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Yonne Tourisme prépare son été gourmand : la savoureuse formule du « BONPICNIC » accompagnera les visites
juin 01, 2021L’agence de développement touristique et relais territorial des OTSI, s’associe avec le réseau national LEBONPICNIC pour un partenariat qui devrait voir le jour prochainement. Le but est d’accompagner les consommateurs à la découverte de nouvelles saveurs locales. A travers un service de pique-niques, utilisé pour valoriser les productions du terroir…
AUXERRE : La Communauté de Communes Le Tonnerrois en Bourgogne ainsi que la Communauté des Communes de Chablis Villages et Terroirs ont choisi de s’associer à cette initiative. L’agence Yonne Tourisme a également proposé aux intercommunalités du territoire de soutenir le dispositif s’ils le souhaitent. De ce fait, elle a pris contact avec les offices de tourisme du département pour effectuer la mise en place de ce projet afin que les personnes venues en vacances ou en découverte de notre patrimoine puissent eux aussi profiter de cette nouveauté.
Les offices de tourisme du Migennois, de Chablis, Cure, Yonne et Tonnerrois, du Grand Vézelay et de l’Auxerrois ont répondu favorablement à cette sollicitation.
Yonne Tourisme a décidé de prendre en charge les coûts qui sont liés à la participation des entreprises. Ils comprennent l’accompagnement des artisans volontaires par l’équipe de LEBONPICNIC mais aussi leur frais d’inscriptions pour deux ans (hors kits et contenants).
Un avantage gustatif pour la découverte du territoire…
Ce projet de pique-niques se décline à base de produits du terroir qui peuvent être cuisinés par des artisans, des commerçants ou bien des restaurateurs du cru. Ces derniers étant réservables en ligne. Des visites y seront insérées, celles de parcs, jardins, châteaux...Les consommateurs ont ainsi la possibilité de découvrir la nourriture mais aussi différents lieux du territoire.
La présidente de Yonne Tourisme Anne JERUSALEM a déclaré à propos de cette initiative que « Yonne Tourisme et ses partenaires se donnent pour objectif de proposer, dès cet été une offre de pique-nique répondant aux besoins des touristes en itinérance dans l’Yonne, notamment le long du Tour de Bourgogne à Vélo, du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle ou encore dans les vignobles icaunais. Nous savons d’ores et déjà que les activités de pleine nature seront très prisées cette saison… »
Pour réserver son pique-nique, il suffit de le sélectionner sur le site Internet et remplir le formulaire. Une demande de réservation doit être faite la veille avant 18 heures. Il est également possible de le réserver plus de 48 heures à l’avance, de ce fait, un mail est envoyé en guise de rappel aux consommateurs. Une initiative goûteuse à plus d’un titre…
Jordane DESCHAMPS
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Un nouveau type de prêt est ouvert aux petites et moyennes entreprises (PME) et aux entreprises de taille intermédiaire (ETI). Celles qui ont des perspectives de développement dès que la crise de la COVID-19 sera derrière nous. Ces entreprises peuvent y prétendre même si elles bénéficient déjà d’un Prêt garanti par l’État (PGE). Ce nouveau dispositif vise ainsi à apporter de nouveaux financements à long terme, assimilables à des quasi-fonds propres. Explications…
AUXERRE : Les quasi-fonds propres, comme les comptes courants d’associés « stables », permettent d’augmenter la capacité d’endettement des entreprises. Ce nouveau prêt, institué par la loi de finances 2021, est réservé aux sociétés qui peuvent espérer un rebond après la crise sanitaire inhérente à la pandémie.
Le décret du 25 mars 2021 est venu préciser les conditions dans lesquelles la garantie de l’État pouvait couvrir le risque de pertes lié à des prêts participatifs (ou, le cas échéant, des obligations) consentis à certaines entreprises. Sont éligibles au dispositif les entreprises qui répondent aux critères cumulatifs suivants : petites et moyennes entreprises (PME) et entreprises de taille intermédiaire (ETI) ayant des perspectives de développement mais dont la structure de bilan a été affaiblie par la crise ; celles de ces structures qui sont immatriculées en France ; celles qui justifient enfin un chiffre d'affaires supérieur à 2 millions d’euros.
Les caractéristiques de ce nouveau prêt participatif…
Ces nouveaux prêts participatifs garantis par l’État peuvent atteindre, pour les PME, 12,5 % du chiffre d’affaires 2019 ou pour les entreprises innovantes et celles créées après le 01er janvier 2019, le montant de la masse salariale 2019, si ce montant est supérieur.
