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Accusant un léger différentiel de 2,57 % à l’issue du premier tour de ces échéances électorales partielles face au favori divers droite Mahfoud AOMAR (33,80 % pour 360 voix), l’élue UDI de Saint-Sauveur en Puisaye et présidente de l’association des Maires ruraux de l’Yonne a su combler son retard au terme d’un second tour à suspense, s’octroyant 36,62 % des suffrages, soit 390 voix, en bénéficiant d’un excellent report de voix. Et aussi du recul inattendu de la candidate des Républicains, Aurélie BERGER (20,75 % pour 221 voix), qui échoue dans sa tentative en terminant sur la troisième marche d’un scrutin âprement disputé. Mille cent grands électeurs avaient été appelés aux urnes en ce dimanche 17 décembre qui propulse une élue centriste au Sénat…

AUXERRE : Battue lors des précédentes Sénatoriales de 2014, Dominique VERIEN a enfin obtenu sa revanche sur l’adversité. Pugnace, la conseillère régionale de l’Yonne, maire de Saint-Sauveur en Puisaye et active défenseuse des intérêts des édiles des communes rurales du territoire de l’Yonne n’aura donc jamais abdiqué dans sa quête pour accrocher ce fauteuil dans l’hémicycle du Palais du Luxembourg qu’elle briguait avec beaucoup de volonté il y a déjà quatre ans.

Agée de 52 ans, l’élue de Puisaye peut donc s’enorgueillir d’avoir réussi son pari de succéder, forte de ses 390 voix, à Henri de RAINCOURT qui avait pris soin de démissionner le 30 septembre dernier afin de respecter la législation en vigueur sur le non-cumul des mandats.

Bien calée entre ses deux adversaires directs à l’issue du premier tour, et en préservant les écarts avec Mahfoud AOMAR qui virait en tête, Dominique VERIEN conservait ainsi toutes ses chances de renverser la tendance quelques heures plus tard. Le temps que se fassent et se défassent les alliances ; le temps aussi que les états-majors de la politique du sérail départemental adressent leurs consignes en faveur de tel ou tel candidat aux grands électeurs, amenés à s’exprimer grâce à ce scrutin.

Trente voix de retard à rattraper pour l’élue de l’UDI…

Et le grand perdant à ce jeu stratégique sera le président de l’association des maires de l’Yonne, Mahfoud AOMAR, qui malgré les trente voix d’avance exprimés sous son nom au seuil de ce premier tour indécis, verra son capital fondre comme neige au soleil à la conclusion de ce vote. Tandis que la suppléante naturelle d’Henri de RAINCOURT, Aurélie BERGER, voyait son score se figer inexorablement aux alentours des 220 voix sans jamais pouvoir progresser davantage. Les deux autres candidats, Gilles SACKEPEY (CRCE) et le frontiste Julien ODOUL faisant de la simple figuration avec respectivement des résultats plus que modestes, respectivement de 6,85 % (73 voix) et beaucoup plus surprenant pour un département qui adoube parfois les idéologies du FN, 1,97 %, soit 21 voix. Pour mémoire, rappelons que La République en marche et le Parti socialiste ne participaient pas à ces joutes sénatoriales, puisque les deux formations ne présentaient aucun candidat.

La désignation de Dominique VERIEN à la chambre haute du Parlement n’obligeait pas l’élue de Puisaye à quitter la Région. « Je ne pouvais pas conserver de poste exécutif, explique-t-elle, c’est pourquoi je ne peux plus être maire de ma commune mais je deviens conseillère municipale d’une commune de moins de mille habitants. Cela n’entre pas en ligne de compte dans le cumul de mandats. J’ai le droit de conserver le mandat de conseiller régional mais, comme je m’y étais engagée pendant la campagne, j’avais annoncé qu’en cas de victoire aux sénatoriales, je démissionnerai… ».

