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Une complémentarité au service de l’Yonne : le binôme EULRIET/RAOUT n’est pas à court de suggestions…
juin 18, 2021La fin de campagne approche pour Irène EULRIET et Jean-Pierre RAOUT. Ils se présentent sous l’égide de la majorité départementale droite, centre et indépendants, sous le nom « Unis pour l’Yonne ».
AUXERRE : Quels messages avez-vous envie de faire passer dans cette dernière ligne droite de la campagne ?
Irène : Cette campagne fut forte en rencontres et en discussions vraiment très intenses qui ont fait jaillir plein d’idées de part et d’autre. C’est un exercice très intéressant et sympathique. On a une vision de ce que l’on souhaite faire et on a été à l’écoute aussi des attentes qui ont été exprimées. C’est ce qui fait la richesse des campagnes électorales : ce sont des temps d’échanges très soutenus qui font avancer le débat public et les collectivités. Le message important que nous souhaitons faire passer est que nous poursuivrons le dialogue avec les citoyens durant la durée du mandat si nous sommes élus car nous savons par expérience que c’est une clef essentielle de réussite pour la vie collective.
Et par rapport aux bibliothèques ? Quelle compétence ?
Irène : La lecture publique est une compétence obligatoire du Département. J'ai travaillé sur le sujet en allant à la rencontre des bibliothécaires de l'Aillantais. Ces bibliothèques fonctionnent avec du bénévolat. Elles sont en attente d’une certaine relève et sont dans des formats qui intègrent plus ou moins le numérique avec peu de mises en réseau. Les bénévoles, eux, se plaignent d'avoir un lectorat moins important. L’idée est de pouvoir accompagner ces bibliothèques vers la mise en commun de certaines actions.
Qu’entendez-vous par le réseau de chaleur en filière bois ?
Jean-Pierre : Le Département a la compétence sur les collèges. Au collège de Charny, une réfection a déjà été entamée et nous souhaitons pouvoir la poursuivre, notamment au niveau de la chaufferie. L’idée est de fournir de la thermie au collège via un réseau de chaleur alimenté par une chaufferie à plaquettes bois. D’une part, l’enjeu est de développer ce réseau en coopération avec la municipalité pour ses bâtiments publics et les propriétaires privés qui sont dans le lotissement avoisinant. L’intercommunalité sera associée naturellement. D’autre part, il s’agira de créer des circuits courts entre les producteurs locaux de plaquettes et le consommateur principal que sera ce réseau de chaleur. D’autant plus que la ressource en bois est largement disponible autour de Charny. Tout ceci nous aidera aussi à sortir des énergies fossiles.
Autre circuit court, l’alimentation ?
Créer des filières ? Oui, on a commencé avec deux plateformes « Agrilocal » et « J’veux du local ». On accompagne financièrement aussi la Chambre d’Agriculture afin qu’elle mène des actions spécifiques autour des pratiques de culture, et surtout on a voté le recrutement de deux personnes pour travailler sur les circuits courts. Mais, c’est surtout en lien avec les territoires, donc avec les mairies et les intercommunalités, que ce sujet doit être travaillé.
Un mot sur les transports solidaires ?
Irène : Le Conseil départemental ne possède pas la compétence transport, c’est la Région et les communautés de communes qui le souhaitent, à l’exemple de la Puisaye-Forterre.
A contrario, le département peut intervenir au titre des solidarités. Donc là il y a vraiment quelque chose à faire, pour les demandeurs d’emploi, les personnes en perte d’autonomie, en trouvant un système totalement en lien avec celles et ceux qui ont la compétence. C’est une idée qu’on a depuis un moment mais c’est un vrai travail de dentelle.
Votre rôle à vous deux, concerne principalement le canton qui représente quelles communes ?
Le canton dans ses nouvelles limites comprend toutes les communes de l’intercommunalité de l’Aillantais, la commune nouvelle de Charny-Orée-de-Puisaye, Paroy-sur-Tholon, Chamvres, et Sépeaux Saint-Romain. On a tout de même trois EPCI différents : Aillantais, Puisaye-Forterre et Jovinien. Ce qui veut dire qu’en tant que conseiller départemental, il faut instaurer un dialogue équivalent en qualité avec les trois structures.
Où en est le projet de la fibre ?
