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Jean-Christophe LAGARDE (UDI) : « L’Europe est dans l’impérieux besoin de devenir utile… »
février 08, 2019Le chef de file national du parti des démocrates et des indépendants n’en démord pas. L’institution européenne ne protège pas assez les entrepreneurs français de la concurrence déloyale. A l’intérieur en faisant référence aux travailleurs détachés dont la présence inonde des secteurs cruciaux de l’économie comme le bâtiment ou les transports. Ni à l’extérieur puisque l’abondance de produits américains et chinois sur le marché impacte les marchés sans que les normes soient identiques. Pire : la France rajoute des couches normatives là où il n’y en aurait pas besoin….
AUXERRE : Désormais, en matière de sémantique, les consommateurs français devront réviser leur latin avant de faire leurs courses. Une récente décision européenne oblige en effet les producteurs de légumineuses et de fruits à spécifier sur leurs étals la provenance de leurs produits.
Non pas, au plan de la localisation géographique, preuve de leur traçabilité mais bel et bien au niveau de la catégorie scientifique de l’article mis en vente. Ainsi, les variétés de salades et de tomates arboreront leur désignation latine !
Le texte officiel de cette subtilité linguistique émane de l’Union européenne.
« Une décision, parfaitement inutile, ironise le leader national de l’UDI, Jean-Christophe LAGARDE.
Tête de liste de l’Union des démocrates et des indépendants, le député de la cinquième circonscription de la Seine-Saint-Denis livre ses orientations à quelques mois de l’échéance.
La sécurité est l’un de ses chevaux de bataille. « Créons un FBI européen, précise-t-il, et dotons de plus de moyens humains et financiers FRONTEX, le système de gardes-frontières de l’Europe afin de maîtriser la politique d’immigration… ».
L’homme politique n’en omet pas moins d’évoquer l’avenir de nos industries. « L’intelligence artificielle a un rôle à jouer pour renforcer notre présence dans ce domaine. Il n’y a pas que la Chine ou les Etats-Unis qui doivent posséder le monopole en la matière ; la France doit intervenir sur ce sujet essentiel mais avec la complémentarité des autres pays européens… ».
Une complémentarité qui existe déjà et fait cruellement défaut à la France.
« Je trouve insensé de ne pas utiliser davantage les crédits européens dans l’Hexagone alors que bon nombre de nos partenaires de l’Union y accèdent à profusion… ».
Il n’y a pas d’Europe sans agriculture…
Pan de l’activité économique capital à ses yeux, Jean-Christophe LAGARDE fait plusieurs propositions. Il souhaite récupérer les trois milliards d’euros initialement versés aux Britanniques en cas de BREXIT pour les attribuer au budget de la Politique Agricole Commune (PAC). Si la sortie du glyphosate et du cuivre devient une nécessité environnementale, a contrario, il faut aider les agriculteurs à changer de méthode de production.
« L’avenir du monde agricole passe par l’avènement d’exploitations à taille humaine et raisonnable, concède-t-il, en d’autres termes, il est indispensable de privilégier le modèle français ! Cela passe par un plafonnement des aides à 100 000 euros, voire 80 000 euros, pour financer les vraies exploitations ; et non les « usines ». Enfin, et pour simplifier les démarches administratives, il faut préconiser la mise en place de contrats pluriannuels de cinq à six années. C’est devenu tellement compliqué que de nombreux agriculteurs ont recours dorénavant à des prestataires externes. Concrètement, si le professionnel doit investir, changer de méthode ou de produits, les règles ne changent pas durant cette période. Ce qui offre à l’agriculteur de réaliser des économies de paperasses supplémentaires… ».
En revanche, le responsable de l’UDI n’a pas caché son inquiétude pour le monde viticole.
« Le marché souffre actuellement du fait du BREXIT. Les Britanniques disposent aujourd’hui de stocks importants. Cela risque d’être catastrophique une fois que la Grande-Bretagne sera sortie de l’Union européenne… ».
Avant de sortir de l’Europe, s’inspirer du modèle britannique…
Evoquant la ruralité, la pensée de Jean-Christophe LAGARDE se rapproche de celle du chef de l’Etat : « il faut miser sur les métropoles qui sont des « premiers de cordée ». Mais, il ne faut surtout pas oublier les suivants ! Autrement dit, les métropoles doivent servir à l’ensemble du territoire. Pour ce faire, il ne faut pas fermer tous les services publics et surtout s’assurer qu’il y ait une meilleure redistribution des métropoles à la ruralité… ».
En guise de conclusion à cet entretien, le patron de l’UDI décrochera quelques flèches en direction de personnalités comme Marine Le PEN, Jean-Luc MELENCHON ou encore Nicolas DIUPONT-AIGNANT.
« Ils veulent que la France se désengage de l’Europe en ayant applaudi par exemple ce qu’ont décidé les Italiens et leur nouveau gouvernement. Mais, avec objectivité, il est important de regarder la situation délétère économique de la Grande-Bretagne. Et je rappelle que les Britanniques ne sont même pas encore partis ! ».
Une petite pichenette en direction de ces autres ténors de la politique avec une dose d’humour à l’anglaise…
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Le groupe BELLIER choisit l’Arizona pour gravir une marche supplémentaire à l’export
février 07, 2019Structure entrepreneuriale en perpétuelle croissance depuis ces trois dernières saisons, le groupe BELLIER livrera d’ici quelques jours ses premiers escaliers, des produits uniques conçus sur mesure, aux Etats-Unis, sous sa marque habituelle OEBA. La PME concrétise ainsi plusieurs mois d’intenses démarches consacrées à l’export vers le continent nord-américain. Et plus particulièrement dans l’état de l’Arizona où elle vient de prendre ses marques…
FAY-AUX-LOGES (Loiret) : Concevant des produits de belle facture, des escaliers traditionnels réalisés sur mesure à base de bois, de verre et d’inox, le groupe BELLIER entame ce mois-ci une phase stimulante de sa longue existence.
Ses deux premières commandes, des escaliers produits dans l’unité de production du Loiret, destinées à l’export seront livrées et posées sur le sol américain avant la fin de février.
Profitant d’une opportunité très bénéfique, Samuel POISSON, président de la SAS, mise aujourd’hui sur le volet de l’international pour faire croître l’outil de travail qui emploie aujourd’hui plus d’une cinquantaine de collaborateurs. Et de facto son chiffre d’affaires.
Une immersion en Arizona aura permis au dirigeant de la PME de nouer des liens stratégiques et précieux avec des architectes et constructeurs de maisons individuelles. L’objectif étant de capitaliser sur le savoir-faire de l’entreprise et les valeurs du made in France pour importer sur un marché américain aux fortes potentialités de développement des escaliers à la française.
Se situant sur la cible du moyen/haut de gamme, l’activité pourrait être soutenue à terme au pays de la bannière étoilée. En effet, peu de fabricant d’escaliers traditionnels y exercent leur influence.
L’ouverture d’un show-room à Phoenix à l’étude…
Représenté sur place par un consultant multicarte qui fait office aussi de distributeur, le groupe BELLIER ambitionne de réaliser un chiffre d’affaires de 400 000 euros dès le démarrage de cette nouvelle activité américaine. Du moins pour la première année. Avant d’envisager de dépasser le million d’euros de chiffre d’affaires, un objectif qui surviendrait un peu plus tard.
Développer un maillage territorial en Arizona, couplé avec l’ouverture d’un show-room à Phoenix, la capitale de cet état, permettraient très vite d’assurer la prospérité de la marque OEBA aux USA.
D’autant que les premières consultations commerciales, auprès de contacts implantés au Texas et dans d’autres états limitrophes, s’avèrent déjà probantes.
Même si le groupe ne possède pas encore d’expériences comparables à l’export, malgré une tentative qui se révéla infructueuse au Moyen-Orient il y deux ans (présence sur un salon professionnel à Abu Dhabi), BELLIER souhaite jauger le marché nord-américain afin de bien en comprendre les mécanismes. D’ailleurs, sa capacité, pour l’heure, se limite à ces projets circonstanciés en Arizona.
La PME aux 5,6 millions d’euros de chiffre d’affaires a bénéficié du soutien de BPI et de ses partenaires bancaires habituels pour consolider ce projet de développement extra-européen.
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Intelligence artificielle : la France n’a pas encore pris conscience des réels enjeux pour l’économiste Elie COHEN
février 05, 2019L’intelligence artificielle (IA) dont beaucoup d’exégètes de la sphère économique aiment se faire l’écho par voie de presse passionne le cénacle politique dont le député Les Républicains de l’Yonne, Guillaume LARRIVE. Ce thème aux enjeux sociétaux importants faisait l’objet d’une de ses questions au gouvernement, adressée mi-janvier au ministre de l’Education nationale Jean-Michel BLANQUER. Notamment sur son application dans le domaine de l’Education nationale. Profitant de la venue à la Maison de l’Entreprise de l’Yonne de l’un de nos plus brillants économistes, Elie COHEN, l’homme politique icaunais a pris soin d’interroger directement l’érudit sur sa vision personnelle d’une thématique qui pourrait révolutionner à brève échéance bien des aspects fonctionnels de notre monde…
AUXERRE : Même si les propos de l’économiste lors de sa conférence donnée devant un parterre de chefs d’entreprise ne se cantonnaient pas à l’approche globale de l’intelligence artificielle, il ne pouvait occulter un tel sujet au moment des échanges avec l’auditoire.
Brossant jusque-là, et avec beaucoup de réalisme le panorama d’une situation conjoncturelle plus que délicate pour notre planète, Elie COHEN aborda l’un de ses thèmes de prédilection actuels. Grâce à une perche interrogative que devait lui tendre une de ses « connaissances » en la personne du député de l’Yonne, Guillaume LARRIVE.
Assis au premier rang et très attentif au moindre mot prononcé par l’interlocuteur durant son long exposé, l’élu de la seconde circonscription fut prompt à poser l’une des questions initiales de cet échange de belle facture. L’intelligence artificielle s’invitant ainsi dans cette conférence où jusqu’alors Elie COHEN avait effectué une vaste circonvolution analytique de notre monde en déliquescence à grand renfort d’arguments empruntés à la géopolitique, aux milieux de la finance et à la macro économie.
Il est vrai que ce sujet de l’intelligence artificielle n’avait rien de décalé dans le débat du jour. Il ponctue l’actualité, parfois à grands coups de manchettes explicatives au détour de la presse spécialisée.
Sériant son intervention, le député de l’Yonne souhaitait en savoir davantage sur l’impact et l’évolution de cette intelligence dite technologique sur la société française et son système économique. Une question précise qui nécessita une réponse qui devait l’être tout autant de la part du conférencier.
La France accuse du retard sur la Sillicon Valley et la Chine…
Derrière le contexte de la technologie pure, l’intelligence artificielle et son application de plus en plus prégnante parmi notre société induisent nécessairement des interrogations sociétales, voire politiques que tout un chacun est en passe de se poser. Des choix de vie et d’orientation que souhaitent approfondir les décideurs des pouvoirs publics.
Se référant à une étude récente publiée par l’organisme américain d’analyses sociologiques Mc KINSEY, Elie COHEN n’a pas fait de fioritures pour donner ses éléments de réponse à la question du parlementaire.
La France ne figure pas parmi les cinq pays au monde ayant bien pris en compte les réels enjeux et conséquences de l’intelligence artificielle sur son mode sociétal. Ni même sur les implications économiques.
« C’est un vrai problème que nous observons aujourd’hui, continua-t-il, nous avons sous-investie massivement dans ce secteur et n’avons pas pris pleinement conscience de ses véritables intérêts… ».
Pourtant, Elie COHEN admet que des tas de projets ont vu le jour ici ou là à travers l’Hexagone. Que des « tas de gens s’agitent avec véhémence autour de ces concepts ». Oui, mais voilà : la France ne possède pas la clairvoyance ni le dynamisme de la Sillicon Valley américaine. Ni le système applicatif de grandes firmes chinoises, elles-mêmes soutenues par leur gouvernement, pour obtenir de facto la pleine maîtrise de ce sujet.
« Ne nous y trompons pas, clame l’orateur, les Chinois ont pour objectif d’être les leaders en la matière dans un avenir très proche. Nous autres, Français et Européens, ne sommes pas de la bonne taille pour être à la hauteur des vrais enjeux de demain au niveau de ces technologies. Nous ne convergeons pas vers une vision globale et pratique de leur usage… ».
Il n’est pas certain, au terme de cet échange inattendu entre l’économiste et le politique, que les réponses de l’orateur aient pleinement rassuré ce dernier. Toutefois, et Elie COHEN de le rappeler avec une note d’optimisme, il est vraisemblable, que l’intelligence artificielle aura un impact indéniable sur certains secteurs de l’activité économique, à commencer par celui de la santé. Demain, et grâce à l’utilisation de ces auxiliaires technologiques novateurs, des interactions apparaîtront entre les praticiens et les aides obtenues grâce à l’apport de l’intelligence artificielle. Sans qu’il y ait un recul de l’emploi. Bien au contraire…
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Alliance Renault/Nissan/Mitsubishi : le drame shakespearien en plusieurs actes ne fait que commencer…
février 04, 2019Il y a maintenant vingt ans, la société NISSAN allait droit vers la faillite. Un fleuron de l’industrie automobile japonaise prenait le chemin du cimetière des éléphants. Le Japon, comme l’Allemagne, après avoir été dévasté par la guerre, caracolait de nouveau à la tête des nations industrielles dans le monde. La France, elle, continuait son petit bonhomme de chemin, avec une industrie à sa place où depuis des siècles, nous enregistrions de belles réussites…
TRIBUNE : Disposant de belles PME actives, de quelques grands groupes industriels et de régions industrieuses, la France, face aux pays anglo-saxons, l’Allemagne d’abord puis le Japon, n’a jamais fait vraiment le poids. Depuis toujours, le déficit du commerce extérieur demeure un problème lancinant pour nos dirigeants politiques.
La régie Renault, symbole du « Colberto-étato-techno » culturel français, tenait pourtant sa place sur le marché français de l’automobile. Mais, ce système ne brillait guère à l’étranger. Aussi, peut-on être admiratif pour son patron de l’époque, Louis SCHWEITZER, d’avoir osé ce formidable défi : tenter de faire sauver Nissan par la marque aux losanges.
Exactement vingt ans plus tard, l’alliance « Renault-Nissan-Mitsubishi » est devenue le premier constructeur mondial d’automobiles. C’est le pari de Louis SCHWEITZER et l’œuvre de Carlos GHOSN. Le choix de ce dernier est également à mettre à l’actif de Louis SCHWEITZER. Fermez le ban !
Donc, en l’espace de deux décennies ans, un franco-libano-brésilien a su créer le premier groupe automobile du monde à partir d’une entreprise au bord du dépôt de bilan, d’une régie qui ne jouait pas vraiment dans la cour des grands en lui enjoignant un troisième groupe automobile japonais. Petit rappel en quelques chiffres : en 2018, Nissan a produit 5,81 millions de véhicules, Renault en a sorti 3,76 millions de ses usines et Mitsubishi à peine 1,03 million.
Ce n’est pas rien. Mais une évidence saute aux yeux. Dans cet ensemble, les Japonais produisent 6,84 millions de véhicules et les Français 3,76 millions de modèles. Vous avez tout compris...
Les Japonais veulent bouger les lignes sans ménagements pour leurs partenaires…
Et le champion de tout cela a été arrêté à sa descente d’avion à Tokyo pour malversations financières personnelles. On ne sait pas exactement ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas. Ce qui est important et ce qui ne l’est pas. Et ce qu’on lui reproche véritablement…
En revanche, personne de sérieux ne peut croire que les dirigeants de Nissan pouvaient ignorer cela depuis des années. Le Japon, comme chacun sait, est une société encore féodale. Les liens entre les grandes entreprises, les hauts fonctionnaires, et la classe politique forment un réseau inextricable.
Aussi, cette affaire relève du drame shakespearien tel Macbeth. Les Japonais veulent reprendre le pouvoir et tout bousculer sur leur passage. Contrairement à toutes les déclarations sur la pérennité de l’Alliance, le drame shakespearien ne fait que commencer.
Les Japonais veulent changer les choses sans ménagements pour leurs partenaires français. Avec tous les risques que cela comporte…
Quelques chiffres mettent en évidence que cette alliance était devenue au fil des ans déséquilibrée.
Renault détient 43,4 % de Nissan tandis que Nissan ne détient que 15 % de Renault. De plus, l’État français, profitant d’une loi de circonstance, dite loi Morhange, bénéficie de droits de vote double chez Renault. Nissan est donc le deuxième actionnaire de Renault après l’État français.
En contrepartie de cette situation, pour le moins bancale, Renault s’est engagé à ne jamais s’opposer à la direction de Nissan au sein du conseil d’administration de Nissan.
Certes Carlos GHOSN a été frappé par la malédiction grecque : « Zeus rend fou ceux qu’il veut perdre… ». Il a donc trop tiré sur la ficelle des avantages personnels. Mais la question n’est pas là. Quels que soient ses torts sur le plan fiscal et celui de l’éthique. Non, la vraie question reste la vision réelle de l’Alliance qu’ont les Japonais.
Prenons notre place dans ce théâtre shakespearien de l’automobile et voyons la suite de cette pièce en plusieurs actes qui ne fait que commencer, contrairement à tout ce qu’on nous raconte. Comme le disait le maître de la littérature britannique, ce sera « very exciting » à suivre !
Emmanuel RACINE
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Le carton devient le meilleur allié des packagings et consommables de FESTINS, entreprise eco-responsable…
février 02, 2019Unique traiteur de Bourgogne à bénéficier de la certification ISO 20211, la société de Chemilly-sur-Yonne se distingue, une fois de plus, dans le domaine du développement durable en ce début d’année. Ses dirigeant, Evelyne et Didier CHAPUIS, ont décidé de proposer l’intégralité de leurs packagings et consommables à base de carton. Après les assiettes en pulpe de canne, les couverts en bambou ou les verres réutilisables, la PME aux 250 collaborateurs déploie encore un peu plus ses ailes en faveur de la sauvegarde de l’environnement…grâce à des matériaux 100 % recyclables.
CHEMILLY-sur-YONNE : Créé en 1992 par ce couple mythique de la restauration et de l’art de la réception dans l’Yonne, le groupe FESTINS fait figure de modèle entrepreneurial incontournable du paysage gastronomique et festif de Bourgogne Franche-Comté.
Mais aussi, de la région Centre et de l’Ile de France puisque la structure y possède également plusieurs représentations commerciales et unité de production et y a transféré son savoir-faire.
Depuis plusieurs années, FESTINS a choisi de s’engager en faveur du développement durable. Par le biais d’une politique d’achats qui se veut responsable.
Adepte des circuits courts, l’entreprise accorde sa confiance aux producteurs du terroir et favorise l’accès aux produits de saison pour composer ses multiples plats et recettes culinaires. Ceux-ci sont concoctés sous la conduite du chef, Jean-Claude LESAGE, dans l’antre du siège social.
Directeur des achats au sein du groupe, Philippe HELIERE n’a pas hésité à placer la thématique du développement durable parmi ses priorités. Le lancement d’une vaisselle biodégradable et recyclable s’est imposé comme une évidence.
En ce début d’année, le carton vient compléter l’offre déjà éclectique de produits qui conforte FESTINS dans ses choix.
60 % de fournisseurs engagés dans une démarche environnementale…
Le groupe aux deux boutiques localisées à Paris et une, historique, ouverte en Côte d’Or à Marsannay-la-Côte dès 2001, poursuit sans varier d’un iota son petit bonhomme de chemin vers la voie optimale de la qualité et de la protection environnementale. Jusque dans la sélection de ses fournisseurs.
Celle-ci suppose un cahier des charges drastique en amont. 60 % de ces prestataires ont précisément fait le choix de suivre l’approche écologique et environnementale du couple CHAPUIS. Dont une trentaine est située en Ile de France et en Bourgogne.
Dans le concret, les férus des produits FESTINS retrouvent ces critères de qualité dans la viande d’origine française, les poulets fermiers Label Rouge de Bourgogne, les poissons issus de la pêche durable ainsi que les fromages régionaux.
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