oui, nous sommes vraiment excellents ! D’ailleurs, que serait le monde sans nous ? On se le demande !
TRIBUNE : Récemment, dans son émission intitulée « 28 Minutes », Élisabeth QUINT a réuni quelques beaux esprits sur un sujet qui mérite toute notre attention : la situation en Syrie. On y parlait du retrait des Américains et, par conséquent, de l’abandon des Kurdes qui avaient combattu contre DAESH. Avec nous et dans notre intérêt.
« Et maintenant, on les laisse tomber ! ». Mais, ne nous inquiétons pas trop, ils ont l’habitude depuis un siècle de ce revers de la médaille...
Ce qui était intéressant à l’écoute de ces conciliabules, c’était d’entendre nos philosophes d’un soir condamner les Américains d’avoir abandonné leurs alliés : « Personne ne pourra plus jamais leur faire confiance » disait-on en substance. Comme dans une affaire, datant d’il y a deux mille ans, il n’y avait pas assez de pierres à jeter sur la coupable, en l’occurrence, une femme adultère. Cela a même donné une expression que l’on retrouve dans toutes les langues : « Que celui qui n’a jamais pêché, jette la première pierre… ».
Mais nous autres, les Français, nous avons une formidable réserve de pierres à jeter. Et nous ne nous en privons pas ! Nous en jetons beaucoup aux autres et, comme il nous en reste quelques-unes dans la besace, nous les utilisons pour nous les jeter entre nous !
Ainsi, certains reprochent à d’autres l’abandon des Harkis, l’une de nos hontes nationales dont on a du mal à faire la repentance.
En grand pourfendeur de celles et ceux qui dirigent (mal) notre pays devant l’Eternel, Philippe de VILLIERS rappelait récemment cette bien triste affaire. Et puis, il y a désormais le cas similaire des Afghans.
Que la journaliste d’investigation Élise LUCET, dans sa remarquable émission « Envoyé spécial », a intitulé : « Les oubliés de Kaboul ». Ils sont Interprètes, magasiniers, ouvriers… près de 800 travailleurs afghans ont ainsi aidé les soldats français déployés dans leur pays. Aujourd’hui, considérés comme des traîtres, ils sont menacés de mort par les talibans. Leurs demandes de visa sont rarement acceptées. Ils accusent l’armée tricolore de les avoir abandonnés à leur sort…
Le premier devoir de l’homme est de respecter autrui…
Il y a six mois, un magazine a cité le cas d’un interprète afghan qui venait d’être abattu par les talibans. La mort de ce pauvre homme laissait une veuve prostrée dans la douleur et la misère, ainsi que trois enfants. Un de nos grands dirigeants a-t-il eu l’idée de l’accueillir en France et de lui verser une pension pour qu’elle et ses enfants puissent vivre dignement, après les immenses servis rendus à la patrie par son valeureux époux ?
En fait, toute notre histoire est truffée de ces abandons honteux. Lors des guerres d’Italie au XVIe siècle, un certain Machiavel avertissait déjà ses compatriotes de la versatilité des Français : « Ils vous soutiennent aujourd’hui ; ils vous abandonneront demain… ». Le jugement était déjà sans appel.
Mais revenons-en aux Afghans et à un autre membre de la famille de VILLIERS : le général Pierre de VILLIERS, ancien chef d’état-major de l’armée française. Le général est précisément l’auteur d’un excellent ouvrage: « Qu’est-ce qu’un chef ? ». Dans cet opus, le militaire originaire de Vendée affirme : « Le premier devoir de l’homme est un devoir, celui de respecter l’homme… ». On ne peut que souscrire à cette affirmation qui nous élève.
Oui, mais, Mon général, m’est-t-il permis de vous adresser cette question : « N’est-ce pas un devoir que de respecter les Afghans qui ont servi l’armée française ? ».
J’en ajouterai une seconde toute aussi pertinente.
« N’est-ce pas votre devoir à vous, chef de l’armée française en Afghanistan, de sauver les 800 travailleurs afghans ? Nous, Français, trouverons-nous enfin un chef qui rompe avec cette honteuse tradition d’abandonner, celles et ceux qui nous ont fait tant confiance ? ».
Mon général, êtes-vous ce chef ?
Philippe de VILLIERS, vous qui déplorez l’abandon des Harkis : « Etes-vous prêts à utiliser de toute votre influence pour que les gens qui ont fait confiance et servi la France soient accueillis dans notre pays et, ainsi, sauvés d’une mort certaine ? ».