C’est le Département qui est chef de file pour son déploiement. L’objectif est de finaliser le déploiement en 2023. Nous aurons pour tâche de veiller scrupuleusement à l’exécution du contrat jusqu’à cette date. Et ensuite de nous pencher sur les usages numériques pour tous.
Ce déploiement a été organisé en deux phases. La première a été concrétisée avec un marché de conception-réalisation. La seconde via une délégation de service public.
Je voudrais m’attarder un peu sur le financement car beaucoup de choses ont été dites à ce sujet et il est important d’être le plus clair possible.
Les prises issues de la première phase sont co-financées exclusivement sur fonds publics par le Conseil départemental, les intercommunalités, la Région, l’Etat et l’Union européenne.
La part incombant aux intercommunalités avait été évaluée dans ce cadre à 100 €/prise.
Grâce au recours à des financements privés via une Délégation de service public, la participation des intercommunalités a pu être ramenée à 33 €/ligne dans un deuxième temps.
J’ai voté toutes les délibérations en faveur du déploiement de la fibre, dans sa phase initiale et dans sa phase finale, tout comme la majorité départementale d’ailleurs.
Car la clé de répartition budgétaire entre les intercommunalités et le Conseil départemental, si a elle été évolutive, a résulté d’une réflexion concertée avec tous les acteurs du projet aux différents moments de sa mise en oeuvre.
Cela n’a aucune incidence ni pour le consommateur ni pour le contribuable. Le prix des abonnements est fixé par les opérateurs.
Je crois qu’une des grandes satisfactions du mandat passé est bien d’avoir réussi à lancer ce chantier structurant pour le territoire, avec un délai de livraison qui nous permet déjà de nous projeter dans la phase d’après : les usages.
Parlez-moi de votre binôme ?
Jean-Pierre RAOUT voulait se présenter depuis 2020. Ce chef d’entreprise bientôt retraité, adjoint d’une petite commune, avait envie de s’investir au service de son département. Il a beaucoup de choses à apporter du fait de sa connaissance du terrain : cela fait 64 ans qu’il vit dans l’Aillantais ! Il connaît son territoire et du fait de son activité forestière, il y est viscéralement attaché. Il a trouvé en moi son alter ego, pour s’associer dans la majorité départementale, et pour défendre ses valeurs. Nos remplaçants, Joëlle MARMOUSET et Michel BEULLARD, sont des personnes vers lesquelles les habitants pourront aussi se tourner si nécessaire.
Propos recueillis par Maryline GANDON
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Une levée de fonds va lui permettre de monter en puissance : SAUREA titille l'intérêt des candidats écologistes
juin 17, 2021Multipliant depuis plusieurs années récompenses et intérêt des médias, l’entreprise familiale auxerroise est en quête de partenaires pour se développer afin de viser un marché plus large. Inventeurs d’un moteur transformant directement l’énergie solaire en énergie mécanique, Gilles COTY et son épouse, Isabelle GALLET-COTY, codirigent la start-up depuis cinq ans, s’appliquant à en maintenir ses valeurs, mêlant l’éthique à l’innovation.
AUXERRE : Il y avait comme un parfum d’Afrique ce lundi après-midi, du côté de la rue des Mignottes à Auxerre, où est installé le show-room de SAUREA. Sous un soleil de plomb, une pompe à eau semblait respirer, au rythme du moteur assisté par des panneaux solaires, tandis qu’un peu plus loin, un brumisateur offrait ses gouttelettes salvatrices au visiteur…
Le continent africain fait d’ailleurs partie du cœur de cible de l’entreprise, notamment au travers d’ONG comme « Electricité Sans Frontières » au Burkina Faso. La motorisation d’un système de pompage manuel déjà en place ne nécessite pas de maintenance, rendant d’autant plus facile son utilisation. Pas d’électronique embarquée ni besoin de batteries, diminuant d’autant les risques de panne et augmentant ainsi la durée de vie de l’installation.
Un simple moteur de 130 watts mécaniques remplace le travail quotidien dévolu comme trop souvent en pays émergent, à des femmes ou des enfants. Un système de pompage comme celui présenté, permet dans les villages les plus reculés, d’aller chercher de l’eau à 8 mètres de profondeur, voire jusqu’à 20 mètres, via un système de rallonges avec un débit de l’ordre de 14 litres par minute.
