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Huit entrepreneurs du bâtiment entament le REAB, un cursus diplômant sous l’égide de la CAPEB…
mai 29, 2019Le cycle de formation dispensé au cours des dix-huit prochains mois comprendra exactement cinquante-quatre jours de séances pédagogiques. Une période suffisante pour appréhender du mieux possible les cinq modules, enseignés par le formateur. Issus de la filière du bâtiment, huit néophytes dans l’entrepreneuriat auront tout le loisir d’y prendre part. Pour gagner en indépendance et en liberté d’entreprendre, un credo que revendique avec conviction le président de la Confédération artisanale des petites entreprises du bâtiment de l’Yonne, Jean-Pierre RICHARD, soutien inconditionnel de ce projet…
AUXERRE : Pour obtenir le meilleur des stagiaires qui suivent un cycle de formation, il faut en premier lieu un spécialiste de l’art et de la maîtrise de l’enseignement. Un professionnel qui soit suffisamment pédagogue et à l’écoute pour susciter envie et intérêt auprès de son auditoire. Les responsables de la CAPEB de l’Yonne, la Confédération artisanale des petites entreprises du bâtiment, se sont donc adressés à l’une de ces structures enclines à répondre à ces objectifs : Construire Demain.
La SAS originaire du Tarn possède un sérieux pédigrée en la matière. Plus de trois décennies d’accompagnement qui ont été assurées auprès des gestionnaires du bâtiment ainsi que leurs conjoints (ces derniers jouant toujours un rôle primordial au sein de la structure), sans omettre leurs salariés. Bref, des experts qui n’hésitent pas à parcourir de la distance pour offrir leurs services et compétences aux artisans de ce secteur d’activité.
Dans le cas présent, la société formatrice de Saint-Lieux-les-Lavaur a pris les choses à son compte dès l’entame de ce nouveau cycle décliné dans l’Yonne. Le REAB, soit le cursus de Responsable de l’entreprise artisanale du bâtiment comme son acronyme ne pouvait le laisser supposer, se configure sous la forme d’un stage d’une durée de dix-huit mois.
De solides atouts dans les mains des entrepreneurs de la filière…
Formation diplômante et sanctionnée par un examen de niveau III (Bac + 2), la session offre une vision éclectique et complémentaire des domaines de compétences qu’un dirigeant de société se doit de posséder. Cinq modules vont être disséqués avec minutie. Pour en extraire la quintessence organique du savoir qui ne pourra être que bénéfique à ses pratiquants.
Ainsi, la gestion économique et financière, la gestion des ressources humaines, le pilotage de chantier, la stratégie d’entreprise et la découverte des pratiques du commerce et des relations extérieures offriront autant d’atouts essentiels à la connaissance de ces entrepreneurs béotiens, n’ayant pas plus de trois années d’exercice à leur bilan.
Outre le fait de se connaître soi-même et de disposer d’une fenêtre intéressante pour découvrir les autres, cette séance didactique (la seconde depuis le début de la session) représente un excellent exercice de compréhension pour gagner en expérience. Comme devait l’évoquer dès l’introduction de ce cours le président de la CAPEB Yonne, Jean-Pierre RICHARD, « ce stage est nécessaire pour gagner en indépendance et liberté d’entreprendre… ».
Une fois achevé, les huit stagiaires seront pourvus de nombreux atouts pour parfaire la gestion courante de leur entreprise, optimiser la rentabilité et la situation financière de celle-ci, maîtriser les techniques et les règlements d’un chantier, perfectionner leur capacité de manager. Ceci devant aboutir au développement d’une stratégie de communication et de négociation efficiente.