Messieurs Pierre et Philipe de VILLIERS, à vous de remplir votre devoir et de nous montrer le chemin de l’honneur retrouvé…
Emmanuel RACINE
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
L’hémicycle européen n’a plus de secrets pour les représentants d’AGIR 89 en visite au Parlement…
mars 29, 2019Conduits par le président départemental de leur formation politique, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, une dizaine de représentants du mouvement AGIR 89 ont eu l’heureuse opportunité de pouvoir s’immiscer au plus près des arcanes du Parlement européen en milieu de semaine. Ce fut un voyage express à Strasbourg sur une journée, non dénuée d’intérêt pour ces élus de l’Yonne. Sur place, ils ont été accueillis par la députée européenne Tokia SAIFI, vice-présidente de la commission du commerce international. Instructif…
STRASBOURG (Bas-Rhin) : Salle H -1 1. Localisé parmi le dédale de bureaux ergonomiques permettant la tenue de micro conférences, l’espace d’accueil réservé à AGIR 89 aura permis au petit groupe en immersion au sein du Parlement européen de se faire une réelle opinion de cet incroyable organisme qui nous régente.
A la veille ou presque (le 26 mai) de futures échéances électorales, déjà jugées comme capitales pour l’avenir du Vieux Continent, plusieurs élus de la jeune formation, issue des Républicains, désiraient en connaître les rouages tactiques et surtout les lignes maîtresses au niveau de ses fonctionnements.
Car si les Européennes qui nous reviennent tous les cinq n’ont jamais passionné les foules en France, au plan électoraliste, il n’en est pas toujours de même dans d’autres contrées. Notamment auprès des peuples des nouveaux états membres qui ont une autre estime de ces rendez-vous quinquennaux, synonymes de dotations et de subventions financières en tout genre.
Une découverte dans cet antre du fédéralisme entre les 28 états membres (même si l’un d’entre eux, la Grande-Bretagne tergiverse depuis quant à ses modalités de divorce avec une sortie de plus en plus chaotique !) s’impose.
Une guide à la référence européenne aiguisée : Tokia SAIFI…
C’est sans doute avec cet état d’esprit, empli de curiosité, que Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, président départemental de l’Yonne de la formation politique initiée par le ministre de la Culture Franck RIESTER il y a quelques mois, a souhaité la mise en place de ce déplacement dans les hautes sphères européennes.
D’autres personnes de son mouvement s’y sont ralliées avec plaisir. Et peu importe la distance, et les kilomètres à parcourir dès potron-minet, pourvu qu’il y ait l’ivresse devant un cénacle de députés, bataillant ferme autour d’un texte portant sur la réforme du transport routier.
Le groupe d’élus de l’Yonne a eu également l’opportunité de pouvoir échanger avec l’une des figures emblématique de cette assemblée européenne, la députée Tokia SAIFI, présente depuis 18 ans sur les bancs de cet hémicycle qui accueille 751 représentants.
L’ancienne Secrétaire d’Etat en charge du développement durable dans les trois gouvernements de Jean-Pierre RAFFARIN siège parmi les représentants du PPE (Parti Populaire Européen) et les Démocrates-Chrétiens. Toutefois, elle lâchera à ses interlocuteurs très attentifs à ses propos liminaires sur le mode de fonctionnement de l’institution qu’elle ne repartirait pas pour un nouveau mandat en 2019.
« Je continuerai à faire de la politique en France en étant très attachée aux grands principes européens, conclut la vice-présidente de la Commission du commerce international à Strasbourg.
Avant que ne débute réellement la campagne des Européennes 2019, les élus Icaunais de la « droite constructive », tels qu’ils se définissent depuis novembre 2017, ont voulu en apprendre davantage sur cette instance parlementaire et ses modes opératoires. Histoire de mieux se forger une opinion qu’ils ne manqueront pas de distiller autour d’eux au plus près de leurs ouailles…
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Au Panthéon des arts et lettres grâce à la SEP : Christelle LOURY se pare d’argent qui vaut de l’or…
mars 28, 2019La S.E.P. (Société d’encouragement au Progrès) s’apparente de par sa notoriété à un prix Nobel de la culture à la française. Chaque année, de nouveaux contingents de personnalités bénéficient de ses faveurs honorifiques lors de la remise de distinctions qui mettent en lumière la maîtrise de notre langue maternelle, en France, comme à l’international. L’artiste Christelle LOURY a été touchée par la grâce de cette éminente référence cette année. La chanteuse, digne émule de Piaf et Barbara, a reçu aux côtés de l’ancien Premier ministre Jean-Pierre RAFFARIN, une méritoire médaille d’argent…qui vaut tout l’or du monde dans le cœur de la charismatique interprète des grandes chansons françaises…
PARIS : La contribution à la promotion de la langue de Molière à l’étranger mérite bien d’obtenir une belle récompense. Et quel précieux sésame que celui-ci ! Ambassadrice et porte-voix de la culture bourguignonne à l’international (Russie, Pologne, Ukraine, Etats-Unis…), Christelle LOURY s’est vue auréolée d’un nouveau titre de gloire, à ajouter à son déjà brillant palmarès.
