Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Le Fonds de dotation de la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté sait se montrer généreux envers les structures associatives qui favorisent l’insertion sociale à travers l’emploi. La preuve ? Il vient de remettre à l’association SITAPHY une jolie somme de 3 000 euros nécessaire à l’aménagement de ses locaux. Objectif : créer un espace de douze mètres carrés pour accueillir la production spécifique d’arbalètes et d’épées en bois…

AUXERRE : Parfaire l’accessibilité des locaux pour que ceux-ci puissent accueillir de manière optimale les personnes en situation de handicap répondait en fait à cette action solidaire, déclinée par l’établissement financier.

En construisant, un nouvel atelier, pourvu du mobilier et de matériaux de construction adéquats, la Fondation de la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté a su faire des heureux, lors de la remise de cette précieuse obole.

D’une valeur de trois mille euros, le fac-similé du chèque a été remis par Catherine MARTIN, directrice des relations institutionnelles en charge de la RSE au siège dijonnais de la banque.

Elle était entourée pour accomplir ce geste altruiste par la présidente de la SLE (Société locale d’épargne) d’Auxerre, Estelle DULION (une entrepreneuse bien connue dans le sérail de l’artisanat de l’Yonne) et de Bénédicte POTHIER, responsable de l’animation crédit et RSE sur le bassin de l’Auxerrois.

 

 

Des valeurs philanthropiques au service de l’insertion professionnelle…

 

Deux personnes devraient être affectées dans ce nouvel atelier. Il facilitera la conception des fameuses pièces de bois, ces jouets qui ont fait la renommée de SITAPHY depuis sa création en octobre 2001.

Présidée par Gérard MAITRE, et dirigée par Jean-Pierre THIBAULT, l’association allie synergie d’insertion et formation des travailleurs handicapés. Ces derniers participent à cette aventure professionnelle intéressante en bénéficiant de contrat à durée déterminée de douze mois. Ils contribuent ainsi à la fabrication de 33 000 produits à l’année.

 

 

Quant au Fonds de dotation du réseau bancaire, il rayonne sur les huit départements que compte la Bourgogne Franche-Comté. Ses valeurs philanthropiques permettent de soutenir des initiatives d’intérêt général.

Depuis le 24 avril 2018, date à laquelle il a été créé, cet organe propre à la Caisse d’Epargne régionale a pour objectif de lutter contre toute forme d’exclusion grâce au financement de projets solidaires portés par les acteurs du tissu associatif local.

Précisons que la thématique retenue lors du premier appel à projets concernait précisément le handicap et l’aide apportée aux aidants…

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Ils ont pu défendre les intérêts et les valeurs de leur filière. Cette dernière étant plutôt malmenée en termes d’emploi et de recrutement à l’heure actuelle. Reçue par deux conseillers du Premier ministre à Matignon, une petite délégation d’hôteliers/restaurateurs de l’Yonne, accompagnée du député de la seconde circonscription André VILLIERS et de la porte-parole de l’UMIH, Corinne ROGUIER, a eu l’heureuse opportunité, deux heures durant, de pouvoir présenter en toute liberté et sans langue de bois leurs nombreuses doléances au plus haut sommet de l’Etat. Ont-ils été entendus pour autant ?

PARIS : C’est un cri du cœur qui a été prononcé il y a quelques jours par les représentants de la délégation d’hôteliers/restaurateurs de l’Yonne, accueillie à l’hôtel Matignon. Une opportunité unique pour ces dirigeants d’entreprises qui ont pu ainsi, séance tenante, dès leur arrivée et ce, durant deux heures, obtenir une entrevue avec deux proches conseillers du Premier ministre, Edouard PHILIPPE. L’objectif était de faire connaître à la gouvernance étatique leur position quant aux difficultés de recruter dans leur filière de prédilection.

Et à ce jeu-là, celle de la prise parole proposée sous la forme non protocolaire d’un tour de table nourri d’échanges, on peut dire aisément que les professionnels de l’Yonne ont su adresser les messages appropriés à leurs interlocuteurs attentifs.

Certains visiblement étaient déçus de n’avoir pu être accueillis par le Premier ministre en personne.

Mais, l’actualité sociale complexe de ce début d’année ne lui aura pas permis d’honorer ce rendez-vous, pourtant programmé de longue date.