Du côté des ETI, cela s’applique à 8,4 % du chiffre d’affaires 2019 de ces entreprises ou, pour les entreprises innovantes et celles créées après le 01er janvier 2019, les deux tiers de la masse salariale 2019, si ce montant est supérieur.
Toutefois, la garantie de l’État se limite à 30 % du montant du prêt. Celui-ci est remboursable sur une période de huit ans, avec un différé de quatre ans. Ce nouveau dispositif sera distribué dès la mi-avril 2021 et pourra être utilisé jusqu’au 30 juin 2022. Il se cumule avec le prêt garanti par l’Etat.
Le montant restant dû au titre du prêt garanti par l’État, cumulé au prêt participatif, ne peut être supérieur à 25 % du chiffre d’affaires 2019 ; ou, le cas échéant, à deux fois la masse salariale 2019 (l’entreprise doit démontrer l’impact de l’épidémie sur son activité).
À ce titre, l’entreprise devra faire valoir pour 2020 : une baisse de plus de 5 % de son chiffre d’affaires ou de sa masse salariale ; ou une baisse de plus de 10 % de ses investissements ou de son carnet de commandes ; ou encore une diminution de plus de 10 % du recours à la sous-traitance.
Si le prêt participatif soutenu par l’État cumulé au prêt garanti par l’État dépasse 25 % du chiffre d’affaires 2019, le montant du prêt participatif ne peut pas dépasser : 10 % du chiffre d’affaires 2019 pour une PME ou 80 % de la masse salariale 2019 s’agissant d’une entreprise innovante ou d’une entreprise créée après le 01er janvier 2019, si ce montant est supérieur) ; 5 % du chiffre d’affaires 2019 pour les ETI (ou 40 % de la masse salariale 2019 s’agissant d’une entreprise innovante ou d’une entreprise créée après le 01er janvier 2019, si ce montant est supérieur).
PGE et prêt participatif : deux orientations distinctes…
La procédure d'obtention de ce prêt participatif suppose une analyse fine des capacités de rebond et du potentiel de l'entreprise, un focus sur le projet d'investissement et ses perspectives, une modélisation opérationnelle et financière à long terme qui prendra en compte l'impact positif des investissements. Ces nouveaux produits sont distribués par les réseaux bancaires traditionnels.
PGE et Prêt Participatif ont donc des objectifs différents. Reste à savoir si beaucoup d'entreprises poursuivront les deux objectifs simultanément. En effet, le PGE vise à soutenir la trésorerie des entreprises. Il s'agit d'une aide à court terme, que l'entreprise commence à rembourser à partir de la deuxième année. Le prêt participatif, de son côté, s'adresse aux entreprises qui n'ont pas de difficultés de trésorerie mais souhaitent continuer à investir dans leur développement et peuvent rencontrer des soucis de financement sur le long terme. Par ailleurs, le PGE est pour l'instant accessible jusqu'au 30 juin 2021, alors que le prêt participatif sera ouvert jusqu'au 30 juin 2022.
Jean-Paul ALLOU
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La démolition véritable opportunité économique pour MICHEL SAS : la présidente de la Région salue l’initiative…
mai 31, 2021Réduire l’empreinte carbone par le biais d’une économie plus circulaire s’inscrit depuis longtemps parmi les chevaux de bataille de Marie-Guite DUFAY. Un engagement que la présidente de la Région a réitéré dans sa profession de foi de candidate à sa réélection. Profitant d’un déplacement dans l’Yonne vendredi, elle a visité l’entreprise MICHEL SAS, spécialisée dans le recyclage de matériaux issus de la démolition.
AUXERRE : Telle une forteresse de Vauban, la cage métallique remplie de pierres visant à stabiliser le terrain sur lequel sont édifiés les locaux de l’entreprise fondée par Didier MICHEL, fait désormais partie du paysage de la rue Guynemer à Auxerre.
Le remplacement d’un mur de soutènement en béton par une paroi en gabions édifiée au moyen de 400 tonnes de matériaux de démolition recyclés est un choix délibéré. Il s’inscrit dans la politique menée par la PME auxerroise, depuis longtemps, engagée dans la valorisation des inertes et l’économie des ressources naturelles.