Elle a reçu la semaine dernière la médaille d’argent de la Société d’encouragement au progrès, la fameuse SEP, créée de toute pièce e, 1908 par six emblématiques personnages : le président de la République française de l’époque, Albert LEBRUN, Paul PAINLEVE, président du Conseil des ministres, Louis CAILLETET, physicien et membre de l'Académie des Sciences, Auguste et Louis LUMIERE, inventeurs de la cinématographie, Edouard BELIN, créateur ingénieux de la photo-télégraphie et de la télautographie, enfin Edouard BRANLY, qui avant de donner son patronyme à un célèbre quai de la capitale, eut comme autre gloriole d’être le pionnier de la TSF !
C’est le président Jean-François ROUBAUD qui devait lui remettre le trophée dans la magnifique rotonde de l’Ecole Militaire, sise en face de la Tour Effel.
Christelle LOURY rejoint une liste prestigieuse…
La SEP encourage les personnes qui innovent dans différents domaines dont la science, la technologie, la santé, le social, les arts et lettres. L’humanisme de la démarche des fondateurs se voulait porteur de valeurs universelles, des principes moraux propres à permettre à l’humanité de survivre et de prospérer, ainsi qu’à faire avancer la civilisation, pour le bonheur du plus grand nombre. Cet humanisme était donc naturellement associé à la notion de progrès.
En obtenant cette honorable distinction, Christelle LOURY rejoint ainsi un Panthéon de personnalités aussi réputées que Louis LEPINE, Léon GAUMONT, Jean de Lattre de Tassigny, Marcel PAGNOL, Jacques COUSTEAU, Jean-Loup CHRETIEN, Line RENAUD, Pierre CARDIN, Louis SCHEWEITZER, Luc MONTAGNIER, Eric TABARLY ou Luc FERRY…Chapeau bas, Madame !
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Quatre mousquetaires progressistes (LREM, MODEM, AGIR et MRSL) s’unissent en faveur d’une Europe forte dans l'Yonne
mars 26, 2019Ces quatre mouvements politiques, proches ou en soutien de la majorité présidentielle, feront liste commune lors de la campagne des Européennes 2019 à l’échelle nationale. Au niveau de notre territoire, leurs représentants départementaux ont choisi de se positionner sur une stratégie similaire. Engendrant de facto la signature d’une charte de valeurs réciproques en faveur d’une Europe forte…
AUXERRE : Le leitmotiv est simple. Alors que le Vieux continent semble être à la croisée des chemins dans bien des domaines qu’ils soient sociaux ou économiques, les forces politiques de progrès entendent bien relever le défi. Et aller de l’avant en apportant leur lot de réformes au service des citoyens.
Ce ne fut donc point une surprise que d’assister il y a quelques jours à une conférence de presse, réunissant plusieurs cadres et acteurs emblématiques de la politique icaunaise. Tous étaient rassemblés derrière le projet incarné par le président de la République, Emmanuel MACRON, lancé à l’échelle de l’Europe, et baptisé : « Renaissance ».
Outre les représentants des quatre formations signataires de cette charte de partenariat (Patrice José TAMPIED AZURZA- LREM, Pascal HENRIAT -MODEM, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI -AGIR et Elodie ROY - Mouvement des radicaux), l’ancien Secrétaire général de la CFDT et conseiller municipal de Villeneuve-sur-Yonne, Jean KASPAR, se joignit à eux.
Initiateur et rédacteur de la charte de partenariat, ce dernier occupe également la fonction de conseiller politique de La République en Marche.
Dans l’absolu, les leaders charismatiques de ces formations progressistes feront campagne de manière conjointe pour les futures échéances européennes du 26 mai.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Le président du Sénat Gérard LARCHER face à la presse : « La légitimité des institutions n’est pas à débattre ! »
mars 23, 2019Favorable à une société ouverte à davantage de participation citoyenne et au repositionnement du rôle de l’élu de proximité, le président du Sénat, Gérard LARCHER, hôte de l’Association des Maires de l’Yonne (AMF) lors de leur assemblée générale annuelle, s’est livré à l’incontournable exercice de la conférence de presse à l’issue de ces travaux. Une manière directe et franche pour rappeler aux journalistes que les pouvoirs politiques en place sont légitimes et que la guerre entre l’Elysée et le Sénat n’existe pas…
NITRY : « Dans cette société actuelle, il y a un nouveau souffle à trouver. On ne peut résoudre les affaires de notre pays avec seulement quelques textes de loi à mettre en place, surtout quand nous vivons une période de crispation aussi sévère… ».
Décontracté, prenant le soin de répondre avec minutie aux interrogations des médias régionaux, le second personnage le plus important de l’Etat a exprimé dans cet exercice oratoire qu’il a su gérer avec sa prestance habituelle de grandes lignes directrices sur la situation de l’Hexagone.