 

 

Qu’importe ! Les Icaunais purent deviser sans retenue avec les deux fonctionnaires en charge de collecter les précieuses informations venant du terrain.

Organisée à la demande du député UDI de la seconde circonscription de l’Yonne, André VILLIERS, la rencontre est née d’une invitation faite par le parlementaire auprès de 270 chefs d’entreprise de l’est et du sud du territoire en novembre 2019. Seuls une douzaine d’entrepreneurs avaient signifié leur présence ce qui est proprement dommageable. Toutefois, il résulta au terme de ce rendez-vous conçu avec Pôle Emploi et la Chambre de Commerce et d’Industrie, qu’une initiative insolite allait poindre à brève échéance. La venue d’une délégation icaunaise vers le plus haut degré de la sphère gouvernementale !

 

Des contrats d’apprentissage qui se résilient à qui mieux mieux…

 

A la tête de celle-ci, une figure emblématique de l’art culinaire de Bourgogne mena les discussions. Francis SALAMOLARD, éminente toque de « L’Auberge de l’âtre » énonça bille en tête une longue litanie de dysfonctionnements et d’absurdités administratives qui pénalisent quotidiennement les artisans dans l’exercice de leurs fonctions.

Il dénonça au passage l’instauration du revenu universel et l’abondance de contrats de résiliation qui fleurissent désormais çà et là dans le paysage de l’hôtellerie-restauration.

Réduisant à néant tous les efforts d’intégration entrepris en amont.

« Les jeunes restent six mois à peine en entreprise, précisa le chef établi au cœur du Morvan, avant de nous claquer leur contrat de résiliation presque au nez et à la barbe en moins de quarante-huit heures ! C’est navrant… ».

Chiffres à l’appui, le nombre de résiliations de contrats d’apprentissage s’élève presque à 30 % désormais. Alors qu’à l’autre bout de la lorgnette, 7 % de contrats d’apprentissage sont signés. Le différentiel se faisant en défaveur de l’employeur…

 

 

Ironie du sort : là, où les choses deviennent cruelles dans ce type d’exemple, c’est que les frais de formation sont intégralement pris en charge par les entreprises même quand les apprentis se rendent dans les centres de formation pour y suivre leur période d’alternance pédagogique.

 

 

Quant au vivier de jeunes apprenants, il s’amenuise d’année en année. La plupart des centres de formation n’ont toujours pas atteint leurs quotas de remplissage prévus en début de saison scolaire ; ainsi, il manquerait entre 250 et 350 jeunes par établissement. Un paradoxe quand on sait que des milliers de jeunes gens pointent toujours au chômage.

Un autre problème, connexe, fut également abordé : celui des conditions offertes pour rejoindre un établissement situé en zone rurale. Problématiques du transport, du logement, des salaires intègrent le paramètre des difficultés dont il sera nécessaire de résoudre dès que possible afin de pérenniser les futurs emplois sur ces secteurs géographiques dépourvus de candidats.

Alors, l’image renvoyée par « Top Chef » autour de cette profession serait-elle un tantinet galvaudée dans la réalité ?

Changer les clichés, liés à cette filière, entre pénibilité et bas salaire (ce qui est loin d’être le cas parmi les exemples réunis sous le ciel parisien ce jour-là) mettra encore beaucoup de temps.

Les professionnels, par manque de personnel, sont contraints de plus en plus de refuser de la clientèle. Ainsi, une restauratrice d’Avallon s’est même privée de 30 500 euros de rentrée d’argent, faute de main d’œuvre qualifiée ! Un fait préjudiciable, à la limite du scandale pour l’honorable maison.

 

 

Quelques pistes à approfondir en guise de solutions ?

 

Au gré des exemples, abondamment donnés, qu’espèrent au final ces professionnels en proie à de sérieux doutes quant à la pérennité de leur outil de travail ? Quelques pistes furent ainsi glissées parmi cet inventaire à la Prévert de ce qui ne fonctionne vraiment plus en France, côté emplois, et dans cette filière. Faudrait-il accentuer les manifestations qui permettent de sensibiliser les familles et leur progéniture aux vertus positives de ces métiers de bouche ? Faudra-t-il créer une opération pilote que l’Etat viendrait soutenir et appuyer dans l’Yonne afin de revaloriser l’artisanat et ses nobles valeurs autour de métiers ayant un avenir, y compris à l’international ?  

