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ECOTROPHEES 2021 : quand EPICURE n’apporte que du bonheur à quatre étudiants de l’IFAG Auxerre !
juin 19, 2021Nom symbolique de la promotion : EPICURE. Affectation de cette dernière : l’IFAG Auxerre. Concrétisation du projet pour ces quatre valeureux étudiants y participant : la plus haute distinction de l’édition 2021 des ECOTROPHEES nationaux, soit la première place ! Ce challenge hexagonal accueillait la fine fleur des apprenants de première année des IFAG à Lyon. Cocorico : c’est l’entité icaunaise qui s’y est distinguée brillamment !
AUXERRE : L’enseignement supérieur vu par le prisme auxerrois se porte bien ! Il vient de le démontrer une fois de plus grâce à la récompense nationale obtenue il y a peu par quatre jeunes gens, issus de la promotion « EPICURE », effectuant leur cursus diplômant au sein de l’IFAG Auxerre.
Dans le cadre de la première année du BACHELOR, préparé dans l’Yonne, quatre étudiants, remplis d’assurance, ont mené à terme un projet de développement durable au profit de la société industrielle avallonnaise, CHAUVEAU MECANO SOUDURE.
Concourant à cette édition 2021 des ECOTROPHEES IFAG, les étudiants de l’Yonne avaient comme sujet de réflexion une étude de cas à mener sur la RSE, c’est-à-dire la Responsabilité Sociétale des Entreprises. Un item ô combien d’actualité dans la sphère entrepreneuriale.
Structure professionnelle adhérente à l’UIMM 89 (Union des industries et des métiers de la métallurgie), la PME de Magny fabrique des remorques dont certaines, des bétaillères, sont destinées de manière spécifique à la filière agricole.
L’implication des quatre apprenants de l’IFAG Auxerre était la suivante : apporter un regard de consultant extérieur sur les trois piliers du développement durable à l’entreprise donneuse d’ordre.
Une étude de cas et deux soutenances qui ont bluffé la cheffe d’entreprise…
En octobre dernier, les consultants en herbe organisaient une visite plus que de courtoisie sur le site de l’Avallonnais. Ils y relevaient ainsi les thèmes essentiels à leur future analyse : la question des fumées de soudure traitée par les gérants qui sont en quête, nonobstant, d’une solution plus efficace afin de garantir un confort optimal de travail à leurs collaborateurs ; l’agencement de la salle de pause et la gestion du recyclage des bobines.
Plusieurs mois de recherches furent nécessaires pour ébaucher les préconisations idoines aux attentes de la PME. Leurs présentations ont fait l’objet de deux soutenances.
Accompagnés par des intervenants experts du développement durable, les jeunes gens présentaient le fruit de leurs travaux, au plan régional, le 28 mai. Avant de réitérer l’exercice, au niveau national lors de ce challenge très prisé par les étudiants de l’IFAG.
Ce défi tombe à point nommé pour les étudiants de l’IFAG qui arrivent dans l’établissement avec seulement leur bac en poche. Il leur permet d’acquérir une méthode opératoire d’analyse des questions issues de la RSE et une posture professionnelle convaincante sur l’émergence de leurs capacités professionnelles. Le défi était donc de taille !
Présentant un dossier bien ficelé, s’appuyant sur des données chiffrées, les quatre compères de la promotion EPICURE (la bien-nommée) eurent tôt fait de séduire les jurés et la cheffe d’entreprise, Patricia CHAUVEAU, bluffée par tant d’audace.
« Les exigences étaient élevées, précise l’un des participants, nous sommes vraiment heureux d’avoir remportés ce concours… ».
Avec ce succès, l’IFAG Auxerre a coiffé la victoire sur le fil aux représentants de l’IFAG Nantes et de l’IFAG Bordeaux. Il n’y a pas à dire mais l’IFAG Auxerre est la meilleure !
Thierry BRET
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Une complémentarité au service de l’Yonne : le binôme EULRIET/RAOUT n’est pas à court de suggestions…
juin 18, 2021La fin de campagne approche pour Irène EULRIET et Jean-Pierre RAOUT. Ils se présentent sous l’égide de la majorité départementale droite, centre et indépendants, sous le nom « Unis pour l’Yonne ».
AUXERRE : Quels messages avez-vous envie de faire passer dans cette dernière ligne droite de la campagne ?
