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La visite du Président de la République Emmanuel MACRON, venu à la rencontre des collaborateurs de l’industriel japonais à Onnaing près de Valenciennes coïncidait avec la spectaculaire annonce faite par les dirigeants du groupe automobile. Une enveloppe budgétaire de plus de 300 millions consentie au développement du site nordiste facilitera à terme la production annuelle de 300 000 véhicules. Une bonne nouvelle ne venant jamais seule, la ressource humaine sera renforcée de 300 emplois en contrat à durée indéterminée (CDI) supplémentaires dès cette année. Avec la possibilité de 400 autres contrats professionnels de même nature lorsque le site sera parvenu à sa pleine capacité de production…

VALENCIENNES (59) : La modernisation de la filiale française du constructeur asiatique était partie prenante de la réflexion depuis plusieurs mois. Une décision qui intègre le programme mondial de l’uniformisation progressive des différentes unités de production que possède TOYOTA. L’enseigne fabriquera des véhicules de nouvelle génération basés sur la plateforme TNGA, c’est-à-dire « Toyota New Global Architecture ». Soit une adéquation fonctionnelle à partir de nouveaux équipements composés de technologies et de systèmes à la performance éprouvée.

700 emplois probables sur le site in fine…

La présence du président de la République aux côtés des représentants des collectivités territoriales et locales en début de semaine n’étaient pas une surprise. A l’instar de la Région des Hauts-de-France et de la métropole de Valenciennes, chacun a contribué à cet investissement grâce à des aides allouées à la formation, l’innovation et l’amélioration de la performance environnementale du site.

La délégation a pris le soin de visiter l’infrastructure ultra moderne de Valenciennes. Et de saluer de manière officielle cette information. Dans un premier temps, la filiale française de TOYOTA entend transformer 300 contrats temporaires en contrats à durée indéterminée pour les travaux de préparation avec la possibilité d’étendre cet objectif à 400 nouveaux emplois en CDI supplémentaires dès que la capacité maximale sera atteinte.

Vice-président de TOYOTA Motor Corporation et président de la branche européenne du groupe, Didier LEROY devait accueillir le président MACRON et les officiels devant un parterre d’invités conséquents. Il expliqua les bénéfices de cette nouvelle plateforme technologique pour l’enseigne.

Une plateforme technologique indispensable à la performance…

« Le déploiement de la TNGA est un signe de confiance envers nos employés et nos fournisseurs qui délivrent qualité supérieure et efficacité. Cette annonce est le signe encourageant d’une expansion continue de nos activités en France et en Europe… ».

En 2017, le groupe nippon a réalisé d’excellents scores de production ici même avec la YARIS. L’apport de la nouvelle plateforme technologique devrait permettre à la berline de se renforcer au cœur de la gamme TOYOTA en Europe. A terme, l’ambition du constructeur est d’atteindre un rythme de 300 000 unités par an dans le futur.

Grâce à la TNGA, TOYOTA devrait assurer la production de la majorité de ses véhicules de nouvelle génération. Les PRIUS classiques et rechargeables de quatrième génération ainsi que le cross-over C-HR profitent déjà de ce savoir-faire optimum. Avec ce nouvel investissement, TOYOTA a déjà investi un total cumulé de 1,4 milliard d’euros pour favoriser le développement du seul et unique site de production en France, celui de Valenciennes.


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Dans le cadre du Festival Art Danse Improvisation, la scène du théâtre municipal d’Auxerre accueille « Podium », un spectacle particulièrement réjouissant et insolite en soirée de ce jeudi 25 janvier…

AUXERRE : C’est une véritable invitation à participer à une expérience unique de transe collective, un exercice du genre nouveau qui nous est proposé ce jeudi soir dans l’univers artistique du théâtre d’Auxerre.

En conviant la Compagnie ANDROPHYNE à s’exprimer dans l’environ culturel municipal de la capitale de l’Yonne, les organisateurs du festival Art Danse Improvisation invitent les spectateurs à une plongée dans l’histoire de cet art tel qu’il a été perçu à la fin des années soixante-dix.