Une chose est apparue évidente au terme de ces entretiens : remettre le mot travail au goût du jour semble être aujourd’hui l’impérieuse obligation aujourd’hui.

Sinon, au-delà de cette sonnette d’alarme qui a été tirée à Matignon avec cette visite, la filière peut s’attendre si rien n’est fait à des lendemains qui déchantent. De manière inéluctable…Ce qui n’arrangerait pas les affaires du gouvernement.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment est vent debout depuis plusieurs mois ! Et pas uniquement sur un champ d’action national ! Le programme d’isolation à un euro voulu par l’Etat, appliqué dans le cadre d’un coup de pouce consenti aux ménages pour qu’ils réalisent des économies d’énergie, correspond manifestement à une pilule amère qui ne se digère pas pour ses adhérents. Outre les fraudes financières déjà constatées çà et là sur certains dossiers, la CAPEB déplore surtout l’absence de qualité dans la réalisation de ces travaux et des malfaçons induites qui ne cessent de ternir le tableau…

AUXERRE: Il n’y a pas que la Direction départementale de protection des populations (DDPP) qui s’inquiète de la tournure des évènements à la suite de la mise en œuvre de ce dispositif. La CAPEB fait figure, elle aussi, d’observateur avisé pour dénoncer ce qui représente déjà à ses yeux un véritable scandale.

Si la déclinaison de ce processus partait sur de bons sentiments (l’accès au plus grand nombre de moyens techniques afin de réaliser des économies d’énergie en isolant son habitat à moindre coût), les résultats semblent le plus souvent catastrophiques.

Rappelons que l’isolation des combles à un euro n’est en fait qu’une offre commerciale, aux arguments juteux pour ses bénéficiaires, proposée par des entreprises signataires d’une charte avec le ministère de la Transition écologique.

Or, il est évident et au fil de l’eau que certaines de ces structures artisanales n’ont guère eu d’appétence à concevoir leur intervention en respectant les règles de l’art du métier. En occultant, par exemple, les notions de qualité élémentaires !

 

Des travaux exercés par des sociétés aux vertus douteuses…

 

Si la CAPEB a eu la sagesse d’attendre un peu avant de s’exprimer sur ce qui résulterait de ce dispositif, cette fois-ci, elle n’y tient plus en posant les deux pieds dans le plat.

Trop, c’est trop pour ses responsables, tant à l’échelle de l’Hexagone, que dans les délégations départementales. La qualité du travail exécuté n’étant pas au rendez-vous (ce qui porte un sérieux préjudice sur la crédibilité et le sérieux de toute la filière), le syndicat patronal a choisi d’aller plus loin en dénonçant ouvertement ce dispositif.

« Des millions d’euros en travaux ont été engloutis dans ces améliorations énergétiques, confie le secrétaire général de la CAPEB de l’Yonne, Christophe BERTEAU, alors que les réalisations sont défectueuses. Leurs auteurs ne sont pas des artisans de qualité qui respectent nos codes déontologiques en vigueur… ».

 

 

Alors qui sont-ils dans la plupart des cas ? Réponse sans ambages de la CABEB : des travailleurs détachés, en provenance des pays de l’Est, voire des gens mal intentionnés qui font payer au noir leur labeur peu honorifique.

Afin de préserver l’intérêt de la clientèle qui n’est pas toujours consciente des risques encourus, l’organisme patronal a décidé de créer une plateforme téléphonique spécifique pouvant collecter l’ensemble des plaintes qui affluent de manière officielle.

 

 

« Les chantiers de la honte » : un document qui collecte les plaintes…

 

Les textes d’application de ce dispositif sont pourtant très stricts : les entreprises qui interviennent sur ce registre précis doivent impérativement bénéficier d’une homologation qui émane des services de l’Etat. Or, aucune de celles qui réalisent ces travaux dans l’Yonne ne l’aurait en sa possession !

La CAPEB de Bourgogne Franche-Comté a pris le dossier à bras le corps. Elle assure dorénavant une prise de contact direct avec les clients bernés et forts mécontents de la situation.

Un document, baptisé « Les Chantiers de la honte », répertorie l’ensemble des témoignages accablants. Les instances nationales ont également réagi auprès des pouvoirs publics. En vain, puisqu’il n’y a eu pour l’heure aucune réaction catégorique pour endiguer ce fléau. Devenu le symbole d’une véritable nuisance vécue par l’artisanat.