Une promesse de campagne tenue qui permet à Aurélie BERGER, maire de Gurgy, de reprendre du service à la Région, boulevard de la Trémouilles à Dijon…


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Malgré un léger différentiel de – 4 recrues par rapport à l’exercice antérieur de 2016, l’armée de Terre aura converti grâce à l’opiniâtreté des responsables du Centre d’information et de recrutement des forces armées (CIRFA de l’Yonne) 86 dossiers de candidature avec à la clé un contrat d’engagement auprès de la jeune génération sur 457 demandes d’information préalables. 39 % de ces choix conduisant à une carrière professionnelle de 1 à 10 ans s’effectuent vers le corps de l’infanterie, arme blindé et cavalerie, 36 % en forces de soutien (logistique, télécommunication, restauration, maintenance…) et 25 % en forces d’appuis (artillerie, génie, sapeurs-pompiers de la Brigade de Paris…). Un bilan très satisfaisant selon l’adjudant-chef Bruno NIRLO, à la tête du CIRFA, qui présentait les contours de cet engouement lors d’une cérémonie de signatures de la nouvelle promotion de décembre…

AUXERRE : L’armée de Terre recrute et forme chaque année de nouveaux militaires. Ce n’est un secret de polichinelle pour personne puisque de nombreuses campagnes de communication inondent à rythme constant les médias depuis plusieurs mois. Et leur impact sur la frange juvénile de la population est considérable.

Agés de 18 à 25 ans, filles ou garçons indistinctement, diplômés ou sans qualification, ces jeunes gens, issus de toutes les strates sociales de notre société décident de s’engager sur des périodes temporelles à géométrie variable, de une année à dix ans, selon leurs appétences à vivre de nouvelles aventures. Mais, celles-ci ne représentent pas un coup de folie passagère. Mûries, réfléchies, déterminées, le plus souvent en accointance avec le soutien de la famille ou des proches, ces décisions ne sont pas prises à la légère.

Le désir de servir la patrie et de vivre de vraies aventures avant tout…

Œuvrer pour une noble cause, la défense de la patrie et apporter sa contribution à l’honneur de la France, constituent les premiers arguments émis par ces militaires en herbe qui ne manqueront pas de s’aguerrir au contact de leurs supérieurs hiérarchiques pendant leur formation de soldat. Viendra ensuite le temps de la spécialisation au cours de séances formatives intenses.

Car, l’armée de terre, entreprise à part entière, possède une kyrielle de possibilités d’épanouissement professionnel au gré des spécialités qu’elle propose.

« Que l’on soit dans les transmissions, les cuisines, affectés au service médical, comptable et administratif, à l’électricité ou au génie, ce ne sont que des postes à forte responsabilité mêlant obligatoirement rigueur et discipline, explique Bruno NIRLO, en charge de la signature d’une dizaine de nouveaux contrats d’engagement afin de ponctuer le bilan 2017.

Plusieurs acteurs de la vie institutionnelle et économique permettent justement de diriger ces jeunes gens, marqués par les tragiques événements liés aux attentats, de servir la France. Qu’il s’agisse de Pôle emploi, des Missions locales mais aussi des forces de l’ordre (gendarmerie, police nationale, sapeurs-pompiers…), tous relaient abondamment les informations distillées à large échelle par les forces des armées françaises. Aujourd’hui, 15 000 postes sont à pourvoir pour ces jeunes gens issus de la génération Z qui désirent embrasser une carrière professionnelle.

 

Un impact économique indéniable sur un territoire…

« Vous savez, ajoute l’adjudant-chef avec le sens pédagogique qui est le sien, ces nouvelles recrues perçoivent un salaire garanti compris entre 700 et 1 300 euros nets chaque mois. Le temps de la durée de leur contrat qu’ils peuvent en outre proroger très facilement s’ils en éprouvent l’envie. Logés, nourris à titre gracieux, ces jeunes comprennent immédiatement la réalité de l’impact économique qui s’offre à eux. Prenons l’exemple de ces 86 nouveaux contrats validés en 2017, cela représente au bas mot 97 000 euros nets de dépenses effectives mensuelles sur le seul département de l’Yonne lors des retours en permission ! ».