Elu en novembre dernier à la tête de l’antenne icaunaise de la Fédération Française du Bâtiment et président de la Commission environnement et développement durable au niveau régional, Didier MICHEL est « tombé dans la marmite » tout jeune, reprenant le flambeau familial : « Le recyclage, j’ai toujours vécu dedans ! Avant moi déjà, mon père en faisait, même si à l’époque, c’était plus pour permettre aux gens de réaliser des économies financières que de diminuer l’empreinte carbone… ». Aujourd’hui, le groupe éponyme emploie près de 140 salariés. Il se développe autour de trois grands pôles : la démolition, la dépollution et le gros-œuvre. Une réussite saluée par la présidente de la région Bourgogne Franche-Comté, qui a visité le siège auxerrois de l’entreprise ce 28 mai.
Chercher toutes nos matières premières en Chine, pour mieux perdre nos emplois ?
Ce déplacement permit à Marie-Guite DUFAY de prendre le pouls de la sphère économique icaunaise, auprès de la trentaine d’artisans et chefs d’entreprises réunis pour l’occasion. Une discussion informelle à laquelle s’est pliée avec plaisir la présidente-candidate, à l’écoute des attentes ou des inquiétudes de chacun.
Si la relance et la reprise d’activité semblent bien au rendez-vous, notamment dans le secteur du bâtiment, les inquiétudes demeurent face à la hausse du coût des matières premières, voire à la pénurie constatée pour certains matériaux. Un sentiment partagé par la présidente de région qui s’en est ouverte la semaine dernière auprès d’Emmanuel MACRON, en déplacement à Nevers : « Une situation qui nous renvoie à la difficulté de disposer chez nous de lieux de production de matières premières alors que l’on va tout chercher en Chine. Avec le risque de pertes de marchés et d’un effet boule de neige sur les sous-traitants dans les mois à venir… ».
Parmi les autres thèmes abordés, le déficit de notoriété des métiers de l’industrie ou du bâtiment auprès des jeunes : « C’est un problème culturel et ce n’est pas tant par la mise en place de formations que nous le résoudrons. Il nous faut créer des outils beaucoup plus modernes et performants pour les convaincre qu’ils seront heureux dans tous ces métiers, c’est là le nerf de la guerre… ».
A écouter les uns et les autres ce vendredi, le sujet est prégnant. Les tensions particulièrement marquées dans le BTP où, face à des projets d’embauche bien réels, les candidatures se font toujours aussi rares.
En savoir plus :
Utiliser des matériaux recyclés issus de la démolition s’avère être une réelle opportunité pour l’entreprise MICHEL SAS, sachant que le secteur du bâtiment représente environ 19 % de la production de déchets du BTP, soit 46 millions de tonnes par an, dont près de la moitié provient de la démolition (Sources : Ministère transition écologique).
Le site accueille également tout le matériel nécessaire au désamiantage, qui une fois décontaminé sera réutilisé sur les chantiers, l’amiante étant pour sa part acheminée vers des centres d’enfouissement spécialisés en dehors du département.
Dominique BERNERD
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La PME se met au vert avec la LPO : CHAROT favorise l’accueil des oiseaux et des insectes sur ses plantations
mai 30, 2021Joindre l’utile à l’agréable n’est pas une chose incompatible pour l’un des leaders nationaux, exerçant dans le domaine des réservoirs de production d’eau chaude et des contenants de stockage tout liquide. Labellisée RSE par l’AFNOR depuis 2020, l’entreprise sénonaise vient de signer une convention de partenariat pour faire de son site de 6,5 ha un refuge de la Ligue pour la Protection des Oiseaux…
SENS: Ce n’est pas un hôtel à insectes ordinaire que présente le toujours créatif patron du groupe industriel icaunais Pascal CHAROT ! Ce serait plutôt le modèle cinq étoiles, version grand luxe avec des services « all exclusive » à tous les étages pour ces bestioles qui virevoltent dans le ciel !
A deux pas de l’unité de production qui emploie près de cent cinquante collaborateurs conquis unanimement par l’initiative, trône cette majestueuse construction de bois où viennent se camoufler des myriades d’insectes vrombissants. Le jardin d’Eden ou presque pour ces insectes fréquentant les lieux qui ne manqueront pas ensuite de servir de nourriture très appétissante aux oiseaux alentours !
