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Le secteur de l’automobile, s’il n’est pas encore à l’agonie, dans sa configuration actuelle, mérite néanmoins une attention très particulière pour qu’il ne passe pas de vie à trépas. Forte de ses 45 000 salariés, la filière est particulièrement exposée en Bourgogne Franche-Comté, du fait de difficultés multiples, structurelles et conjoncturelles. Pour Nicolas SORET, vice-président en charge des finances, de l’économie et de l’emploi, « la course contre la montre est lancée »…

 

DIJON (Côte d’Or) : Il fallait sauver, jadis sur grand écran, le soldat Ryan d’une mort certaine. Il faut venir au secours désormais de la filière automobile territoriale, moribonde et soumise à d’innombrables difficultés économiques. Tel est l’énoncé du problème, une complexe équation à plusieurs inconnues, auquel est confronté le pouvoir exécutif régional.     

Comme devait le préciser lors de son intervention en conférence de presse le troisième vice-président de la Région, Nicolas SORET : « La course contre la montre est lancée si l’on ne veut pas que tout l’édifice s’écroule ».

 

De profondes mutations comparables à la crise de la sidérurgie…

 

Entre compétitivité et mutations profondes liées aux réponses à apporter aux problématiques environnementales, la filière de l’automobile ne sait plus à quels saints se vouer.

D’autant, que la crise sanitaire est passée par là, entraînant avec elle, son lot de surprises désagréables et inéluctables. Celles-ci se sont traduites par la chute progressive des ventes et surtout la pénurie en matière d’approvisionnement qui perturbe depuis le retour à la croissance.

La Bourgogne Franche-Comté est située dans l’œil du cyclone. Logique quand on peut se targuer d’être la première région industrielle de l’Hexagone. Une position, certes, très flatteuse sur le papier mais qui l’est beaucoup moins lorsque les rouages de l’entrepreneuriat se grippent. De ce fait, 350 établissements professionnels sont aujourd’hui suspendus aux décisions que prendront les pouvoirs publics afin de tenter de relever la tête. L’enjeu est de taille. Il y va de la pérennité de près de 45 000 emplois.

Surtout depuis que l’Europe a décidé dans le cadre du Green Deal d’interdire à la vente les véhicules à motorisation thermique neuf, et ce dès 2035. Motif : les rejets de Co2 imputables à ces moteurs occasionnent 12 % des émissions de dioxyde de carbone de l’Union.

Conséquence : la corporation tremble car elle se doit de changer dans un laps de temps très court de paradigmes. L’anticipation est devenue le synonyme de profondes mutations pour le secteur, un bouleversement comparable à celui vécu par la sidérurgie dans les années 1970.

 

 

Une feuille de route aux contours stratégiques précis…

 

Pour Nicolas SORET, le dossier est complexe. Il l’a précisé sans fioritures lors de sa prise de parole.

« La difficulté que l’on croyait conjoncturelle est en fait de plus en plus structurée avec ces contraintes observées dans les approvisionnements et la pénurie des semi-conducteurs. Or, du fait de la mondialisation des règles économiques, les constructeurs s’adressent plus facilement aux sous-traitants installés dans les pays à bas coûts pour qu’ils interviennent dans la fabrication de pièces. C’est le cas avec les nations de l’Asie du Sud-Est. Enfin, pour couronner le tout, la bascule historique entre le choix du moteur thermique et celui de l’électrique a conduit à un contexte aujourd’hui irrévocable de non-retour en arrière… ».

La naissance d’une feuille de route régionale automobile est devenue de ce fait une évidence. C’est une sorte de force de frappe pour aider à la mutation de la filière. Une approche qui repose à la fois sur les entreprises et leurs salariés, mais aussi sur les territoires qui les accueillent.

Le leitmotiv est simple : anticiper les mesures qui s’appliquent sur les territoires les plus exposés par cette nouvelle crise industrielle.

De quoi se constitue cette fameuse feuille de route, précieux cahier des charges utile devant permettre de préserver les emplois ? Deux axes d’intervention de la Région y répondent. Le premier se base sur le diptyque, action et coopération.