Certaines entreprises, partenaires, l’ont parfaitement assimilés et gardent aussi sous contrat des jeunes gens désireux de rejoindre l’armée jusqu’au terme de la procédure d’engagement qui peut courir sur plusieurs mois. C’est le cas de Mc DONALD'S et du spécialiste du traitement téléphonique commercial, la société ARMATIS.

Quant au bilan 2017, il permettra à l’un des jeunes gens de niveau bac +5 d’être incorporé en qualité d’officier en qualité d’architecte ; huit autres personnes iront grossir les effectifs des sous-officiers (ils sont bacheliers) et 77 signataires, ne bénéficiant d’aucune qualification à niveau baccalauréat, deviendront des militaires du rang. Notons que la télécommunication pour 10 % d’entre eux et la logistique (8 %) retiennent l’intérêt des choix en priorité. Réparties sur l’ensemble du territoire national, ces jeunes recrues ont délibérément choisi leurs affectations. Dont une en Allemagne…

Les zones de recrutement de notre territoire se partagent équitablement les origines de cette passion : 38 % des recrues 2017 sont natifs du secteur de Sens, 31 % proviennent d’Auxerre et de ses environs tandis que 25 % vivent dans l’Avalonnais. A signaler que 6 % de ces jeunes pousses viennent des départements limitrophes.


 


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Sécuriser les parcours professionnels des demandeurs d’emploi et des salariés du particulier employeur dans la région Bourgogne Franche-Comté représentait l’ambitieux objectif de cette signature de convention tripartite, survenue il y a quelques jours à Dijon. Le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, Pôle emploi et la Branche professionnelle des salariés du particulier employeur ont paraphé les documents officiels qui les lient désormais à ce partenariat valorisant le soutien à la professionnalisation du secteur de l’emploi à domicile autour des métiers de la petite enfance et de la prise en charge du handicap dans une contrée particulièrement propice…

DIJON : Océane CHARRET-GODARD, vice-présidente du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté et Frédéric DANEL, directeur régional de Pôle emploi n’ont pas hésité un seul instant à l’issue de cette cérémonie protocolaire et des commentaires avisés de l’ensemble des intervenants à apposer leurs signatures au bas des pages des documents officiels. Ceux qui entérinaient cette convention importante et inédite, permettant de sécuriser les parcours professionnels.

Depuis plus d’une vingtaine d’années, IPERIA L’Institut, fort de la confiance des branches professionnelles des assistants maternels et des salariés du particulier employeur, conçoit et déploie le dispositif de professionnalisation du secteur de l’emploi à domicile en forte croissance depuis une décade. L’institut est d’ailleurs devenu au fil des ans le référent incontournable de ce secteur d’activité par le truchement de son expertise et ses conseils prodigués dans le cadre de cette professionnalisation.

Aussi, était-il tout naturel de retrouver ses représentants aux côtés des partenaires institutionnels de ce protocole d’accord mis en place depuis peu. Partant du postulat qu’emploi et formation correspondent aux clés de la dynamique économique territoriale, chacun devait souligner les aspects fondamentaux de ce nouvel engagement.

Un enjeu collectif pour répondre à de véritables besoins identifiés…

Ainsi, la vice-présidente de la Région restait persuadée « que la loi sur la réforme de la formation professionnelle en 2015 a sans aucun doute révolutionné les choses avec l’apparition de la notion de compétences ». « Plus former et mieux former, c’est devenu une priorité pour le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, devait-elle rappeler à l’assistance. Cette convention symbolise les modes de coopération au service de la sécurisation des parcours professionnels des demandeurs d’emploi sur notre territoire… ».

Un item que ne démentait pas Frédéric DANEL, le directeur régional de Pôle emploi. « L’effort autour de la qualification pour un retour progressif vers l’emploi doit être encore plus important dans notre contrée car le niveau de formation est plus bas qu’à l’échelle nationale. Certes, devait-il poursuivre, l’emploi à domicile intègre les secteurs économiques qui recrutent le plus mais paradoxalement, ils éprouvent beaucoup de difficulté à pouvoir le faire… ».

Expliquant que cette convention tripartite représentait une formidable opportunité, le signataire de ce protocole d’accord appelait à une intense mobilisation suite à cet engagement entre les partenaires et à une mutualisation des moyens, notamment ceux visant à s’informer sur les besoins de ce secteur d’activité afin de pouvoir sensibiliser de manière optimale les demandeurs d’emploi à ces métiers.

Une activité économique en forte progression et porteuse d’emplois…

Vice-présidente de la Commission paritaire nationale de l’emploi et la formation professionnelle (CPNEFP) de la branche professionnelle des salariés du particulier employeur, Marielle BROUARD effectuait un focus intéressant sur la réalité de ce secteur qui recense plus de 64 000 particuliers employeurs et plus de 59 000 salariés en Bourgogne Franche-Comté. Attractifs aujourd’hui, les métiers de la famille le seront encore plus demain en présentant de réelles opportunités de développement économique équitable entre zones urbaines et zones rurales. Les projections sont simples : à horizon 2030, près de 45 000 nouveaux postes seront à pourvoir d’où la nécessité impérieuse d’y adjoindre de véritables dynamiques en termes de professionnalisation.

« Entre 2012 et 2016, constatait Marielle BROUARD, nous comptabilisons plus de 5 500 départs en formation continue en modules courts sur l’offre prioritaire de notre branche et celle des assistants maternels du particulier employeur et 1 500 parcours de certification… ».

Innovantes et actives, les branches du particulier employeur ont pu instaurer le titre d’assistant maternel/garde d’enfants qui œuvre à la reconnaissance des professionnels de ces métiers. « Celles qui le désirent peuvent même se spécialiser dans la prise en charge du handicap grâce au certificat de qualification professionnelle assistant maternel/garde d’enfants handicap qui a été mis en place récemment, souligna Véronique DELAITRE, la présidente de la même commission.

Déjà une application concrète de ce dispositif dans la Nièvre…

Se qualifier sur les problématiques inhérentes au handicap doit aussi permettre aux demandeurs d’emploi de bénéficier de solutions novatrices. La prise en charge de ces publics fragilisés au domicile intègre le cœur de métier des professionnels de la petite enfance. La création d’un certificat de qualification professionnelle handicap de spécialisation a traduit cette volonté ; d’une durée de 175 heures, il vient compléter les compétences générales sur la petite enfance déjà acquises par les stagiaires au cours de leur formation assistant maternel/garde d’enfants.

« Depuis 22 ans, saluait Anita POUPARD, présidente d’IPERIA L’Institut, nous n’avons jamais cessé de croire en l’importance de renforcer l’attractivité des métiers qui constituent le secteur de l’emploi à domicile : c’est-à-dire assistant de vie, assistant maternel, garde d’enfants et employé familial. Nous avons aussi noué des partenariats constructifs dont le socle repose sur ces certificats de professionnalisation handicap. L’un dans la Nièvre qui concerne un parcours long permettant à des demandeurs d’emploi de suivre un parcours de formation complet (le titre d’assistant maternel/garde d’enfants et le CQP handicap de l’enfant). L’autre en Côte d’Or qui concerne l’obtention du certificat de professionnalisation handicap adulte. Ce cursus se rapporte aux personnes déjà détentrices du titre d’assistant de vie dépendance. Grâce à ces deux spécialisations, les opportunités professionnelles se renforcent et existent mais elles ne rencontrent pas forcément les publics formés… ».

Mais, les choses devraient évoluer positivement à l’issue de la signature de cette convention tripartite puisque les futurs certifiés spécialisés disposeront dorénavant des savoirs et des savoir-faire pour prendre en compte les spécificités de chaque situation de handicap, adaptant au passage leur accompagnement aux besoins des particuliers employeurs ou des enfants au sein de leur domicile.

