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Notre-Dame de Paris : Régis PENNECOT (CMA 21) devient la pierre angulaire du dispositif Chantiers de France
mai 16, 2019Le président de la délégation de Côte d’Or pour la Chambre des Métiers et de l’Artisanat est aux anges. Et ce n’est pas un vain mot que de le dire ! Régis PENNECOT vient, en effet, d’être désigné par le réseau national de la chambre consulaire en qualité de coordinateur national pour le dispositif « Chantiers de France ». Un consortium de compétences et d’excellence qui a été initié le 18 avril dernier par le ministère du Travail. Ce groupement interviendra dans le cadre de la reconstruction de la cathédrale Notre-Dame de Paris, et de manière plus élargie, à la rénovation du patrimoine national…
PARIS : Vaste projet que celui de la reconstruction d’une partie de l’édifice religieux qui a été consumé par les flammes au soir du sinistre 15 avril 2019. Comme devait le stipuler le président de la République lors de son discours à brûle pourpoint, l’Etat allait se mobiliser vaille que vaille en réunissant toutes les compétences requises et les spécialistes de l’artisanat dans la réhabilitation de ce site chargé d’histoire.
Depuis le 18 avril, un consortium d’exégètes en la matière, « Chantiers de France », existe. Il a été constitué à la demande de Muriel PENICAUD, la ministre du Travail. Cette dernière a nommé le président du Comité français des Olympiades des Métiers, Michel GUISEMBERT, référent de ce projet.
C’est ensuite que le réseau des Chambres de Métiers et de l’Artisanat est entré en lice dans cet exercice d’implication volontaire. L’organisme a désigné l’un des siens, l’élu bourguignon Régis PENNECOT pour devenir le coordinateur national de ce dispositif, « Chantiers de France ».
Investi en sa qualité de trésorier au sein de l’institution nationale, le maître artisan, originaire de Varanges en Côte d’Or, préside en tant qu’élu la délégation départementale de la chambre consulaire.
Dirigeant d’entreprise (la menuiserie familiale qui se développe aujourd’hui à travers sa neuvième génération), Régis PENNECOT travaille régulièrement pour les monuments patrimoniaux avec ses huit salariés et ses deux apprentis. Sa société intervient sur de très nombreux chantiers de rénovation de sites historiques : les Hospices de Beaune, des églises classées, des édifices du secteur sauvegardé de la ville de Dijon.
Une ouverture vers le développement de l’apprentissage…
Sa désignation ne représente pas une surprise. Le 18 avril, le président du réseau national des Chambres de Métiers et de l’Artisanat, Bernard STALTER, avait présenté au gouvernement une série de propositions permettant l’accès aux marchés de restauration du patrimoine pour les artisans. L’objectif étant également de sensibiliser et orienter les jeunes vers les métiers de bâtisseurs. En triplant, notamment le nombre de place réservé à l’apprentissage.
Ces suggestions ont été accueillies avec beaucoup d’intérêt par le gouvernement. Elles intégreront les missions essentielles du nouveau coordinateur national dès qu’il sera opérationnel à son poste.
Fort de 112 centres de formation par l’apprentissage, le réseau des Chambres de Métiers et de l’Artisanat souhaite apporter sa pierre à ce chantier d’envergure d’une forte portée symbolique. Outre la nomination de Régis PENNECOT, un interlocuteur privilégié sera identifié dans chaque territoire de France pour travailler en harmonie avec les Régions. Il s’agira d’encourager la formation professionnelle, et tout spécifiquement l’apprentissage à développer sur l’ensemble de l’Hexagone.
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Cloelia BELTRAMELLI : s’appuyer sur de solides fondations permet de construire pour longtemps…
mai 14, 2019« Quand nous entreprenons pour nos clients un chantier de rénovation ou de construction, c'est avec cette ambition de construire pour durer… ». Ainsi s’exprime cette jeune femme, originaire de l’Yonne, chef d’entreprise dans le secteur du bâtiment. Dirigeant de www.deciderjuste.com, Philippe CARPENTIER accompagne les entrepreneurs lors de moments clés. Il nous livre une interview de son blog « 16h44.com » pour prendre du recul, avec un expert, sur notre management. En vous souhaitant une agréable lecture…
TRIBUNE : Quand vous rencontrez Cloelia, vous savez immédiatement que vous êtes face à une source d'énergie franche, directe et engagée. Jeune, active, dynamique, Cloelia est élue femme de l'année dans sa région en 2017. Sa personnalité se cache derrière son prénom : de ses origines et de sa culture italienne lui viennent son enthousiasme ainsi que sa capacité à s'engager avec conviction et à assumer pleinement chacune de ses décisions. Ainsi, qu'il s'agisse du développement de son entreprise, de la défense de sa profession ou encore de ses choix artistiques, Cloelia sait doser des positions décalées et une construction patiente et solide de ses projets. Entretien…
Cloelia, vous avez l'ambition de construire pour longtemps ? Voilà un concept, rarement mis en avant par les managers. Expliquez-nous ce qu'il signifie pour vous.