« C’est simple, ajoute le président de la CC du Jovinien et maire de Joigny, l’idée est de mettre en place une force d’intervention pour les mutations automobile afin de proposer à chaque sous-traitant un accompagnement qui soit le plus adapté… ».

Le second volet se rapporte aux outils et méthodologies destinés aux entreprises, aux actifs et aux territoires via des curseurs importants tels que l’orientation, la formation, la reconversion afin de limiter le plus possible la casse sociale. Nom de code de l’outil : le GPECT, acronyme pour « gestion prévisionnelle des emplois et carrières territorialisés ».

 

 

Un effort financier soutenu en 2022 de l’ordre de 36 millions d’euros…

 

Cette feuille de route, aux contours mûrement étudiés, n’est pas le fruit d’un quelconque hasard. Une multitude d’auditions ont été réalisées avec tous les acteurs et spécialistes de la filière automobile afin d’en brosser la trame. Tout cela a été conforté par une enquête effectuée sur le territoire dont les résultats sont connus depuis le mois de décembre.

« Nous sommes capables de savoir grâce à cela quels seront les territoires les plus exposés à l’avenir selon la réalité de leur tissu industriel, souligne Nicolas SORET.

Un exemple d’anticipation devant également s’appuyer sur le concours des intercommunalités qui connaissent à merveille le potentiel économique de leurs entreprises. Il ne faudrait pas qu’un sous-traitant soit oublié par ce dispositif et passe à travers les mailles du filet.

« Aussi, renchérit le vice-président en charge des Finances, de l’Economie et de l’Emploi, nous allons contractualiser avec les territoires ce principe afin d’anticiper du mieux possible la situation. Cela passe aussi par l’évolution professionnelle des salariés qui doivent gagner en compétences pour qu’ils soient le moment venu capables de rebondir sous le sceau de la diversification de leurs activités sur d’autres filières si leur entreprise venait à être touchée ».

Moyennant quoi, la Région augmentera son effort financier, déjà significatif, à destination des TPE et PME de la filière automobile cette année. Soit une ligne budgétaire de 36 millions d’euros, portée à l’exercice 2022. Une enveloppe venant s’additionner aux moyens de l’Etat, existants et nouveaux, ainsi que ceux de la nouvelle programmation des fonds européens FEDER.

La feuille de route régionale automobile, tracée sur la période 2022/2024, prend ainsi son envol. Il en va de la pérennité du tiers de l’emploi industriel de notre territoire qui incombe uniquement à une filière automobile qui attend une vraie bouée de sauvetage à terme…

 

Thierry BRET

 


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Dans son for intérieur, il le savait très bien. La ligne se traçait petit à petit comme une simple évidence, jalonnée d’expériences réussies, conjuguées aux rencontres judicieuses faites avec les bonnes personnes. Le tout servi par les diplômes adéquats. Tôt ou tard, sa destinée le placerait dans des conditions optimales pour endosser le rôle de dirigeant d’entreprise. C’est fait : Remzi KURBAN, pur produit de l’IFAG Auxerre, préside désormais à 37 ans la SAS BELLIER, spécialiste de l’escalier sur mesure.

 

FAY-AUX-LOGES : Il possède un look de « winner » l’ancien diplômé de l’IFAG Auxerre. Déjà lorsqu’il s’adonnait à ses chères études, le garçon s’était manifesté à tous ses suiveurs, y compris celles et ceux du monde de l’entreprise, comme une pépite prometteuse dont il fallait observer le moindre soubresaut dans le temps. Un look de « vainqueur », certes, assorti d’un sens inné de la prise de responsabilités teintées d’humanisme. Logique, quand on est pourvu d’une tête bien pleine. Bref : le gendre idéal à faire épouser à sa fille si cette dernière avait quelque peu de l’ambition !

A 37 ans, ce père de famille aimant (les photographies de ses enfants ornementent le vaste bureau accueilli dans le siège social de cette PME en devenir), l’ancien Auxerrois change de statut en relevant un nouveau défi. Celui de dirigeant de l’entreprise BELLIER, un faiseur de qualité dans l’art et la manière de concevoir des lignes d’escaliers de bois, en acier ou de verre.      