Enfin, Magali CAZENEUVE, directrice opérationnelle de l’INFA Bourgogne Franche-Comté Grand Est, expliqua le solide partenariat mis en exergue entre les branches professionnelles et IPERIA l’Institut, depuis plus de vingt ans. « Nous dispensons à l’heure actuelle plus de 50 modules de formation. Par exemple, depuis le 25 septembre, une dizaine de stagiaires sont ainsi formés à la Fondation INFA de Nevers au métier d’assistant maternel/garde d’enfants avec un CQP handicap enfance. Ce programme pédagogique est mené à titre expérimental dans le cadre des nouvelles actions co-construites par IPERIA L’Institut, Pôle emploi et le Conseil régional. Il se terminera à la fin du mois de février 2018… ».


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La société de service de l’Yonne, spécialiste de la prévision météorologique et de préconisations technologiques auprès des professionnels de l’agriculture et du bâtiment, profitera d’une soirée exceptionnelle organisée ce vendredi 15 décembre dès 18 heures à la salle des fêtes de BEINES pour s’interroger sur les conséquences de ces fameux changements climatiques qui perturbent, et ce n’est pas fini, de plus en plus notre quotidien…

AUXERRE : Arnaud BELLEMERE, conseiller auprès des viticulteurs avec une structure indépendante qui s’appelle PROVYNETUM, Yves RICHARD, climatologue au CNRS de Dijon, Alain MAZAUD, climatologue au Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement de Paris ou encore Loïc ROUSVAL, présentateur météo sur la chaîne de télévision « CNEWS », ont tous répondu favorablement à l’invitation de Raphaël ROTH et de son équipe de METEO 89 à l’occasion de ce plateau conférence, premier du genre, ayant attrait à une thématique d’importance auprès de nos concitoyens qu’ils soient particulier ou professionnels : les tendances actuelles de la météorologie.

Vendredi 15 décembre, à partir de 18 heures, les intervenants de la première table ronde auront tout le loisir de pouvoir débattre sur une thématique qui semble déjà cruciale dans le choix de l’intitulé : « l’adaptabilité aux changements climatiques ». Un sujet qui donnera d’emblée le tempo et l’orientation de ce que voulaient les responsables de la jeune structure prévisionniste de l’Yonne en proposant ce concept.

Réveiller les consciences sur les risques encourus par les professionnels

« Il s’agit surtout d’interpeller les professionnels du bâtiment, des travaux publics et des filières agricoles de la situation, explique Raphaël ROTH, les prévisions météorologiques sont devenues primordiales pour les entreprises de ces segments d’activité puisque leurs chiffres d’affaires en dépendent parfois… ».

Outre la présentation officielle de cette jeune start-up, née de la passion commune de la climatologie entre trois jeunes gens, Raphaël ROTH, Clément MEIRONE et Alexandre SLOWIK qui ont officialisé leur outil en septembre 2016, l’objectif sera aussi de faire réagir les consciences autour du facteur risques engendré désormais par de nombreux phénomènes incontrôlables et surtout imprévisibles. Le territoire de l’Yonne ayant payé un lourd tribut au printemps 2016 lors de crues mémorables qui demeureront dans les annales selon les experts avisés à l’instar de l’assureur GROUPAMA…

Fournisseuse de prévisions qualifiées auprès d’une quinzaine de gros domaines viticoles de la région de Chablis, l’entreprise METEO 89, accueillie aujourd’hui dans le business center de l’assureur mutualiste en son siège d’Auxerre, dispose à l’heure actuelle d’un site Internet faisant référence dans le paysage : il est l’un des plus consultés par les internautes de notre territoire. Et pour cause, non seulement les prévisions météorologiques y sont fiables, précises et pertinentes, mais en outre, elles font l’objet de remises à jour constantes selon des cycles évolutifs de trois heures. Traduisant ainsi le sérieux et le sens du professionnalisme de ces jeunes gens, adorateurs de géographie à la base.