« Podium » prend ses sources d’inspiration directement auprès de ces matches d’improvisation qui ont envahi la planète à cette époque. Ce concept tient plutôt du happening survolté sur fond de musique live.

Deux équipes de danseurs-compétiteurs se présentent à nous sur un ring. Rivales, elles s’affrontent lors de thèmes aussi farfelus qu’enthousiasmants tels que « Fame, avec un handicap », « Je nage bien mais je coule souvent », « Les premiers pas de Bambi » ou encore « Les derniers pas de NOUREEV ». On l’aura compris : les notions humoristiques du premier degré planent au-dessus de la mise en scène.

Pendant ce temps-là, un maître de cérémonie qui fait office de meneur de jeu essaie tant bien que mal d’ordonner les choses dans ce charivari aussi codifié que surprenant. Spectacle interactif, le public est lui aussi invité, non pas à rejoindre le devant de la scène mais à exprimer son ressenti à la fin de chaque reprise par un vote interposé.

Ce regard amusé sur la société du spectacle et l’univers chorégraphique se découvre avec intérêt. Pour patienter jusqu’à ce rendez-vous collectif original, la Compagnie ANDROPHYNE recommande de parcourir son site multimédia sur la toile. On y découvre des bandes annonces particulièrement réjouissantes qui caractérisent cet état d’esprit dans lequel seront plongés quelques heures plus tard les spectateurs de cette représentation pour le moins inattendue…


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Engagé depuis une décennie dans la construction et la réhabilitation d’immeubles du niveau passif ou à énergie positive, le cabinet ATRIA ARCHITECTES a profité de la séquence des vœux pour évoquer les enjeux de la transition énergétique. Ceux qui prennent leurs sources à la suite de l’aggravation du réchauffement climatique. Ce trio de professionnels associés (Annick WOROBEL, Benoît BAZEROLLES et Jean-Pierre BOSQUET) abordera aussi la valeur patrimoniale de ces opérations qui bouleversent à court terme le marché de l’immobilier. Des thèmes ô combien importants qui traduisent le reflet de leurs plus intimes convictions de spécialistes aguerris…

AUXERRE : « Nous sommes une minorité de professionnels à posséder un vrai savoir-faire pour concevoir des immeubles à énergie positive. Mais, attention, la clientèle se met en mouvement dans la lutte contre le changement climatique afin de franchir un nouveau cap… ».

Cri d’alarme ou amer constat d’un certain retard pris par la corporation ? Le préambule de Jean-Pierre BOSQUET, l’une des trois chevilles ouvrières du cabinet ATRIA ARCHITECTES, aura eu le mérite de surprendre la cinquantaine de professionnels du bâtiment présents à cette cérémonie de vœux par la teneur de ses propos. Observant avec un certain désarroi qu’aucune action de grande envergure au plan national n’avait encore vu le jour par rapport à ce thème crucial, le dirigeant du cabinet auxerrois s’interroge.

« Même si cinquante des plus grandes entreprises viennent d’affirmer qu’il y a une impérieuse nécessité de changer collectivement le cap, permettant ainsi une baisse drastique des gaz à effet de serre de la planète… ».

Bref, la France accuse une fois de plus quelques lenteurs récurrentes avant de prendre de louables initiatives en ce sens.

« Nous savons que notre position, à nous autres architectes, est la clef dans le système actuel, poursuivait Jean-Pierre BOSQUET, et que nous pouvons ensemble ouvrir le champ des possibles en faveur de nos clients… ».

Appelant à un réel engagement des corps professionnels pour la rénovation énergétique des bâtiments, l’ancien président national du groupement des ARCHITECTEURS devait qualifier ce chantier, de « marché du siècle, ce qui est encore plus vrai sur notre territoire… ».