 

 

Six ans à peine après avoir intégré la SAS du Loiret, l’Icaunais s’installe au poste de commandement pour y jouer désormais les premiers rôles. Mais, attention, pas en capitaine d’industrie qui déciderait de tout, isolé dans sa tour d’ivoire. Non, comme un entrepreneur à l’écoute de ses salariés, dans un mode de pensée participative où l’écoute et le dialogue sont autorisés.

Avant de prendre les rênes de la structure, Remzi KURBAN s’est fait les dents en découvrant tous les rouages d’une PME qui est opérationnelle depuis bientôt cinq décennies. Directeur commercial et du marketing entre 2014 et 2018, avant d’occuper la fonction stratégique de directeur général par la suite, le jeune homme se forge un parcours accompli dans cet univers si riche de l’entreprenariat.

En rachetant la majorité des parts à l’ancien dirigeant, Samuel POISSON, l’Auxerrois assure à l’instant « t » la double casquette de président et de directeur général, avant de restructurer l’organigramme, sans doute dès 2023. Une transition qui s’est faite en douceur. Dans la continuité éthique, parfaitement maîtrisée…

Thierry BRET

 


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Il mouille sa chemise, le ministre délégué en charge du tourisme, des Français de l’étranger, de la Francophonie et, depuis peu, des PME/PMI ! A l’instar de ses collègues du gouvernement, tous mobilisés en vue de la plus que probable candidature d’Emmanuel MACRON avant la mi-mars, Jean-Baptiste LEMOYNE s’engage à 100 % dans la campagne présidentielle. Samedi, à Auxerre, il a tâté le pouls de ce terrain icaunais dont il est issu, rencontrant tous les acteurs politiques favorables au renouvellement de bail de l’actuel locataire de l’Elysée…

 

AUXERRE : La présentation des vœux ne servait en fait que de louable prétexte à la venue du membre du gouvernement en terre icaunaise ce samedi après-midi. Porte-voix de la majorité présidentielle dans l’Yonne, Jean-Baptiste LEMOYNE avait beaucoup d’autres choses à dire que de simples souhaits à formuler à l’ensemble de l’auditoire.

Une assistance très l’écoute et nombreuse (pas loin de soixante-dix personnes) qui eut même du mal à trouver une place assise au premier étage de la Tour d’Orbandelle, lieu d’accueil trop exigu de ces retrouvailles agrémentées d’une conférence de presse.

Convier la presse, justement pour ne seulement qu’exprimer ses vœux ? Forcément, les médias attendaient surtout autre chose à se mettre sous la dent question actualité. Ils ne furent pas déçus même si pour l’heure rien n’a transpiré de manière officielle sur la date exacte à laquelle le Président de la République allait rejoindre la grille de départ de la course à la présidentielle en se déclarant !

 

Un appareillage déjà bien huilé entre Ensemble Citoyens et les comités de soutien…

 

A ce propos, ce n’est un secret de Polichinelle pour personne : Emmanuel MACRON sera bel et bien candidat à sa propre succession avant que ne tombe la période butoir de ces inscriptions fatidiques. Le contraire eut été étonnant même si quelques velléités contestataires fusent çà et là parmi certains cortèges défilant dans l’Hexagone opposés à l’application du passe vaccinal.

Stratégiquement, rien ne sert de courir, il faut savoir partir à point comme le précisait la fable. Il n’est pas impossible, d’ailleurs, comme le confiera en aparté l’un des fers de lance de cette réunion, que le chef d’Etat patiente encore un peu jusqu’à la mi-mars avant de se prononcer.

Charles de GAULLE n’avait-il pas attendu l’ultime ligne droite, soit trente jours avant l’échéance, pour donner sa position sur le sujet !

Qu’importe ! Tout l’appareillage constructif devant mener vers la réélection élyséenne du nouveau président de l’Union européenne semble déjà bien huilé. Entre l’unité convergente affichée par toutes les composantes politiques du mouvement « Ensemble Citoyens » et la multiplication des comités de soutien, au nombre de neuf à ce jour dans l’Yonne, une chose est sûre : la majorité présidentielle n’est pas restée les deux pieds dans le même sabot, anticipant la chose avec pragmatisme depuis longtemps. Alors que leur candidat favori n’a pas encore livré officiellement ses intentions.