Bref, de la belle ouvrage comme on aime à le préciser dans le milieu du bâtiment. Une initiative qui s’avère pertinente et à mettre au compte de la CAPEB, avant que ne débute la prochaine session…
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La Banque de France humanise ses rapports aux particuliers et entrepreneurs jusque dans ses locaux…
mai 29, 2019La prestigieuse institution fait peau neuve sur son approche immobilière. A Auxerre, mais également à l’échelle de l’Hexagone. Conceptualisée selon un ordonnancement précis qui s’applique à une cinquantaine de pôles contact répartis sur le territoire. Fonctionnelles, mais discrètes, ces agences de proximité new-look accueillent des particuliers et des entrepreneurs qui en éprouvent le besoin. Celles et ceux de nos concitoyens qui connaissent les affres de la précarité ou la souffrance induite par une charge trop élevée de leur endettement financier. Auxerre est la seconde vitrine qui présente ce visage novateur de l’établissement. D’autres lieux de la Bourgogne Franche-Comté suivront d’ici 2020 sur une veine similaire…
AUXERRE : Adaptée à la taille des équipes qui y travaillent, la nouvelle infrastructure de la Banque de France, opérationnelle depuis le 25 mars dans la capitale de l’Yonne, ne ressemble pas à l’édifice patrimonial qui accueillait depuis 1869 la vénérable institution. Celle-ci, fort connue de celles et ceux qui avaient recours à ses services, était implantée Rue de la Banque : cela ne s’invente pas ! Désormais, c’est dans la rue de la Laïcité, à proximité de la place de l’Arquebuse, qu’il faudra se rendre pour prendre un rendez-vous avec l’un des opérateurs techniques de l’établissement.
Ergonomique, moderne, gagnant en fonctionnalité, l’agence auxerroise s’étale sur 364 mètres carrés. Un sas d’accueil permet ensuite de pénétrer dans un open space où les bureaux des employés bénéficient de systèmes d’information performants. Le concepteur de ce projet se nomme ARTELIA CIB. Il a remporté le marché national après un appel d’offres pour appliquer le cahier des charges dans une cinquantaine de sites. Dans notre contrée, seule l’agence de Nevers, inaugurée en 2018, présente les avantages de la nouvelle configuration. Prochainement, les villes de Belfort, Vesoul, Lons-le-Saunier et Mâcon devraient être pourvues d’une traduction immobilière identique. Sachant que le seul site d’Auxerre aura nécessité une enveloppe budgétaire de 700 000 euros pour adapter les lieux aux besoins de la structure.
Les temps changent ; même pour la Banque de France, une vielle dame sous la tutelle de l’Etat. Le plan 2015/2010 a prévu une diminution de 25 % de ses effectifs. Quant aux dépenses de fonctionnement, elles ont baissé de 10 %. Il y a encore quelques années, une quarantaine de collaborateurs exerçaient leur savoir-faire sur le site icaunais. Ils ne sont plus que huit aujourd’hui. Mais, cette amélioration du cadre de vie répond aussi à une priorité stratégique : gagner en visibilité auprès du public et optimiser la modernisation des outils et des environnements de travail.
« Ce n’est plus vraiment l’image que l’on se fait de la Banque de France… »
Le premier à s’étonner de ce changement identitaire un peu surprenant n’est autre que l’édile d’Auxerre, Guy FEREZ. Lors de l’inauguration officielle de cette vitrine, le président de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois s’en est fait l’écho. « C’est toujours une surprise d’inaugurer des locaux tels que ceux-ci et qui accueillent de surcroît les bureaux de la Banque de France. En règle générale, l’institution occupe des édifices chargés d’histoire et lourds en patrimoine. Conférant une certaine crainte pour celles et ceux qui la fréquentent sans trop savoir ce qui se cache derrière les murs épais d’un bâtiment. Dans le cas présent, on a l’impression d’être dans un élément architectural qui ne correspond plus vraiment à ce que représente la banque de tous les Français ! Mais, au-delà de cela, c’est aussi le signe manifeste de l’évolution profonde de l’entreprise qui demeure un acteur majeur de l’économie en France… ».
Il est vrai que la Banque de France travaille avec l’ensemble des acteurs institutionnels et économiques du territoire. Qu’il s’agisse des chambres consulaires ou des services de l’Etat, ce que fera remarquer le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, lors de son allocution ; mais aussi aux côtés des citoyens vivant dans une difficulté structurelle.
« La Banque de France permet de parler de surendettement ou de problématiques liées à des sous-ressources, ajouta Guy FEREZ, c’est surtout une structure qui offre un accompagnement dans la cohésion sociale et qui maintient la vie collective… »
Le représentant de l’Etat ne manqua pas de saluer et honorer le travail exercé par cette institution séculaire de la République.