Irène : Cette campagne fut forte en rencontres et en discussions vraiment très intenses qui ont fait jaillir plein d’idées de part et d’autre. C’est un exercice très intéressant et sympathique. On a une vision de ce que l’on souhaite faire et on a été à l’écoute aussi des attentes qui ont été exprimées. C’est ce qui fait la richesse des campagnes électorales : ce sont des temps d’échanges très soutenus qui font avancer le débat public et les collectivités. Le message important que nous souhaitons faire passer est que nous poursuivrons le dialogue avec les citoyens durant la durée du mandat si nous sommes élus car nous savons par expérience que c’est une clef essentielle de réussite pour la vie collective.
Et par rapport aux bibliothèques ? Quelle compétence ?
Irène : La lecture publique est une compétence obligatoire du Département. J'ai travaillé sur le sujet en allant à la rencontre des bibliothécaires de l'Aillantais. Ces bibliothèques fonctionnent avec du bénévolat. Elles sont en attente d’une certaine relève et sont dans des formats qui intègrent plus ou moins le numérique avec peu de mises en réseau. Les bénévoles, eux, se plaignent d'avoir un lectorat moins important. L’idée est de pouvoir accompagner ces bibliothèques vers la mise en commun de certaines actions.
Qu’entendez-vous par le réseau de chaleur en filière bois ?
Jean-Pierre : Le Département a la compétence sur les collèges. Au collège de Charny, une réfection a déjà été entamée et nous souhaitons pouvoir la poursuivre, notamment au niveau de la chaufferie. L’idée est de fournir de la thermie au collège via un réseau de chaleur alimenté par une chaufferie à plaquettes bois. D’une part, l’enjeu est de développer ce réseau en coopération avec la municipalité pour ses bâtiments publics et les propriétaires privés qui sont dans le lotissement avoisinant. L’intercommunalité sera associée naturellement. D’autre part, il s’agira de créer des circuits courts entre les producteurs locaux de plaquettes et le consommateur principal que sera ce réseau de chaleur. D’autant plus que la ressource en bois est largement disponible autour de Charny. Tout ceci nous aidera aussi à sortir des énergies fossiles.
Autre circuit court, l’alimentation ?
Créer des filières ? Oui, on a commencé avec deux plateformes « Agrilocal » et « J’veux du local ». On accompagne financièrement aussi la Chambre d’Agriculture afin qu’elle mène des actions spécifiques autour des pratiques de culture, et surtout on a voté le recrutement de deux personnes pour travailler sur les circuits courts. Mais, c’est surtout en lien avec les territoires, donc avec les mairies et les intercommunalités, que ce sujet doit être travaillé.
Un mot sur les transports solidaires ?
Irène : Le Conseil départemental ne possède pas la compétence transport, c’est la Région et les communautés de communes qui le souhaitent, à l’exemple de la Puisaye-Forterre.
A contrario, le département peut intervenir au titre des solidarités. Donc là il y a vraiment quelque chose à faire, pour les demandeurs d’emploi, les personnes en perte d’autonomie, en trouvant un système totalement en lien avec celles et ceux qui ont la compétence. C’est une idée qu’on a depuis un moment mais c’est un vrai travail de dentelle.
Votre rôle à vous deux, concerne principalement le canton qui représente quelles communes ?
Le canton dans ses nouvelles limites comprend toutes les communes de l’intercommunalité de l’Aillantais, la commune nouvelle de Charny-Orée-de-Puisaye, Paroy-sur-Tholon, Chamvres, et Sépeaux Saint-Romain. On a tout de même trois EPCI différents : Aillantais, Puisaye-Forterre et Jovinien. Ce qui veut dire qu’en tant que conseiller départemental, il faut instaurer un dialogue équivalent en qualité avec les trois structures.
Où en est le projet de la fibre ?
C’est le Département qui est chef de file pour son déploiement. L’objectif est de finaliser le déploiement en 2023. Nous aurons pour tâche de veiller scrupuleusement à l’exécution du contrat jusqu’à cette date. Et ensuite de nous pencher sur les usages numériques pour tous.
Ce déploiement a été organisé en deux phases. La première a été concrétisée avec un marché de conception-réalisation. La seconde via une délégation de service public.