 

 

« Nous considérons que les résultats sont là »…

 

Une démarche collective que commentera par ailleurs avec enthousiasme un Jean-Baptiste LEMOYNE très décontracté, prolixe dans ses propos livrés en préambule de cette présentation aux médias.

« Nous sommes également rejoints par des personnes qui souhaitent s’engager, lâcha le ministre debout face à l’auditoire, l’objectif étant de s’investir derrière le Président de la République et de réaffirmer notre engagement ! ».    

Séduits il y a cinq ans par le projet de rassemblement fédérateur voulu par le Président de la République, tous se disent fin prêts à rentrer de nouveau en campagne dans la perspective (allons donc !) d’une candidature d’Emmanuel MACRON. Malgré les crises et les péripéties traversées : en premier lieu, celle inhérente à la COVID-19.

« Nous considérons que les résultats sont là, s’exclame Jean-Baptiste LEMOYNE, défendant le bilan présidentiel, regardez en matière économique, même le Prix Nobel de la discipline, l’Américain Paul KRUGMAN dit que le pays qui avait le mieux résisté à la crise n’est autre que la France ! ».

Sans omettre qu’au niveau de la croissance économique au sein de l’Union européenne, la France, toujours elle, vire en tête avec insolence, dixit le représentant du gouvernement.

« Tout cela profite aussi au département de l'Yonne, souligne le ministre du Tourisme et des PME/PMI, je rappelle les 120 millions d'euros mis sur la table pour le secteur de la santé pour rattraper tous les investissements qui n'ont pas été fait depuis bien quinze ou vingt ans par celles et ceux qui nous ont précédés. Un certain nombre de dossiers a enfin été débloqué. Je pense notamment au projet de contournement de la déviation sud d’Auxerre.  Le Premier ministre Jean CASTEX a débloqué les crédits… ».

 

Doubler le nombre de parrainages dans l’Yonne…

 

Que veulent Jean-Baptiste LEMOYNE et la soixantaine de personnes qui l’entoure ? « Qu’il y ait cinq ans de plus d’actions, de réformes, de transformations du pays ! répond ce dernier, grâce à cet appel fait à Auxerre qui nous réunit aujourd’hui ! ».

Un appel prononcé à quatre-vingts jours du premier tour de cette échéance capitale pour le pays. Quatre-vingts jours, non pas pour effectuer le tour de la planète comme le permettait l’imaginaire débridé et talentueux de Jules VERNES, mais quatre-vingts jours pour convaincre le plus grand nombre d’Icaunaises et d’Icaunais de rallier la cause de la majorité présidentielle.

Sera-ce si facile pour le territoire qui occupe la troisième position hexagonale en plus grand nombre de comités de soutien à la cause élyséenne de réussir son pari en mobilisant le maximum d’électeurs ? En tout cas, Jean-Baptiste LEMOYNE et son équipe espèrent doubler le nombre de parrainages accordés par les élus en faveur d’Emmanuel MACRON par rapport à 2017. Vu l’effectif éclectique des présents lors de cette rencontre explicative, c’est déjà une certitude d’y parvenir !

 

 

En savoir plus :

 

Parmi les personnalités présentes lors de cette cérémonie des vœux de la majorité présidentielle à Auxerre, citons :

Jean-Baptiste LEMOYNE, ministre en charge du Tourisme, de la Francophonie et des PME/PMI,

Victor ALBRETCH, directeur de campagne du Président dans l'Yonne et membre de La République en Marche,

Marie-Agnès EVRARD, sénatrice de l’Yonne,

Michèle CROUZET, députée de l’Yonne,

Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, président d’AGIR La Droite Constructive 89 et président de la CC de Puisaye-Forterre,

Pascal HENRIAT, président du MoDem 89 et conseiller départemental de l’Yonne,

Jacques HOJLO, président du Parti Radical 89,

Muriel VERGES-CAULLET, déléguée régionale de Terres de Progrès Bourgogne Franche-Comté,

Malika OUNES, ex-conseillère départementale de l’Yonne,

Mahfoud AOMAR, président de l’Association des maires de France 89,

Irène EULRIET, conseillère départementale de l’Yonne,

Patrice-José TAMPIED-AZURZA, délégué départemental de La République en Marche 89,

Laurent BOUQUET DES CHAUX, référent auxerrois de La République en Marche,

Yves VECTEN, conseiller départemental de l’Yonne,

Alain DROUHIN, maire de Bléneau,

Robert BIDEAU, ex-conseiller départemental de l’Yonne,

Thierry CORNIOT, maire de Seignelay,

Emilie LAFORGE, maire de Branches,

Jean-Philippe BAILLY, ancien adjoint de la Ville d'Auxerre, membre d'AGIR...

