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Le nouvel entraîneur de l’AJ Auxerre, le franco-uruguayen Pablo CORREA, encore tout auréolé de sa première victoire après le déplacement de son équipe en terre alsacienne lors de la Coupe de France le week-end dernier, aurait aimé bénéficier d’un peu plus de temps pour mieux préparer ses joueurs aux futures joutes qui les attendent en ce mois de janvier ultra chargé. Mais, le rythme imposé par le calendrier officiel fait loi ! La quinzaine à venir offrira plusieurs moments cruciaux avec la réception dès ce vendredi du quatrième au classement,  le club du Havre, ou celle du Paris Football Club (6ème) le vendredi 26 janvier…

AUXERRE : Le message est clair et se destine aux joueurs qui doivent reprendre confiance en leur possibilité. Il n’impose aucune tergiversation, de l’avis du nouveau meneur dont l’AJA s’est octroyée les services à la trêve des confiseurs. Pablo CORREA compte sur la mobilisation générale de l’ensemble de son effectif pour redresser de manière significative la barre dès l’entame de la seconde partie du championnat de Ligue 2 ; celle-ci débute ce vendredi 12 janvier.

La réception au stade de l’Abbé Deschamps de la quatrième meilleure équipe de l’épreuve n’y change rien. Bien au contraire, le coach semble animé d’une volonté farouche d’en découdre sur le terrain, quelque que soit la force de l’adversaire. Se qualifiant lui-même de compétiteur…

« Peu importe le concurrent que nous trouvons sur notre route en face de nous, concède-t-il, notre objectif est de rechercher la victoire et de se mesurer efficacement face à lui. Ce schéma doit se répéter systématiquement match après match et nous devons nous concentrer sur la rencontre du jour même si effectivement le calendrier peut paraître délicat à gérer… ».

« Nous avons tous en tête cet esprit compétitif… »

S’il regrette ne pas avoir eu davantage de temps pour transmettre et expliquer sa vision du jeu collectif à ses protégés, Pablo CORREA, en revanche, se fait une raison vis-à-vis de cet enchaînement intempestif de matches aux enjeux capitaux. Se rassurant aussi sur le mental des troupes, préparées à cet exercice.

« Les joueurs professionnels sont là pour vivre et disputer des matches à répétition d’importance. Ils savent s’adapter à la réalité d’une telle compétition qui court sur 38 journées. A chaque fois, il nous faut trouver la parade idoine à ces situations qui se présentent tout en misant sur le facteur confiance. Peut-être que notre accession aux seizièmes de finale de la Coupe de France nous permettra cela… ».

Un déclic qui ne ferait que se renforcer si l’AJ Auxerre venait à triompher au prochain tour de cette vénérable institution footballistique du FC Nantes ! Un poids lourd de taille et à la dimension presque européenne au vue de la brillante saison effectuée par les Canaris qui remémorera de saines confrontations entre les deux clubs.

« L’arrivée de nouveaux joueurs pourrait apporter de la fraîcheur… »

Peu disert sur la venue d’un joueur professionnel chinois (l’annonce a été divulguée par le président de l’AJ Auxerre Francis GRAILLE lors de la cérémonie des vœux aux partenaires cette semaine), Pablo CORREA n’en dira pas plus à ce propos. « Prenez les informations en direct auprès du président, devait-il suggérer aux journalistes présents à cet exercice rituel que représente la conférence de presse d’avant-match.   

A contrario, l’ancien entraîneur de l’AS Nancy Lorraine a évoqué « que les dirigeants du club étudiaient la possibilité de profiter de la période du mercato pour apporter un peu plus de fraîcheur dans l’effectif… ».

Puis, renchérissant, de rajouter après une pause : « Nous sommes en discussion régulière et en liaison directe avec la présidence pour travailler dans le même optimisme à la réussite de cette seconde partie de championnat… ».

Satisfait du retour de Mohamed YATTARA après une longue période d’absence, le coach auxerrois voit cela comme un signe très positif : « c’est une bonne chose de pouvoir récupérer tous les joueurs avant de poursuivre cette saison… ».

Soucieux d’encourager son onze de départ à ne pas connaître la frilosité sur le terrain, Pablo CORREA attend beaucoup de cette nouvelle étape qui commence dès demain à l’abbé Deschamps. « Si nous respectons les équilibres de l’équipe et le schéma que nous nous sommes fixés, nous nous donnerons les moyens de l’emporter… ».

Ce serait de très belles étrennes à offrir dès la reprise du championnat aux supporters qui espèrent beaucoup de l’ère CORREA en 2018…


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Alors que le mouvement coopératif existe depuis près de cent cinquante années en France, ce mode opératoire et spécifique de gouvernance professionnelle suscite toujours autant d’engouement de la part des créateurs/repreneurs d’entreprise. Dans notre contrée, la Côte d’Or (29 %) et la Saône et Loire (21 %) caracolent largement en tête au niveau de la répartition de ces entités devant un trio de départements composés à part égale (13 %) du Doubs, du Jura et de l’Yonne. Loin derrière se positionne la Nièvre avec seulement 3 %. Les 108 structures coopératives régionales ont généré 139 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2016 même si trois d’entre elles ont capitulé faute de marché. Explications…

DIJON (21) : La centaine d’entreprises qui fonctionnent aujourd’hui en Bourgogne Franche-Comté selon les principes vertueux des sociétés coopératives de production (SCOP) ou des sociétés coopératives d’intérêt collectif (SCIC) accueillent quatorze salariés en moyenne. Avec une nette prédominance autour des activités de service, de l’artisanat, du commerce et même de l’industrie.

Neuf nouvelles coopératives ont été créées en 2016, déjà six en 2017…

En 2016, 96 projets ont été accueillis pour optimiser 981 emplois. Mais, dans la réalité, ce sont bien neuf nouvelles SCOP qui ont réellement vu le jour dont six sociétés coopératives d’intérêt collectif. Soit une plus-value tangible de 46 emplois au total. Quant aux premières statistiques qui nous sont parvenues pour qualifier l’exercice 2017, elles traduisent la continuité de cette embellie logique depuis une quinzaine d’années avec déjà six nouvelles structures créées en début d’exercice qui développent 61 emplois.

Le suivi et l’accompagnement de ces diverses entités représente 447 jours de formation pour la dizaine de personnes qui exercent leur professionnalisme au sein de l’Union régionale des SCOP de Bourgogne Franche-Comté, dont Laurène COTE qui en est une des représentantes au titre de consultante.

« En 2017, les structures coopératives ont poursuivi leur croissance avec un nombre exponentiel de nouvelles sociétés en phase de création. Cet engouement s’explique par l’aspect égalitaire qui prévaut dans ce système de fonctionnement avec la formule « un associé équivaut à une voix ». La meilleure répartition du résultat justifie également le choix des créateurs/repreneurs d’entreprise en faveur de ce système opératoire. Historiquement, beaucoup de porteurs de projets, cassés par les codes parfois virulents du système capitalistique traditionnel, ont fait le choix de s’ouvrir à la coopérative dès qu’ils en ont eu l’opportunité… ».

Hormis les professions réglementées comme celles des avocats, des notaires, des experts-comptables, des huissiers de justice mais aussi des cabinets d’architectes ou des géomètres, toutes les filières autorisent l’adoption de ce statut dans l’optimisation de leur projet.

Une année de création plus fertile en Franche-Comté qu’en Bourgogne…

« L’année dernière, ajoute Laurène COTE, de nombreux projets de transmission d’entreprises se sont soldés par la création de nouvelles coopératives. En Bourgogne Franche-Comté, l’année 2017 aura été fertile pour la partie franc-comtoise du territoire. Celui-ci a enregistré plus d’une dizaine de SCOP créées dont des pépinières horticoles, des magasins bio, voire des bureaux d’étude. Cela s’explique par le vivier économique de belle importance qui existe à Lons le Saulnier et dans le Jura… ».

Mais, a contrario, l’Yonne n’aura pas accueilli de nouvelle SCOP en 2017. En revanche, après plusieurs années de disette, un projet de création est à l’étude et pourrait peut-être aboutir en 2018. « Mais, il est encore trop prématuré pour en dire davantage…précise Laurène COTE ».

Côté financement, le comité d’engagement financier régional a été sollicité à douze reprises avec neuf garanties SOFISCOP d’un montant de 703 000 euros de prêts du Crédit coopératif et trois emprunts SOCODEN de 260 000 euros. Grâce à ces financements coopératifs, 126 emplois ont ainsi été consolidés en 2016…


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A l’occasion de la neuvième édition de la séquence culturelle « Auxerre fait son Angoulême », consacrée à l’univers imaginatif de la bande dessinée, le théâtre de la capitale de l’Yonne proposera un coup d’envoi officiel de cette manifestation populaire au foyer bar le samedi 13 janvier. Un programme riche et éclectique y sera présenté jusqu’au 08 février. Le vernissage se déroulera à partir de 18 heures : il permettra d’accueillir un public de plus en plus inféodé aux bulles concoctées par des dessinateurs talentueux de notre territoire et à leurs fabuleux personnages…

AUXERRE : Ce premier temps fort de la nouvelle année pour le théâtre municipal d’Auxerre débutera en matinée du samedi 13 janvier dès 9h30 avec des séances de dessin réalisées en direct face au public.

Les amateurs de BD auront la possibilité d’apprécier les planches originales du nouveau fanzine « Tirédussix » du collectif auxerrois, « DRAW’ID » dont le premier numéro est sorti au mois de septembre 2017.

S’en suivra la réalisation d’une grande fresque murale, à laquelle chacun est invité à participer, avant une séance de dédicaces et du vernissage officiel, accompagné par les élèves du Conservatoire de Musique d’Auxerre.

Cette année, l’association AUX’ID reprend le flambeau de cette manifestation autour de la bande dessinée, toujours en association avec la Maison de quartier des Piedalloues, MOUV’ART, la Bibliothèque municipale Jacques LACARRIERE, la MJC d’Auxerre, le Théâtre et l’Espace des arts visuels de la Ville d’Auxerre.

Rappelons que la volonté de cette manifestation est de provoquer des rencontres constructives et nourries entre les dessinateurs confirmés de la région et les jeunes ou futurs dessinateurs.

De nombreuses expositions, manifestations et ateliers se dérouleront dans différents lieux de la ville, avec en point d’orgue, les maintenant bien connues, « Vingt-quatre heures de la BD ».

« Auxerre fait son Angoulême » se découvre du samedi 13 janvier au jeudi 8 février, avec séances de dessin en direct le samedi 13 janvier de 9 h 30 à 17 h, le vernissage est prévu le samedi 13 janvier à 18 heures. Entrée libre.


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Sécuriser les parcours professionnels des demandeurs d’emploi et des salariés du particulier employeur dans la région Bourgogne Franche-Comté représentait l’ambitieux objectif de cette signature de convention tripartite, survenue il y a quelques jours à Dijon. Le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, Pôle emploi et la Branche professionnelle des salariés du particulier employeur ont paraphé les documents officiels qui les lient désormais à ce partenariat valorisant le soutien à la professionnalisation du secteur de l’emploi à domicile autour des métiers de la petite enfance et de la prise en charge du handicap dans une contrée particulièrement propice…

DIJON : Océane CHARRET-GODARD, vice-présidente du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté et Frédéric DANEL, directeur régional de Pôle emploi n’ont pas hésité un seul instant à l’issue de cette cérémonie protocolaire et des commentaires avisés de l’ensemble des intervenants à apposer leurs signatures au bas des pages des documents officiels. Ceux qui entérinaient cette convention importante et inédite, permettant de sécuriser les parcours professionnels.

Depuis plus d’une vingtaine d’années, IPERIA L’Institut, fort de la confiance des branches professionnelles des assistants maternels et des salariés du particulier employeur, conçoit et déploie le dispositif de professionnalisation du secteur de l’emploi à domicile en forte croissance depuis une décade. L’institut est d’ailleurs devenu au fil des ans le référent incontournable de ce secteur d’activité par le truchement de son expertise et ses conseils prodigués dans le cadre de cette professionnalisation.

Aussi, était-il tout naturel de retrouver ses représentants aux côtés des partenaires institutionnels de ce protocole d’accord mis en place depuis peu. Partant du postulat qu’emploi et formation correspondent aux clés de la dynamique économique territoriale, chacun devait souligner les aspects fondamentaux de ce nouvel engagement.

Un enjeu collectif pour répondre à de véritables besoins identifiés…

Ainsi, la vice-présidente de la Région restait persuadée « que la loi sur la réforme de la formation professionnelle en 2015 a sans aucun doute révolutionné les choses avec l’apparition de la notion de compétences ». « Plus former et mieux former, c’est devenu une priorité pour le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, devait-elle rappeler à l’assistance. Cette convention symbolise les modes de coopération au service de la sécurisation des parcours professionnels des demandeurs d’emploi sur notre territoire… ».

Un item que ne démentait pas Frédéric DANEL, le directeur régional de Pôle emploi. « L’effort autour de la qualification pour un retour progressif vers l’emploi doit être encore plus important dans notre contrée car le niveau de formation est plus bas qu’à l’échelle nationale. Certes, devait-il poursuivre, l’emploi à domicile intègre les secteurs économiques qui recrutent le plus mais paradoxalement, ils éprouvent beaucoup de difficulté à pouvoir le faire… ».

Expliquant que cette convention tripartite représentait une formidable opportunité, le signataire de ce protocole d’accord appelait à une intense mobilisation suite à cet engagement entre les partenaires et à une mutualisation des moyens, notamment ceux visant à s’informer sur les besoins de ce secteur d’activité afin de pouvoir sensibiliser de manière optimale les demandeurs d’emploi à ces métiers.

Une activité économique en forte progression et porteuse d’emplois…

Vice-présidente de la Commission paritaire nationale de l’emploi et la formation professionnelle (CPNEFP) de la branche professionnelle des salariés du particulier employeur, Marielle BROUARD effectuait un focus intéressant sur la réalité de ce secteur qui recense plus de 64 000 particuliers employeurs et plus de 59 000 salariés en Bourgogne Franche-Comté. Attractifs aujourd’hui, les métiers de la famille le seront encore plus demain en présentant de réelles opportunités de développement économique équitable entre zones urbaines et zones rurales. Les projections sont simples : à horizon 2030, près de 45 000 nouveaux postes seront à pourvoir d’où la nécessité impérieuse d’y adjoindre de véritables dynamiques en termes de professionnalisation.

« Entre 2012 et 2016, constatait Marielle BROUARD, nous comptabilisons plus de 5 500 départs en formation continue en modules courts sur l’offre prioritaire de notre branche et celle des assistants maternels du particulier employeur et 1 500 parcours de certification… ».

Innovantes et actives, les branches du particulier employeur ont pu instaurer le titre d’assistant maternel/garde d’enfants qui œuvre à la reconnaissance des professionnels de ces métiers. « Celles qui le désirent peuvent même se spécialiser dans la prise en charge du handicap grâce au certificat de qualification professionnelle assistant maternel/garde d’enfants handicap qui a été mis en place récemment, souligna Véronique DELAITRE, la présidente de la même commission.

Déjà une application concrète de ce dispositif dans la Nièvre…

Se qualifier sur les problématiques inhérentes au handicap doit aussi permettre aux demandeurs d’emploi de bénéficier de solutions novatrices. La prise en charge de ces publics fragilisés au domicile intègre le cœur de métier des professionnels de la petite enfance. La création d’un certificat de qualification professionnelle handicap de spécialisation a traduit cette volonté ; d’une durée de 175 heures, il vient compléter les compétences générales sur la petite enfance déjà acquises par les stagiaires au cours de leur formation assistant maternel/garde d’enfants.

« Depuis 22 ans, saluait Anita POUPARD, présidente d’IPERIA L’Institut, nous n’avons jamais cessé de croire en l’importance de renforcer l’attractivité des métiers qui constituent le secteur de l’emploi à domicile : c’est-à-dire assistant de vie, assistant maternel, garde d’enfants et employé familial. Nous avons aussi noué des partenariats constructifs dont le socle repose sur ces certificats de professionnalisation handicap. L’un dans la Nièvre qui concerne un parcours long permettant à des demandeurs d’emploi de suivre un parcours de formation complet (le titre d’assistant maternel/garde d’enfants et le CQP handicap de l’enfant). L’autre en Côte d’Or qui concerne l’obtention du certificat de professionnalisation handicap adulte. Ce cursus se rapporte aux personnes déjà détentrices du titre d’assistant de vie dépendance. Grâce à ces deux spécialisations, les opportunités professionnelles se renforcent et existent mais elles ne rencontrent pas forcément les publics formés… ».

Mais, les choses devraient évoluer positivement à l’issue de la signature de cette convention tripartite puisque les futurs certifiés spécialisés disposeront dorénavant des savoirs et des savoir-faire pour prendre en compte les spécificités de chaque situation de handicap, adaptant au passage leur accompagnement aux besoins des particuliers employeurs ou des enfants au sein de leur domicile.

Enfin, Magali CAZENEUVE, directrice opérationnelle de l’INFA Bourgogne Franche-Comté Grand Est, expliqua le solide partenariat mis en exergue entre les branches professionnelles et IPERIA l’Institut, depuis plus de vingt ans. « Nous dispensons à l’heure actuelle plus de 50 modules de formation. Par exemple, depuis le 25 septembre, une dizaine de stagiaires sont ainsi formés à la Fondation INFA de Nevers au métier d’assistant maternel/garde d’enfants avec un CQP handicap enfance. Ce programme pédagogique est mené à titre expérimental dans le cadre des nouvelles actions co-construites par IPERIA L’Institut, Pôle emploi et le Conseil régional. Il se terminera à la fin du mois de février 2018… ».


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Alors que le Conseil d’administration du centre de formation déplore la non-mobilisation récurrente des parents d’élèves, phénomène constaté depuis plusieurs assemblées générales, la structure pédagogique réaffirme, en revanche, sa profonde volonté de s’ouvrir plus largement vers les milieux professionnels et les entreprises en vue de favoriser le soutien de ses opérations. Il est vrai qu’avec son potentiel et ses dix-sept salariés, la MFR du JOVINIEN entend jouer les rôles de premier plan dans l’accompagnement des jeunes générations en proie aux incertitudes professionnelles…

VILLEVALLLIER : « Nous devons nous placer dans un schéma offensif pour obtenir des résultats ! ». La tonalité du propos est sans ambages et traduit la volonté de l’équipe directionnelle de cet établissement du Centre Yonne à se surpasser afin d’engranger une nouvelle dynamique, porteuse d’effets à court terme. Et même si la désaffection des parents d’élèves inquiète quelque peu (bien qu’elle ne soit pas si surprenante que cela en règle générale), le cap semble tracé tout droit pour la Maison familiale et rurale de VILLEVALLIER à l’aune de 2018.

Nonobstant cet état de fait, Sylvie LOGETTE, présidente de la structure, met en garde contre cette raréfaction préjudiciable de la cellule parentale. De moins en moins de représentants familiaux désirent intégrer le conseil d’administration, un outil essentiel et démocratique associé à la bonne gouvernance de cette entité. Or, à l’heure actuelle, ce conseil n’accueille que dix-sept personnes alors qu’il pourrait en recevoir davantage, jusqu’à 24 selon les statuts prévus à cet effet. En dessous de dix membres, le quorum ne serait alors plus atteint et pourrait mettre en péril les aspects fonctionnels de l’institution, avec le risque de bloquer totalement son mode opératoire si l’engouement venait à faire défaut aux personnes de bonne volonté. Hormis cela, côté chiffres, la MFR ne peut se plaindre de l’exercice écoulé.

Des bénéfices, certes, mais une trésorerie malmenée par les obligations sécuritaires…

« Cette année, nous avons réalisé d’excellents bénéfices, à hauteur de 98 000 euros, annonce Yannick VILLAIN, directeur du centre de formation spécialisé dans les métiers agricoles et ceux de la restauration collective, ce bon résultat s’explique en partie grâce à l’action formation due à Pôle Emploi qui nous ramène un chiffre d’affaires s’élevant à 60 000 euros. Cela facilite la croissance de notre activité tout en stabilisant les charges… ».

Néanmoins, il subsiste un bémol de taille dans ce bilan flatteur présenté devant une assistance attentive : la trésorerie qui s’enlise parmi les remboursements d’emprunts réguliers et les investissements nécessaires à la remise à flot d’un bâtiment vétuste du XIXème siècle, devant s’absoudre de ses défauts imputables au temps tout en faisant une cure de jouvence au niveau de ses atouts sécuritaires. Sur deux ans, une enveloppe de 350 000 a été consentie aux améliorations de la sécurité du site qui accueille près de 120 apprenants, de la plus jeune des générations du niveau 4ème et 3ème jusqu’aux élèves des classes de terminale. Sans omettre les professionnels bénéficiant de formations continues dispensées in situ.  

Face à cette situation paradoxale, alors que les résultats au niveau de sa pertinence pédagogique se confirment d’année en année, la Maison familiale et rurale demeure de santé fragile malgré ses nombreux projets ambitieux. L’établissement, fort heureusement, ne livre pas une bataille en solitaire contre les aléas de l’existence et de la conjoncture économique. La Région contribue à 70 % à son budget de fonctionnement. Le Département intervient pour 20 %. Des financements proviennent aussi du ministère de l’Agriculture. Pourtant, ces subsides indissociables à la tranquillité opérationnelle du lieu taraudent les esprits de ses dirigeants : comment trouve-t-on l’équilibre au niveau de la trésorerie à terme quand on sait que les enveloppes s’amenuisent ?

« La résolution de l’équation ne passe que par l’adoption de nouvelles stratégies, ajoute Yannick VILLAIN, où il faudra nous adosser sur l’intervention et l’appui de partenaires privés avec des soutiens visibles des entreprises... ».

Référencer le positionnement de la structure auprès des partenaires économiques…

Dès l’année prochaine, la MFR de VILLEVALLIER entreprendra un audit analytique très affiné de ses forces et de ses faiblesses dans le cadre d’un DLA, dispositif local d’accompagnement. Conçu par les Foyers Ruraux, cette étude financée par la Région Bourgogne Franche-Comté occupera des diagnostiqueurs sur l’ensemble de l’année avant qu’ils ne rendent leur verdict décisif. Autre piste de réflexion palpable : le positionnement d’acteur incontournable de la formation agricole sur le territoire de l’Yonne. Mais, aussi sur le secteur de la restauration collective, autre cheval de bataille prégnant du centre.

« Notre objectif est de devenir un véritable laboratoire d’idées, un creuset où les expérimentations techniques soient enfin reconnues par l’ensemble de ces filières professionnelles. Tout en y incorporant des approches actuelles liées à l’environnement comme la déclinaison des aléas climatiques…Demain, nous ne formerons plus des dizaines d’élèves vers les métiers de l’agriculture. Pour diverses raisons et surtout celles qui trouvent leurs explications dans la crise conjoncturelle que vivent ces filières. Par contre, la MFR répondra aux problématiques des professionnels pour recevoir davantage de formations. Nous deviendrons un pôle de ressources agricoles avec notamment le développement de nouvelles formes d’exploitations à l’instar de l’agriculture de conservation… ».

Ce changement d’axe telle la Terre qui assurerait la bascule de ses pôles avec les conséquences que l’on pourrait entrevoir n’est plus un concept aléatoire dans la vision stratégique de la gouvernance de la Maison familiale du JOVINIEN. Au contraire, les responsables du centre ne veulent pas se faire rattraper par le quotidien avec des lendemains qui déchantent. Ils veulent ardemment exprimer leurs réelles ambitions. En se créant de nouveaux enjeux…


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