La publication annuelle de l’impact réel de ces projets sur le climat

Le mentor du cabinet ATRIA ARCHITECTES s’est également engagé à publier chaque année, et ce dès 2018, la valeur patrimoniale de ces opérations sur le climat et à quel degré de réchauffement climatique cela correspond-il. Sachant que la valeur des autres biens ne bénéficiant pas de cette approche environnementale dans l’air du temps se détériorera.

Participant à des structures de réflexion et d’actions nationales comme les ARCHITECTEURS, SMART BUILDING ALLIANCE ou le Plan Bâtiment Durable, ATRIA ARCHITECTES et leurs équipes sont totalement immergés dans ces dynamiques qui passent nécessairement par la voie de la formation.

« Le monde de l’immobilier évolue, confirma Jean-Pierre BOSQUET, ses pratiques vont être bouleversées, attirant au passage de nouveaux talents. Le monde de demain se veut collaboratif. Nous ne travaillerons plus seul. Ni en silos. L’immeuble n’est d’ailleurs plus au centre de tout : c’est le client qui est devenu le centre de tout… ».

L’usage est progressivement préféré à la propriété. Illustrant ses dires à l’aide d’exemples précis, l’architecte Icaunais fera référence au concept développé par AIR BNB. « Pensez à l’illusion de la propriété, à la gratuité de certains services et à la notion de forfait ! Aujourd’hui, nous avons modifié les paradigmes : la vitesse et la mobilité, le renouvellement deviennent plus importants que la détention… ».

Le numérique, vécu comme une contrainte ou une chance ?

Phénomène non modal, le numérique a bouleversé les règles du commerce, de la finance, des médias, des transports. L’immobilier ne pouvait se soustraire à son influence.  

« L’accès aux nouvelles plateformes de données et de services change le rapport à la rénovation par la capacité de la e-transformation des structures immobilières et par l’accès à l’exploitation. Quant à la valeur d’un bien, elle dépendra bientôt de sa signature numérique et son carnet numérique qui imposent le respect et le suivi des engagements de performance… ».

L’illustration fut faite aussi grâce à l’apport de la visualisation des réalisations proposées en 2017 par l’entreprise.

« Nous avons utilisé des scanners en trois dimensions pour configurer le complexe administratif de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, ajouta Benoît BAZEROLLES, nous nous sommes rapprochés de structure professionnelle comme celle dirigée par Yannick DAVOUSE, « IDX PROD », qui a favorisé par le biais de sa technologie et ses drones l’optimisation des édifices de la Communauté de communes de Puisaye Forterre… ».

Et Annick WOROBEL d’énumérer aux côtés de Benoît BAZEROLLES les autres gros chantiers sur lesquels sont intervenues les équipes du cabinet la saison dernière : la Maison de l’agriculture pour les besoins de la chambre consulaire, les locaux de la MSA, le siège social de GROUPAMA Paris Val de Loire dans l’Yonne, les bureaux de l’Office Auxerrois de l’Habitat, ceux de la Ligue de l’enseignement départementale, etc.

Il ne resta plus, en guise de conclusion pour les trois acteurs de cette cérémonie que de présenter la nouvelle architecte, diplômée de l’Ecole nationale de Strasbourg, Elsa DAVID. A 24 ans, la jeune femme a rejoint depuis peu le cabinet auxerrois, prête à apporter sa valeur ajoutée et à relever l’ensemble des défis inhérents à la transition énergétique par le prisme de l’immobilier…


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Maîtrisant à la perfection cet exercice oral traditionnel puisque lui permettant de se projeter vers une nouvelle année dynamique avec plus de 25 millions d’euros de budget, le président du SDEY (Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne) Jean-Noël LOURY a pu dresser un bilan exhaustif des nombreuses activités de l’organisme à l’occasion de la cérémonie des vœux. Un cadre convivial et courtois où il eut le plaisir d’accueillir le secrétaire d’Etat Jean-Baptiste LEMOYNE en cette circonstance. Ce fut une excellente opportunité de pouvoir développer les engagements financiers pris par le SDEY afin d’aménager le territoire de l’Yonne  grâce à 16 millions d’euros d’investissements…