 

 

L’Yonne n’est pas épargnée par ce phénomène qui se propage. La CAPEB cite l’exemple d’une jeune entreprise qui a engrangé à la suite de ces travaux un bénéfice record de seize millions d’euros. Sachant que son dirigeant n’est ni un spécialiste du bâtiment ni titulaire du moindre diplôme le qualifiant dans la profession. Il s’avère même que ce dernier pratiquerait l’art de l’esquive, ayant recours de manière systématique à la sous-traitance…

Excédée, la CAPEB tire la sonnette d’alarme et affirme à qui veut l’entendre que ce dispositif ne tient pas la route et qu’il s’avère encore plus dangereux pour la pérennité de la filière que l’essor exponentiel de la micro entreprise. C’est tout dire !

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’amélioration des infrastructures ferroviaires s’inscrit parmi les priorités essentielles en Bourgogne Franche-Comté. 2020 ne dérogera donc pas à la règle à l’instar des années précédentes. Avec un budget très conséquent qui s’élève à près d’un demi-milliard d’euros. Deux objectifs répondent à ce vaste programme de chantiers qui vont se décliner au fil de ces douze prochains mois : la performance et la qualité du réseau ainsi que la progression du cadencement qui ne peut se faire sans en optimiser la pleine sécurité…

DIJON : Et un demi-milliard d’euros à déposer dans la corbeille de la mariée !  Comme étrennes, c’est plutôt une excellente nouvelle pour le réseau ferré de la région. Pour que ce dernier ne cesse de séduire et encourager des voyageurs de plus en plus adeptes au transport ferroviaire et à conforter leur choix. Voilà ce que sera en toile de fond le programme d’investissements lancé en 2020 par la branche réseau de la SNCF sur notre territoire.

Comme elle l’avait déjà réalisée au cours du précédent exercice, la Société nationale des Chemins de Fer poursuit ses actions concrètes afin de garantir la sécurité des circulations ferroviaires qu’il s’agisse du transport de voyageurs (une moyenne de 650 circulations personnes par jour) et de fret (trois cents circulations en moyenne par jour) sur notre contrée.

Outre les investissements initiaux liés à cette modernisation de l’infrastructure (une enveloppe de 385 millions d’euros), cent autres millions d’euros viendront s’ajouter et compléter ce bouquet financier important dans le cadre de la maintenance du réseau et de son entretien.

 

 

Un réseau ferroviaire qui gagne en performance…

 

Quant aux cibles bénéficiaires de ces réhabilitations, elles se nomment passages à niveau, poses de signalisation, rénovation des voies. La sécurité figure ainsi parmi les items les plus souvent cités dans les explicatifs fournis par la direction territoriale de la SNCF Bourgogne Franche-Comté.

Cette stratégie vise au maintien d’un réseau ferroviaire le plus performant possible. La décision représente aussi du pain béni pour les quelques 3 600 collaborateurs que compte le groupe. Un personnel qui se mobilise au quotidien sur le territoire régional pour relever ces défis.

Dans l’absolu, ce schéma tactique qui s’effectue sous la houlette du Plan Etat/Région/SNCF priorise l’industrialisation des moyens de production, la digitalisation du suivi de la maintenance et surtout la mise en place de nouveaux systèmes d’exploitation.

Bref, ce plan d’envergure concerne l’ensemble des départements du territoire. Avec ses enjeux forts consentis à la sécurité des trains, la régularité des circulations et même le volet sociétal qui favorisera l’accessibilité aux gares des personnes à mobilité réduite.

 

 

La ligne grande vitesse Sambourg/Vergigny sécurisée…

 

Dans l’Yonne, c’est principalement la ligne LGV qui sera pourvue de la plus grosse enveloppe cette année. Soit 80 millions d’euros qui seront consacrés à la réalisation de ces travaux de modernisation. Il s’agira de remplacer l’existant, abîmé par les effets nocifs des conditions climatiques, le tonnage des trains, la fréquence de passage, l’intensification des circulations ou encore par l’impact inhérent à la grande vitesse. Autant de facteurs de risques qui déforment les rails et le ballast au fil du temps. Et qu’il est indispensable de changer.

