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Les institutionnels soutiennent les projets innovants des entreprises régionales avec 21 millions d’euros à la clé…
février 13, 2018Le PIA (Programme d’investissement d’avenir), dispositif d’incitation entrepreneuriale à l’innovation, est mis en exergue en Bourgogne Franche-Comté par BPI France et la Caisse des Dépôts. Les contenus de la troisième mouture, applicable en 2018, viennent d’être dévoilés à une soixantaine de chefs d’entreprise réunis par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne à l’invitation de son président Alain PEREZ. Les dossiers de candidature peuvent d’ores et déjà être déposés…
AUXERRE : L’organisation administrative française ne doit en aucun cas pénaliser l’initiative à l’économie. En guise de préambule à ce rendez-vous explicatif concocté autour des dispositifs d’investissement, le président de la chambre consulaire de l’Yonne s’est montré plutôt déterminé dans ses propos liminaires.
Pour lui, le financement des entreprises représente un élément vital à la pérennité et à la croissance d’une activité économique. Et cet accompagnement intervient dès le montage financier à l’origine d’un projet jusqu’à sa propension à se développer grâce à de l’ingénierie et de l’innovation.
« C’est la mission principale de la Chambre de Commerce et d’Industrie, martelait-il avec insistance, le renfort de nos équipes dédiés au service industrie l’atteste incontestablement avec le travail effectué par son responsable, Olivier BOURDON, et ses six collaborateurs… ».
Les bienfaits attendus par le PIA dans l’environnement économique local…
Ce prologue aux échanges qui allaient suivre tombait à pic pour rappeler la dimension structurelle de la CCI vis-à-vis des porteurs de projet et de ceux qui les font croître. Si détecter les pépites à l’export intègre également le champ de compétences de l’organisme, l’innovation individuelle représente un autre socle incontournable mis en valeur avec la création des pépinières d’entreprise. Commentant la thématique du jour qui sera ensuite abordée par Pierre-Etienne GIRARDOT, chargé de mission économie et innovation auprès de la préfecture de région, Alain PEREZ salua ce troisième programme d’investissement d’avenir comme une très belle opportunité.
« Il s’agira de soutenir les initiatives de développement de ces entreprises régionales que nous encourageons à progresser grâce à des appels à projets. Ce sera un plus incontestable pour rattraper les retards existants vis-à-vis des PME allemandes et italiennes en matière d’export. Juste une indication pour mieux comprendre ces priorités : les sociétés d’Outre-Rhin sont trois fois plus présentes à l’international que les structures de l’Hexagone. Celles de l’Italie le sont deux fois plus ! ».
Enfin, l’ultime argument qui trouve grâce aux yeux du président de la CCI de l’Yonne avec cet apport bénéficiaire du PIA : l’adaptation de la qualification de la main d’œuvre. « Nos entreprises souffrent du manque de ressources qualifiées. Or, aujourd’hui, je suis sidéré de constater l’importance des écarts qui perdurent entre le niveau des offres et des demandes d’emploi vis-à-vis des cursus. Je crois qu’il est essentiel de reprendre le problème à l’origine et de faire en sorte que l’Education nationale oriente davantage les jeunes générations vers les filières de l’industrie, porteuses d’emploi. Une vraie révolution intellectuelle s’impose… ».
Redéfinissant pour conclure le rôle primordial joué par les pépinières qui facilitent l’environnement humain et logistique de toute nouvelle entreprise qui se crée, Alain PEREZ céda la parole à Pierre-Etienne GIRARDOT qui explicita les axes essentiels de ce fameux programme d’investissement.
Changement de paradigme avec un PIA moins élitiste et plus accessible…
Le nouvel outil instauré par l’Etat a subi une sérieuse cure de jouvence dans son approche applicative par rapport aux précédentes variantes. Le PIA, défini en 2017, représente dans sa globalité un montant de 700 millions d’euros pour abonder les projets de la Bourgogne Franche-Comté. Ceux-ci sont multiples et éclectiques. Accompagnement des universités, développement de la recherche, de la santé, pôle nucléaire ou transfèrement des nouvelles technologies en entreprise : ce programme d’aides financières via appels à projets devrait s’avérer salutaire à moyen terme pour redynamiser notre territoire.
Avec la validation de la loi NOTRe au 01er janvier 2016 qui a restreint les compétences économiques de certaines structures institutionnelles et la création de la nouvelle configuration sectorielle des régions françaises, le PIA s’est davantage ouvert aux PME. D’où la constitution de cette enveloppe de 21 millions d’euros à distribuer sur notre contrée.
« Tout cela se veut très réactif, confirme Pierre-Etienne GIRARDOT, avec des délais raccourcis entre la date de dépôt du dossier et la validation de son acceptation, soit un delta temporel de trois mois ! ».
Charge à BPI France et à la Caisse des Dépôts en qualité d’opérateurs de suivre le processus d’accompagnement une fois que le dossier sera enclenché.
Trois items auxquels peuvent prétendre les PME de moins de 250 salariés et les ETI de manière dérogatoire…
Officialisée depuis le 17 janvier, avec l’ouverture d’un site Internet dédié, la campagne informative auprès des entreprises susceptibles d’être intéressées aboutit au dépôt en ligne d’un dossier de candidature qui respecte l’appel à projets (pia3regionalise.bourgognefranchecomte.fr). Le dispositif sera valable sur une période de trois ans.
Le premier de ces projets se rapporte à l’innovation individuelle qu’elle soit d’ordre technologique ou pas. « Cela peut englober le développement de nouveaux produits et les processus de conception, voire de la sous-traitance. Sont admissibles les projets d’entreprise compris entre 200 000 euros et le million d’euros. Les aides, elles, peuvent s’obtenir dans une fourchette qui oscille entre 100 000 à 500 000 euros ».
Explication du représentant de la préfecture de région : « dans ce type de dossier, on ne finance que 50 % du projet d’innovation de l’entreprise… ».
Le second volet de ce programme se rapporte aux filières. Dans ce cadre spécifique, il concerne des structures ayant choisi de travailler sur des concepts communs mutualisés et désireuses de partager des infrastructures et leur savoir-faire. L’objet de ces futurs investissements se situe entre 500 000 euros et quatre millions d’euros.
Quant au troisième et ultime item, il a pour vocation l’adaptation à la qualification de la main d’œuvre. Les aides potentielles pouvant être obtenues peuvent s’élever de 500 000 euros jusqu’à deux millions d’euros.
Sur un plan pragmatique, le comité de sélection où se retrouvent l’ensemble des partenaires adossés à ce concept (BPI France, Etat, Région, Caisse des Dépôts) se réunira de manière régulière afin de délivrer son verdict. Les aides étant distribuées sous la forme de subvention ou sous la forme d’avance récupérable à taux zéro.
Plus d’argent à délivrer que de projets déposés sur le territoire…
On l’aura compris, ce dispositif n’a d’autre vocation que d’inciter le maximum d’entreprises de la région à déposer des dossiers de candidature. Avec un bémol rédhibitoire, cependant : ces structures se doivent d’être en bonne santé financière.
Nonobstant, le PIA ne représente pas la seule mesure intéressante à laquelle peuvent prétendre à ce jour les PME de Bourgogne Franche-Comté. Le programme d’investissement d’avenir national 3, proposé selon les principes d’un concours à l’innovation, assure des montants supérieurs au million d’euros. Des projets à 5 millions d’euros peuvent obtenir également l’accréditation du comité de sélection. Seule ombre au tableau de ce modèle très vertueux : chaque année, la totalité des aides ne trouve pas de destinataires. Faute de dossiers de candidature ! Un paradoxe qui pourrait être évité…
Pour être tout à fait complet, Pierre-Alain TRUAN, délégué innovation de BPI France, devait conclure cette session en évoquant les aides annexes mais importantes qui existent dans ce paysage d’incitation à l’innovation : PRESTA INNO (8 000 euros octroyés pour 70 % du coût de la prestation), concept destiné aux entreprises de moins de 250 personnes qui n’ont pas bénéficié d’aides à l’innovation depuis deux ans ou encore le Fonds régional pour l’innovation (FRI) qui s’adresse aussi bien aux entreprises qu’aux structures associatives.
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« L’Ethiopie, la ferveur et la foi » : la tolérance et le mysticisme de tout un peuple se découvrent avec bonheur au Centre hospitalier de Tonnerre…
février 10, 2018Dans ce vaste pays constitué de hauts plateaux et situé dans la corne de l’Afrique, les antagonismes opposant d’ordinaire les communautés chrétiennes et musulmanes n’ont pas lieu d’être. Ce berceau de l’humanité abrite de nombreuses croyances qui y vivent en étroite osmose et parfaite harmonie. C’est le sens profond de cette foi partagée et de ce respect inébranlable en l’autre où se confondent altruisme et humilité qu’ont voulu traduire, au gré d’illustrations photographiques de très belle maîtrise et de textes emplis de lyrisme et de poésie vagabonde, les deux artistes Paola VIESI (photographie) et Elisabeth FOCH (rédactionnel) qui estampillent ce travail commun. Accueilli comme un symbole dans l’antre même de ce qui fut hier encore la pharmacie des pèlerins en quête de secours, consolation et espoir au cœur de l’actuel Centre hospitalier de Tonnerre jusqu’au 25 mars, ce voyage initiatique, fait de portraits et d’écrits, s’appréhende dans la grâce et la sérénité au cœur de l’ex-empire du Négus Hailé SELASSIE.
TONNERRE : Accrochés à leurs cimaises, neuf portraits dévisagent les visiteurs qui pénètrent dans ce vaste espace dédié dorénavant aux expositions artistiques et culturelles. Si autrefois, cet endroit faisait fonction de pharmacie hospitalière pour panser les plaies des corps et soigner les blessures de l’âme des pèlerins, il n’en est plus rien aujourd’hui dans sa nouvelle configuration.
Pourtant, les œuvres dévoilées jusqu’à la fin du mois de mars possèdent de réelles réminiscences avec ce site chargé d’histoire. La piété de ces femmes et de ces hommes, venus d’un autre monde, celui de cette Afrique oubliée et méconnue de nos concitoyens, crée ce lien indéfectible entre ces différents univers. Les croyances de l’humanité, si souvent décriées dans notre société contemporaine et causes de multiples entraves belliqueuses de par la planète, trouvent ici un havre de paix pour s’y poser. Sans l’ombre d’un quelconque prosélytisme.
Les portraits de pèlerins chrétiens et musulmans en recherche de sagesse…
Prendre le soin de se plonger attentivement dans le regard de ces neuf personnages qui fixent l’objectif de Paola VIESI, qui a pourtant réalisé ses prises de vues à la dérobé et en toute discrétion, c’est aussi s’ouvrir vers le monde. Et l’inconnu. Celui de ces enfants et de ces femmes enrubannées de leurs pèlerines, de ces hommes à la fleur de l’âge qui recherchent à la lecture des textes sacrés les tréfonds de la vérité.
Moines, prêtres, nonnes, ermites, pèlerins…ces visages graves et concentrés sont en quête de leur Graal intérieur. Qu’ils soient orthodoxes, chrétiens ou musulmans. Une fois l’an, ces chercheurs de la paix intérieure cheminent le long des routes par n’importe quel moyen de locomotion pour se rendre vers deux lieux de culte. A LALIBELA où ils y célébreront « Ledet ». Ou vers le mausolée de Sheikh Hussein afin d’y vivre le « Dhû l’Hijja ».
Paola VIESI et Elisabeth FOCH ont eu la chance de pouvoir s’immerger sur une longue période dans ce pays authentique aux 280 dialectes. De cette expérience unique, les deux artistes en ont tiré un ouvrage publié aux éditions Actes Sud.
« A travers nos écrits et visuels, explique Elisabeth FOCH, ce livre explique le cheminement de ces deux pèlerinages essentiels en terre éthiopienne. Au contact de ces femmes et de ces hommes pieux qui accomplissent ce double rituel selon leurs croyances. Celles-ci leur permettent de survivre dans un environnement complexe, parfois hostile, malmené par les chaos de l’histoire. La rencontre avec les éléments (la terre, les cendres qui possèdent des vertus curatives, les animaux…) procure à ces personnes une foi inéluctable leur donnant accès à une autre dimension par la transe ou par le jeûne ».
Fascinée par l’Afrique, la photographe romaine Paola VIESI a troqué son parcours professionnel vécu dans les ressources humaines pour développer ses qualités artistiques spécialiste des clichés inattendus.
« L’Afrique est à l’origine de l’art contemporain qui a changé le point de vue sur le classicisme, concède-t-elle, depuis 2002, mon objectif est de montrer les valeurs de ce continent, en collaboration avec l’UNESCO… ».
Une terre originelle source de spiritualité…
Cela s’est concrétisé par la découverte d’une trentaine de pays dont l’Ethiopie où elle s’est installée durant une décade. Sa rencontre avec la journaliste Elisabeth FOCH fut déterminante sur la construction de ce projet aujourd’hui abouti.
« Je me suis vraiment immergée dans ce pays en imaginant le contexte de ce que j’avais lu dans la Bible, explique-t-elle, l’Afrique offre réellement la possibilité de comprendre les origines de l’homme. Cela m’a toujours attirée de découvrir ces hauts lieux où la spiritualité surgit de l’élément physique… ».
Zone tampon entre les cultures arabes et chrétiennes, le pays est un trait d’union important au plan religieux. « Je le considère comme l’Himalaya de l’Afrique pour ses aspects spirituels, lâche l’écrivaine. Mon premier séjour fut programmé en 1976. J’y suis retourné depuis à maintes reprises et toujours avec la même envie personnelle… ».
Cette quête initiatique vécue dans ces lointaines contrées aura même redonné un sens à sa propre existence. Comme les pèlerins qui, dotés de leur foi viscérale, vivent leurs quêtes dans le pouvoir de protection et de guérison sur une terre criblée de symboles. Et bénie des dieux ?
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« Faisons connaissance…» : les relations avec la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté gagnent en proactivité !
février 09, 2018Un accès direct à la prise de rendez-vous avec son conseiller financier, nous en avons tous rêvé ! Etre libre de pouvoir sélectionner à notre guise les plages horaires et les dates qui nous intéressent pour formuler les contours de cet entretien est l’un des vecteurs essentiels de cette proactivité renforcée que viennent de mettre en exergue les services commerciaux de l’établissement bancaire régional. Le concept « Faisons connaissance…» justifie amplement son nom de baptême. Il apporte des réponses concrètes et abouties aux attentes de la clientèle de particuliers et de professionnels en optimisant la communication. Un atout majeur dans toute politique commerciale qu’il est indispensable de ne jamais oublier…
AUXERRE : La qualité des services et des prestations demeure la mère de toutes les batailles engagées sur le front office par les experts en marketing de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté en cette année 2018.
Même si depuis 2015, l’établissement bancaire suit de manière systématique, et après chaque rendez-vous, les desiderata de ses clients en leur adressant des questionnaires par voie électronique. Le satisfecit de ces derniers reste l’argument majeur pour le staff directionnel afin de connaître l’indice de satisfaction et de mesurer la qualité des services après chacune des interventions d’un professionnel.
Privilégier l’accès direct avec son conseiller financier…
Alors qu’elle entreprend une démarche de labellisation en ce sens, arguant de son professionnalisme, la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté crée ce dispositif novateur, incitant le client à en savoir davantage sur ses partenaires. Notamment dans le cas précis où le conseiller financier traditionnel passerait la main à un nouvel interlocuteur qui assurera ensuite le suivi des affaires courantes.
« En fait, explique Laurent GUEIT, directeur régional de l’établissement dans l’Yonne, le client reçoit une information envoyée par e-mail ou par courrier ainsi que par SMS afin d’accéder directement sur la plateforme interface « Faisons connaissance…». Il y arrive par le biais du lien précédemment adressé ou en flashant le QR code intégré au courrier. Cet accès direct à la prise de rendez-vous est entièrement géré par le client qui en choisit ses propres modalités en fonction de son emploi du temps et de ses contraintes. Il bénéficie d’un accès sur l’agenda de son conseiller : ce qui est proprement révolutionnaire ! In fine, l’ancien conseiller financier préviendra de son départ en informant la clientèle de la venue de son remplaçant avec un rendez-vous déjà suscité à la clé… ».
Un dispositif fonctionnel depuis le 01er février…
Bref, un gain de temps appréciable pour les deux parties qui ont hâte de se rapprocher pour mieux transformer l’essai de leur coopération consensuelle.
« L’intérêt de ce nouveau mode de communication est de pouvoir transmettre les coordonnées du conseiller au client, précise Laurent GUEIT, ce dernier récupère l’e-mail et le numéro de ligne directe permettant ainsi à terme de mieux planifier les rendez-vous nécessaires pour développer les relations commerciales induites ».
Ce concept est accessible depuis le 01er février aux clients de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté depuis l’offre « Cyberplus » et son application mobile consultable sur Iphone et Androïd.
En outre, comme l’explicite le directeur de l’établissement dans l’Yonne, les rendez-vous virtuels via le multimédia et le téléphone continuent de progresser. « Par exemple, insiste Laurent GUEIT, un acquéreur d’un bien immobilier peut aisément concevoir son dossier de prêts sans même se déplacer dans l’une de nos vingt-trois agences départementales… ».
Précurseur avec le concept « SIMPLIMO », la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté récupère grâce à cet outil incitatif beaucoup de contacts de clients qui évoluent sur d’autres zones géographiques, parfois éloignées de sa zone de chalandise habituelle.
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Le MICHELIN 2018 attribue sa première étoile à Maxime LAURENSON (LOISEAU RIVE GAUCHE) pour sa dextérité culinaire…
février 06, 2018Avec l’obtention de cette nouvelle récompense parmi le firmament de la gastronomie française, le groupe Bernard LOISEAU place ses quatre établissements dans les étoiles ! Un accessit qui crédibilise le savoir-faire et la maestria du jeune chef Maxime LAURENSON à la tête de ses équipes depuis 2016. Celui-ci a su insuffler au restaurant parisien situé à dix mètres de l’Assemblée nationale une inclinaison culinaire novatrice dans son décor élégant et feutré. Puisant son inspiration auprès des producteurs français, travaillant des produits qui fleurent bon le terroir et respectueux de la saisonnalité des ingrédients, la jeune toque auvergnate s’est fait le chantre du regretté Bernard LOISEAU : « pas plus de trois saveurs par plats ». Un credo qui lui vaut sa première distinction aujourd’hui…et qui offre son cinquième éclat étoilé à la prestigieuse maison bourguignonne.
PARIS : Un seul leitmotiv anime la carrière de ce jeune chef, élu « Jeune Talent de la gastronomie 2018 » par le guide Gault & Millau : la satisfaction du client. Et ces derniers ne sont jamais déçus lorsqu’ils s’installent avec envie dans ce restaurant de très belle facture, ouvert par Dominique et Bernard LOISEAU en 1999.
Autrefois appelé le « Tante Marguerite », le site se débaptise en 2016 pour devenir le « LOISEAU RIVE GAUCHE » afin de parfaire l’harmonie marketing déclinée dans l’ensemble du groupe qui comprend d’autres établissements en Côte d’Or, Beaune, Dijon et Saulieu.
Ici, dans le septième arrondissement de la capitale, on y passe d’agréables moments. A la fois gourmand et cossu en admirant la vaste salle de restaurant ornée de boiseries blondes qui épousent à merveille quelques notes décoratives contemporaines.
Une cuisine de terroir aux goûts authentiques…
Le lieu, du fait de sa proximité avec le Palais Bourbon, y reçoit moult personnalités politiques, économiques et journalistes. Tous bénéficient de l’accueil irréprochable et professionnel du directeur de l’établissement, Erick DONZEAU. En fonction depuis 2009, ce manager qui se réjouit de voir un jeune apprenant conclure son stage avec le sourire et les yeux qui pétillent, est le pygmalion de cet antre raffiné où les saveurs gustatives sont mises en lumière par le chef auvergnat.
« J’ai obtenu carte blanche pour exprimer l’identité de ma cuisine du terroir, confie-t-il, mon métier représente une passion dont je ne peux me passer. J’ai beaucoup de respect pour la grande tradition, notamment les sauces et les jus, et j’essaie de sublimer la force aromatique du monde végétal et des herbes. En fait, résume-t-il, mes assiettes possèdent des goûts vifs, acidulés, précis et contrastés ».
L’alliance insolite et originale des mets
Ses spécialités se dévoilent sous la forme de succulentes recettes dont on ne lasse jamais : escargots de Bourgogne servis de petits pois et févettes agastache, turbot de Bretagne sauce à l’ache des montagnes et céleri, pommes de ris de veau au sautoir sur du jus à la réglisse de jeunes carottes mais aussi canards de Challans. Une cuisine festive au palais, où les oignons blancs des Cévennes, reine des prés, sureau et jasmin agrémentent volontiers les assiettes qui gagnent ainsi en coloration et en saveurs.
Le tout sera dressé à l’instinct par ce chef qui aime composer des alliances insolites et surprenantes. Sans doute des réminiscences de ce goût immodéré pour les produits du terroir aux saveurs authentiques qu’il a connu jadis au contact de son grand-père.
Entre modernité et tradition, simplicité et gourmandise, la cuisine de Maxime LAURENSON a su subjuguer par cette créativité si débordante les représentants de l’inénarrable guide Michelin, ravis d’une telle découverte gastronomique…
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Yannick DAVOUSE (IDXPROD) partage les idées nouvelles glanées à Las Vegas avec des entrepreneurs de l’Yonne
février 05, 2018Membre de la délégation des 17 entrepreneurs de Bourgogne Franche-Comté qui ont eu le privilège d’être immergés du 09 au 12 janvier au Salon international de l’électronique à Las Vegas (le fameux « Consumer Electronic Show »), le dirigeant de la société IDXPROD à Auxerre a fait montre de valeurs altruistes en conviant la semaine dernière une trentaine d’entrepreneurs de l’Yonne à découvrir les évolutions technologiques qui se concoctent au niveau planétaire par des start-ups imaginatives. Didactique dans ses propos et incitatif par son geste ouvert à la mobilisation, l’initiative impulsée par le président de la structure « YONNE NUMERIQUE » aura permis à chacun de se faire une idée précise sur les grandes tendances high-tech de demain…
AUXERRE : Manifestation annuelle à la renommée internationale, le C.E.S. de Las Vegas (Etats-Unis) fait figure d’étape incontournable pour les acteurs de la filière électronique. L’édition 2018 n’aura pas dérogé à la règle des rendez-vous antérieurs avec sa grandiloquence coutumière liée à ses infrastructures logistiques et à son avalanche de nouveautés issues des têtes bien pensantes qui rivalisent chaque année d’ingéniosité à travers leurs start-ups.
Robotiques, réalité augmentée, véhicules se conduisant de manière autonome, images numériques, réseaux, jeux, technologies émergentes, audiovisuel…les plus grandes innovations autour de l’intelligence artificielle, des objets connectés ou de l’impression 3D y auront trouvé grâce : elles auront émerveillé les visiteurs se promenant dans les allées qui avec leurs regards de gamin ont eu la sensation de vivre une réalité onirique…A l’exemple de Yannick DAVOUSE, l’entrepreneur Icaunais à la tête de sa société IDXPROD…
Avec le concours de la Région Bourgogne Franche-Comté, le dirigeant auxerrois a eu l’opportunité de se rendre en Amérique du Nord en compagnie de seize autres chefs d’entreprise, tous adhérents comme lui du cluster numérique régional, Bourgogne Franche-Comté Numérique. Les décideurs économiques ont pu parcourir les travées de ce maelström technologique indéfinissable où ils auront côtoyé les génies de la technologie du futur, soit 4 000 exposants en provenance de 150 pays pour une affluence de 170 000 personnes.
Une vision approfondie d’un marché de 120 milliards de dollars…
A Auxerre, dans ses bureaux qu’il occupe au sein de la pépinière d’entreprises de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, Yannick DAVOUSE a su créer le climat propice pour résumer ce qu’il avait vu sur place. Et évoquer en substance et en l’illustrant de la manière la plus visuelle possible ce que seront les tendances consuméristes issues de ce CES 2018 en matière de technologie.
Commentant la réalité économique de ce marché à fort potentiel, Yannick DAVOUSE ne lâcha qu’un seul chiffre mais de taille : 120 milliards de dollars de chiffre d’affaires obtenus d’ici quelques années ! Toutefois, certains freins au développement de nouvelles gammes de produits pouvaient ralentir leur croissance.