APPOIGNY : Affichant un large sourire en guise de bienvenue dès son accession à la tribune, le charismatique président du SDEY, Jean-Noël LOURY, a voulu rendre compte des activités de l’organisme institutionnel au cours de ces retrouvailles, les premières de l’année prétextes à l’échange des vœux. Mais, surtout indispensables pour mieux appréhender l’ensemble des actions positives qui sont menées par le syndicat à l’échelle de notre territoire depuis ses origines.

S’engageant pour le déploiement de la qualité et de la sécurité des réseaux d’électricité dans l’Yonne, le Syndicat départemental d’énergies a clôturé l’exercice 2017 en réalisant un total de 736 chantiers. Plus de deux cents interventions concernaient l’électricité rurale et ses aménagements, soit 103 chantiers d’extension du réseau, 60 en enfouissement et 40 en renforcement. Mais, l’énoncé de ce chiffre global de 736 chantiers se rapportait aussi aux travaux conçus dans le cadre des améliorations des services Télécom (138), l’optimisation de l’éclairage public (356 chantiers) et la pose de bornes (39 appareils).

Le transfert de 304 communes au niveau de la compétence électrique

Le SDEY s’est aussi attelé l’année dernière à poursuivre l’implantation de son maillage territorial de bornes de charge pour soutenir le développement de la mobilité électrique. Soit un total de 116 bornes commandées à ce jour, dont 73 bornes en service (60 classiques et 13 rapides) et 43 bornes en travaux (40 normales et 3 rapides).

« Ce n’est pas tout, renchérissait Jean-Noël LOURY, en abordant le volet de l’éclairage public qui gagne en performance et en économie, 304 communes ont transféré leurs compétences au syndicat et nous assurons la maintenance électrique de 171 d’entre elles. Certaines localités sont passées en 100 % LED avec des économies sur la facture d’électricité de plus de 50 % et une maintenance réduite pratiquement à zéro. Nous lançons en 2018 un nouveau marché qui nous permettra d’être encore plus innovant, plus en rapport avec les exigences des élus et avec des tarifs adaptés… ».

800 000 euros versés par le syndicat pour éradiquer les zones blanches en téléphonie mobile

Si pendant des décennies, l’unique activité du syndicat ne concernait que l’électrification des villes et des zones rurales, il n’en est plus rien aujourd’hui. De nouveaux services ont été apportés aux communes avec toujours en toile de fond l’optimisation énergétique.

« La diversification de nos missions prend la forme d’audit énergétique sur les bâtiments communaux, la récupération des certificats d’économie d’énergie (CEE), le soutien financier aux communautés de communes pour la réalisation des Plan Climat Air-Énergie Territoriaux (PCAET) et la réalisation des Plans de Corps de Rue Simplifié (PCRS) sur l’ensemble du département. Enfin, nous poursuivons toujours notre action pour lutter contre les zones blanches en téléphonie mobile… ».

A ce titre, le SDEY a érigé 19 pylônes tandis qu’une douzaine de nouvelles constructions seront programmées cette année. Le coût moyen par pylône s’élève à 152 000 euros. Quant au coût global du projet, il est égal à 4,5 millions d’euros dont 1,5 million destinés aux raccordements électriques. In fine, le SDEY aura contribué à ce projet à hauteur de 800 000 euros.

Les nouvelles cibles de la SEM Yonne Energie…

Grande innovation de l’année 2017 : la structuration de la SEM Yonne Energie. Celle-ci s’est développée en constituant son comité d’engagement tout en examinant ses premiers projets. Parmi ceux-ci, citons la méthanisation, l’éolien mais aussi le photovoltaïque.