Mais, ces chantiers qui permettront aux voies ferroviaires de se refaire une virginité devraient être au nombre d’une dizaine sur le territoire cette année.

Le renouvellement des aiguillages s’inscrit parmi ces priorités. Ceux-ci facilitent les déviations et les croisements des convois sur les voies ferrées. Naturellement, leur état, scrupuleux, est la garantie d’une sécurité optimale à apporter aux voyageurs.

Vingt millions d’euros seront ainsi destinés à ces opérations dont le site de Tonnerre (4,7 millions) lors de travaux réalisés du 31 août au 16 novembre. Certains ouvrages d’art, en terre et hydrauliques (tunnels) seront eux-aussi réaménagés au cours de la saison dans plusieurs départements.

Quant aux passages à niveau, ils ne seront pas omis de cette vaste campagne de réhabilitation (nous y reviendrons sur un article spécifique).

Quarante-quatre millions d’euros seront également affectés à la signalisation de la très fréquentée ligne Paris-Lyon-Marseille Saint-Charles entre les portions de Laroche Migennes et Blaisy Bas (Côte d’Or).

La présentation de ce chantier herculéen qui attend la SNCF Réseau cette année en Bourgogne Franche-Comté a nécessité la tenue d’une conférence de presse à Dijon. Une prise de parole où se retrouvaient Jérôme GRAND (directeur territorial Bourgogne-Franche-Comté SNCF Réseau), Éric PIERRAT (secrétaire général des affaires régionales de la préfecture de Région) et Michel NEUGNOT (vice-président en charge des transports au sein du Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté).

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Clic clac : c’est dans la boîte ! La Première Dame de France pose tout sourire aux côtés de l’entrepreneur Icaunais Edouard DUMAS. Histoire de sacraliser ce moment de grâce vécu au Palais de l’Elysée lors de la première journée de la grande exposition « Fabriqué en France ». Et surtout de bonifier le savoir-faire déjà centenaire de l’industriel du Tonnerrois. L’entreprise est devenue dans l’Hexagone comme à l’international une référence unique dans l’art et la manière de concevoir des produits de très belle facture à base de plumes et de duvets…

PARIS : Quel chef d’entreprise ne rêverait pas d’être immortalisé un jour avec l’épouse du président de la République tenant dans sa main un objet qui caractérise le savoir-faire de sa société ? Très peu, sans doute !   

C’est désormais chose faite pour le responsable de la SAS tonnerroise, la « Compagnie DUMAS » pris en photographie avec Brigitte MACRON ce vendredi soir au Palais de l’Elysée.

Il y était accueilli lors de l’opération évènementielle consacrée au « Fabriqué en France ». En sa qualité d’unique représentant de notre territoire à avoir pu passer le cap de difficiles phases de sélection.

Parmi les 1 750 entreprises prétendantes à figurer dans l’ultime cercle élyséen servant de vitrine promotionnelle au « made in France », seules cent-vingt d’entre elles ont eu droit à y prendre part. Dont la « Compagnie DUMAS » !

 

Un dossier de candidature appuyé par la sous-préfète Cécile RACKETTE…

 

Conformément à la mission que lui avait confiée le président de la République, dès le mois de novembre, la secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, Agnès PANIER-RUNACHER, avait réuni un comité de sélection national pour établir la liste des produits exposés. Liste qui incorporait de facto celle des entreprises les réalisant.

L’objectif étant de réunir durant un week-end et de les présenter au public, une centaine de produits, ambassadeurs de tous nos départements de métropole et d’outre-mer. Le cahier des charges insistait sur un point majeur : que ce catalogue de réalisations témoigne du savoir-faire et de l’esprit d’innovation de nos entreprises.

 

 

Une fois les règles du jeu actées, l’Elysée avait ensuite eu recours aux préfets en les sollicitant pour que ces derniers sélectionnent trois entreprises de leur territoire afin que l’une d’elle obtienne le précieux Graal lui permettant de représenter leur département lors de cette manifestation.

Impliquée dans le mode opératoire de ce choix drastique, la sous-préfète de l’Avallonnais et du Tonnerrois, Cécile RACKETTE, avait alors apporté des éléments de réponse décisifs en désignant parmi les entreprises potentielles, la Compagnie DUMAS, implantée à Tonnerre.

Un choix qui s’est avéré judicieux et qui fait l’objet d’une actualité !

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil