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L’Aile ou la Cuisse : au nom du père et du fils, François et Paul HENNARD de la véritable graine de champions !
octobre 01, 2022Au jeu des sept familles, demandons deux composantes de chez HENNARD ! Il flotte alors immédiatement dans l'air d'agréables fumets de fricandeau et autres salmis ! On demande alors le père, François, émérite professeur de cuisine au lycée des métiers Vauban à Auxerre. Puis, Paul, le fiston, au prénom prédestiné, qui officie en qualité de cuisinier à la maison BOCUSE de Collonges-au-Mont d'Or, l'un des temples bien vivants de la gastronomie française.
AUXERRE : Chacun de leur côté, dans un lycée hôtelier parisien, père et fils ont concouru cette semaine ! Le premier, François, dans le cadre de la demie finale du MOF (Meilleur ouvrier de France) culinaire (ndlr : article diffusé cette semaine dans nos colonnes). La dernière marche avant la finale. Le résultat sera connu d’ici quelques jours.
Puis, le fiston, Paul, qui après avoir remporté la finale départementale, puis régionale, s'est donc retrouvé en finale du concours délicat de MAF (Meilleur apprenti de France). Une finale à quinze, comme le nombre de nos régions hexagonales, désormais.
Les sujets y étaient les suivants : un plat à base de truite de rivière à travailler, accompagnée d'une farce végétale et de trois garnitures imposées : lentilles, champignon et courge « butternut », comme pour son paternel, décidément ! Paul fit notamment une salade de lentilles, échalote et crème de moutarde, le tout farci dans une mini betterave !
Pour le dessert : ce fut tapioca, aromate et fruits de saison. Notre jeune cuisinier a préparé son tapioca comme un onctueux riz au lait - hum ! -, additionné d'un confit de mirabelles de Lorraine (les meilleures, reconnaissables à leur rouge pigmentation), poires pochées, surmontées de blanc d'œuf à la neige, et d'une tuile caramel pour parachever le tout.
Avec quatre autres candidats, Paul a eu l'honneur et le bonheur d'être, ce vendredi, titré MAF. Bravo jeune homme !
Il faut dire que, bon sang ne saurait mentir ! Et quelle joie, réelle aussi, qui a été partagée dans le temple de la Gastronomie française à la rougeoyante façade puisque depuis 22 ans, aucun apprenti n'y avait décroché pareil titre, souvent déclencheur d'un bel avenir professionnel.
Posons nos cartes et levons nos verres de Bourgogne à la santé de père et fils, qui ont bien mérité de la cuisine française, en cette semaine chargée d'émotion gastronomique !
Gauthier PAJONA
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Du rififi autour du permis de conduire : les inspecteurs cesseront le travail le 03 octobre à l'appel du SNICA-FO
septembre 30, 2022Le ministère de l’Intérieur roulerait-il à contre-sens ? C’est la question que se pose sans ambages les représentants du SNICA-FO, le Syndicat national des inspecteurs et délégués du permis de conduire et de la sécurité routière. Une interrogation, ayant pour conséquence de générer un mouvement de grève ce lundi 03 octobre dans l’Hexagone parmi la corporation…
AUXERRE : Le Syndicat national des inspecteurs et délégués du permis de conduire et de la sécurité routière appelle les professionnels de ce secteur d’activité à mettre la clé sous le paillasson ce lundi. Et à cesser le travail !
Une journée du 03 octobre qui sera donc porte close pour les prétendants au permis de conduire, un acte revendicatif pour défendre un service public des examens de qualité en France.
La direction régionale du SNICA-FO de Bourgogne Franche-Comté s’insurge elle aussi contre le tout nouveau projet de réflexion du ministère de l’Intérieur sur la mise en place d’un permis probatoire s’inspirant du permis belge, un projet qui permettrait aux écoles de conduite de délivrer une attestation autorisant temporairement à conduire, dans l’attente d’un examen ultérieur réalisé par un inspecteur officiel.
Or, le contexte économique vécu par le secteur est déjà extrêmement préoccupant selon le SNICA-FO. En effet, depuis 2016, de nombreuses missions des inspecteurs et délégués du permis de conduire, fonctionnaires d’Etat, ont été privatisées, voire externalisées, notamment celle de l’examen du code de la route. Rappelons que le permis AM, celui se rapportant aux scooters et aux cyclomoteurs, a par ailleurs été directement confié aux auto-écoles.
Un ministère de l’Intérieur à contre-courant de la réalité sur le terrain…
« Cela a engendré des fraudes massives et graves, précise le SNICA-FO, notamment avec des salles d’examen non-surveillée, une absence de vérification d’identité, la vente de résultats favorables, l’usurpation d’identité, voire la délivrance d’attestations de complaisance… ».
Bref, rien ne va plus dans le petit monde du permis de conduire où les observateurs ont constaté un effondrement du taux de réussite à l’examen du code de la route, et une méconnaissance préoccupante des règles élémentaires de circulation chez les apprentis conducteurs.
Résultat des courses : le permis de conduire coûte plus cher aux usagers car ils se voient désormais contraints de passer plusieurs fois un examen théorique payant et de prendre davantage de leçons pratiques en auto-école pour acquérir enfin les règles rudimentaires de circulation.
Bref, c’est l’incompréhension totale pour le syndicat national des inspecteurs et délégués du permis de conduire et de la sécurité routière qui pointe du doigt les errements du ministère de l’Intérieur, qui a fait le choix « d’amplifier la fraude » en France.
Thierry BRET
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Le cœur a ses insuffisances que l’esprit doit connaître : la CPAM de l’Yonne encourage les diagnostics précoces
septembre 29, 2022A l’occasion de la Journée mondiale du Cœur – ce jeudi 29 septembre -, la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) de l’Yonne se rappelle à notre bon souvenir en lançant une campagne de sensibilisation en faveur d’un diagnostic précoce de l’insuffisance cardiaque. Essoufflements, prise de poids rapide, extrême fatigue ou œdèmes constituent autant de signaux d’alerte que nul ne doit ignorer. Surtout quand on a passé le cap des soixante printemps…
AUXERRE: La date n’est pas nécessairement connue de tous. Le 29 septembre, une journée qui correspond à celle du cœur et à sa prévention. Largement relayée, au plan national, sur les antennes de télévision, les ondes des radios et les colonnes de la presse écrite, la campagne de sensibilisation grand public voulue par la Caisse nationale d’Assurance Maladie (CNAM) ne pouvait immanquablement ne pas être déployée au plus près du terrain local. Via les Caisses primaires d’Assurance Maladie.
A l’instar des autres établissements répartis aux quatre coins de l’Hexagone, la CPAM de l’Yonne s’est penchée également sur la thématique, en jouant elle aussi la carte de la visibilité et de l’information.
En appui de la campagne de sensibilisation nationale – elle a été baptisée « Insuffisance cardiaque : et si votre cœur essayait de vous dire quelque chose ? » -, la CPAM de l’Yonne s’est donc intéressée elle aussi à cette pathologie chronique lourde qui affecte chaque année 1,5 million de personnes en France, une maladie qui devrait nettement progresser de plus de 25 % tous les quatre ans !
Seuls 19 % des seniors connaissent l’un des quatre signes d’alerte…
Les facteurs de stress, observés dans un quotidien de plus en plus anxiogène, expliquant en partie cet état de fait. Ce qui est inquiétant alors que la qualité de vie se détériore pour le plus grand nombre de nos concitoyens à l’heure actuelle.
Pour autant, les observateurs estiment – c’est comparable au diabète – que le nombre de personnes concernées par cette pathologie est proprement sous-estimé. Les malades tardent en effet à être diagnostiqués.
Tabagisme, sédentarité, alimentation trop riche, habitudes de vie délétères constituent autant de faisceaux d’incidences possibles au niveau des cibles potentielles de patients. Des personnes âgées de plus de soixante ans, en majorité, mais pas seulement.
Une récente étude publiée par BVA, menée en juin 2022 pour l’Assurance Maladie, mettait en exergue que bon nombre de seniors en connaissaient les signes d’alerte caractéristiques, à savoir l’essoufflement inhabituel, la prise de poids rapide, les œdèmes des pieds et des chevilles, et une fatigue excessive.
Les quatre signes s’additionnant : il est vivement recommandé de consulter son médecin traitant dans les meilleurs délais.
A l’occasion de cette journée, les médecins et les personnels paramédicaux sont également renseignés par la CPAM via les canaux d’informations classiques qui leur sont réservés, notamment le site AMELI ou des newsletters.
En parallèle, l’établissement sanitaire départemental a développé avec ses partenaires un parcours de soin spécifique afin d’optimiser la prise en charge des patients touchés par cette pathologie.
Cette campagne ne sera pas la seule de la saison à voir le jour. Il est prévu une suite, dès 2023, où les bons réflexes à adopter en cas d’insuffisance cardiaque seront expliqués.
Où se situe la Bourgogne Franche-Comté du côté des chiffres ?
Selon les études publiées par la CNAM, près de 41 000 personnes, résidentes sur notre contrée, ont été taxées d’insuffisance cardiaque en 2020, soit 1,5 % de la population totale de la Bourgogne Franche-Comté. Sachant que la prévalence de l’insuffisance cardiaque est légèrement plus basse, soit de 1,3 %. Si cette même prévalence augmente significativement avec l’âge, elle se situe dans tous les cas (40 ans et plus, 60 ans et plus, 75 ans et plus) bien supérieure en Bourgogne Franche-Comté qu’en France, avec respectivement + 2,6 % (40 ans), 4,5 % (60 ans) et 8,8 % (75 ans). On dénombrait plus de 6 000 personnes qui, pour le seul territoire de l’Yonne, sont classifiées dans la catégorie des personnes insuffisantes cardiaques en 2020.
Autres données intéressantes : l’âge médian de la personne insuffisante cardiaque s’élève à 82 ans (il existe peu d’écart d’un département à l’autre en Bourgogne Franche-Comté) et 6,2 % résident en EHPAD sur l’ensemble du territoire régional avec une envolée à 7,5 % pour l’Yonne, département qui enregistre le taux d’occupation en EHPAD le plus élevé.
Quant aux hospitalisations de ces patients, elles concernaient près de 15 % d’entre eux au moins une fois sur les deux dernières années avec un taux de ré-hospitalisation particulièrement important dans l’Yonne où près d’un tiers des patients hospitalisés le sont pour une rechute pathologique imputable à l’insuffisance cardiaque à six mois.
Enfin, les écarts de taux de mortalité de patients insuffisants sont importants au sein de la région : il est de 44 % dans la Nièvre, de 37 % dans le Doubs et en Côte d’Or ; l’Yonne se situant dans la moyenne.
Un mot, également sur les thérapeutes. En 2022, la Bourgogne Franche-Comté accueille 211 cardiologues en exercice en tant que libéral ou salarié d’un établissement. Un peu plus de 70 % d’entre eux exercent en ville à temps plein ou à temps partiel. Quant à la densité de la profession, elle est en deçà de la densité nationale qui est de 7,6 pour 100 000 habitants pour la région et 10,9 pour la France. L’Yonne fait malheureusement partie des territoires où la densité de praticiens cardiologues est inférieure à la moyenne nationale, avec 7,4. Il serait grand temps de remédier à cela et d’inverser enfin cette tendance démographique des cardiologues qui ne nous est pas favorable…
Thierry BRET
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Une nouvelle appellation et de nouveaux statuts expliqués dans l’Yonne : « Renaissance » se substitue à LREM…
septembre 29, 2022Le faire-part de ce baptême politique a été officialisé le 17 septembre dernier. A l’issu d’un vote devant mobiliser plus de 25 000 adhérents dans l’Hexagone. Le parti présidentiel, « La République en Marche » (LREM) troque son appellation originelle au profit de « Renaissance ». Un concept où viennent se greffer deux autres formations de la majorité présidentielle, AGIR et Territoires de Progrès. Dans l’Yonne, les explicatifs de cette construction feront l’objet d’une conférence de presse, vendredi à Auxerre…
AUXERRE : C’est un nouveau chapitre de la vie politique nationale qui vient de s’ouvrir. De manière quasi consensuelle puisque les militants de « La République en Marche », invités à s’exprimer via un vote en interne il y a quelques jours, se sont manifestés à 83 % en faveur de la nouvelle direction, à 87 % pour les nouveaux statuts du parti et à 96 % pour le corpus des valeurs exprimées. Avec en sus, le choix d’une nouvelle appellation, « Renaissance », et la désignation d’un nouveau responsable devant animer les équipes, le secrétaire général Stéphane SEJOURNE. Une figure déjà connue dans l’échiquier politique en sa qualité de président du groupe « Renaissance » au sein du parlement européen…
Ce nouvel ensemble politique s’appuiera aussi sur la présence des partis AGIR La Droite Constructive et Territoires de Progrès, en qualité de « formations associées ». Démontrant ainsi que la volonté du chef de l’Etat n’a pas changé d’un iota depuis sa réélection au printemps entre « dépassement politique entre la droite et la gauche » afin de constituer la majorité présidentielle.
Un point presse pour expliquer les modalités d’actions de cette construction…
Dans l’Yonne, une conférence de presse, accueillie dans un bar de la place des Cordeliers à Auxerre ce vendredi en début de soirée, permettra de présenter les modalités d’actions à mettre en exergue par les différentes composantes de « Renaissance » pour continuer à soutenir le travail du Président de la République et son gouvernement.