« Vous savez, précise-t-il face aux micros, il est nécessaire de créer un nouvel état d’esprit dans ce pays, de développer une nouveau mode opérationnel menant à une génération adaptée de la décentralisation. Instaurons un pacte de confiance entre les Français et celles et ceux qu’ils ont choisi lors d’un scrutin. Cela ne peut se faire qu’en redonnant de la confiance… ».
Parlant de la légitimité des institutions, Gérard LARCHER a su lever avec véhémence tous les doutes sur la question.
« Le Président de la République est légitime : j’y tiens beaucoup. De même, le Parlement est légitime, aussi. Quant au gouvernement, il a reçu la confiance d’une large majorité issue du parlement. Moyennant en quoi, la légitimité des pouvoirs n’est pas à débattre en France... ». Dont acte !
Un message clair et net adressé à celles et ceux qui prétendent le contraire depuis plusieurs semaines dans les rues et sur les ronds-points de France.
Evoquant les inquiétudes des édiles, le président du Sénat se veut plein de compassion à leur égard : « Les maires peuvent avoir le sentiment qu’ils ne sont pas beaucoup compris. C’est vrai. Au mois de novembre, la formule les concernant était la suivante : c’était « balance ton maire ! ». Quelques mois plus tard, en février, la formule avait radicalement changé, devenant ainsi « accroche-toi à ton maire ! ».
Personnellement, j’ai envie que la République s’accroche à ses élus de proximité. Non pas qu’il y ait un signe de désespérance mais parce que le maire représente un élément clé au sein de la République. Que ce soit celui de Nitry où nous sommes en ce moment ou celui de Lille où j’étais hier soir encore. La commune est un élément essentiel de la communauté nationale… ».
Comment redonner du pouvoir au maire ?
La réponse du président du Palais du Luxembourg se résume à un seul mot : équilibre. « C’est par une nouvelle forme de décentralisation qu’il nous faudra trouver un juste équilibre entre les intercommunalités et les communes, ajoute Gérard LARCHER. C’est aussi une des préoccupations majeures du président de l’AMF de l’Yonne, Mahfoud AOMAR, qui a su fédérer un nombre impressionnant d’élus autour de lui, au sein de son organe associatif. D’ailleurs, je me réjouis de constater que 93 % de la population de ce territoire est ainsi représentée par ses élus au sein de l’association : c’est énorme ! Mais, j’insiste : l’intercommunalité est une très bonne chose pour notre démocratie… ».
Et de rappeler à ses interrogateurs d’un jour que le principe de la subsidiarité demeure encore ce que l’on fait de mieux ainsi que la proximité.
Se remémorant le texte législatif initial, Gérard LARCHER expliqua avoir voté en faveur de la promulgation de la loi Chevènement en 1999 alors qu’il était dans l’opposition. « Ce texte me semblait être une bonne démarche pour notre pays… ».
La commune, petite République dans la grande République…
Forte en symbole, la phrase que le président du Sénat avait lâchée quelques minutes plus tôt au pupitre de l’assemblée générale de l’AMF revint au centre des sujets de cette rencontre avec la presse. Et Gérard LARCHER de fournir des explications complémentaires…
« Cette phrase, je l’ai empruntée au sous-préfet de Palaiseau, autrefois à Rambouillet, Abdelkader GUERZA. Elle me paraît tellement importante aujourd’hui. Car, la notion d’une petite république ne se vit pas comme une fraction séparée ; bien au contraire, cela signifie que la commune est un élément indissociable et nécessaire à la construction de la République toute entière… ».
Certes, faute de temps ou parce que le sujet ne s’inscrivait pas parmi ses thèmes à évoquer ce jour, Gérard LARCHER fit abstraction de manière volontaire de la future révision de la constitution. Un projet de réforme retardé à cause des évènements actuels. Mais, il aura juste à préciser sur ce point que le Sénat était tout à fait disponible à travailler sur cette thématique.
Enfin, le président du Sénat conclut son échange direct avec les médias en parlant de la société française.
« Je comprends que nos compatriotes soient tendus. Mais, je reste serein et croit aux valeurs de la République. D’ailleurs, l’essentiel n’est pas de savoir si le pouvoir de l’un fera mieux que le pouvoir de l’autre au niveau du parlement. Car, il est impératif de sortir le pays de la crise dans laquelle il est plongé depuis très longtemps, et ce bien avant mai 2017. Quant aux collectivités, elles vivent dans l’incertitude depuis 2018 ayant eu à subir un nombre impressionnant de lois territoriales. Enfin, la « guerre ouverte » entre le Sénat et l’Elysée n’existe pas ! Moi, je ne suis en guerre contre personne et je vous le confirme les yeux dans les yeux… ».
Fin de l’exercice sous le crépitement des flashes des appareils photographiques !
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99