La seconde table ronde évoquera l’évolution du bâti et de l’économie locale par rapport au réchauffement climatique. Plusieurs acteurs de la vie professionnelle et institutionnelle s’exprimeront, en donnant leur point de vue sur une situation difficile à gérer. On attend sur scène les représentants de la CAPEB, la Confédération artisanale des petites entreprises du bâtiment avec son président Jean-Pierre RICHARD, ceux de la coopérative agricole 110 BOURGOGNE (Eric DUCORNET) ou encore la direction de BIG MAT GOURMAND, négoce de matériaux de construction, représentée par Vincent EYBERT BERARD.

Faire l’exégèse des solutions météos existantes pour répondre aux besoins des entreprises…  

Alexandre, Clément et Raphaël qui pianotent le plus souvent sur leurs claviers de leurs ordinateurs afin de traquer les courbes des précipitations, les tendances des températures, la nébulosité du ciel, le point de rosée, le taux d’humidité expliqueront dans le troisième tiers de cette intervention les impacts de ce réchauffement dans l’Yonne. Avant d’aborder les solutions préventives qu’ils déclinent par l’entremise de leur structure, et destinées aux métiers de l’agriculture, de la viticulture et du bâtiment.

D’ailleurs, dès l’apparition des périodes délicates où les grands froids induisent de fortes gelées, le trio ne lésine pas sur les horaires de présence au bureau ni d’apporter des réponses en direct aux problématiques rencontrées par les agriculteurs et les viticulteurs. L’équipe de METEO 89 change alors de registre et troque sa casquette de prévisionniste avec celle de conseiller pour inciter les professionnels confrontés à ces aléas hivernaux de choisir le système de lutte le plus efficient contre le gel à titre d’exemple.

« Nous développons un nouveau service de prévisions autour des traitements phytosanitaires, en étudiant d’autres paramètres comme celui du taux de condensation ou du taux de rosée. METEO 89 est aujourd’hui la seule entreprise en France à développer ce concept… ».

Au terme de cette soirée importante, les responsables de la SASU auront donc accompli leurs missions : celle de dévoiler toutes les subtilités novatrices de leurs applications visant à tranquilliser les professionnels les plus exposés face aux rugueux caprices de Dame Nature…


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France, Monaco, Russie, Etats-Unis, Ukraine, Belgique, Pologne…mais jusqu’où ira l’interprète de l’Yonne sur ce chemin de la renommée universelle qui édifie sa prometteuse carrière ? Au fil des années, l’artiste talentueuse dont le buste officiel représente si bien la beauté et la grâce de la gent féminine de notre territoire, multiplie les rencontres les plus belles et inattendues autour d’une représentation donnée aux quatre coins de la planète. La digne interprète de PIAF et de BARBARA ne croit plus depuis longtemps au Père Noël : et pourtant, son existence de professionnelle de la chanson semble lui rappeler à l’envie que les plus beaux rêves demeurent ceux que l’on peut vivre au quotidien les yeux grands ouverts…

AUXERRE : Depuis le premier récital donné en décembre 2012 en mémoire de la fabuleuse Edith PIAF, que de belles aventures sont venues étayées le parcours existentiel de l’artiste interprète de l’Yonne ! Et surtout que d’agréables rencontres exceptionnelles ont rythmé son agenda bien garni !

« Tous ces échanges fantastiques me remplissent et me chargent d’émotions, concède l’ambassadrice de charme de notre territoire, c’est comme ma rencontre avec Jean-Jacques DEBOUT, qui était ami avec BARBARA. L’auteur compositeur lui a écrit onze titres et nous avons passé ainsi un moment merveilleux à évoquer sa mémoire. Idem avec le fils de Jean-Paul SARTRE qui est venu me voir chanter à Paris. Jean-Paul était le mentor de Juliette GRECO, autre grande dame de la chanson française que je chante aussi...c'était magique ! ».

Morceau après morceau, le puzzle apparaît sous nos yeux. Il se reconstitue à travers ces rencontres somptueuses au détour d’un concert donné dans la capitale ou d’un récital joué à l’étranger. Mais, rien n’est imputable au hasard. « Ce sont de magnifiques pièces qui s’agrègent à ma carrière et à la route artistique que je poursuis depuis ces cinq dernières années… ».