Une réponse appropriée aux besoins des cultures vivrières et des habitants qui ont, bien avant nous, pris conscience du caractère sacré du précieux liquide et de la nécessité absolue à ne pas le gaspiller. A l’image de ce lycée burkinabé, explique Gilles COTY, où grâce au système de motorisation installé, le volume d’eau pompé chaque jour suffit aux besoins des 60 élèves pour les douches et la cuisine, leur assurant un peu de maraîchage et même la possibilité de revendre l’excédent d’eau disponible !
La montée en puissance grâce à la levée de fonds…
Aujourd’hui, l’entreprise auxerroise part à la conquête de nouveaux marchés en lançant une levée de fonds auprès d’investisseurs privés. Le champ des possibles est ouvert. Les domaines d’application sont nombreux, sur tous les continents : de l’agriculture (brumisation et aération des stabules, séchage des foins, approvisionnement en eau), à l’aquaculture pour l’oxygénation des bassins d’élevage, en passant par les collectivités (aération des bâtiments, brumisation urbaine, irrigation des espaces verts…).
Avec pour seul plafond, la puissance des moteurs, aujourd’hui limitée à 250 Watts mécaniques. Le premier moteur solaire autonome existant au monde, peut aussi intéresser le mix énergétique national, à l’image du système installé pour l’irrigation d’un jardin communautaire à Auxerre, ou l’aménagement d’une maison autonome. L’un des objectifs visés par la levée de fonds est de monter en puissance pour augmenter le nombre de moteurs fabriqués, de manière à en abaisser le coût final, notamment à destination des pays en voie de développement.
A ce jour, une vingtaine de kits ont déjà été installés. Le début du chemin, explique dans un sourire Isabelle GALLET-COTY : « mais pour continuer la route, il nous faut des financements, il nous faut nous développer et il nous faut des commandes ! ».
Et faire d’une histoire familiale, initiée par son beau-père Alain COTY, une saga dont on entendra longtemps, très longtemps, parler…
Dominique BERNERD
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Héritera-t-il du perchoir départemental le 01er juillet ? Patrick GENDRAUD, itinéraire d’un élu fidèle à ses convictions…
juin 16, 2021Le regard s’embuerait presque d’un zeste de nostalgie à la simple évocation de sa grand-mère. Maîtresse femme que celle-ci ! Si affectueuse avec le « petit », elle fut pourtant l’une des toutes premières représentantes de la gent féminine à exercer en qualité d’élue dans ce territoire rural si exacerbé : la commune de Maligny. Plane ensuite l’ombre bienveillante de la maman du président de l’exécutif départemental. Elle fut au service de Jacques CHIRAC durant trente-cinq ans. Alors, oui, c’est sûr, avec de telles racines, Patrick GENDRAUD ne pouvait échapper à la bosse de la politique qui le rattrapera quelques années plus tard…
AUXERRE : Ce toujours fringuant « jeune homme » aux 69 printemps qu’est le président du Département de l’Yonne remet le couvert. Tel un sou neuf, il se sent d’attaque comme au premier jour de sa carrière politique pour affronter la double échéance électorale prévue les 20 et 27 juin. Sur son canton de Chablis, ce natif de Paris est peut-être encore plus icaunais que certains de ses administrés qui y sont pourtant nés !
Pourvu d’une capacité en droit, ne négligeant aucun concours administratifs pouvant le faire progresser parmi la hiérarchie (celle du ministère des Finances où il fait ses gammes en apprenant chacune des partitions observées dans différents services), le jeune Patrick ne rêve que d’une seule chose lors de ses pérégrinations parisiennes : revenir le plus tôt possible dans l’Yonne. La terre ancestrale où il a vécu les plus belles années de son existence, du haut de son insouciante adolescence, lui manque.