Je voudrais m’attarder un peu sur le financement car beaucoup de choses ont été dites à ce sujet et il est important d’être le plus clair possible.
Les prises issues de la première phase sont co-financées exclusivement sur fonds publics par le Conseil départemental, les intercommunalités, la Région, l’Etat et l’Union européenne.
La part incombant aux intercommunalités avait été évaluée dans ce cadre à 100 €/prise.
Grâce au recours à des financements privés via une Délégation de service public, la participation des intercommunalités a pu être ramenée à 33 €/ligne dans un deuxième temps.
J’ai voté toutes les délibérations en faveur du déploiement de la fibre, dans sa phase initiale et dans sa phase finale, tout comme la majorité départementale d’ailleurs.
Car la clé de répartition budgétaire entre les intercommunalités et le Conseil départemental, si a elle été évolutive, a résulté d’une réflexion concertée avec tous les acteurs du projet aux différents moments de sa mise en oeuvre.
Cela n’a aucune incidence ni pour le consommateur ni pour le contribuable. Le prix des abonnements est fixé par les opérateurs.
Je crois qu’une des grandes satisfactions du mandat passé est bien d’avoir réussi à lancer ce chantier structurant pour le territoire, avec un délai de livraison qui nous permet déjà de nous projeter dans la phase d’après : les usages.
Parlez-moi de votre binôme ?
Jean-Pierre RAOUT voulait se présenter depuis 2020. Ce chef d’entreprise bientôt retraité, adjoint d’une petite commune, avait envie de s’investir au service de son département. Il a beaucoup de choses à apporter du fait de sa connaissance du terrain : cela fait 64 ans qu’il vit dans l’Aillantais ! Il connaît son territoire et du fait de son activité forestière, il y est viscéralement attaché. Il a trouvé en moi son alter ego, pour s’associer dans la majorité départementale, et pour défendre ses valeurs. Nos remplaçants, Joëlle MARMOUSET et Michel BEULLARD, sont des personnes vers lesquelles les habitants pourront aussi se tourner si nécessaire.
Propos recueillis par Maryline GANDON
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C'est l'heure du grand oral pour trois entrepreneurs : des élus des Républicains et de l’UDI cernent leurs attentes...
juin 18, 2021Cela ressemble presque à un oral de fin d’année face à un grand jury. Seul, devant la douzaine de personnalités présentes, le candidat, issu de la sphère entrepreneuriale, expose debout, dans les délais temporels qui lui sont impartis, les grandes lignes de son métier. En y ajoutant volontiers perspectives et projets, saupoudrés d’un généreux soupçon d’attentes et de besoins, qui pourraient lui permettre de résoudre les problématiques du moment, à l’instar du nécessaire recrutement…
BASSOU : Du haut de sa brillante carrière (il dirige depuis bientôt huit mois le site industriel de la FOURNEE DOREE), Olivier BARON n’avait sans doute jamais connu un tel exercice oratoire à exécuter devant un parterre de personnalités politiques issues de notre sérail.
Calme, vérifiant avec minutie que l’installation informatique où il diffusera dans quelques minutes ses éléments visuels fonctionne à la perfection, le jeune homme explique et argumente les décisions stratégiques de son groupe qui préside à la destinée de ce site industriel, visible depuis le rond-point de la nationale.
Il captive son auditoire qui annote la moindre remarque pertinente sur des calepins. On se croirait revenu au temps du grand oral qu’appréhendent tant les potaches à l’assaut du baccalauréat !
Pourtant, dans cette explication de texte détaillée, point de stress ni de tension de la part de l’intéressé qui maîtrise parfaitement son sujet. Des chiffres sont fournis à satiété ; des informations sur les divers produits qui sortent de cette usine aiguisent peut-être les appétits les plus farouches de ces observateurs de la sphère politique qui, en campagne électorale, tâtent le pouls de l’économie locale. Il est vrai que l’on y parle avec délectation de viennoiseries, de pains au chocolat, de brioches, de feuilletés !