Dans la loge d’un monstre sacré du cinéma mondial : Gérard DEPARDIEU…

Grâce à un ami commun, Christelle a été invitée par Gérard DEPARDIEU à assister le 06 novembre à sa répétition générale lors de son surprenant spectacle « Depardieu chante Barbara » au Cirque d'Hiver à Paris. Le monstre sacré du cinéma français a troqué les plateaux de tournage pour un temps, endossant la simple vêture d’un chanteur passionné de ce répertoire immortel que nous a légué la Dame en noire.

« Il chante BARBARA, je chante BARBARA : nous avons cela en commun mais pas seulement, ajoute Christelle LOURY, lui qui l'a bien connue et a partagé non seulement une grande amitié avec elle mais aussi la scène avec «  Lilly Passion… ». 

Christelle LOURY a eu cet incroyable échange avec la référence cinématographique française dans sa loge. Juste après le spectacle comme elle se l’était imaginée dans un rêve.

« Et, croyez-moi, j'en ai beaucoup des rêves ! Je suis une croqueuse de rêves je crois, plaisante-t-elle, je l’ai croisé aux côtés de célébrités comme Jane BIRKIN et Daniel AUTEUIL, qui attendaient patiemment leur tour et avec qui j'ai pu discuter ! La rencontre fut intense. Nos regards se sont suspendus durant plusieurs secondes sans un mot, mains croisées les unes sur les autres, puis nous avons parlé. Il a une voix si douce et si calme. Je lui ai écrit une lettre que je lui ai remise avec émotion. J'avais besoin de lui dire les choses par écrit. C'est un grand monsieur, un être hypersensible avec ses éclats mais ses douceurs, aussi. Il est si touchant. J'ai appris de nouvelles choses sur la grande BARBARA ; tout cela me nourrit. J’espère sincèrement le revoir. L’avenir nous le dira ! ».

Une plongée parmi les souvenirs d’Edith PIAF…

Peu de temps auparavant, la jeune femme eut le privilège de croiser sur son chemin, et non sans une certaine émotion, Charles DUMONT, l’un des compositeurs attitrés de la « Môme PIAF » à Paris. Mais, intérieurement, Christelle avait gardé espoir de pouvoir un jour faire la connaissance de Marcel CERDAN Junior. Lui qui a incarné son père au cinéma aux côtés d'Evelyne BOUIX, dans un long métrage réalisé par Claude LELOUCH en 1982, « Edith et Marcel ».  

« Mon souhait s’est réalisé le 11 octobre à Paris lors d’une grande soirée hommage à la chanteuse dans le cadre des cinquante ans de l’association des Amis d’Edith PIAF ; cela se déroulait à l’auditorium Debussy/Ravel à la SACEM où j’ai chanté. Après le tour de chant, je me suis entretenue longuement avec ce grand monsieur qui a été boxeur comme son illustre père. Nous avons évoqué la relation qui existait entre Edith et Marcel CERDAN, de sa mère Marinette, et de sa propre relation qu’il avait développé au fil des ans avec Edith PIAF. Il m’a confié une multitude d’anecdotes que j’ai pu ajouter à mon spectacle, « Revivre l’émotion de PIAF », vu par plus de 30 000 spectateurs à ce jour. Ce fut une rencontre très touchante car on ressent tellement d’amour de la part de Marcel CERDAN Junior pour la célèbre figure de la scène parisienne… ».

Au décès tragique de son glorieux père, disparu dans un accident d’avion au-dessus de l’archipel des Açores le 28 octobre 1949, la « Môme » s’était occupée de son fils en se faisant appelé « Tata Edith ». Une grande leçon d’humilité et d’abnégation face aux aléas de la vie. D’amour aussi, comme celui que porte Christelle LOURY à ces dames enchanteresses de la chanson française, éternelles à jamais…


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