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Gérard LARCHER revisitera les FESTINS douze ans après : le président du Sénat en soutien de l’économie dans l’Yonne…
juin 18, 2019Le président du Sénat Gérard LARCHER revient dans l’Yonne ce lundi 24 juin. Trois mois après sa dernière visite. Donnant une suite favorable à l’invitation lancée conjointement par la sénatrice Dominique VERIEN et le député Guillaume LARRIVE. C’est le couple Evelyne et Didier CHAPUIS qui accueillera la délégation sénatoriale dans l’une de ses unités de production du groupe des FESTINS de Bourgogne. Une excellente opportunité pour l’un des chefs de file des Républicains de découvrir l’un des fleurons de l’artisanat de l’Yonne et de pouvoir s’entretenir avec des acteurs de l’économie…
APPOIGNY : Mais qu’est-ce qui justifie la venue du troisième personnage de l’Etat, à savoir le président du Sénat Gérard LARCHER, dans les locaux de l’entreprise FESTINS de Bourgogne ?
A la question, brut de décoffrage, posée à son dirigeant, l’artisan entrepreneur Didier CHAPUIS de répondre avec ce zeste d’humour qui le caractérise si bien : « C’est simple : c’est la courte distance de quatre kilomètres qui sépare notre unité de production de l’axe autoroutier ! ».
Celles et ceux qui connaissent ce puriste de l’art de vivre à la française et se délectent volontiers de ces savoureux canapés lors des mondanités qui ponctuent les rendez-vous liés à l’actualité institutionnelle et économique de notre département le savent très bien.
FESTINS est devenue en l’espace d’un peu plus de deux décennies une entreprise modèle et référente en la matière. Celle du traiteur et de la réception goûteuse !
Sur le site de la maison mère, à Chemilly-sur-Yonne, dans lequel en 2015, alors ministre du Travail, ce même Gérard LARCHER avait déjà découvert les multiples facettes culinaires de ce faiseur de recettes succulentes. Aujourd’hui encore, elles font florès. Parmi les collectivités et les entreprises qui ont recours à ses services. Mais, également, auprès du commun des mortels, qui est soucieux de magnifier une cérémonie nuptiale ou un anniversaire.
Sur le site d’Appoigny où se rendra ce lundi 24 juin l’une des figures emblématiques des Républicains. C’est là, aux côtés d’Evelyne et Didier CHAPUIS, ainsi que de leur fils, Mathieu, directeur commercial et instigateur de la nouvelle marque de produits prêts à consommer, « TOCTOQUE », que le troisième personnage de l’Etat se plongera dans les arcanes de cette belle aventure humaine et professionnelle. Soit dit en passant : une réussite.
Répondant de manière positive à l’invitation de la sénatrice de l’Yonne, Dominique VERIEN, et du député de la première circonscription icaunaise, Guillaume LARRIVE, le président du Sénat a donc biffé sur son agenda que l’on sait très garni ce rendez-vous qu’il donne aux milieux économiques de l’Yonne.
Un programme tiré au cordeau en trois points…
C’est le deuxième déplacement que Gérard LARCHER réalise ce semestre dans la partie la plus septentrionale de la Bourgogne. Il avait honoré de sa présence, le 23 mars dernier, l’assemblée générale de l’AMF, l’Association des maires de l’Yonne, présidée par Mahfoud AOMAR.
Concrètement, cette visite sera ponctuée de trois temps forts selon les détails fournis par le communiqué de presse, tombé en début de l’après-midi.
La visite de l’entreprise FESTINS de Bourgogne (plus exactement de sa filiale, « Au Plaisir des Mets » qui prépare les plateaux repas servis à bord des lignes ferroviaires du Thalys et de l’Eurostar) débutera ce déplacement.
Puis, au même endroit, sera proposé un échange de plus d’une heure avec les forces vives de la sphère économique départementale. D’ores et déjà, une centaine d’entrepreneurs y sont attendus.
Enfin, l’après-midi se déroulera au Centre culturel de Saint-Georges-sur-Baulche. Là, Gérard LARCHER s’entretiendra avec les édiles et élus de l’Yonne. Un échange, certes moins économique mais que l’on imagine aisément plus constructif au plan institutionnel. Voire politique…
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Les attentes de 600 Auxerrois passées au crible : les élus de l’opposition d’Auxerre analysent leurs desiderata…
juin 18, 2019Les élus de l’opposition de la ville d’Auxerre ont procédé à la restitution de leur grande enquête d’opinion initiée il y a déjà quelques mois. Soutenue par les instances départementales des Républicains et du centre droit, l’initiative a eu reçu un accueil favorable de la part de la population. Plus de six cents réponses ont ainsi été collectées en l’espace de deux mois et demi. Elles ont donné naissance à une analyse fine et pertinente des souhaits des habitants de la ville qui se disent inquiets pour le devenir de leur agglomération. La mobilité, la dépendance, l’attractivité reviennent, entre autres, parmi les thèmes récurrents qui posent interrogation…
AUXERRE : Première observation à propos de ce sondage grandeur nature, concocté par les élus de l’opposition d’Auxerre : la pyramide des âges est très représentative. Qu’ils soient issus de la jeune génération ou bénéficiant du statut de personnes âgées, les Auxerrois qui se sont prêtés au jeu de ce questionnaire offrent une vraie représentativité démographique.
Second point, non dénué d’intérêt : ce ne sont pas uniquement les habitants du centre-ville qui ont fourni les réponses. Circulant via les réseaux sociaux ou remis en main propre lors de contacts directs avec le public, les documents ont ainsi essaimé vers une large frange de la population locale. Y compris vers les quartiers périphériques.
Le résultat, tel qu’il a été présenté par les élus, Elisabeth BILLEBAULT et Jean-Pierre BOSQUET, a atteint les espérances des concepteurs de cette initiative. Celle-ci avait été adoubée par les instances des Républicains et du centre droit de notre territoire.
Autre enseignement : le nom de code de cette restitution. Elle a été baptisée « Auxerre au cœur ». Il n’est pas besoin d’être devin en la matière pour appréhender les réels enjeux de cet exercice consultatif.
Une base de travail pour la stratégie du futur candidat…
Ce retour d’information tel qu’il a été dévoilé pour la première fois face à un panel d’Auxerrois (la plupart des personnes présentes étant issues de la corporation des commerçants) servira de trame de réflexion à la ligne politique établie par le futur candidat de l’opposition de la droite et du centre droit aux prochaines municipales du printemps 2020. En l’occurrence, le candidat tout désigné à porter le flambeau de ce projet de reconquête de l’hôtel de ville : Crescent MARAULT.
Sa présence parmi l’assistance n’était donc pas fortuite. Bien au contraire, l’ancien maire de Saint-Georges-sur-Baulche qui brigue le fauteuil d’édile de la ville d’Auxerre, a pu largement commenter les éléments instructifs délivrés par cette enquête exhaustive.
Explicité sous la forme de tableaux analytiques (un travail besogneux de fourmi selon Jean-Pierre BOSQUET qui devait en extraire la quintessence informative), le rendu de cette enquête abordera les points essentiels de ce que peut ressentir un échantillon vivant dans la capitale de l’Yonne.
« Certains des Auxerrois se sentent résignés et observent le déclin de notre agglomération, déplore Jean-Pierre BOSQUET, ils sont conscients que les choses ne vont pas dans la bonne direction. D’autres expriment leurs réelles inquiétude sur des items importants que sont la mobilité, la sécurité, la dépendance, l’attractivité économique, les transports… ».
Présentée de manière initiale lors de cette réunion publique, cette photographie des attentes locales fera l’objet d’autres rendez-vous avec la population. Une façon légitime de poser petit à petit les jalons de la future campagne électorale qui se peaufine avec réflexion dans l’état-major des Républicains.
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La France est à la traîne sur le temps de travail : faut-il éradiquer les ponts pour remettre du cœur à l’ouvrage ?
juin 17, 2019« Travailler plus pour gagner plus…». La rhétorique fit sensation sous la gouvernance du président Nicolas SARKOZY. Mais, le Premier ministre initial de l’ère MITTERRAND, Pierre MAUROY, nous asséna dès 1981 qu’il était beaucoup plus sage de travailler moins. En aménageant par exemple le temps de travail. Il fut alors amputé d’une heure symbolique, passant de 40 à 39 heures hebdomadaires. Avant que ne s’engouffrent dans la brèche Martine AUBRY et Lionel JOSPIN. Tous deux optèrent pour une diminution plus drastique de la durée du labeur en France. Ainsi naquirent les incontournables 35 heures dont tout le monde se fit écho autour de nous mais que personne n’adopta jamais dans les pays occidentaux ! Peut-être, entendrons-nous bientôt fleurir à nos oreilles la formule suivante : « Travailler moins et gagner plus »...
TRIBUNE : Aujourd’hui, nous avons maintenu la semaine de 35 heures. Toutes les statistiques le confirment : nous sommes le peuple où l’on travaille le moins en Europe et où le chômage est le plus élevé. Dont acte.
Donc qui va travailler plus ? Là encore, l’égalité ne règne pas.
La Cour des Comptes pointe régulièrement du doigt les abus que l’on trouve parmi certains organismes publics, parapublics et autres sur le plan du temps de travail. Il y a quelques années, Zoé SHEPARD, fonctionnaire d’une administration régionale, écrivit un livre au titre provocateur : « Absolument débordée !».
Elle décrivait le rythme de travail dans l’administration de la région où elle avait la chance, sinon de travailler, du moins d’être présente et de toucher un salaire à la fin du mois.
Évidemment, ce livre connu un relatif succès et fut à l’origine d’un profond scandale. Que pensez-vous qu’il arriva ?
Après sa publication, on aurait pu penser que les présidents de Région se seraient réunis pour faire effectuer un audit sur le travail dans leur administration respective. Afin de prendre les mesures qui s’imposaient pour valoriser une productivité quelque peu désastreuse. Ne rêvez pas !
L’auteure de l’ouvrage fut mise à pied pendant quelques mois. Souvenons-nous que Guy BEART chantait en son temps : « Il a dit la vérité, il faut l’exécuter… ».
Le mot « égalité » serait-il hermétique à une application dans le travail…
L’émission « Capital » a dénoncé les formidables inégalités de situation qui règnent entre des employés qui effectuent le même travail. Suivant qu’ils fassent partie d’une grande structure ou bien qu’ils soient employés d’une TPE, voire d’une structure indépendante. Le mot « égalité » qui, en France, est écrit sur tous les bâtiments publics et apposés sur tous les documents administratifs demeure, et on ne peut que le déplorer, vide de sens.
Pour travailler plus, je préconise une solution simple et facile. Mais, pour cela, voyons comment est rythmée la vie des hommes et des entreprises en France. Le début de l’année n’est pas le 01er janvier mais bel et bien le 01er septembre après la longue trêve estivale. A la rentrée, la France se remet péniblement au travail. Mais, moins de deux mois plus tard, ce sont déjà les vacances d’automne. Début novembre, la tâche reprend doucement mais, attention, à partir du 15 décembre, les fêtes de fin d’année se profilent à l’horizon. On entend alors cette antienne : « on verra ça, après les fêtes !». Pathétique !
Tirer un trait définitif sur les ponts serait souhaitable…
Début janvier, une fois passée la trêve des confiseurs, c’est le retour au boulot. Sans conviction, aucune. Arrivent ensuite les congés de février. On repart tant bien que mal. Mais attention, les fêtes de Pâques se manifestent avec les absences habituelles, une fois de plus, liées aux zones géographiques. C’est une pagaille sans fin pour toutes les strates de l’économie française.
Puis, « le Grand Cirque national » recommence : ce sont les jours fériés innombrables avec ponts et viaducs à profusion. Enfin, en bout de course, la mi-juin réveille en nous d’insondables envies qui refont surface : l’été est là !
La période qui court d’avril à septembre constitue un vrai désastre économique. Les vacances et les ponts s’incrustent dans les esprits, cassant le rythme indispensable pour conserver l’efficience professionnelle.
Ce que je préconise ne coûte rien. Cela n’exige aucun sacrifice des Français. Mieux, cela pourrait rapporter gros à qui veut l’entendre ! Il faut tirer un trait définitif sur les ponts sans supprimer les jours de congés.
La fête du Travail ne tomberait plus le 01er mai mais le premier lundi de mai. Puis, comme l’avait pratiqué le président Giscard d’Estaing, sans que personne n’y trouve à redire, l’anniversaire de l’Armistice de la dernière guerre, le 08 mai, serait supprimé.
Si l’on a peur d’un mouvement contestataire de « Gilets tricolores », on appliquerait alors la règle à l’instar du 01ermai. C’est-à-dire que ce serait le deuxième lundi de mai et l’on appellerait cela la fête de la réconciliation franco-allemande. Le jour férié de l’Ascension serait déplacé au vendredi. Il ne serait plus figé de manière systématique dans le calendrier, un jeudi. Il suffirait d’une entente tacite avec le Vatican pour que ce principe puisse s’animer. D’ailleurs, qui connaît encore en France la signification exacte de l’Ascension ?
Enfin, puisque le lundi de Pentecôte a été supprimé de manière ambigüe, engendrant un flottement caractéristique dans les entreprises, faisons en sorte que ce jour-là ne soit plus un jour férié pour tous les Français. Fonctionnant à géométrie variable, son application représente une véritable absurdité pour le commun des mortels qui essaient d’y voir clair !
Espérons que tôt ou tard la bien-pensance du grand think tank gouvernemental que représente « France Stratégie », puisse apporter des réponses concrètes sur un sujet qui divise et concerne les Français…
Emmanuel RACINE
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AXA France Vie en quête du Graal dans l’Yonne : une douzaine de collaborateurs dont six agents mandataires…
juin 15, 2019L’un des leaders mondiaux de l’assurance et de la prévoyance renforce son potentiel humain en ce milieu d’année 2019. Pour se faire, elle est en quête de différents profils sur l’ensemble de l’Hexagone. Dans l’Yonne, six agents salariés sont ainsi vivement recherchés. En parallèle, il y a aussi la possibilité pour des agents mandataires, c’est-à-dire des personnes bénéficiant d’un statut d’indépendants actifs, de faire carrière au sein du groupe. Là aussi, une demi-douzaine de postes est à pourvoir sur le département le plus septentrional de Bourgogne. Explications…
AUXERRE : Petite séance explicative dans les salons du Maxime à Auxerre. Là, aux côtés de Franck DOGIMONT, inspecteur manager commercial et responsable départemental de l’Aube, et de Grégoire JAKUBOWSKI, inspecteur conseil salarié du réseau AXA Epargne et Protection dans l’Yonne, quelques personnes écoutent avec grand intérêt une explication de texte suffisamment détaillée et fournie pour qu’ils en assimilent le moindre des enjeux.
AXA France Vie recherche des collaborateurs. Mais pas n’importe lesquels. Celles et ceux qui possèdent, outre les vertus commerciales requises, un sérieux sens du relationnel et des réseaux. Car, pour répondre aux critères de sélection correspondant à la fonction d’agent mandataire, il faut parmi les prétentions à posséder une sacrée dose de tout cela.
Présent sur toute la France, les agents mandataires représentent AXA auprès des clients. Ils sont au nombre de 1 400 à ce jour. Ils évoluent sur un marché à forte progression : celui de la protection sociale et patrimoniale.
« La dépendance s’intègre parmi les grandes priorités de demain, confie Franck DOGIMONT, ce marché est très porteur et permet d’envisager de réelles opportunités de développement… ».
Exerçant son activité dans un périmètre proche de chez lui, l’agent mandataire se constitue et dynamise son propre réseau qu’il met en relation avec les spécialistes de la compagnie d’assurance.