Aux côtés de Patrice-José TAMPIED AZURZA, référent de « La République en Marche » dans l’Yonne, le président d’AGIR 89, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, et la cheffe de file de « Territoires de Progrès 89 », Muriel VERGES-CAULLET, donneront des éléments de réponse permettant de mieux appréhender la construction de ce projet d’un avenir commun.
En amont de ce rendez-vous avec les médias, les trois personnalités politiques du sérail échangeront également avec les militants de chaque formation.
Thierry BRET
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Fiscalité : il y a du danger à investir dans l’immobilier avec une SCI !
septembre 28, 2022Avec une crise économique qui impactera directement les cours de la bourse, la restructuration des patrimoines se fera nécessairement vers les investissements immobiliers. On peut acheter directement ou par l’intermédiaire d’une société civile : la SCI (Société Civile Immobilière). Il existe des modes en matière de création juridique des sociétés. La SCI est hélas trop souvent présentée comme une panacée. Dans le cadre de la création d’entreprise, on ne doit jamais commencer par se dire, « je crée une SCI » ou une « SARL »… Non, le choix juridique correspond au panier qui contient un projet et des personnes. La SCI présente des avantages et des inconvénients considérés comme autant de pièges !
TRIBUNE : C’est la liberté la plus totale ! Pas de montant minimum, quel que soit le montant de l’investissement, deux actionnaires minimum, les associés se répartissent les parts comme ils le veulent et choisissent le démembrement des parts, « nue propriété et usufruit ». Si une SCI ne peut pas être unipersonnelle, on peut contourner légalement cette disposition. Pour avoir votre SCI tout seul, il suffit de créer une société holding unipersonnelle (comme une EURL ou une SASU), puis de vous associer avec votre société unipersonnelle pour créer votre SCI. Ainsi, il y a bien deux associés, mais en fin de compte, vous êtes la seule personne physique.
Démembrer les parts, c’est une possibilité qui peut faciliter les aspects de la transmission du patrimoine. On démembre ainsi les parts, en parts de nue propriété, parts d’usufruits et plus récemment en parts de « fiducies » ou de « quasi-usufruit ». La fiducie est parfois pratiquée pour désigner le ou les gestionnaires dans le cas d’héritage d’entreprises. Par rapport à une indivision classique, il peut être avantageux, financièrement et fiscalement, de créer une SCI. Attention, seul le notaire pourra vous indiquer si votre choix est judicieux et par conséquent comment orienter le testament.
On le comprend bien, même si on peut trouver des modèles gratuits de statuts de SCI, ne pas faire appel à un notaire ou un avocat semble suicidaire ! Honoraires de conseils, frais de publicité et frais d’enregistrement au Registre des Sociétés, il faut compter entre 3 000 et 5 000 euros.
Les inconvénients de la SCI…
Créer une SCI, c’est être immédiatement dans le collimateur de l’administration fiscale. Ceux qui pensent éviter de payer leurs dettes personnelles fiscales grâce à une SCI sont dans l’erreur. Par « l’action Paulienne », si le fisc démontre que la création de la SCI avait pour but de générer votre insolvabilité, il pourra saisir le bien quelle que soit la répartition des parts et leur démembrement.
Attention, le but est purement civil, ceux qui sont tentés d’augmenter les loyers en intégrant du matériel, se verront redressés fiscalement : rappels sur cinq ans de TVA et d’impôts sur les sociétés. Les salaires ou émoluments divers versés à des associés ne peuvent pas être pris en compte dans les charges de la SCI, mais intégrés dans les revenus imposables de l’associé. Le choix de l’option à privilégier, soit l’impôt sur les sociétés, soit l’impôt personnel concernant les revenus de la SCI fera encore l’objet de l’avis de l’expert.
Si vous êtes plutôt léger en matière de connaissance comptables, il faut prendre un expert-comptable. De plus, ne pas oublier de convoquer chaque année et dans les règles, les actionnaires pour l’assemblée générale et ensuite établir le rapport d’assemblée. L’expert pourra vous dire ce qui relève de l’AG ordinaire et de l’AG extraordinaire.
Oui, la SCI peut correspondre à une réalité d’investissement patrimonial pertinente mais attention DANGER ! Sur le net on a vu passer un dossier gratuit : « SCI, l’arme secrète des millionnaires ». J’ajoute, l’arme non secrète du fisc ! Et méditons cette pensée de Serge MIRJEAN : « Le percepteur est un homme vraiment intraitable dans l'exercice de ses ponctions ! ».
Jean Paul ALLOU
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