« Les enjeux techniques, juridiques et surtout financiers de tels projets requièrent de ne pas agir dans la précipitation, insista le président LOURY, et c’est ce à quoi se sont employés les administrateurs de la SEM… ».

Ainsi, les premiers investissements devraient être réalisés dans le courant 2018. En premier lieu dans le domaine photovoltaïque. Quant aux autres dossiers, ceux de la méthanisation et l’éolien, ils devraient aboutir rapidement.

En parallèle, la SEM travaille au montage d’un dossier très ambitieux : celui de la production de bio-méthane de synthèse sur le site d’enfouissement de déchets de DUCHY, exploité par la COVED.

« Nous allons conduire ce concept avec le concours de grands partenaires industriels et des PME, mais aussi avec des collectivités, notamment la Région Bourgogne Franche-Comté et des acteurs privés, affirma Jean-Noël LOURY, ce projet a pour vocation d’aider notre territoire à s’emparer des technologies en développement, liées à la transition énergétique… ».

Le SDEY se positionne aussi sur les réseaux de chaleur, sur lesquels une première réflexion a été lancée afin d’affiner le rôle de la SEM et du Syndicat, chacun  dans leur compétence, auprès des collectivités qui souhaiteraient développer ce concept

Enfin, le président du SDEY ne pouvait manquer d’aborder l’énergie issue de l’hydro-électrique. « Elle fait également partie intégrante des sources de production d’énergie que nous souhaitons examiner prochainement. Des premiers contacts ont été pris dans l’Avallonnais concernant la Cure et le Cousin ».

Quant au secrétaire d’Etat Jean-Baptiste LEMOYNE, invité à s’exprimer, il saluait l’excellente santé du syndicat. Et sa propension à dynamiser le territoire au quotidien. Evoquant l’engagement des quatre opérateurs de la téléphonie mobile à améliorer la couverture territoriale dès cette année, l’élu de l’Yonne a rappelé son total soutien aux actions et projets du syndicat départemental d’énergies de l’Yonne. Une saine parole qui devait faire écho parmi l’assistance convaincue par le bien-fondé de ces actions.


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Réaffirmant sa liberté de ton et son indépendance d’esprit dans l’échiquier actuel de la politique française, le député des Républicains de la première circonscription de l’Yonne s’est montré fédérateur en invitant les deux parlementaires de l’UDI, la sénatrice Dominique VERIEN et son homologue André VILLIERS à le rejoindre lors de la cérémonie des vœux. Ne cachant plus ses intentions de s’aligner au départ des prochaines municipales en 2020 à Auxerre, l’homme fort de la droite bourguignonne plaide en faveur de la mobilisation d’un large rassemblement au service de la créativité et de l’enthousiasme, vecteurs de l’attractivité économique d’un territoire. Cette force de frappe élargie aurait à réfléchir d’ici l’été sur un nouveau dossier, « Yonne Avenir », mettant en exergue les priorités à développer vis-à-vis du transport…

AUXERRE : On connaissait l’appétence intellectuelle de Guillaume LARRIVE pour la thématique des transports collectifs et ses nécessaires améliorations sur le territoire de l’Yonne. Une fois de plus, l’élu des Républicains n’a pas failli à ses idées et a inscrit ce sujet parmi les axes essentiels de la stratégie qu’il souhaite coordonner en cette année 2018, vide de toute échéance élective, et de facto propice à la réflexion collective.

L’inexplicable absence du TGV dans l’Yonne…

« Pourquoi le département de l’Yonne ne bénéficie-t-il pas de la présence d’une gare TGV alors que les lignes reliant Paris à Lyon existent ? ». Une interrogation que posera tout haut le député gaulliste à une assistance silencieuse et dans l’écoute.

« Si on ne tente rien, on n’obtient rien ! » clamera ensuite volontaire le député des Républicains, toujours sur la même rhétorique. « Je propose de lancer ce dossier « Yonne Avenir » qui nous permettra peut-être de résoudre enfin cette réelle difficulté qui nuit au développement de la mobilité des populations et à l’essor économique de notre territoire…».