Le groupe CHAROT a donc choisi de verdir son image et surtout son environnement depuis l’année dernière, grâce à la signature de la labellisation RSE (Responsabilité sociétale de l’entreprise) dispensée par l’AFNOR. Une initiative que souhaitait accomplir depuis longtemps le dirigeant de la société, Pascal CHAROT.
Il y a peu, le 26 avril, l’industriel apposait sa griffe au bas d’un document le liant via une convention partenariale avec la LPO, la Ligue pour la Protection des Oiseaux. Objectif : faire de ce site de 6,5 hectares un refuge pour les volatiles.
Conséquence, le fabricant de ballons d’eau chaude sanitaire et de réservoirs de stockage en acier et inox ne s’est pas fait prier pour installer une douzaine de nichoirs et de mangeoires, çà et là parmi ses espaces verts ; en y ajoutant une première mare artificielle qui en appelle déjà l’implantation d’une seconde, et de cet hôtel à insectes si spacieux. Une initiative intelligente et environnementale qui a vu la participation des salariés de la société !
Une idée fédératrice qui a débouché sur la création d’une cellule…
Moyennant une enveloppe budgétaire de dix mille euros (une broutille pour une PME qui réalise plus de 25 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel), le groupe CHAROT joue avec enthousiasme et jubilation la carte de la préservation des espèces.
D’autant que les diagnostics liminaires fournis par la LPO reflètent de la pertinence de l’initiative : un troisième inventaire aviaire réalisé il y a peu fait état de la présence de vingt-cinq profils différents d’oiseaux dont, et c’est une très belle surprise, le repérage du serin « Cini », très peu répertorié dans notre région.
Fédératrices au plan de la communication en interne, les préconisations environnementales de CHAROT ont même abouti à la création d’une cellule ad hoc qui réfléchit à l’apport de nouvelles idées devant s’effectuer par la suite.
Ainsi, outre l’implantation d’une deuxième mare n’accueillant pas de poissons pour laisser libre cours à la reproduction d’insectes, devant sustenter les oiseaux, des projets de plantations d’arbres fruitiers sont dans les cartons.
Bref, cette quête à la biodiversité retrouvée, très utile pour le développement des espèces animales et végétales, s’est également propagée parmi les collaborateurs du groupe.
Une douzaine d’entre eux sont dorénavant devenus refuges LPO à titre personnel en accueillant nichoirs et autres mangeoires pour oiseaux.
La création d’un biotope n’est donc pas inconcevable avec les activités purement industrielles d’une structure comme CHAROT. Une initiative judicieuse qui pourrait bien faire des émules dans le landerneau.
Thierry BRET
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L’imaginaire débridé d’Elon MUSK n’a pas de limite, ça, on le savait ! Qu’il s’agisse de l’aventure spatiale à la conquête de la planète Mars ou en matière d’automobile, le milliardaire américain ne lésine pas à mettre tous les moyens dans la balance pour voir ses projets les plus rocambolesques et insolites arrivés à leurs aboutissements…
PARIS : La ligne de ce concept hors normes est on ne peut plus épurée et fait figure de véhicule de l’an 3 000 ! Le nouveau pick-up électrique de TESLA, baptisé « Cybertruck », n’a pas encore vu son premier modèle sortir de l’une des chaînes de fabrication au Texas que déjà l’engouement est à son paroxysme Outre-Atlantique où près d’un million de réservations ont été enregistrés en l’espace de quelques jours !
Annoncé pour la fin de l’année, ce modèle hyper futuriste avait été présenté dès 2019 par la fameuse firme US qui est devenue l’un des leaders internationaux du véhicule électrique.
Son prix de vente devrait être fixé à partir de 32 700 euros sur le marché nord-américain.
Elaboré à partir d’une coque extérieure conçue pour offrir une durabilité et une protection des passagers optimales, ce pick-up des temps nouveaux a été imaginé grâce à un exosquelette. Chaque composant est ainsi conçu pour apporter une résistance et une endurance accrues. L’utilisation de verre blindé est aussi l’une des particularités de ce modèle décidément peu ordinaire.
Dans cette catégorie de véhicule quelque peu décalé au plan de l’esthétisme, TESLA aura face à lui en guise de concurrent le FORD F 150 Lightning, qui a vu le nombre de ses réservations excédés les 44 000 demandes en moins de 48 heures.
Une chose est certaine : on ne devrait pas voir ces spécimens de l’automobile de demain circulés sur les routes de l’Yonne dans un proche immédiat !
Thierry BRET
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