« Ces collaborateurs reçoivent une formation pratique et théorique dispensée par nos soins dans la région, ajoute Grégoire JAKUBOWSKI, cette activité est adaptée tout particulièrement pour celles et ceux qui souhaitent disposer de leur temps libre tout en consacrant deux journées minimum par semaine pour développer leur rémunération… ».
Précisément, celle-ci peut être attractive. Elle est constituée de commissions et de primes liées à la conquête de nouveaux clients. Sachant que la première année, le nouvel impétrant dans ce système collaboratif profite d’un accompagnement personnalisé.
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Les Moissons de l’Emploi génèrent espoir et solidarité : une initiative à consolider pour Guy PARIS…
juin 15, 2019« Qui sort, s’en sort ! ». La formule, à la première écoute, semble un tantinet restrictive et alambiquée. Pourtant, dans les faits, il n’en est rien. Il suffit d’absorber avec discernement chaque mot égrené par le président de la Maison de l’Emploi et premier adjoint de la Ville d’Auxerre, Guy PARIS, pour en cerner toute son interprétation. Se référant au texte lu lors de la remise du trophée national auréolant les Moissons de l’Emploi en 2018, l’élu auxerrois a salué le courage et la volonté qui animent ces bénévoles. Celles et ceux se prêtant à ce délicat exercice de remise en question personnelle dans cette quête ultime et effrénée au retour à l’emploi…
AUXERRE : Depuis sept ans, l’Auxerrois mais aussi par ricochet l’Avallonnais et le Jovinien profitent de l’excellente initiative reconnue sous le vocable des « Moissons de l’Emploi ». Drôles de moissonneurs, en vérité, que ceux-ci ! Ces personnes de tous âgés et de toutes conditions sociales, volontaires et impliquées, ne renâclent pas devant l’adversité pour aller quérir auprès de services de ressources humaines et de dirigeants d’entreprises des offres d’emplois, encore non identifiées par les circuits traditionnels. Notamment ceux de Pôle Emploi, l’un des partenaires historiques de cette recherche collective vécue grandeur nature.
Et cet état de fait, le président de la Maison de l’Emploi de l’Auxerrois, instigatrice de cette importante déclinaison territoriale, ne pouvait manquer de le relever lors du bilan de cette édition 2019.
« Ce sont des personnes qui s’arment de courage pour aller frapper aux portes des entreprises afin d’y collecter des informations sur leur potentialité réelle en matière d’embauche, précisa Guy PARIS. Il faut oser le faire tout en conservant une part d’humanité à l’exercice… ».
Plus de 5 000 entreprises sollicitées…
Les moissonneurs se sont révélés, une fois de plus, téméraires à l’ouvrage. Puisque cinq mille structures professionnelles auront été sollicitées, voire visitées par ces chercheurs d’emploi. La septième mouture de cet évènementiel printanier n’a pas dérogé à la règle établie.
« Le dynamisme de cet exercice a pu se vérifier, ajouta le premier adjoint de la Ville d’Auxerre, face à un parterre de représentants institutionnels et économiques, ils ont pu glaner un maximum de propositions issues de la sphère entrepreneuriale, qu’elle soit industrielle, artisanale, commerçante ou associative… ».
Quantifiant le coût d’un emploi retrouvé (une estimation d’environ cent mille euros) à l’issue de l’expérience, Guy PARIS salua le vrai partenariat, fait d’osmose et de concordance, élaboré entre la Maison de l’Emploi et le service public de Pôle Emploi. Une allusion ne laissa pas indifférente la directrice de l’antenne auxerroise, Séverine DUTREIX, présente lors de cette cérémonie.
« Ces partenariats que nous développons autour de ce concept sont indispensables à la cohésion et à la réussite de celui-ci, renchérit Guy PARIS, il est fondamental de consolider ce véritable réseau que représente les Moissons de l’Emploi. Il est nécessaire et sert parfois à se poser sur une épaule pour y pleurer mais aussi pour se relever en voulant se battre contre la fatalité… ».
Preuve s’il en était que les Moissons de l’Emploi méritent amplement d’exister…
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