« Prenons l’exemple de la réalité augmentée, lança-t-il en guise d’explications, au bout d’une vingtaine de minutes, l’utilisateur peut ressentir des sensations nauséeuses et un mal-être qui peuvent induire des vertiges. Pourquoi vit-on cela ? Parce qu’il y a un phénomène incommodant pour l’être humain. Le cerveau ne peut pas tout absorber d’où ces problèmes engendrés au niveau des sensations visuelles. Mais aujourd’hui, les grands leaders de ces marchés injectent beaucoup d’argent pour résoudre cela… ».
Les nouvelles technologies du futur en cinq tendances…
Puis, tour à tour, et en cinq grands chapitres, Yannick DAVOUSE détaillera les axes stratégiques de ces grandes tendances technologiques qui se présentent à nous.
A l’instar de l’AI (intelligence artificielle) qui est désormais abondamment employée dans le monde de l’automobile avec la présence de système de caméras embarquées. Elles facilitent la lecture des panneaux qu’elles identifient avant le passage du véhicule.
A l’instar aussi du « CHATBOT », un robot aux vertus novatrices qui, grâce à un logigramme, accomplit des tâches de plus en plus intelligente telles que l’analyse des informations en utilisant des formules polies, directes, construites.
« Ces appareils pratiquent la reconnaissance d’objet : on prend les colis sous le contrôle d’une caméra et cela va générer des habitudes de courses, à partir de listing et de base de données, tout en s’adaptant aux besoins des consommateurs. En fait, preuve d’une interconnexion importante, les objets vont connaître toutes vos habitudes… ».
Avec le « Voice Contrôle », on s’exprime via une interface à un appareil muni de micros qui répond. La voix devient dominante dans la relation que l’humain entretient avec la machine. C’est la porte ouverte au marché de l’économie du son telle que l’envisage déjà le programme économique régional DEFISON.
Le quatrième item expliqué par Yannick DAVOUSE fera référence à l’IoT, c’est-à-dire « Internet of Thing ».
« Tous les objets sont connectés entre eux, depuis la cafetière jusqu’à la voiture, en pensant par la domotique. Tous ces appareils sont reliés à l’ordinateur et au cloud. « IoT» : c’est une connexion au monde. BIG DATA en est aussi une illustration tangible…Argument différenciant : c’est la sécurité qui est au centre des enjeux pour rassurer les gens ».
Reste le point 5 : le « Smart Building », c’est-à-dire la migration vers les services.
« De plus en plus, on se situe sur des notions de confort et de partage des informations entre nous. Par exemple, dans le domaine de l’automobile, on achète plus le véhicule. On le loue avec de la maintenance et de la tranquillité sans être propriétaire. Dans le bâtiment, on achète des usages du service, de la fonctionnalité et de la capacité… ».
Ne plus être des chefs d’entreprises français complexés…
Aujourd’hui, poursuivit l’entrepreneur Icaunais, « on parle de moins en moins de start-up (vendre de la technologie avec une maîtrise particulière) mais de « smart up » pour vendre du service et de l’intelligence… ».
Ainsi, dans le milieu agricole, les tracteurs se négocient avec des cellules GPS qui pilotent l’engin et en assurent la parfaite mobilité. Pendant ce temps-là, l’agriculteur peut assumer d’autres fonctions dans ses champs.
Rappelant que le territoire de l’Yonne possédait une très belle cote au niveau du numérique, Yannick DAVOUSE a voulu donner de la positivité et de la dynamique en partageant ses connaissances ramenées depuis Las Vegas.
Il incite déjà les entrepreneurs locaux à se rendre au salon ISE d’Amsterdam prévu en 2019 et pourquoi pas de représenter comme lui, les 320 entreprises françaises de la French Tech invitées aux Etats-Unis en janvier prochain.
« Cessons d’être complexés ! Ne nous posons plus de questions alors que les autres pays s’engouffrent sur le marché mondial. Il nous faut changer de mentalité et faire triompher le savoir-faire de nos entreprises, start-ups et PME, qui n’ont absolument rien à envier à celles des autres nations… ».
Le message de Yannick DAVOUSE, on l’imagine, aura été reçu cinq sur cinq.
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