Soucieux de sensibiliser l’ensemble des acteurs institutionnels ayant un lien direct avec les transports (Réseaux ferrés de France, SNCF, Conseil régional Bourgogne Franche-Comté mais aussi celui de l’Ile de France ainsi que les sociétés d’autoroute), Guillaume LARRIVE n’hésitera pas à s’adresser à l’Europe pour essayer de démêler les fils ténus de cet imbroglio qui perdure depuis plusieurs années dans le landerneau.

« Il nous faut assumer nos responsabilités en tentant de faire évoluer le dossier qui s’est enlisé et montrer ainsi les véritables ambitions de l’Yonne… ».

Toutefois, le transport ne constitue pas l’unique cheval de bataille du chef de file des Républicains Icaunais.

« On pourrait ajouter le volet sanitaire avec l’avenir du centre hospitalier d’Auxerre qui ne doit pas devenir une annexe périphérique du CHU de Dijon. Que dire du volet éducatif et celui de la formation ? Il est clair que l’on ne peut pas tout régionaliser aujourd’hui dans notre société ! ».

Identifier les forces économiques du territoire…

Prolongeant son intervention sur scène, l’orateur politique affirma tout de go, « qu’il n’était ni le prisonnier d’un clan ou d’un système ni le porte-parole d’un camp ». Se montrant à l’aise dans son rôle de rassembleur de la droite et du centre, le député de la première circonscription envisage néanmoins de restructurer la formation politique dont il est le leader emblématique. Tout en maintenant le cap de l’union de la majorité départementale.  

Il invita dès la clôture de son discours la nouvelle sénatrice Dominique VERIEN et l’ancien président du Département, aujourd’hui député, André VILLIERS, à gravir les quelques marches pour l’accompagner sur la scène.  

Insistant sur son amour de la France (« mon premier parti en vérité… »), Guillaume LARRIVE devait poursuivre en énumérant les atouts de notre territoire. Ceux, identifiés au plan industriel, agricole et viticole. Avant d’y ajouter d’autres exemples.

« Je salue l’excellent travail du Conseil départemental qui intervient avec beaucoup de sérieux dans ces domaines spécialisés définis par la loi. Même si les mesures législatives ont restreint le budget. Je soutien les initiatives du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) en faveur de la construction des pylônes de téléphonie mobile. Dix-neuf structures ont été érigées en 2017 : douze sont d’ores et déjà prévues en 2018. Ce programme efficient nous permettra de ne plus connaître de zones blanches en matière de téléphonie. Soyons imaginatif et sortons enfin du statu quo pour que l’Yonne devienne un territoire attractif… ».

Se définissant tel un acteur mais pas un spectateur de ce qui se passe localement, Guillaume LARRIVE ne pouvait pas se projeter dans un avenir proche sans faire référence aux futures échéances, sous-entendues celles de 2020 et les municipales : « toutes les options sont ouvertes en rassemblant les compétences et en accueillant de nouveaux talents. Cela se fera au service du collectif… ».

Ne pas prendre de manière systématique une posture négative…

Concluant par ses vœux exprimés à la France, le député auxerrois s’inquiéta de l’assombrissement de la situation. « Le terrorisme s’est mondialisé, la résurgence des impérialisme à l’Est s’est renforcée tandis que les Etats-Unis prennent des positions de plus en plus erratiques. L’Europe, elle, demeure immobile et inerte. Conséquence de la sortie de la Grande-Bretagne et du léger recul de l’Allemagne dans le leadership européen. Précisant qu’il avait une analyse très contrastée de la politique gouvernementale, Guillaume LARRIVE se refuse cependant de « prendre la posture renfrognée de ceux qui s’opposent à tout en permanence… ».

Puis, de terminer : « Il est important de savoir se donner du temps en attendant d’autres échéances et préparer de nouvelles propositions pour assurer le succès de la France… ».


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