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SITCH finance une commande de garrots pour les Ukrainiens avec le geste altruiste de GROUPAMA PVL
septembre 05, 2022C’est presque une manne financière qui tombe du ciel en ces instants de forte mobilisation solidaire ! En tout cas, les responsables de l’association SITCH (Sénonaise Internationale Toute Cause Humanitaire), étonnés en recevant la somme, ne s’y attendaient pas ! Leur structure a été choisie par l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris Val-de-Loire, généreux donateur d’une obole de mille euros, fruits d’une collecte participative des sociétaires lors des assemblées des dix caisses locales de la fédération de l’Yonne…
SENS : Le fac-similé du chèque est imposant de par sa taille. La somme qui est indiquée dessus l’est tout autant pour les deux membres de la structure associative, SITCH.
D’ailleurs, les deux récipiendaires de ce document sont encore un peu ébahis de recevoir ce précieux subside qui vont leur permettre de poursuivre leur mission d’entraide envers les réfugiés ukrainiens.
Mille euros ! Le chiffre résonne bien dans leurs têtes ! De quoi mettre du beurre dans les épinards de cette entité associative, bien connue dans le sérail icaunais, pour sa mobilisation tous azimuts depuis le mois de février dernier, en faveur du peuple d’Ukraine.
En temps normal, les interventions de cet organisme apparu en 1995 se concentrent plus spécifiquement sur l’achat et l’acheminement d’implants à vocation médicale. Des tiges en titane fort coûteuses – plus de 4 000 euros à l’unité-, conçues en Grande-Bretagne et que les chirurgiens de Kiev placent ensuite avec moult précautions près de la colonne vertébrale de leurs patients afin de les soulager de troubles musculaires du squelette.
Oui, mais voilà, l’association a dû changer son fusil d’épaule, rendant son aide encore plus altruiste et adaptée aux besoins de la population depuis le 24 février. Date de l’invasion des forces russes chez leurs voisins…
SITCH, l’association qui passe de l’ombre à la lumière…
Soutenue par la plupart des clubs services de Sens (Lions, Rotary, Inner Wheel, Table Ronde…), l’association SITCH mobilise l’ensemble de ses bénévoles sur ce dossier, facilitant ainsi l’accueil de familles de réfugiés dans le nord de l’Yonne, expédiant vers l’est de l’Europe le fruit de nombreuses collectes alimentaires.
Sans omettre des choses plus terre à terre avec les travaux entrepris dans une maison à Thorigny-sur-Oreuse pour rendre plus confortable le séjour de ces personnes qui fuient la guerre et le totalitarisme.
Bref, c’est le reflet du quotidien de trente années de services rendus aux plus déshérités et aux oubliés de l’existence, le sacerdoce de cette structure peu habituée à briller dans la lumière, dixit ses deux représentants, Monique MATHEY, la vice-présidente et Dominique SNAUWAERT, le trésorier.
Le don symbolique d’un euro par participant aux assemblées des caisses locales…
Il n’en fallait pas davantage pour que le conseil d’administration de la Fédération départementale des Caisses locales de l’Yonne, à l’enseigne de l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris Val-de-Loire, ne vienne bouleverser la donne, offrant un sérieux coup de projecteur à la structure.
Comment ? En la choisissant comme bénéficiaire de son challenge participatif né des rencontres avec ses sociétaires, inhérentes à la tenue des dix assemblées générales des caisses locales que compte le département.
Sur le principe d’un don basique d’un euro effectué par participant à ces réunions statutaires, GROUPAMA a obtenu un pactole de mille euros au terme de son tour des caisses de l’Yonne, suffisant pour satisfaire les heureux bénéficiaires de l’action, les dirigeants de SITCH.
Un choix opportun à plus d’un titre puisque le conseil d’administration de la fédération des caisses de l’Yonne avait jeté son dévolu cette année sur une intervention favorisant le soutien à l’Ukraine.