L’Yonne est le troisième département de France à disposer du plus grand nombre de comités de soutien à ce jour. Il se situe juste derrière les Yvelines (31) et les Hauts-de-Seine (14). A égalité avec l’Essonne.

Les neufs comités de l’Yonne sont localisés en Puisaye-Forterre (le premier à avoir été créé devait rappeler le président de la CCPF Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI), Serein et Armance, Gâtinais en Bourgogne, Grand Sénonais, Jovinien, Avallonnais, Vannes et Pays d’Othe, Yonne Nord et Migennois). Le dixième groupe de travail localisé dans l’Auxerrois devrait voir le jour d’ici peu sous la houlette de Malika OUNES…

Le nombre de comités de soutien au niveau national s’élève à 400 structures. Elles fédèrent des élus locaux et anciens élus, ainsi que des figures de la société civile en France et dans les DOM TOM. Les Français vivant à l’étranger sont également concernés par ces dispositifs.

 

Thierry BRET

 

 


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Séduisante l’initiative ? Elle l’est à plus d’un titre. En témoigne le délégué départemental de la Fédération des Travaux Publics de l’Yonne, Baptiste MANSANTI. L’un des signataires de cette convention de partenariat multipartite qui réunit le Département de l’Yonne, la FFB, la CAPEB, le GRETA et l’ARIQ-BTP. Sans omettre, évidemment, la FRTP. Permettre à un public en marge de l’emploi de retrouver le chemin menant aux entreprises est du meilleur acabit. Surtout que la filière peine à recruter de la main d’œuvre qualifiée…

 

AUXERRE : L’action se nomme « Brique par brique ». Une amusante appellation qui schématise dans l’idéal ce qui va dorénavant se passer pour celles et ceux de ces personnes se situant en marge de l’emploi, bénéficiaires du RSA, désormais au centre des regains d’intérêt.

Le but avoué de la démarche portée à bras le corps par le Conseil départemental de l’Yonne et l’élue en charge, entre autres, de l’action sociale, Sonia PATOURET, est de proposer un véritable tremplin aux individus en déliquescence avec la vie active. A l’insu de leur plein gré, selon la formule consacrée.

 

L’agréable surprise de ce qui est inculquée au sein de l’EFCO Formation…

 

La finalité de ce parcours de construction, déployée depuis peu sur le territoire, est d’ériger ensemble un véritable parcours initiatique d’insertion individualisée dans les métiers du bâtiment et des travaux publics, secteur qui peine à recruter alors que les postes à pourvoir sont très nombreux. Tant dans le bâtiment, stricto sensu, que du corollaire des travaux publics que maîtrise à la perfection le délégué départemental de l’Yonne, le représentant de la FRTP, Baptiste MANSANTI.

« J’ai été très agréablement surpris par la visite de l’EFCO Formation (lieu où s’est déroulé depuis Monéteau le premier cycle accueillant les bénéficiaires du RSA voués à tester ce schéma positif) et par la présentation de ce que ce public (une douzaine de personnes) a pu réaliser en l’espace de quelques semaines. Même le regard des stagiaires brillait de fierté et de reprise de confiance en soi… ».

L’un des premiers objectifs de ce parcours formatif visant à orienter les candidats vers un parcours qualifiant vers l’emploi, voire pourquoi pas vers l’obtention d’un emploi direct.

« Là où je suis conquis par la démarche, ajoute Baptiste MANSANTI, c’est qu’elle offre l’opportunité de présenter la palette de métiers que notre filière BTP propose. Avant de rapprocher ces candidats vers l’un des branches de ces métiers… ».