« Discrète et efficiente, la Banque de France demeure prestigieuse dans les missions qu’elle accomplie. Je peux l’attester avec le rôle qu’elle joue au sein de la Commission de surendettement qui favorise la protection de centaines de personnes vivant sur ce territoire avec l’appui de l’Etat. Votre travail est noble car vous le concevez au ras du sol, à proximité de celles et ceux qui souffrent… ».
Et le préfet de conclure son propos en évoquant la grave crise financière de 2008 qui laissa bon nombre d’entrepreneurs sur le carreau : « c’est dans ce contexte délicat que je peux témoigner de la grande utilité d’un tel organisme… ».
Un hommage qui ne laissa pas insensible le directeur général adjoint et directeur du réseau national, Jean-Yves HAUSSAIRE, présent à la tribune aux côtés du directeur départemental de l’Yonne, Jean-Claude BOUEROUX.
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La Banque de France se transforme : le directeur du réseau national Jean-Yves HAUSSAIRE en explique les enjeux…
mai 28, 2019Institution dont le capital appartient à l’Etat, la Banque de France ne cesse de se transformer à l’instar de son environnement. Dans le souci de réaffirmer son ancrage territorial qui demeure prégnant au cœur de chaque territoire. La structure entend à ce titre être plus accessible et gagner en visibilité. D’où un déménagement récent de son site patrimonial jusque-là implanté rue de la Banque à Auxerre. C’est aux abords de la place de l’Arquebuse, rue de la Laïcité, que siège dorénavant la nouvelle vitrine de la « banque de tous les Français ». Directeur général adjoint et directeur du réseau national de cette enseigne historique, Jean-Yves HAUSSAIRE nous dévoile les enjeux stratégiques de cette évolution…
AUXERRE : En préambule de cet entretien, comment se porte la Banque de France en ce premier semestre 2019 ?
Plutôt bien ! L’établissement vient de dégager des résultats financiers conséquents. Il a effectué au titre de ses bénéfices de 2018 la contribution à l’Etat la plus importante de son existence, soit 5,6 milliards d’euros.
Vous inaugurez ce jour (ndlr : mardi 28 mai) le nouveau cadre auxerrois qui accueille vos collaborateurs. Un site ergonomique, moderne, fonctionnel, bref, différent de ce que présente d’ordinaire une institution telle que la vôtre en matière d’accueil au public. Qu’est-ce qui expliquent ces changements surprenants ?
Nous souhaitons dorénavant être plus accessible et visible aux yeux d’un plus grand nombre. Le monde se transforme ; nous, aussi. Mais, cette transformation n’est là que pour mieux réaffirmer notre ancrage territorial. Bien sûr, au-delà de ces aspects immobiliers, il s’agit aussi d’optimiser notre performance et d’être davantage novateur dans nos initiatives et actions.
La présence de la Banque de France dans l’Yonne, c’est déjà une vieille histoire d’amour…
Oui ! Notre implantation initiale remonte à 1869 ! Soit cent cinquante années d’expériences vécues dans notre immeuble qui est situé dans la rue de la Banque à Auxerre. Ce bâtiment était chargé d’histoire. Nous devons sa création à Napoléon III après une visite faite à la capitale de l’Yonne en 1866. Il a dû être agrandi en 1922, pour devenir un édifice spacieux de 1 500 mètres carrés. Mais, son architecture quelque peu surannée ne correspondait plus vraiment à nos besoins. Nous ne pouvons pas être de grands donneurs de leçon autour de la rigueur de la gestion publique et ne pas nous l’appliquer à nous-mêmes !
Cette mue de la Banque de France répond à des enjeux fondamentaux. Quels sont-ils ?
Primo, il s’agit de réaffirmer la plénitude de nos missions. Voire d’en ajouter de nouvelles. L’ancrage territorial auquel nous prétendons nous offre la possibilité d’être un grand service public de confiance et d’excellence. Secundo, nous souhaitons accroître fortement notre efficacité. En révisant nos organisations, nos processus, nos systèmes d’information. Cela nous a conduits à réduire, sur la période 2015/2020, nos effectifs de 25 % et nos dépenses de fonctionnement de 10 %. Enfin, et pour être tout à fait complet sur la question, l’amélioration du cadre d’activité professionnelle de nos équipes est devenue une priorité. Grâce à une modernisation des outils et des environnements de travail. Ce que nous voyons aujourd’hui à Auxerre en est le reflet. Comme cela l’a été en 2018 à Nevers. Comme cela le sera d’ici quelques mois à Belfort, Vesoul ou Lons-le-Saunier…
Pouvez-vous nous rappeler quels sont les publics concernés par vos activités ?
A Auxerre comme ailleurs, notre action est orientée vers les particuliers, les entreprises et les collectivités. Dans le cadre des particuliers, notre mission est de nous intéresser aux plus fragiles d’entre eux. Pour ce faire, nous avons tissé un réseau de partenariats éclectiques : banques, juges, chambres consulaires, les services de l’Etat et du Conseil départemental, les opérateurs publics. Au titre de l’année dernière, ce sont 1 235 dossiers de surendettement qui ont été déposés dans le département de l’Yonne. Nos services ont accueilli plus de 2 500 personnes autour des droits d’accès aux fichiers, du droit au compte. Depuis peu, les équipes du directeur départemental Jean-Claude BOUEROUX proposent des séances d’éducation financière. Dans le cadre du plafonnement des frais bancaires, la Banque de France a joué un rôle déterminant pour que les établissements s’engagent dans ce processus…
Vis-à-vis des entreprises, la Banque de France intervient au niveau de la médiation du crédit…
C’est exact. Là aussi, toutes nos équipes sont mobilisées auprès du tissu économique départemental. En 2018, mille six cents entreprises ont été visitées par nos soins au niveau de la Bourgogne Franche-Comté dont deux cents pour le seul territoire de l’Yonne. Ces dirigeants de société ont été contactés, rencontrés, autour de l’attribution de leur cotation. Certains, une vingtaine de responsables, ont été accompagnés ou orientés au titre de notre fonction de correspondant TPE (Très Petite Entreprise)…
Reste votre relation constructive avec les collectivités…
Nous travaillons en étroite osmose avec les chambres consulaires, la direction départementale des finances publiques, le Conseil départemental…Le partage de l’information économique est devenu une nécessité. Ce que nous voulons est simple : c’est le financement le plus sain de l’économie et de toutes ses composantes…
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Les acteurs de la transition énergétique développent une formation autour du solaire unique en France à Montbard…
mai 27, 2019L’ouverture d’un nouveau cursus pédagogique autour de l’énergie renouvelable offre l’opportunité aux acteurs du territoire, engagés dans la transition énergétique, de se mobiliser. Intitulée « Conduite et maintenance des installations photovoltaïques », cette formation est la résultante d’une réflexion conjointe entre l’Etat, la Région Bourgogne Franche-Comté, l’Académie de Dijon et EDF.
MONTBARD (Côte d’Or) : Devenir technicien de conduite et maintenance de centrale solaire photovoltaïque est désormais possible en Bourgogne Franche-Comté. Le 23 mai, le lycée Eugène Guillaume, localisé dans la sous-préfecture de Côte d’Or, a accueilli la présentation officielle de cette future possibilité éducative. Un cursus de niveau Bac + 1 qui a été élaboré en étroite osmose en vertu des axes prioritaires de la transition énergétique.
Même s’il a été présenté en cette période de printemps, ce nouveau cycle ne sera opérationnel qu’à partir de la rentrée. Les partenaires du projet (l’Etat, l’Académie de Dijon, la Région Bourgogne Franche-Comté et EDF) ont profité de la journée spéciale, « Mon avenir, l’industrie », organisée par la Mission locale rurale des Marches de Bourgogne, pour en évoquer les contours et spécificités. Signalons que Pôle Emploi était également associé à ce projet de présentation.
Ce sera donc la première fois dans l’Hexagone que des candidats motivés par cette filière autour du solaire pourront prétendre à ce cursus, menant vers une formation attractive. Ils seront amenés à se rapprocher de la filiale d’EDF, EDF Renouvelables, afin de pouvoir bénéficier de stages parmi les antennes que compte le groupe sur le territoire national.