Quitte-t-on un jour ou l’autre sur la base du volontariat un poste de fonctionnaire, de surcroît au sein d’un ministère, pour endosser l’habit parfois très étriqué d’un entrepreneur ? Ce serait de la pure folie, pour la plupart de celles et ceux qui connaissent le bonheur de la sécurité dans l’emploi ! Un peu chien fou dans l’âme mais possédant de belles envies émancipatrices pour écrire sa destinée, Patrick GENDRAUD n’est pas de ce pain-là ! Il avance…
Agé de 27 ans, se fiant au hasard d’une belle rencontre et un peu à sa bonne étoile qui brille au-dessus de sa tête, il se soustrait de la vie francilienne. Sans crier gare en bifurquant radicalement de chemin de vie. Féru de grosses cylindrées, d’automobile et de mécanique, le futur président du Conseil départemental se projette avec réalisme vers son nouveau métier : le monitorat d’auto-école ! Reçu au concours avec brio, il reprend une affaire à Chablis. La suite est facile à deviner. Se prenant au jeu, l’oiseau fait son nid. Ce sera d’abord à Saint-Florentin où en 1983 il conforte son statut de chef d’entreprise en ajoutant une deuxième boutique à son escarcelle. Quelques mois plus tard, l’entité s’étoffe en essaimant sur la localité de Monéteau. Un schéma tactique familial qui sied parfaitement à son épouse, Marie-Hélène, qui encourage son mari dans ses choix stratégiques.
Fidèle à ses convictions sans faire la girouette au gré des partis…
Altruiste, ayant un sens aigu de la relation publique, l’entrepreneur GENDRAUD va progressivement s’impliquer davantage dans la vie sociétale. A Courgis, lieu de sa résidence, où il brigue le poste de maire. Il y accède en 1992. Pour ne lâcher cette fonction que quelques années plus tard, c’est-à-dire en 2001. Entre-temps, il est vrai, ce chiraquien pur jus a reçu les suffrages nécessaires pour rejoindre en qualité de conseiller général l’hôtel du Département à Auxerre où il siège. A l’évocation du RPR et de l’UMP, les yeux de Patrick GENDRAUD s’illuminent un peu. En mémoire du natif de Corrèze dont il conservera un souvenir ému à plus d’un titre. Mais aussi par conviction personnelle.
« Je suis resté fidèle à mes idées, souligne-t-il, aujourd’hui, la plupart des personnalités politiques se sentent obligées de se raccrocher à un parti qui a le vent en poupe. Cela discrédite totalement l’action politique… ».
Pratiquer le yo-yo idéologique et faire la girouette pour s’attirer la sympathie des électeurs, il n’en est pas question pour celui qui fut maire de Chablis dès 2001. Durant seize ans, il profite de l’universalisme de cette localité peu ordinaire pour renforcer le rayonnement du poumon viticole de ce département.
En 2000, il y développe en tant que précurseur l’une des premières communautés de communes. En mission représentative, il n’hésite pas en qualité de premier ambassadeur de ce nom ronflant de la viticulture à la française de mouiller la chemise aux quatre coins du globe : Vietnam, Pérou, Etats-Unis, Japon. Le nom de Chablis brille de mille feux et le doit à cet élu hors norme.
Au Département, l’élu de la droite républicaine enchaîne les mandats comme d’autres les missions. Aux côtés de Jean-Marie ROLLAND, il préside la cinquième commission. Avec l’aval de son prédécesseur au perchoir, André VILLIERS, il devient premier vice-président de l’institution. Une voie royale pour l’accession à la présidence en 2017 tandis qu’André VILLIERS met le cap vers le Palais Bourbon, tout acquis à la députation.
Un perfectionniste qui travaille avec humilité et concertation…
Ce n’est un secret de Polichinelle pour personne : le 01er juillet 2021, Patrick GENDRAUD, en cas de victoire aux deux phases préliminaires de l’élection, sera candidat à sa propre succession. A la présidence où cet élu de proximité n’en a pas encore fini d’être à l’écoute et au contact de ses concitoyens. En servant leurs intérêts.
Ses détracteurs lui reprocheront volontiers son caractère trop consensuel, trop souple et arrondi pour essayer, via la conciliation, de trouver des solutions idoines aux problématiques de l’instant.
Ses aficionados lui tresseront des lauriers pour l’obtention d’un bilan dont il n’a pas à rougir et sa maîtrise pédagogique de l’exécutif. Mais, tous, lui reconnaîtront cette envie de bien faire, en perfectionniste qu’il est, et ce désir de travailler selon le sacro-saint principe de la consultation participative. Chacun peut s’exprimer, il écoute, avant d’entendre…ce qui est rare.
Se disant stressé (cela ne se voit guère de prime abord), aux portes de la timidité, Patrick GENDRAUD conserve en lui ce sens de la curiosité qu’il applique à ce territoire, fruit de sa passion.
Que ce soit à Bandol où il excelle à la pétanque lors de furtives escapades estivales pour s’y ressourcer ou au sein de ce cocon familial pérenne dans lequel il aime se réfugier, le président de l’exécutif départemental n’est ni plus ni moins qu’un « homme ordinaire ». A l’image de celles et de ceux qui vivent dans sa ville, son canton, son territoire de cœur, son département…
Thierry BRET
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Rare sur les routes de l’Yonne : le DODGE Challenger SRT, une belle Américaine qui se pilote aussi au féminin…
juin 12, 2021Le vrombissant moteur, propre à la puissance de ce véhicule, laisse entendre à l’oreille les possibilités nerveuses de ce joli châssis. C’est un long feulement qui enfle en agressivité au fur et à mesure où le champignon de l’accélérateur se renforce sous le pied droit de la conductrice. Automobile de collection, plutôt gourmande en carburant avec son énorme V8 6,2 litres, le DODGE Challenger SRT offre des sensations dès le premier tour de volant…
AUXERRE : Elle en a sous le capot la belle Américaine et possède toujours de jolis restes en dépit de son âge avancé ! Celle qui sillonne les routes de l’Auxerrois depuis plusieurs mois et que les férus de véhicules de collection ont sans doute déjà repéré afin de mieux s’en délecter.
D’une part, à la vue, car cette construction mécanique née du savoir-faire de l’ingénierie US est loin de passer inaperçue avec sa couleur jaune éclatante. D’autre part, à l’ouïe, car le bruit émis par sa motorisation évoque la puissance assourdissante de la cavalerie américaine lancée au plein galop derrière un troupeau de bisons !
Pourvue d’un monstrueux V8 6,2 litres surcompressé, cette demoiselle affriolante peut même être domptée par une automobiliste (sa propriétaire) ayant déjà la parfaite maîtrise de ce genre d’animal fougueux, malgré ses 807 chevaux !
Puissante, lourde, ronronnant comme un gros fauve docile qui ne demande qu’à être lâché dans la nature, le DODGE Challenger SRT se fait très rare sur les routes de notre territoire. Voire d’ailleurs. Alors en observer un spécimen de très près mérite que l’on s’y attarde !
Ce modèle a été spécialement conçu pour les pistes d’accélération en circuit fermé. Notre territoire ne dispose pas encore de ce genre de subtilités pour en apprécier toutes les vertus. Peut-être à Magny-Cours, près de Nevers, où il serait bien agréable d’effectuer quelques tours de pistes en atteignant sans crier gare les 280 kilomètres promis par le compteur…Alors, pourquoi ne pas vous narrer une prochaine fois les sensations offertes par cette voiture qui ne demande qu’à exprimer sa pleine puissance ?
Thierry BRET
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Le relay-cropping dévoile ses mystères : les agriculteurs innovants sont dans le feu de l’action !
juin 11, 2021On connaissait déjà les « Crop Circle ». Ces cercles aux formes bizarroïdes qui occupent çà et là des parcelles d’exploitation. Aux confins du réel, de la supercherie ou pourquoi pas du surnaturel ! Mais, là, il s’agit de tout autre chose nettement plus terre-à-terre qui se nomme le « relay-cropping ». Un anglicisme de plus, à découvrir pour les professionnels de l’agriculture, ce jeudi 17 juin dans le cadre de la journée INNOV’ACTION portée par la Chambre d’agriculture de l’Yonne…
AUXERRE : Définir cette technique novatrice pourrait se résumer en une ligne : le « relay cropping », c’est une piste de réflexion innovante pour récolter deux cultures sur une même campagne.
Et qui d’autre pour l’évoquer que les techniciens de la Chambre départementale d’Agriculture qui, dans le cadre d’une journée du programme INNOV’ACTION, décortiqueront à loisir ce processus.
L’épisode II de cette saga se poursuivra donc avec la complicité de la SEP de Bord à Bligny-en-Othe, ce jeudi 17 juin en matinée, entre 10 et 13 heures.
Entre la visite de parcelles et le retour d’expérience observé sur les semis de sorgho, soja et tournesol, les participants ne manqueront pas de sujets de discussion, assurément !
Thierry BRET
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