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Fer de lance du plan énergie élyséen : la pompe à chaleur a le vent en poupe mais gare au miroir aux alouettes
octobre 07, 2023Emmanuel MACRON a présenté fin septembre les grands axes de sa planification pour une écologie « souveraine », « compétitive » et « juste », promettant notamment d'annoncer en octobre une reprise du « contrôle sur le prix de l'électricité ». Sortie totale du charbon d’ici à 2027, état des lieux des réserves naturelles d’hydrogène, voitures électriques à tout crin ainsi que les RER métropolitains intègrent ce plan. Sans omettre les pompes à chaleur…
TRIBUNE : Sans entrer dans des détails trop techniques, une P.A.C (Pompe à Chaleur) est composée d’un compresseur, de deux échangeurs, et d’un détendeur. Pour la transformation de la chaleur extérieure à l’intérieur du logement, le processus se décline de la manière suivante : un fluide frigorifique capte les calories ambiantes à l’extérieur, elles passent ensuite d’un état liquide à un état d’ébullition. La vapeur passe ainsi par le compresseur qui l’expédie à haute pression vers le condenseur.
La P.A.C. est un bon moyen écologique pour chauffer son habitation. L’énergie utilisée est puisée dans des ressources durables et renouvelables (air, eau, sol). La consommation de la P.A.C. est faible en électricité, sous certaines conditions que nous verrons plus avant. Quant aux prix, ils varient de 2 500 euros (se méfier) à des prix moyens de 7 000 à 15 000 euros.
Comment investir dans une pompe à chaleur ?
L’Etat contribue à l’installation de ces P.A.C. grâce à des primes qui vont de 4 000 à 10 000 euros. C’est aussi l’accès à une multitude d’aides : MaprimeRenov, primes CEE (Certificat d’Economie d’Energie), Eco Prêt à taux zéro, prêt avance rénovation, taux réduit de la TVA à 5,5 %, chèques énergie, aides des collectivités territoriales…
L’un des principaux enjeux économiques du développement des P.A.C. porte sur la construction neuve et la rénovation. Le Président de la République mise sur elle pour la planification écologique. La fabrication d’un million de P.A.C., associée à la formation de 30 000 installateurs, constitue un défi important. La planification écologique prévoit de réduire les gaz à effet de serre de 50 % d’ici à 2030 !
Il existe d’autres leviers dans le cadre de ce plan : la fabrication des batteries et des panneaux photovoltaïques. Pour l’instant les immeubles ne peuvent pas, techniquement, être équipés de P.A.C.
Sept millions de passoires thermiques dans l’Hexagone
Le magazine « 60 millions de consommateurs » indique qu’il est important de bien faire calculer la dimension de la P.A.C. En effet, si elle est trop grande, la consommation d’électricité peu annihiler le gain en énergie. De plus, il est inutile d’installer une P.A.C. dans une passoire thermique. Un diagnostic énergétique s’impose et il est indispensable de bien isoler avant tout investissement.
Selon la Fédération Nationale de l’Immobilier (FNAIM), la France compte plus de 7 millions de passoires thermiques ! Et « 60 millions de consommateurs » de poursuivre : il faut se méfier des prix les plus bas comme des plus élevés, et s’assurer de la qualité de l’installateur.
L’exemplarité de la gouvernance ? Que nenni !
En conséquence, il doit être détenteur au moins de la Certification RGE QUALITE P.A.C. Il faut aussi penser à inclure dans le devis le SAV et l’entretien de l’appareil.
Les écueils concernant la P.A.C. alimentent les controverses. Nous sommes très loin d’avoir les capacités industrielles pour fabriquer un million de P.A.C. aujourd’hui.
Produire tous ces appareils, c’est d’abord l’enjeu de notre souveraineté énergique, et c’est loin d’être gagné alors que les coupures de courant nous ont menacées tout l’hiver dernier !
Plus grave peut -être ? L’Elysée a fait remplacer ses vieilles chaudières par des chaudières à gaz ! Notre Président et ses ministres roulent bien-sûr à l’essence. Ils ne font pas confiance à l’électrique. Une remarque : quand on veut assurer la promotion de l’écologie, il vaut tout de même mieux avoir un échantillon sur soi !
On peut encore faire mieux : si on met d’un côté tous ceux qui brassent de l’air et de l’autre, tous ceux qui nous pompent l’air, on a une climatisation intégrée et gratuite !
Jean-Paul ALLOU
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Les punaises mobilisent l’Etat : c’est le « Bébête show » !
octobre 06, 2023Avis aux cancrelats, blattes et autres cafards, vous avez du souci à vous faire pour vos retraites ! La concurrence est devenue très rude depuis quelque temps chez les nuisibles et autres parasites ; ces fameuses bestioles à multiples pattes et peu ragoûtantes à la vue qui dans la catégorie insectes envahissent de manière très effrontée nos univers cocooning, habituellement si sereins.
Si les rats ont élu domicile dans la plupart des arrondissements de Paris au grand dam de ses habitants, en créant une réelle typicité touristique qui fait rire les visiteurs du monde entier – que l’on se rassure, il n’y a d’ailleurs pas que dans la capitale de l’Hexagone que ces charmants mammifères prolifèrent à tout va à peine la nuit tombée au beau milieu des humains et des immondices qui jonchent certains trottoirs urbains ! -, voilà une nouvelle variante de cette invasion progressive du règne animal qui éclate au grand jour.
Faisant les choux gras de la presse ces jours-ci, provoquant même – ne riez pas, c’est du sérieux ! – une réunion de l’exécutif, cette semaine, en mode interministériel à Matignon, afin d’établir un authentique état des lieux et surtout un plan de bataille devant une situation qui semble déjà échapper à nos gouvernants ! A dix mois à peine de l’accueil des Jeux Olympiques en France : il ne manquait plus que ça !
Une hantise nocturne à ne pas en dormir du tout…
L’ignoble renégat à l’origine du mal n’est autre que…la punaise de lit ! Depuis lundi, il n’y a pas une manchette de journal, pas une accroche de « une » d’un vingt heures ou d’une radio périphérique qui ne tourne en boucle ou presque sur ce nouveau phénomène de société. Un cas d’école spécifique que la France semble découvrir avec des cris d’orfraie et une consternante innocence : la présence de ces minuscules animaux hétéroptères, avides de sang et de chair fraîche, se ruant sur l’humain la nuit venue !
Brrr, cela fait froid dans le dos rien que d’y penser : sans doute, la moelleuse couche de mon labrador qui ronfle bruyamment devant la chaude quiétude de la cheminée est-elle nettement plus accueillante que mon lit !
Déjà que les chauves-souris n’arrêtent pas de vampiriser nos espaces extérieurs dès la pénombre venue autour des fenêtres, voilà qu’un autre de ces prédateurs sanguinaires – la punaise de lit – va venir nous hanter chaque nuit avec ces petites pattes galopantes sur notre corps et nous incommoder en provoquant à cause de leurs succions malignes d’horribles démangeaisons. Celles-ci seront accompagnées de petites tâches rouge sang – le signe caractéristique de cette présence du démon ! -, à fleur de peau. Quel terrible tableau que celui-ci ! Il nous rendrait presque insomniaque !
Il y a péril en la demeure avec les punaises !
Jamais, les punaises de lit – rendons-leur cet honneur - n’ont connu un tel succès populaire par voie de presse ! L’Etat, on l’a appris de sources officielles, veille au grain Les cinéastes en cruel manque d’inspiration sont déjà sur les rangs pour tourner un biopic, diffusable sans doute sur NETFLIX !
Pensez, donc ! Aujourd’hui, dans cette France fleurant bon la modernité, le progrès technologique et social, l’attractivité à tout crin et le XXIème siècle pleinement assumé, la punaise de lit peut à elle seule mobiliser plusieurs ministères, voire autant de services de l’Etat, afin que l’on traite de son cas de manière hyper urgente, cela va de soi ! Cela change de certains dossiers autrement vitaux qui traînent parfois en longueur !
Y aurait-il péril en la demeure ? A priori, oui ! Car, l’indésirable insecte ne se cantonne pas aux « plumards » aurait savamment écrit Michel AUDIARD mais il batifole un peu partout dans notre environnement proche, investissant les rames de la RATP – il est vrai que ce cher métropolitain parisien est d’une rare propreté à ne pas oser mettre un pied par terre ; et ne parlons pas de l’odeur pestilentielle qui y règne ! -, les wagons de la SNCF – en règle générale, nettement plus accueillant en termes de salubrité que ceux de la RATP ! -, voire les sièges des avions fin prêts à quitter de nos aéroports.
La psychose de la punaise, priorité hexagonale !
La punaise voyage au frais des contribuables, se répandant un peu partout à la vitesse du son en quête de nouvelles proies ! Certains des voyageurs empruntant les transports collectifs n’osent même plus poser leurs têtes sur les reposoirs prévus à cet effet, ni même leurs bagages à main dans les soutes appropriées : bonjour la psychose !
Comme de bien entendu, un nouvel épisode de la COVID nous revient avec force lors de cette excellente période automnale en surchauffe qui accentue la prolifération de toutes les saloperies qui volent dans les airs : le marasme est à son comble chez nos Français qui se sentent « punaisés » à leur triste sort !
Pendant ce temps-là, le monde ne tourne toujours pas rond au quotidien, entre les spasmes des conflits, les soubresauts du réchauffement climatique, les faits divers toujours aussi sordides, les miasmes engendrés par la pénurie d’eau et les catastrophes naturelles, l’inflation expansionniste qui décime les espérances de vie des plus précaires, les dérives des flux migratoires, les états d’âme des puissants qui font et défont la planète, ne pensant qu’à une seule chose : l’exploiter jusqu’au trognon !
S’y besoin, en y employant la force et la méthode impérialiste la plus pérenne : l’autorité !
Bref, il est donc grand temps, pour nous autres Français, de trancher dans le vif sur un vrai sujet de société en proposant le référendum citoyen sur l’acceptation ou pas de la punaise dans notre lit !
Thierry BRET
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Une ingénierie financière multipartite pour la reprise d’une PME : le bel effet miroir de TREMPVER est à dupliquer !
octobre 06, 2023C’est l’un des fleurons industriels de la Puisaye-Forterre. Surtout, la partie Forterre, une petite bande territoriale dont le fief n’est autre que Courson-les-Carrières. En déplacement il y a quelques jours en cet endroit, le troisième vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté Nicolas SORET s’est immergé avec délectation et grand intérêt chez TREMPVER. Une belle pépite industrielle aux 7,7 millions d’euros de chiffre d’affaires annuels qui rayonne bien au-delà de son secteur géographique sur le segment de la verrerie…
COURSON-LES-CARRIERES : Il regarde. Il scrute. Il observe. Il hume l’atmosphère ambiante. Saine. Tranquille. D’un pas lent, il s’informe auprès des dirigeants en cheminant dans l’atelier. Regardant les salariés – ils sont au nombre de quarante-huit à l’heure actuelle à exercer leur savoir-faire dans l’entreprise – qui s’affairent près de l’un des nombreux outils de production accueillis dans cet antre du verre trempé. On a beau dire mais vingt-quatre années d’expérience et de progrès technique sur ce secteur d’activité, cela se constate dans les gestes empreints de dextérité des collaborateurs.
Et pourtant, son mandat – le portefeuille comprend le développement économique, les finances, l’emploi, l’économie sociale et solidaire – l’a habitué depuis qu’il en a la charge à visiter bon nombre de structures entrepreneuriales aux quatre coins de notre contrée régionale. Dire que Nicolas SORET est bluffé en ce moment dans ces lieux, il n’y a qu’un pas !
Un partenaire majeur de la transmission d’entreprise : la Région
S’accordant du temps pour parfaire sa découverte bien loin de Joigny, Nicolas SORET jubile et cela transpire dans son regard ! Normal, en vérité. Car au-delà d’une simple visite de courtoisie, accordé par un élu de terrain ayant des liens directs avec la présidente de la Région – l’institution possède la compétence économique, que diable ! -, Nicolas SORET savoure et approuve ce que le pouvoir exécutif régional est capable de réaliser pour faciliter la transmission d’entreprise.
« Le Conseil régional est un partenaire majeur de ces transmissions d’entreprise, soulignera le président de la CC du JOVINIEN, lors de sa prise de parole, satisfait de la tournure des opérations, rondement menées ici même à Courson-les-Carrières.
Et là, démonstration chiffrée à l’appui, Nicolas SORET explique la véritable raison de sa présence en cette Forterre qui mériterait amplement d’accueillir afin d’optimiser son attractivité d’autres joyaux de l’envergure de TREMPVER.
« Ce qui est très intéressant dans ce dossier de transmission, précise l’élu régional, c’est que la nouvelle gouvernance de TREMPVER – le successeur du dirigeant fondateur Didier COINDOZ se nomme Christophe WEIBEL – à utiliser plusieurs dispositifs financiers, pensés et développés par la Région… ».
Une intervention directe de la Région via le fonds « Invest Défi 3 »
Dans l’absolu, et pour faire simple, le projet de reprise a bénéficié d’un subtil et complexe montage financier, prenant en compte de l’ingénierie financière (fonds de co-investissement, avance remboursable) mais aussi aide d’opérateurs soutenus par la collectivité elle-même. Dans le viseur, notamment l’AER, Agence Economique Régionale ou la structure pilotée par Angélique COEURDOUX, la fameuse association INITIACTIVE 89. De précieux auxiliaires qui vont conseiller et accompagner le futur repreneur dans l’accomplissement de son projet.
Epaulé par le cabinet ARCEANE, rachetant 100 % du capital avec UI Investissement, la société de gestion qui porte les fonds de co-investissement de la Région, Christophe WEIBEL, méthodique, va solliciter une avance remboursable « transmission » auprès de la Région de 200 000 euros.
Mais, ce n’est pas tout ! Et comme un bonheur ne vient jamais seul, l’entrepreneur profite également de l’intervention « directe » de la Région au niveau du financement : grâce au fonds baptisé « Invest Défi 3 ».
Tout est dit ou presque dans l’appellation ! Souscripteur de ce fonds à hauteur de 25 %, la collectivité régionale n’a pas ergoté quant aux moyens à attribuer au projet. 1,4 million d’euros ont ainsi été consentis avec le concours de l’exécutif, pour partie en actions et en obligations convertibles. Une manière adéquate d’entrer au capital de TREMPVER pour une durée de cinq à sept ans, avec le concours de BDR Invest (Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté) et BFC Croissance (le corollaire porté par la Banque populaire régionale et du pays de l’Ain).
Modernisé, automatisé, l’outil de production générateur d’emplois sur ce bassin de Forterre où les industries ne sont pas florès, crée une indiscutable plus-value à l’attractivité territoriale. TREMPVER dispose d’un catalogue de 280 clients professionnels répartis aux quatre coins de l’Hexagone. Ne pas délocaliser était aussi une volonté de la Région qui se bat pour préserver le savoir-faire industriel de notre territoire.
« Nous ne pouvions pas prendre le risque que ce centre de décision puisse quitter la région, estime Nicolas SORET, c’est le sens de notre investissement aux côtés du repreneur… ».
Le spécialiste du façonnage et de la transformation du verre plat – la PME fabrique des parois de douche, des escaliers, des dalles de sol, des écrans de protection – sait s’adapter aux exigences des cahiers des charges de ses clients pro, et entend poursuivre ses activités sur cette voie. C’est la politique managériale que suivra Christophe WEIBEL, heureux propriétaire d’un joyau contenu dans un écrin de verre. Trempé ? Assurément !
Thierry BRET
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De l'Yonne au département du Rhône, il n'y a qu'un pas ou deux ! Celui qu'ont franchi les PECHERY antan à « L’Auberge du Pot d'Etain », sise à l'Isle-sur-Serein (article publié voici quelques semaines estivales). Bienvenue à Marchampt, petit village d'environ 500 habitants, plaisamment entouré de collines arborées ! La vigne n'est jamais très loin et la commune, sur l'aire d'appellation du Beaujolais n'y produit que des « beaujolais-villages ».
MARCHAMPT (Rhône) : Pour arriver ici, on traverse quelques vignobles aux noms évocateurs : Chiroubles, Juliénas, Saint-Amour. Quant à Beaujeu, la « capitale » du Beaujolais, elle n'est pas très loin, après le mont Tournissou (817 mètres), au cœur de cette fort jolie région, à découvrir peut-être. « Une Table dans le Verger » : c'est le nom de ce petit restaurant qui mentionne « cuisine bistronomique ». « Vous allez bien manger », nous dira une villageoise, à laquelle l'on demanda notre chemin.
Le verger est bel et bien là. Avec de magnifiques pommiers, encore chargés de fruits en ce début d'automne. Il est précédé d'une terrasse et de la porte d'entrée que l'on pousse allègrement. Dehors, par tracteur interposé, les gamins jouent paisiblement ! On a un peu l'impression d'entrer dans une maison chez quelqu'un ! Visible depuis notre table, la cuisine n'est guère spacieuse, mais elle semble bien adaptée ! En semaine, le menu de vraie cuisine est à 19,50 euros et le samedi à 28.
L'Yonne demeure un rien présente puisque l'apéritif est accompagné de bonnes gougères ! Deux choix d'entrée, de plat et de dessert sont proposés.
Une excellente recette de truite à la peau croustillante…
En entrée, le velouté de moules au safran est bien assaisonné et goûteux. Le fenouil dans le bouillon est adapté. Même si le goût du safran ne ressort pas particulièrement, cette entrée est bonne. Mentionnons aussi la qualité du pain. Les tables sont occupées d'habitants du coin, heureux de cette opportunité ouverte depuis deux ans dans leur proche environnement.
Le poisson du moment est un filet de truite à la peau croustillante, décliné avec un beurre blanc à la vanille et une impeccable julienne de légumes. Très bonne assiette aux goûts francs. Le plat de viande est une poitrine de veau, duxelles de champignons, et une excellente purée de pommes de terre (bravo !). Cela change de l'écrasé de pommes de terre, tellement à la mode, un peu comme une purée que l'on aurait la flemme de terminer !
Rendre justice aux bons crus du Beaujolais
En salle, la patronne nous explique faire régulièrement des dégustations chez les vignerons locaux, qui ainsi tournent sur la carte des vins, plutôt bien achalandée. Là aussi, l'Yonne a encore droit de citer ! Mention spéciale pour notre bon « beaujolais-village », cuvée « Le Désert » du vigneron local Germain SANTAILLER. Dans les années passées, les crus du Beaujolais ont peut-être nui de l'injuste image dominante et éphémère du Beaujolais nouveau de novembre. Il semble que les dix appellations (Juliénas, Chenas, Régnié....) aient repris toute leur place et ce n'est que justice.
Une vraie chance de trouver de telles tables dans les campagnes
L'assiette de fromages comprend notamment un délicieux Saint-Félicien, crémeux à souhait. Juste avant un bon dessert de saison, point trop sucré, soit un crumble aux pêches rôties, glace verveine.
Ce fort bon déjeuner du samedi se termine en terrasse, avec le café, tandis que l'on admire la campagne environnante. C'est une chance de trouver encore pareille table dans un village, songeai-je alors en repartant...
En savoir plus :
Les - : le service est peut-être un brin longuet, mais bon, c'est samedi !
Les + : le bon rapport qualité-prix. Si d'aventure, vous passez par ici, laissez-vous tenter !
Contact :
Une Table dans le Verger
160, Rue du Verger
69430 MARCHAMPT
Tel : 04.69.37.65.79.
Ouverture du mardi au samedi : restaurant et salon de thé, parking à proximité.
Gauthier PAJONA
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Un atout cœur dans la "com" chez LECLERC à Auxerre : Marie ROCHE, tout pour le marketing stratégique !
octobre 04, 2023Son sourire est éclatant. Son enthousiasme, tout aussi étincelant ! A 27 ans, la jeune Icaunaise originaire de Pourrain, bardée de diplômes dont un Master en marketing stratégique et de folles expériences professionnelles obtenues chez les cadors de l’industrie hexagonale (CAP GEMINI, AIRBUS…) vient d’endosser la vêture de responsable du marketing et de la communication au centre Edouard Leclerc d’Auxerre cet été. Une incontestable bonne pioche pour la structure, gérée par Jérôme CHAUFOURNAIS !
AUXERRE: Joli cursus que celui-là ! Et le sourire en plus, affiché sur un minois qui affirme ses prétentions. Ses ambitions, aussi ? A 27 ans, la demoiselle vient de boucler la boucle, avec un retour en force dans son territoire de prédilection, l’Yonne, depuis sa récente intégration au sein de l’un des poids lourds de la GMS. Un univers qui lui était jusqu’à l’heure étranger. Mais, qu’importe ! Il suffit d’avoir l’envie et de multiplier les expériences à satiété.
Il est vrai que la jeune femme, native de l’Yonne, a multiplié les déplacements entre Bordeaux et Toulouse ces dernières années, après son incorporation au sein de l’INSEEC Bordeaux, l’Institut des Hautes Etudes Economiques et Commerciales. La suite logique de sa prépa à HEC. Chez CAP GEMINI, d’abord, puis chez AIRBUS, ensuite : la jeune fille développe ses capacités intellectuelles parmi ces multinationales, au contact des meilleurs des apprenants. Dans l’Yonne, elle s’est essayée aussi à quelques expériences enrichissantes devant agrémenter son CV : FRUEHAUF ou un domaine viticole, non loin de Chablis.
Spécialiste en digitalisation, en sponsoring, en relations publiques et en RP (relations presse), Marie ROCHE possède déjà à 27 ans l’étoffe de la réussite. Une touche à tout qui devrait multiplier les initiatives et les opportunités pour le compte de la nouvelle entreprise qui l’emploie : le Centre E.LECLERC d’Auxerre. Un atout cœur dans la communication pour son dirigeant, Jérôme CHAUFOURNAIS !
Thierry BRET
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