 

 

Une action encore en état d’expérimentation dans l’Yonne…

 

L’action « Brique par brique » tel un édifice durable qui s’élève renforçant le mur de la corporation des BTP tombe à pic à bien des égards. Elle est une des réponses appropriées à ce retour vers l’emploi des allocataires du RSA. Elle est aussi l’un moyens de résoudre la problématique récurrente du recrutement de la part d’entrepreneurs désireux de renforcer leurs équipes. Une précieuse bénédiction alors que le marché est très tendu et la recherche de salariés ne ressemble nullement à une partie de plaisir.

Pour l’heure, l’expérimentation, car cela en est encore une en l’état, ne s’applique que sur les secteurs de l’Auxerrois et de la Puisaye-Forterre. Si elle s’avère concluante et au vu de l’enthousiasme observé auprès de tous ces acteurs partenaires, on ne voit pas ce qui devrait la contrarier, elle sera étendue à l’ensemble du département.

Un choix réaffirmé par la conseillère départementale Sonia PATOURET qui en exprime l’envie.

 

 

Des formations à la carte qui s’appuient sur de la haute technologie…

 

Pour autant, c’est l’exemple de la Fédération des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté, la filière sait aussi former la jeunesse à assurer la relève. A l’aide de sa propre école qui est consacrée à la discipline.

« On a besoin de renouveler le personnel et même de se développer en amont car les carnets de commande se garnissent, souligne le délégué départemental de la FRTP, tous les corps de métiers sont concernés, que ce soit dans le transport, dans le BTP et dans toutes les strates de l'entreprise à différents postes. Ce que l’on recherche en priorité dans une telle initiative, ce sont des personnes motivées et qui possèdent un savoir-être favorable à leur intégration au sein de l’entreprise ».

Une aubaine pour la jeunesse qui peut envisager d’y faire carrière. D’autant que les travaux publics se présentent comme une corporation professionnelle où la pénibilité est de plus en plus atténuée du fait de la mécanisation, voire de l’emploi de logiciels et de technologies à la pointe du high-tech.

Les simulateurs, sorte de joujoux modernistes ultra branchés à mettre dans les mains des adeptes de consoles vidéo, y pourvoient allègrement.

« Ces nouveaux outils nous permettent d'attirer les jeunes générations. Ils s’utilisent dans bon nombre de centres de formations répartis dans la contrée ». Dont celui du CFPPA La Brosse.

Confiant pour l’avenir et ses possibilités, Baptiste MANSANTI reste néanmoins relativement prudent sur les projections à court terme. « La période sanitaire ne l’y autorise pas trop, concède-t-il, reste le domaine de la commande publique où la plupart de nos entreprises interviennent à hauteur de 70 %. Il est en train de redémarrer ».

Si une suite est à donner à cette action, elle pourrait également intégrer d’autres demandeurs d’emploi, notamment les personnes fragilisées dans leurs recherches sur le marché du travail.

On l’aura compris : « Brique par brique » est comme le fait d’ajouter une pierre à l’édifice de la vie professionnelle pour des personnes qui n’ont pas été épargnées par la vie. Une belle preuve d’altruisme et d’entraide à vocation économique. Aussi solide que du roc et forte comme peuvent l’être les constructions de la filière du BTP !

 

Thierry BRET

 


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Sous le masque, le sourire ! Sans même le voir, on le devine. Arborant avec fierté le label France Relance que vient de lui remettre en main propre le représentant de l’Etat, le chairman du Laboratoire MACORS Eric DELAYE ne peut être que satisfait de la journée. En obtenant une subvention de 800 000 euros de l’Etat, la structure peut nourrir de belles ambitions en 2022 et poursuivre ses investissements.

 

AUXERRE : Tout est résumé ou presque par la phrase du préfet Henri PREVOST en clôture de cette visite officielle consacrée à l’une des belles pépites industrielles, implantée en périphérie de la ville.

« C’est vraiment un excellent exemple de ce que permet le Plan de Relance pour rendre plus compétitives les entreprises… ».