« On nous a recommandé cette structure de Sens, confirme le président Pascal MAUPOIS, un nom que notre responsable d’agence de Sens nous avait aussi glissé aux oreilles ! ».
SITCH devrait employer cette somme à l’acquisition de garrots – une commande est en cours – devant être expédiés ensuite vers Kiev.
Quant au spécialiste de l’assurance, il a fait acheminer dès le début du conflit deux hôpitaux de campagne vers l’Ukraine pour y accueillir des réfugiés fuyant le pays.
Thierry BRET
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Menace ou incitation à plus de sobriété : le MEDEF oscille entre frissons et émoi après le discours d’Elisabeth BORNE
septembre 04, 2022Bon ! Soyons clairs et ne versons pas dans une forme de modestie aussi vaine que fausse ! La REF, soit la « Rencontre des Entrepreneurs de France » millésime 2022, aura une fois encore été l’évènement majeur de cette rentrée. Outre le succès « populaire » qu’elle aura rencontré avec plus de 10 000 participants sur les deux journées, elle aura vu se succéder aux différentes tribunes ouvertes sur les pelouses de l’hippodrome de Longchamp, une pléiade de personnalités de tous horizons, de tous bords et de tous pays !
TRIBUNE : Rien que du beau monde, garanti « authentique et sincère » - on n’est pas naïfs non plus ! - avec des chefs d’Etats, des chefs de gouvernements, des ministres (presque tous !), des parlementaires, des universitaires, des scientifiques, des philosophes, des sportifs, des gens qui ont des choses à dire et même d’autres parfois qui n’ont rien à dire du tout mais qui le disent quand même ! Bref, tous les ingrédients nécessaires à faire de ce rendez-vous un incontournable que beaucoup, disais-je, n’auront pas contourné ! Et moi le premier !
Vous me direz que j’y étais pour faire le job et qu’à ce titre je n’ai pas vraiment de mérite ! Pas tout à fait faux, en soi. Mais, permettez-moi tout de même de vous dire que, bien que j’y fut pour participer à la représentation de notre cher MEDEF Yonne, ce n’est pas pour autant que je me suis interdit d’ouvrir mes yeux et mes oreilles en grand et de demander à ma cervelle, un minimum d’effort de compréhension et d’analyse.
Car si le lieu est vraiment très agréable, que les gens ont bonne mine au retour des vacances et que tout ceci fleure bon l’envie de flâner de stand en stand à un rythme de sénateur, les échanges et débats sont d’un niveau exceptionnel et ils font du bien à l’intellect ! Allez, on plonge dans la REF 22 pour quelques morceaux choisis, avec pour commencer la séquence émotion !
Une ouverture de poids avec le discours de Volodymir ZELENSKI…
Avant même l’ouverture officielle par Geoffroy ROUX DE BEZIEUX, la première journée a vu apparaître sur les écrans géants, le Président de la République d’Ukraine, Volodymir ZELENSKY himself, en direct de Kiev !
Dès le début des réjouissances, c’était donc du très lourd ! Bien sûr, il n’aura pas manqué de rappeler combien la situation de son pays est dramatique et combien il en appelle aux démocraties de l’Occident et d’ailleurs, de lui venir en aide, voire d’œuvrer pour que cesse cette guerre d’un autre temps, aussi stupide qu’injuste.
Mais le message qu’il souhaitait avant tout faire passer aux patrons Français, c’est bien celui des perspectives d’une reconstruction de son pays, qui finira bien par arriver et dont il souhaite qu’ils soient des acteurs majeurs ! Et si jamais ses accents de sincérité ne suffisaient pas à les convaincre, il n’aura pas manqué l’occasion de rappeler que l’évaluation faite aujourd’hui du coût de cette reconstruction, atteint des niveaux astronomiques de l’ordre de 600 à 800 milliards de dollars !
De l’anxiogène, de la sobriété et du superfétatoire : bonjour, l’angoisse !
Et puis, il y eut le grand discours d’ouverture du Président du MEDEF. Lancé tous haut-parleurs hurlants sur les accords et les paroles de la chanson du groupe Téléphone « Un autre monde », tout un symbole, Geoffroy ROUX DE BEZIEUX s’est livré à l’exercice consistant à dresser le panorama quasi exhaustif d’une actualité pour le moins riche, tout autant que complexe et dramatique à bien des égards.
Et dans le domaine, il faut noter qu’il aura réussi le tour de force de ne jamais verser dans quelque forme de pessimisme, de défaitisme ou d’abattement que ce soit. Il y aurait pourtant eu de quoi, lorsque l’on songe que parmi les sujets abordés, on trouve pêle-mêle : la sobriété énergétique, la souveraineté énergétique et industrielle, la sobriété budgétaire (rien que du « sobre » !).
Mais aussi, la guerre en Ukraine, le coût de l’énergie, l’inflation, la situation économique de la France, la décarbonation (rien que de l’anxiogène !).
Sans oublier : assurance chômage, retraites et fiscalité, (rien que du qui fâche !). Et puis, comme s’il en fallait encore un peu : les superprofits, les jets privés et même le barbecue (rien que du symbole superfétatoire !).
Chapeau l’artiste ! De la belle ouvrage en somme et il faut bien le souligner, un talent certain d’orateur qui aura considérablement contrasté avec la performance, disons moins flamboyante, en tout cas sur la forme, de celle qu’il l’aura suivi à la tribune, je veux bien sûr parler d’Elisabeth BORNE, notre Première Ministre.
La sobriété des entreprises : de la menace ou de l’incitation ?
Alors évacuons tout de suite la question de la prouesse oratoire. Pour paraphraser une réplique célèbre, disons qu’elle n’a pas intérêt à tout miser dessus !
Mais, occupons-nous plutôt du fond, parce que là, on relève des sujets qui nous intéressent et nous touchent bigrement. Des sujets qu’elle aura abordés en prenant bien soin de ne pas uniquement caresser le patronat dans le sens du poil !
Car après avoir salué tout le monde, remercier aimablement le Président du MEDEF pour son invitation et rappelé le soutien indéfectible de la France envers l’Ukraine, elle n’aura pas mis longtemps à mettre sur la table la question ultrasensible de l’énergie et des perspectives de pénurie qui guettent notre pays.
Et là, soyons clairs, les entreprises ont intérêt à se mettre en coupe rangée, derrière le plan de sobriété énergétique préparé par le gouvernement, sinon gare à elles ! Et difficile de dire si tout ceci a été prononcé sur le ton de la menace, ou bien sur celui de l’incitation forte, le phrasé monocorde omniprésent permettant difficilement de trancher !
« En cas de coupures, les entreprises seraient les premières touchées ! »…
Frissons et émoi dans les gradins ! Les nuques se sont raidies et les poils se sont dressés sur les échines lorsque la maîtresse d’école a parlé !
Car certes, si elle a bien pris le soin de faire la démonstration avec force pédagogie des raisons multifactorielles qui pourraient nous amener à une situation de pénurie de gaz et d’électricité cet hiver, la phrase a claqué comme une porte dans un courant d’air : « si on devait arriver aux coupures, les entreprises seraient les premières touchées ! ».
Et puis, un peu plus tard, après avoir expliqué que les entreprises devaient faire le maximum d’économies : « il faut préférer les économies choisies plutôt que les coupures subies ! ».
Menace ou incitation forte, vous disais-je ? « That is the question » et chacun se fera son idée. Mais quoi qu’il en soit tout ceci nous interpelle. Alors bien sûr, Bruno LE MAIRE, dès le lendemain, aura tenu des propos beaucoup plus nuancés sur le sujet. Mais, nous le savons bien. Il n’y a pas de fumée sans feu et nous devons rester sur nos gardes. Prenons juste ici un peu de temps pour décortiquer tout ça.
Un recyclage évident avec les « ambassadeurs de la sobriété en entreprise »…
Tout d’abord, les chefs d’entreprises n’ont pas attendu Madame BORNE pour faire des économies ! Et oui, ils prendront toute leur part dans le plan de sobriété voulu par le Président de la République.
Reste encore à en connaître toutes les modalités et pour ça, il faudra sans doute attendre le 01er octobre. Tout bon patron qui se respecte regarde son compte d’exploitation et sait bien sur quels leviers il doit et peut agir lorsqu’il constate de la dérive budgétaire !
En matière de coût de l’énergie, nous avons atteint de tels niveaux au cours de ces derniers mois (et ce n’est pas fini, hélas !), que des mesures drastiques ont déjà été mises en place partout où c’était possible afin de réduire les consommations, faute de pouvoir jouer sur les prix.
Mais, il reste cependant bien évident que lorsque qu’il s’agit de faire fonctionner l’outil de production, il est rarement possible d’imaginer, du jour au lendemain, une situation alternative au gaz ou à l’électricité. Et ce n’est pas la création des « ambassadeurs de la sobriété en entreprise », forme de recyclage, des ambassadeurs COVID (et même si le recyclage, c’est dans l’air du temps !) qui changera fondamentalement la donne, aussi généreuse que soit l’idée.
Soyons lucides ! La Première Ministre l’a d’ailleurs rappelé : « nous avons besoin d’une transition énergétique radicale pour sortir des énergies fossiles ». Mais, une telle transformation, pour ne pas dire révolution, va demander des moyens considérables et une temporalité incompatible avec le court terme !
En outre, une récente analyse montre que pour faire aboutir la décarbonation de l’économie, nous aurons un besoin massif de capital. D’ici à 2030, les entreprises devront investir au bas mot 40 milliards d’euros par an pour réduire les émissions de CO2 de moitié. Cela représente 20 % d’investissements supplémentaires par an. C’est dire si nous avons besoin qu’elles soient performantes et profitables pour atteindre de tels niveaux.
Alors de grâce, Madame BORNE, ne commençons pas par leur couper les pattes en leur coupant le gaz et l’électricité !
Il faudra compter sur les entrepreneurs de France qui ne sont pas des parasites !
Il est cependant rassurant de constater que dans son esprit, « radical » ne veut pas dire violent, subi ou décroissant, car dixit : « la décroissance n’est pas la solution. Elle attaquerait notre niveau de vie, elle mettrait en péril le financement de notre modèle social, elle braquerait nos concitoyens et nous empêcherait d’avancer ».
Et d’ajouter que : « la solution viendra d’une croissance nouvelle, réorientée, car la transition écologique est une opportunité qui permettra d’innover, de transformer les filières existantes, d’en créer des nouvelles, de renforcer notre souveraineté et de créer de nouveaux emplois ».
Alors là, nous disons chiche, Madame BORNE ! Et si quelqu’un en doute encore, tout ceci ne pourra se faire qu’avec les entrepreneurs de France qui ne sont pas, malgré les thèses de certains, que des parasites, n’est-ce pas ?!
Bien au contraire, ils sont la solution et ils détiennent, notamment par leur capacité d’innovation, leur prise de risque et leur engagement, les clés qui permettront au pays d’aller vers cette transition dont nous savons qu’elle est incontournable !
C’est aussi de cela dont on parle dans les allées de la REF ! Quiconque s’y est rendu l’aura constaté et en sera ressorti convaincu. Car le MEDEF est un formidable catalyseur qui sait comme personne donner l’élan nécessaire et mettre en ordre de marche les énergies et les bonnes volontés indispensables à une telle ambition.
Alors pour conclure, Geoffroy ROUX DE BEZIEUX a indiqué qu’il regrettait que notre monde, en cette rentrée 2022, « ne soit pas au regard des circonstances, celui dont nous avions pu rêver en 1984 avec le groupe Téléphone ».