Quand nous entreprenons pour nos clients un chantier de rénovation ou de construction, c'est avec cette ambition de construire pour durer afin que le projet soit solide, réussi. Et que le client qui nous confie sa maison soit assuré de voir son patrimoine pérennisé pour des dizaines d'années. La reprise de l'entreprise familiale BELTRAMELLI en 2012, par exemple, poursuit cet objectif : sa pérennisation. Les longues journées passées à suivre les chantiers n'auraient pas de sens sans cette envie de construire pour longtemps.
Quand nous recrutons un nouveau collaborateur, c'est aussi avec cette perception du temps et cette notion long terme. En tant qu'entreprise générale, il faut du temps pour que cette personne se forme, acquiert les différentes facettes du métier et la philosophie de l'entreprise. Pour que ces personnes aient envie de construire une partie de leur carrière avec nous, nous souhaitons que nos compagnons puissent évoluer et se dépasser
Comment construit-on dans la durée, et pour longtemps ?
Mon expérience, c'est qu'il faut s'appuyer sur des fondations solides. Celles de mon entreprise sont multiples : c’est une entreprise ancrée depuis plus de 60 ans sur son territoire. Il existe une vraie volonté de transmission de l’ancien dirigeant, d’accompagnement et d’écoute dans la connaissance de nos clients et de nos marchés.
L’entrepreneure est prête à s'engager dans un univers encore très masculin, forte d'une expérience glanée dans des grands groupes avec notamment avec des acquis obtenus en marketing et en qualité. Il y a un projet clair et construit qui permet de s'appuyer sur l'histoire de l'entreprise pour la faire évoluer vers le monde de demain, en conciliant les forces de la PME avec la performance des grands groupes. Enfin, il existe une clé de voûte : une équipe formée et experte pour mener à bien des chantiers très techniques. Au-delà des clichés habituels liés aux métiers du bâtiment, construire des ouvrages qui vont perdurer dans le temps en tout confort et en toute sécurité, c’est aussi s’appuyer sur de véritables qualifications professionnelles. En résumé, avoir une tête bien faite pour penser et réaliser des projets que nous serons fiers de montrer et transmettre à notre tour à nos enfants.
C'est à partir de ces fondations que l'on peut bâtir un édifice solide. Cela implique d'avoir des objectifs d’entreprise clairs sans toutefois s'interdire la flexibilité et la créativité. C’est impératif dans un monde toujours en mutation tel que celui du bâtiment.
Comment cela se traduit-il dans votre quotidien ?
Il y a cette envie de grandir, prudemment et par étape. L'adaptation de techniques issues de grands groupes en PME (gestion de l'outillage, des chantiers...) dans l'univers exigeant de la PME et de son quotidien représente un fondement. Il faut aussi l’intégration de jeunes talents autour de la passion du métier : j'ai rencontré deux jeunes filles que l'on avait dissuadé de faire ce métier car trop féminine ou trop bonne élève ! Quant à la diversification progressive et le développement de son propre réseau, ils sont nécessaires. J’y ajouterai la complémentarité de nos compétences par la formation et la veille technique. Enfin, l’emploi d’une communication efficace, voire parfois très décalée par rapport aux standards de la profession, n’est pas inutile. Tout ce travail de modelage de l'entreprise nécessite, lui aussi, une construction patiente et structurée.
Quelles positions faut-il adopter en cas d'intempéries ?
C'est vrai qu'elles sont fréquentes. Elles peuvent prendre, par exemple, la forme de nouvelles législations ou de contraintes extérieures de différentes natures. Certaines poussent comme de mauvaises herbes et sont de véritables obstacles à dépasser alors que d'autres, au contraire, sont porteuses de progrès. Ce qui compte, c'est de les identifier, les intégrer et de s'y adapter. Enfin, progresser jour après jour avec l'énergie que vous procure une équipe soudée.
Les conseils du blog « 16 h 44 » :
Ne te laisse pas dicter ta trajectoire par un autre !
Garde tes objectifs en tête et suis ton instinct.
- N'écoute pas le chant des sirènes mais garde le cap.
- Sois là où tu souhaites aller et pas là où les autres veulent que tu sois.
- N'aie pas peur d'être décalé(e)
- Construis l'équipe qui te va bien et qui partage tes convictions
Philippe CARPENTIER
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GROUPAMA Paris Val-de-Loire : une rencontre informative pour expliquer l’ancrage territorial…
mai 13, 2019Organisés par les Fédérations départementales des caisses locales, les rendez-vous d’information et d’échanges, déclinés par l’assureur mutualiste, se déroulent chaque année en cette période du printemps. C’est ce mardi, dans l’enceinte d’AUXERREXPO, que l’exercice 2019 aura lieu. Il accueillera les sociétaires de l’Yonne. Outre la présence de l’économiste Christian SAINT-ETIENNE qui apportera lors d’une conférence sa vision et analyse des perspectives de la France avant les élections européennes, c’est le directeur général adjoint de l’un des leaders nationaux de l’assurance et de la prévoyance, Jean-Christophe REMAUD, qui brossera dans le détail l’actualité économique et institutionnelle de l’entreprise en rapport avec le département.
AUXERRE: Que ce soit lors de la conférence de presse ou au cours de la rencontre départementale qui s’en suivra, il sera beaucoup question de stratégie et d’engagements économiques pour illustrer l’action de l’assureur mutualiste sur son territoire.
Conformément à sa volonté intrinsèque d’en justifier les faits et les conséquences de manière annuelle, la direction départementale mais aussi régionale du groupe déroulera lors de cette soirée réservée à ses sociétaires tous les aspects explicatifs permettant de mieux appréhender le poids de cet ancrage territorial qui demeure le socle majeur de son intervention au quotidien.
En l’absence du directeur général de Paris Val-de-Loire, Eric GELPE, retenu sous d’autres cieux et d’autres obligations, c’est son adjoint, Jean-Christophe REMAUD, qui aura la tâche de conduire la table ronde, aux côtés du président de la Fédération départementale des caisses locales, Pascal MAUPOIS, et du directeur d’établissement, Jacques BLANCHOT.
Un exercice complet où l’auditoire constatera chiffres à l’appui les bonnes performances enregistrées par le groupe au-delà de l’exercice 2018. Mais, de cela, nous aurons le temps d’en reparler !
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Fabienne KELLER séduite par les vertus de l’économie symbiotique appliquée chez MOBIL WOOD…
mai 13, 2019Basée sur des aspects collaboratifs, formant des écosystèmes renouvelables, l’économie symbiotique représente une alternative heureuse à la réalité économique traditionnelle. Elle permet de créer un nouveau paradigme où la place de l’humain se revendique à tout instant dans un environnement positif. Au cours de sa découverte du fabricant de mobilier en bois MOBIL WOOD, structure adepte de l’holacratie et novatrice en de nombreux domaines, la candidate de la liste « RENAISSANCE » a laissé de côté sa vision politique des choses pour redevenir l’ancienne étudiante de polytechnique (X) et de l’Ecole nationale du génie rural, des eaux et des forêts qu’elle a été jadis avant d’être nommée ingénieur…
CRAVANT : Diplômée d’un Master en économie obtenu à la prestigieuse université de Berkeley (Etats-Unis), l’Alsacienne Fabienne KELLER apprécie tout ce qui se rapporte de près ou de loin aux innovations technologiques et au savoir-faire inhérent aux entreprises. Durant son immersion lui permettant de découvrir l’univers atypique de cette entreprise icaunaise, elle n’aura donc pas été déçue !
La sénatrice du Bas-Rhin a endossé sa vêture d’ingénieur des ponts, des eaux et des forêts pour mieux appréhender les aspects pragmatiques et techniques de cette entité. MOBIL WOOD, comme chacun le sait, fait figure de précurseur et de pygmalion dans bon nombre de domaines entrepreneuriaux. A commencer par la manière dont la structure pratique le management ouvert et participatif.
Construire le modèle économique différemment…
D’autant que cette visite initiée sous le prisme de la campagne électorale des Européennes, aura donné l’opportunité au responsable de la société, Alexis NOLLET, de démontrer à un aéropage de personnalités politiques (le secrétaire d’Etat Jean-Baptiste LEMOYNE, le président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre et conseiller régional, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, la sénatrice Noëlle RAUSCENT, les candidats icaunais de la liste RENAISSANCE, Irène EULRIET et Pascal HENRIAT…) le bien-fondé de cette alternative économique.
Certes, le principe vertueux lié à la déclinaison de l’holacratie a évolué chez MOBIL WOOD. « On a pris les fondements de cette éthique, précise Alexis NOLLET, c’est-à-dire le management participatif avant de l’adapter à nos besoins de gouvernance… ».
Pionnière en la matière sur le territoire de l’Yonne septentrionale, l’entreprise a fait depuis des émules, convertissant quelques patrons à revoir la ligne stratégique de leur management en adepte convaincu de l’entreprise libérée.
Habile, le mentor de MOBIL WOOD profitera de l’intérêt de ses visiteurs pour leur glisser qu’il serait judicieux de suivre de près ces évolutions à l’avenir.
Du grain à moudre pour Fabienne KELLER qui, visiblement très satisfaite de ce déplacement dans une entreprise aux méthodes futuristes du management, aura pris attache, échange de coordonnées oblige, avec le dirigeant de la société.
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Intégrer parmi ses effectifs des techniciens de haute volée ressemble souvent à une sinécure pour la plupart des entreprises du sérail industriel. Le milieu du matériel viticole ne déroge malheureusement pas à cette règle. Elle représente une source d’inquiétude croissante pour les services de ressources humaines, à la peine pour trouver des compétences. Groupe emblématique de par sa structuration et son influence régionale, ALABEURTHE a su prendre le taureau par les cornes, au niveau de l’anticipation, pour résoudre ces problématiques. La société s’appuie sur une politique de formation efficiente afin de sensibiliser les jeunes publics vers cette filière professionnelle…
CHABLIS : Préparer de manière optimale des techniciens qualifiés au rythme de la saisonnalité qui prévaut dans le monde de la viticulture nécessite une période d’incubation de trois ans. Telle est l’équation à laquelle a été confronté le distributeur de matériel agri-viticole de la Bourgogne septentrionale.
Présent sur une vaste zone de chalandise qui s’étale sur quatre départements (Cher, Côte d’Or, Nièvre et Yonne), ALABEURTHE ne lésine jamais à accueillir de nouvelles pousses parmi ses différentes structures.
Favorable au développement d’une relation saine et pragmatique entre le monde de l’enseignement et l’univers de l’entreprenariat, la direction du groupe, pilotée par Gilles MEHL, a choisi de jouer à fond la carte de cette complémentarité intelligente.
Partant du postulat que les métiers de la maintenance se faisaient rares et chers sur le marché, le groupe a optimisé cette stratégie collaborative en se rapprochant de l’un des établissements pédagogiques de la région qui prépare aux métiers de la viticulture et à ses dérivés : l’EPLEFPA de Mâcon.
Un équilibre parfait et constructif entre enseignement et entreprise…
Une approche conceptuelle appréciable puisque sur la seule année 2018, ALABEURTHE a accueilli une quinzaine d’apprentis au sein de ses services. Positionnée sur la revente de matériels destinés à la viticulture pour 70 % de son chiffre d’affaires – le reliquat correspondant à l’autre secteur privilégié, celui des espaces verts -, l’entité devrait initier avec la complicité bienveillante de la direction du centre de formation de Saône-et-Loire de nouveaux cycles de formation à l’automne.
Il s’agirait notamment d’un cursus de type BTS catégorie TSMA, portant sur les spécificités du monde viticole. Grâce à cette création, l’établissement de Mâcon deviendrait le seul centre pédagogique de l’Hexagone à pouvoir la décliner à ses élèves. Son démarrage est effectif dès septembre.
Face à ces récurrentes questions de recrutement, le groupe de l’Yonne n’en consacre pas moins un budget conséquent à la formation continue de ses collaborateurs.
Une ligne budgétaire de 100 000 euros est ainsi accordée à ce poste chaque année. Soit, dans les faits, plus de 1 700 heures de remise à niveau qui ont été dispensées en 2018 à plus d’une centaine de salariés et cadres.
L’art de l’anticipation face à la robotisation…
En outre, la robotisation de certains métiers de la filière accélère ce processus formatif. Aujourd’hui, ALABEURTHE prend le soin d’anticiper cette révolution technologique qui se profile sur le marché d’ici deux à trois ans.
La complexité des postes et leur diversification obligent le groupe à répondre présent dans sa quête de collaborateurs au potentiel affirmé. Notamment sur des postes de mécaniciens, électromécaniciens, chaudronniers, techniciens en service après-vente ou magasiniers vendeur.
Une stratégie applicable aussi sur le domaine de la motoculture, l’autre versant de l’activité de cette entreprise aux quarante millions d’euros de chiffre d’affaires…
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