Près d’un an de gestation pour construire ce nouveau cycle…
Cette formation intègre l’une des premières réalisations du Contrat de transition écologique (CTE) de la Haute Côte d’Or. Son entrée en vigueur avait fait l’objet d’un déplacement, le 17 décembre 2018, de la secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, Elisabeth WARGON. C’est à cette occasion que le CTE avait été paraphé entre différentes communautés de communes (le Pays Châtillonnais, le Montbardois) et les services de l’Etat. Y étaient également associées la Région Bourgogne Franche-Comté, l’ADEME, la Banque des territoires et l’agence de l’eau Seine Normandie.
Un an de gestation et de collaboration entre l’Etat, la Région, l’Académie de Dijon et le fournisseur d’électricité EDF auront été nécessaires pour peaufiner les contenus et modalités pratiques de ce nouveau cycle. Ce projet traduit l’engagement de la Région de s’inscrire dans la trajectoire « Région à énergie positive à l’horizon 2050 ». Un concept qui avait réuni dans le cadre d’une convention de partenariat l’institution régionale, le groupe EDF et sa filiale, EDF Renouvelables. Cette dernière exploite déjà 76 MW d’énergies renouvelables sur le territoire régional.
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LDS accorde sa confiance à Sophie DESCHAMPS, nouvelle directrice pour son développement dans l’Yonne…
mai 27, 2019Nommée depuis deux semaines à la tête de la direction départementale des cabinets d’expertise comptable implantés dans l’Yonne, cette professionnelle a choisi de rejoindre le groupe de Côte d’Or en pleine expansion sur la partie septentrionale de la Bourgogne. La feuille de route est simple : accroître l’aura de LDS sur ce territoire bien identifié et renforcer ainsi les partenariats auprès des milieux institutionnels et entrepreneuriaux…
AUXERRE : Recrutée à la mi-mai, Sophie DESCHAMPS est depuis peu la nouvelle responsable des trois cabinets à l’estampille du groupe d’expertise comptable LDS dans l’Yonne. Elle n’a pas tardé à mettre sa stratégie relationnelle en application.
La jeune femme vient en effet de tisser de très sérieux liens avec l’un des syndicats de l’artisanat et du bâtiment, la CAPEB. Objectif de ce rapprochement : initier une convention de partenariat qui lui permettrait de prodiguer conseils et savoir-faire auprès des entrepreneurs de cette filière.
Ce n’est que le début de la vaste campagne de sensibilisation que la nouvelle directrice des trois entités de LDS sur notre territoire souhaite mettre en place.
Originaire de Reims, Sophie DESCHAMPS, ancienne directrice financière du groupe ELITE RESTAURATION, connaît très bien le périmètre sectoriel sur lequel elle intervient désormais sous les couleurs de son nouvel employeur.
Par le passé, elle a exercé durant plusieurs années auprès de deux autres cabinets connus et reconnus de l’Yonne : CAPEC et MORIZE où elle y fait ses débuts.
En rejoignant la structure LDS, fondée il y a tout juste quarante ans par Michel LEVY, et aujourd’hui dirigée par le trio d’experts-comptables, Franck SIDOINE, Thomas BLANC et Didier CUCHE, la nouvelle responsable s’est fixée comme ambition de faire croître la dynamique commerciale des antennes icaunaises. Celles-ci sont situées à Auxerre, Sens et Tonnerre.
LDS, dont le siège social est accueilli dans la capitale des Ducs de Bourgogne, possède deux autres structures dans son escarcelle : Mâcon, et plus curieusement Avignon, dans le Vaucluse.
A ce jour, une douzaine de personnes composent l’effectif du cabinet sur le sol icaunais. Mais, d’autres postes sont déjà à pourvoir ; notamment celui de collaborateur comptable expérimenté qui est proposé en contrat à durée indéterminée et accessible de suite.
LDS emploie aujourd’hui plus de 80 personnes et dispose d’un portefeuille de clients qui s’étoffe continuellement ; celui-ci ayant dépassé la barre symbolique des deux mille références.
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