Et force est de constater que, si tous ignorent si c’est la fin de l’insouciance, les patrons n’ont jamais vraiment été insouciants. En tout cas, ils savent que ceci les oblige et ils ont bien conscience qu’ils devront apporter des réponses et trouver des solutions.
C’est aussi pour ça qu’ils étaient à la REF et c’est pour ça qu’ils y seront de nouveau en 2023 et au-delà ! Alors à l’année prochaine pour la REF 23 ! Et vive le MEDEF et vive les entrepreneurs de France !
Claude VAUCOULOUX
Délégué général du MEDEF de l’Yonne
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AJA/OM à guichets fermés à l’Abbé Deschamps : chaud bouillant !
septembre 02, 2022Forcément, l’ambiance sera au rendez-vous de ce match au sommet pour tous les Auxerrois. Après avoir longtemps espérés renverser la vapeur face à l’autre « olympique » de la semaine (Lyon) ce mercredi, ne cédant finalement que d’un but d’écart avec les honneurs (2-1), les protégés de Jean-Marc FURLAN rêvent de réaliser un grand coup après leurs brillants débuts en Ligue 1…
AUXERRE : Côté sécurité, la préfecture de l’Yonne n’a pas ergoté sur les moyens afin de contenir tout débordement intempestif des supporters marseillais au tempérament de feu ! Pas de loin de 500 représentants des forces de l’ordre pour encadrer tout ce petit monde ! Les méridionaux aiment se déplacer : ils viendront nombreux encourager leur équipe fétiche, pilotée par le charismatique Igor TUDOR.
Qu’à cela ne tienne, les Marseillais trouveront du répondant en face. Tant sur la pelouse que dans les tribunes ; celles-ci accueillant 18 500 supporters ! Un stade de l’Abbé Deschamps complet comme un œuf, cela ne s’était pas vu depuis très longtemps et cela ne pourra qu’aiguiser les ardeurs offensives de la bande à Mathias AUTRET et à Hamza SAKHI, ce dernier venant de proroger son contrat jusqu’en juin 2025.
Face aux velléités offensives du troisième du championnat, qui retrouvera d’ici quelques semaines l’atmosphère envoûtante de la Ligue des Champions, les joueurs de l’AJ Auxerre, bon neuvièmes, devraient se sentir pousser des ailes dans le dos pour contrer les attaques phocéennes, de plus en plus véloces au fil des rencontres.
Il manquera pourtant un sacré atout à l’OM pour être à l’aise dans ses baskets : la présence du douzième homme ! A la solde, en masse, des Bourguignons !
Thierry BRET
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Et 1, et 2, et 3, et 4…lauriers dans l’escarcelle de Sens, reconnue « Ville Active et Sportive » : label équipe !
septembre 02, 2022Elle peut prendre la pose avec le sourire le temps d’être immortalisée sur la photo, la « Dream Team » de la municipalité sénonaise ! En obtenant quatre lauriers – soit la distinction suprême de ce label ayant attrait à l’attractivité sportive d’une ville – Sens rejoint le cercle très hermétique des vingt-quatre agglomérations de l’Hexagone, déjà pourvues de ce précieux sésame.
SENS: Assimilée dans les esprits des observateurs comme étant le « poumon économique » du territoire septentrional de Bourgogne, munie de ses quatre couronnes évoquant la qualité de son fleurissement et de ses espaces verts, la ville de Sens ajoute un nouveau trophée de chasse dans sa besace bien garnie : celui, à titre honorifique, de « Ville Active et Sportive ».
Un cocorico retentissant qui a été décerné fin août à la collectivité de l’Yonne pour sa politique sportive, qualifiée d’exemplaire. La remise du diplôme s’est déroulée à Limoges le 25 août en présence, notamment de Romain CROCCO, adjoint en charge des sports et de la jeunesse. Ce dernier a pu prendre dans la cité de la porcelaine pleinement conscience de l’importance d’une telle récompense.