Toutefois, ce sont des items, nettement plus sérieux, qui interpellent ces élus en quête d’une représentativité départementale ou régionale. L’emploi, les effets de la crise, le plan de relance, la formation…
Trancher le nœud gordien de l’accès à l’emploi et à la formation…
Ce sont d’ailleurs ces derniers points qui auront servi de prétexte judicieux pour concocter ces retrouvailles matinales, sous un chaud soleil car en extérieur, dans la cour qui jouxte l’édifice accueillant la mairie. Une rencontre faite de nombreux échanges sur la thématique de l’emploi et la formation, nœud gordien à trancher aujourd’hui pour moult entrepreneurs qui peinent à trouver la main d’œuvre qualifiée nécessaire alors que s’amorce le retour prévisible de la reprise.
Les carnets de commande se remplissent mais les difficultés à dénicher l’oiseau rare qui viendra grossir les effectifs se complexifient. Et persistent !
Dans ce « jury » un peu spécial où les examinateurs accumulent les questions les plus pertinentes pour découvrir toutes les aspérités liées à la fonction de dirigeant d’entreprise après un tel séisme sociétal, figurent les sénatrices Dominique VERIEN et Marie EVRARD, le député André VILLIERS, le président de la Communauté de communes de l’agglomération migennoise, François BOUCHER. Des poids lourds du microcosme politique départemental à l’appétence des Républicains ou de l’UDI.
Mais, il y a aussi les apprentis candidats aux régionales. Ceux qui marchent dans les pas du Républicain Gilles PLATRET, à savoir le sénonais Jean-Pierre CROST en charge de la sécurité, la prometteuse Céline BAHR, élue communautaire de l’Agglo de l’Auxerrois et adjointe à la Ville d’Auxerre ou encore l’investi Sébastien DOLOZILEK, qui présente le même profil.
Tous ont eu à cœur de répondre favorablement à l’invitation de Dorothée MOREAU, hôte de ces lieux, en sa qualité d’édile de Bassou. Cette dernière a su concocter un plateau d’intervenants de choix.
Les idées entrepreneuriales ne manquent pas dans l’Yonne…
Outre la présence du directeur de la FOURNEE DOREE, suivront dans cet exercice pour le moins intéressant la responsable de la Fermière de Chichery, Mme PICHON, offrant une immersion lactée et rafraîchissante dans le milieu agricole et agro-alimentaire avant que cette délégation ne rende visite aux établissements BILLOT dont on ne présente plus la qualité gustative de ses d fameux escargots dont on se sustente sans modération au moment des périodes festives.
Même le représentant de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises (CPME), l’entrepreneur Didier BARJOT, était de la partie pour écouter scrupuleusement les témoignages de ses pairs.
Bref, les élus de la droite républicaine et du centre droit ont pu constater au terme de ce triptyque d’entretiens que les velléités entrepreneuriales ne manquaient pas dans le landerneau.
Répétant, au détour des conversations nourries, que les représentations institutionnelles, à l’instar de la Région, étaient attentives à leur développement et agissaient grâce à la palette d’outils existants pour répondre aux attentes de ces valeureux chefs d’entreprise, acteurs clés de l’économie.
Thierry BRET
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Priorité à l’offre de santé sur le Gâtinais : Delphine GREMY en appelle à l’Etat pour que cesse la concurrence déloyale
juin 16, 2021Conseillère départementale sortante et conseillère municipale de Collemiers, Delphine GREMY est associée à Christian DESCHAMPS, maire d’Egriselles-le-Bocage, pour constituer l’un des binômes présentant une candidature sur le Gâtinais. Avec leurs suppléants, Marcel MILACHON, maire de Villebougis et Corinne PASQUIER, maire de Villethierry, ils entendent renforcer leurs actions, notamment sur le plan sanitaire, en intervenant au niveau départemental.
DOMATS : Comme d’autres candidats, l’équipe de Delphine GREMY pense qu’il faut aller vers une politique sans étiquette. Tous semblent surfer sur une tendance qui se profile : échaudée par les échecs des gouvernements successifs, de gauche comme de droite, la population affiche un désintérêt envers les groupes politiques et la participation citoyenne est en déclin.
A l’instar des présidentielles, les codes sont cassés. Les prétendants au poste de conseiller départemental prônent des valeurs et des projets, plus qu’une appartenance à un parti.
En toute « transparence » même, une notion qui manque à la politique actuelle, selon eux. Cela fait même quelque peu grincer des dents. « On fait de la pédagogie chiffrée » afin que les gens comprennent à quoi sert l’argent. Sujet tabou en France comme le rappelle aussi la conseillère sortante.