Quelques minutes auparavant, le représentant de l’Etat venait de remettre le fameux trophée de plexiglass à son hôte, le dirigeant de la structure entrepreneuriale. L’objet symbolise le soutien de la Nation à l’une de ces entreprises qui intervient dans le domaine de l’industrie et en favorise l’innovation.

Du petit lait à déguster avec délectation pour les forces encadrantes de Laboratoire MACORS Auxerre, l’un des quatre sites de production de la société en France. Une entité qui est depuis 1990 à l’apanage du groupe industriel hexagonal, GALIEN, l’un des spécialistes dans la fabrication de produits pharmaceutiques.

 

 

Une aide qui intègre le programme France 2030…

 

A l’instar des trois autres unités de production, réparties en Bourgogne septentrionale (Nevers, Sens et Monéteau où s’affaire une dizaine de personnes), GALIEN dispose d’une force de frappe impressionnante pour répondre à la demande galopante de produits issus de la pharmacopée.

Plus de 50 % des spécialités thérapeutiques conçues par les laboratoires MACORS s’exportent dans plus d’une quarantaine de pays. Quand on parle des vertus bénéfiques de l’industrialisation !

Un chapitre que ne manqua pas de soulever le haut fonctionnaire en charge de la gouvernance préfectorale. Expliquant le bien-fondé de ce Plan de Relance à multiples ogives qui cible particulièrement bien les projets novateurs.

Aider à grand renfort de subventions et de subsides les entreprises d’aujourd’hui, celles qui sont en parfaite possession de leurs moyens en matière d’objectifs, c’est nécessairement poser les jalons utiles du programme France 2030, exposé il y a peu par le Président de la République Emmanuel MACRON.

 

 

Le plaisir de l’Etat à accompagner les entreprises innovantes…

 

Dans le cas présent, le schéma est on ne peut plus séduisant de l’avis du locataire de la préfecture. « Dans le secteur du médicament, un domaine extrêmement stratégique au vu du contexte actuel, il est important de pouvoir avoir la maîtrise de ces productions en termes de quantité et de qualité ! ».

Par conséquent, soutenir financièrement une chaîne logistique favorisant la fabrication de médicaments s’inscrirait presque parmi les axes prioritaires !

Une jubilation quasi palpable dans les propos du préfet de l’Yonne qui n’hésitera pas à formuler la phrase suivante : « C’est un plaisir pour l’Etat d’accompagner les laboratoires MACORS dans cette voie ». Celle du soutien à l’innovation industrielle, nécessairement pourvoyeuse d’emplois !

Un aspect que le préfet de l’Yonne aborda volontiers au moment de son laïus.

« Pour accompagner la volonté de réindustrialiser le pays, il faut aussi s’appuyer sur de la main d’œuvre. L’industrie a changé et elle offre de belles opportunités en matière de recrutement ! ».

 

 

Alléger les tâches humaines complexes grâce à des investissements en matériel…

 

Des arguments qui firent mouche parmi l’assistance alors que le laboratoire MACORS Auxerre est en perpétuelle quête de besoins humains, en moyenne une trentaine d’intérimaires mais aussi des techniciens à embaucher dès que possible.

« Il faut proscrire de nos pensées que l’industrie ne proposerait que des tâches difficiles, ajouta Henri PREVOST, c’était le cas par le passé. Aujourd’hui, grâce aux investissements très importants qui permettent d’accompagner les structures dans leur modernisation, certaines tâches délicates sont allégées. En valorisant le travail de l’homme en entreprise, cela contribue à rendre plus attractifs encore ses postes à pourvoir ».

Précisément, et grâce à l’enveloppe issue du Plan de Relance, suite à l’appel à projet « Industrie du futur », le Laboratoire MACORS Auxerre pourra remplacer certaines machines de production et améliorer les processus de fabrication, tout en se dotant de nouveaux logiciels plus performants.

Un programme d’investissement s’élevant à 4,4 millions d’euros dont 800 000 euros sont apportés par l’Etat via cette opération de soutien dans la corbeille de la mariée.

Précisons que dans l’Yonne, quarante-et-une entreprises industrielles ont bénéficié de ce dispositif ; des aides de plus de 4,8 millions d’euros in fine. Des actions concrètes pour l’Etat.

 

Thierry BRET

 

 


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