Sens, la ville la plus sportive du département ?
Deux cents communes devaient recevoir le label ce jour-là dans la capitale du Limousin lors d’une cérémonie orchestrée à l’Opéra Théâtre. Créée en 2017, la labellisation « Ville Active et Sportive » a presque immédiatement souri à l’ancienne capitale des Sénons, et ce dès 2018 avec l’obtention des trois premiers lauriers sous l’ère pugnace de Jean-Pierre CROST, à l’époque en charge du dossier.
Comment en aurait-il pu être autrement surtout lorsque l’agglomération icaunaise accueille soixante-trois clubs sportifs, représentant quarante-cinq disciplines, et plus de neuf mille licenciés ?!
Outre les aspects purement sportifs faisant la gloriole de ces structures associatives et de ses champions, la ville de Sens est pourvue de nombreux équipements et complexes de très belle facture, modernes et très fonctionnels.
Un label national attribué pour une durée de trois ans…
Ce résultat correspond tout bonnement à une addition de compétences et de bonne volonté, dixit Marie-Louise FORT, édile de la commune et présidente du Grand Sénonais, qui savoure l’instant.
C’est le fruit de la bonne entente et de la cohésion entre les élus selon elle. Sans omettre le rôle expert des professionnels des services de la collectivité, celui du sport en tête !
Décerné pour une durée de trois ans par le ministère de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, l’ANDES (Association nationale des élus en charge du Sport) et l’Union Sport et Cycle, ce label a déjà été attribué par le passé à 607 localités de l’Hexagone.
Comportant quatre niveaux de valeurs, ses critères d’attribution reposent sur la politique sportive de la collectivité, la motivation des élus à l’appliquer, la qualité des équipements, l’accueil et l’organisation d’évènements sportifs, les initiatives populaires permettant de faire rayonner la pratique des disciplines auprès du plus grand nombre (enfants, seniors, handicapés, malades…), etc.
Intégrer la « cour des grands » comme Nice, Grenoble, Nancy ou Dijon…
Pas étonnant que Sens ait depuis rejoint le programme « Terre de Jeux », à l’approche des Jeux Olympiques de Paris 2024. Et que son infrastructure sportive fasse l’objet de convoitises appréciables auprès de délégations internationales soucieuses de choisir ce cadre de villégiature salvateur pour y faire séjourner ses athlètes avant les épreuves.
Au-delà du futur rendez-vous olympique – Sens devrait sans doute se plier au cérémonial du passage de la flamme dans ses rues au printemps 2024 -, la cité des Sénons accueille de nombreuses compétitions à la notoriété nationale, parfois internationale.
C’est le cas du triathlon, du trail, du fameux tournoi de football Sans Frontières, du National de pétanque ou encore de l’Open de tennis.
Quant aux évènementiels issus du service des sports, ils sont pléthoriques pour optimiser la cohésion sociale et intergénérationnelle que procure la pratique de ces disciplines, avec « Sports à Sens », « Cité Sport », les écoles de sport,…
Naturellement, les enjeux du développement durable ne sont jamais très loin pour encourager les efforts physiques. Et cela compte, forcément, pour convaincre le jury du label du bien-fondé de ses choix !
A l’instar de Grenoble, Nancy, Nice ou Limoges – des villes d’une toute autre dimension et aux budgets conséquents -, Sens peut s’enorgueillir de posséder désormais ses quatre lauriers comme les deux autres villes de Bourgogne Franche-Comté à les avoir décrochés : Dijon et Besançon.
C’est-à-dire la cour des grands !
Thierry BRET
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Le meilleur de la qualité, priorité du CFA La Brosse : le centre de formation renouvelle ses deux certifications
août 29, 2022« Pour être préféré, il faut être repéré ! ». Le slogan de l’organisme certificateur venant de renouveler le double agrément du centre de formation agricole La Brosse, AFNOR, semble s’adapter à merveille au décorum de l’endroit. Proposant des parcours de formation dans les filières de l’équestre, des espaces verts, de l’agriculture et de la viticulture, l’établissement est le seul sur son registre d’activité dans l’Yonne à avoir obtenu ces précieux sésames qualificatifs.
VENOY : Le cahier des charges est volumineux. Plus qu’une simple feuille de route, il offre une vision éclairée de ce qu’il est préférable de faire pour respecter les droits et les devoirs envers le public accueilli. Tant au niveau des apprenants. Que du personnel administratif et enseignant. Avec ce maître mot devenu usuel dans le vocabulaire de bon nombre d’entreprises, de collectivités et d’organismes de formation de l’Hexagone : la qualité !
Certifié initialement depuis le mois d’avril 2021 – en pleine crise de la COVID, dit en passant ! -, le centre de formation agricole de l’Yonne, le CFA La Brosse, a vu le renouvellement de ces précieux sésames s’effectuer presque comme une lettre à la poste en juin dernier.
Une ultime formalité qui s’est concrétisée par un audit assuré par une représentante de l’AFNOR, la fameuse et incontournable Association Française de la Normalisation. Un audit qui n’aura pas fait trembler la directrice de la maison, Hélène DECULTOT, confiante quant aux engagements pris par la structure qu’elle dirige depuis le lancement du processus.
Une double reconnaissance de la qualité des formations proposées dans l’établissement…
Détenteur de deux certifications, « QUALIOPI » et « QUALIFORMAGRI », l’établissement de l’Auxerrois peut s’enorgueillir d’être le seul centre de formation agricole de l’Yonne à être pourvu d’aussi belles cartes de visite. Connues et reconnues de toutes les instances officielles dans l’enseignement.
La première, « QUALIOPI », a pour objectif d’attester la qualité du processus mis en œuvre par les prestataires d’actions concourant au développement des savoirs, qu’il s’agisse d’actions de formation, de bilans de compétences, d’actions permettant aussi de favoriser la mise en œuvre des acquis de l’expérience en les validant.
Cette certification qui émane du ministère du Travail s’applique désormais à tous les centres de formation de l’Hexagone.
La seconde certification dépend du ministère de l’Agriculture. Elle concerne plus spécifiquement l’environnement professionnel.
Toutes deux offrent la garantie au public d’intégrer un organisme de formation, de validation des acquis de l’expérience de qualité ainsi que l’assurance d’un parcours de formation et d’acquisition de compétences personnalisées, adapté aux évolutions du monde du travail.
Bref : c’est la double reconnaissance de la qualité des formations proposées par l’établissement et d’un engagement sans faille dans une démarche d’amélioration continue.
Pour Hélène DECULTOT, cette visite de contrôle de l’AFNOR fut plus que positive, avec le renouvellement de facto des certifications pour une nouvelle période annuelle. Le CFA La Brosse avait su anticiper dès le début de la saison dernière cette obligation, l’inscrivant à son calendrier au printemps 2021 afin d’être certifié avant le terme de l’année civile.
En savoir plus :
Parmi les thèmes importants figurant au cahier des charges de ces certifications, on notera :
La gestion administrative et financière de l’établissement,
Le suivi de la facturation à l’aide de la comptabilité analytique par formation dispensée,
Le paiement des fournisseurs dans les meilleurs délais,
Le développement des circuits courts,
L’amélioration de l’accueil et la diffusion de l’information,
Le temps d’attente téléphonique,
Le volet des ressources humaines avec des formateurs recrutés à partir d’expériences, de diplômes et de compétences,
Le suivi des jeunes apprenants depuis leurs débuts dans l’établissement jusqu’à leur intégration dans la vie professionnelle,
Le déplacement physique en entreprise,
Les entretiens individuels, au nombre de trois durant la saison, des jeunes avec les professeurs principaux,
Appliquer des méthodes pédagogiques à la pointe de l’enseignement avec une stratégie évolutive.
Thierry BRET
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