A la différence près qu’il leur apparaît évident qu’au niveau local et territorial, une politique partisane n’a pas de sens. Elle doit rester « pragmatique » selon l’élue.
Contraints à des restrictions budgétaires, les élus sont plutôt les garants d’un bon usage des deniers du contribuable en fonction des priorités. Pour eux, sont prioritaires les collèges, le SDIS, qui est très important en milieu rural, les travaux et la sécurisation de la voirie, qui bénéficie aujourd’hui d’une enveloppe plus conséquente ainsi que le dossier sur la fibre optique. Celui-ci doit être suivi de près avec un accompagnement des particuliers pour le raccordement. Mais le thème qui arrive en tête de liste du quatuor, c’est incontestablement la santé.
Une offre de santé en plein essor mais menacée par les plus grandes villes…
La désertification médicale est en effet un sujet qui préoccupe les élus locaux. Particulièrement en zone rurale. Face au désengagement progressif de l’Etat, les initiatives locales se multiplient afin d’endiguer la pénurie de médecins. Delphine GREMY souligne l’effort des communes icaunaises telles que Domats dont le Pôle santé a été créé en 2013.
La structure accueille aujourd’hui six praticiens salariés dont trois médecins généralistes et trois paramédicaux. Christian DESCHAMPS, maire d’Egriselles-le-Bocage, évoque le cabinet médical installé en lieu et place de l’ancienne école en 2019.
La création du Collectif de santé du Gâtinais, « à l’image de ce qu’a pu faire Villeneuve-sur-Yonne », est d’ailleurs leur projet phare. La nécessité d’un travail collaboratif entre élus et professionnels de santé en vue d’établir un plan santé se fait de plus en plus sentir. L’heure n’est plus aux politiques égocentrées et contre-productives.
Les élus dénoncent néanmoins un phénomène d’envergure qui entrave leurs actions : le débauchage des professionnels de santé par les grandes villes.
« On a des surenchères entre les collectivités. Les grandes villes qui ont un pouvoir financier évidemment supérieur, qui, que ce soit pour Domats ou pour d’autres, viennent capter les médecins en place avec des avantages en nature importants, des salaires qui sont augmentés de 30 à 40 %. C’est une concurrence, je dirais, déloyale… ».
Pour la conseillère départementale sortante, il serait temps que « l’Etat légifère » à propos de ce genre de pratiques douteuses qui déséquilibrent le paysage sanitaire français et pénalisent la population.
Floriane BOIVIN
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70 millions d’euros en soutien de la filière : la Région veille à la relance agricole grâce aux fonds européens
juin 15, 2021Le secteur de l’agriculture, malmené durant la longue période de crise sanitaire, ne sera pas omis du plan de relance soutenu par la Région Bourgogne Franche-Comté. Une enveloppe de soixante-dix millions d’euros, engagée au titre du FEADER, devrait être attribuée très prochainement pour soutenir les professionnels de la filière…
DIJON (Côte d’Or) : C’est une excellente nouvelle pour l’un des secteurs économiques en proie à de sérieuses difficultés. L’univers de l’agriculture devrait bénéficier d’ici peu d’une conséquente enveloppe budgétaire, évaluée à soixante-dix millions d’euros, engagée au titre du FEADER, le Fonds européen agricole pour le développement rural.
La nouvelle a été confirmée par l’envoi aux rédactions d’un communiqué de presse, à l’estampille du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté ce mardi 15 juin.
Suite à l’accord du Parlement et du Conseil européen, obtenu en novembre dernier, les professionnels de la filière agricole, à la peine au plan économique entre les effets de la crise sanitaire et la situation climatique délicate, devraient profiter de ces subsides européens d’ici peu. La date de l’attribution de cette aide n’a toutefois pas été précisée dans le document destiné aux relations avec la presse.
L’objectif de cette manne financière sera de soutenir la compétitivité de la filière agricole régionale mais aussi l’adaptation des exploitations, l’encouragement à la diversification ainsi que l’aide aux industries agro-alimentaires.
Le secteur forestier est également concerné par cette attribution. Quant aux programmes de développement rural FEADER Bourgogne et Franche-Comté 2014/2020, ils sont à l’heure actuelle en phase de modification à la Commission européenne…
Thierry BRET
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