Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743
Européennes : François-Xavier BELLAMY en vrai chef d’orchestre des Républicains veut éviter les fausses notes
février 17, 2019Désigné à la surprise générale par Laurent WAUQUIEZ pour conduire la liste des Républicains aux futures échéances européennes du 26 mai, le philosophe de 33 ans, âge empli de symbolique, incarne le renouvellement d’une droite plurielle qui veut faire abstraction de ses divisions latentes. Aux côtés d’Agnès EVREN, vice-présidente de la Région Ile de France et du député sortant, le Louhannais Arnaud DANJEAN, l’élu de Versailles entend bien interpréter une partition collective aboutie, à l’image d’un chef d’orchestre vertueux à l’écoute et au diapason de ses instrumentistes…
PARIS : Le pari est-il risqué pour la formation politique présidée par Laurent WAUQUIEZ ? En adoubant un trentenaire, fraîchement émoulu du cénacle politique, et en le plaçant sur le devant de la scène nationale, le chef de file du principal parti de l’opposition à la majorité présidentielle casse les codes usuels dans la constitution d’une liste électorale. Il n’y aura pas de leaders charismatiques parmi le trio de tête de cette sélection représentative de compétences, devant faire campagne à hue et à dia, à travers la France jusqu’au printemps.
Des flèches acérées de la part des Républicains eux-mêmes…
Un choix qui n’a pas l’heur de faire l’unanimité parmi les rangs des Républicains. Valérie PECRESSE et Jean-François COPE, dont c’est le grand retour depuis quelques semaines dans la bulle médiatique, ont vertement critiqué cette nomination. L’ancien responsable de l’UMP et maire de Meaux n’y a pas été de main morte dans ses commentaires acerbes décochés contre la jeune tête de liste.
Ce dernier s’interroge même sur le bien-fondé de cette désignation, arguant qu’il n’était pas certain de déposer dans les urnes le jour J un bulletin au nom de l’élu versaillais !
Son de cloche similaire, quoique un peu plus nuancé du côté de la responsable de « Libres ! ». La présidente de la région Ile de France, Valérie PECRESSE, considère peu représentative la liste des Républicains aux Européennes. Celle-ci ne portant les valeurs que d’une droite « minoritaire » sur les grands enjeux sociétaux.
François-Xavier BELLAMY n’a pas tardé de monter au créneau afin de réagir sur l’envoi de ces flèches empoisonnées qui l’attristent profondément. Lui qui désire à l’instar d’un chef d’orchestre être rassembleur au sein de sa propre famille se désole de ces signes ostensibles de désaccord.
Pourtant, la garde rapprochée de Laurent WAUQUIEZ a donné quitus au jeune enseignant en philosophie. A commencer par le secrétaire général délégué des Républicains, le député de la première circonscription de l’Yonne, Guillaume LARRIVE, qui l’accompagnait lors de sa première immersion en terre de l’Yonne, le 07 février dernier.
Ce jour-là, aux côtés de ses deux colistiers qui constituent le trio de tête de cette liste aux 79 noms, François-Xavier BELLAMY avait pu découvrir l’une des richesses économiques de ce territoire rural, la viticulture en visitant l’exploitation du Domaine Serge BIENVENU à Irancy. Avant de pouvoir disserter sur les bienfaits de l’Europe et expliquer le programme porté par Les Républicains face à de jeunes sympathisants et militants qui étaient conviés à la salle des fêtes de Migé.
Mais, qu’importe ! Le jeune homme à la tête bien remplie ne souhaite pas s’alanguir davantage sur ces épiphénomènes de circonstance. Son objectif est de creuser son sillon vers un rassemblement le plus fédérateur possible, et de manière très éclectique, bien au-delà de son propre camp.
Un profil très conservateur qu’il qualifie de « personnel »…
L’adjoint au maire de Versailles affûte ses armes ; d’autant qu’il peaufine encore cette fameuse liste qui sera intégralement dévoilée d’ici le 16 mars. Avec peut-être, quelques surprises à la clé.
Incarnant la jeunesse et surtout le renouvellement de la politique, François-Xavier BELLAMY désire être au service des citoyens, afin de les réconcilier avec une Europe vertueuse, à l’écoute des territoires.
« Nous ne devons pas reproduire les schémas peu constructifs d’il y a vingt-cinq ans, aime-t-il préciser, l’Europe que je souhaite forte est un outil indispensable pour lutter contre la progression des populismes et de l’insécurité… ».
Le chef de file des Républicains aux Européennes n’est pas tendre avec le Rassemblement national. Un parti qu’il conspue.
Pourtant, depuis la date de sa désignation officielle, le 29 janvier, beaucoup à droite se questionnent sur le positionnement intellectuel du philosophe. Très conservateur, François-Xavier BELLAMY rejette le principe du mariage pour tous. Son refus de l’IVG perturbe les esprits des plus modérés de ses propres partisans. Engendrant bon nombre d’inquiétudes.
Qu’à cela ne tienne, le jeune homme qui excelle dans l’exercice de la communication, balaie cela d’un revers de la main et fustige le côté « réducteur » qu’ont fait de lui les médias de la presse parisianiste.
Sillonner l’Hexagone au cours de ces prochaines semaines permettra de démystifier l’image du jeune candidat qui veut être un représentant sérieux et utile au développement de l’Europe. Et dans l’intérêt de ses populations…
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Laurent STEINMANN, l’entrepreneur aux 28 millions d’euros de chiffre d’affaires : et si c'était le bon moment ?
février 12, 2019Pour créer votre entreprise... Retour sur une vie d'entrepreneur pour éclairer votre décision. Le parcours de Laurent STEINMANN et le développement de son (ses) entreprise(s) dans le monde entier sont exemplaires. Sa simplicité et son pragmatisme sont au cœur de l'esprit entrepreneurial, qu'il nous partage. A la lecture de ce témoignage, vous allez renforcer votre envie d'entreprendre. C'est le bon moment pour vous engager dans de nouveaux projets…
TRIBUNE : Quand vous rencontrez pour la première fois Laurent STEINMANN, vous savez, dès la première poignée de main, que vous êtes face à un entrepreneur décidé, convaincu, efficace.
Malin, stratège, exigeant, il annonce la couleur ! Dans le bureau qu'il a aménagé dans sa toute nouvelle usine, vous repérerez, si vous êtes attentifs, un chevalet : « Danger, explosive Boss ! ». Attention à vous !
On ne crée pas facilement, dans le monde agricole, un business de plus de 28 millions d’euros, dans une vingtaine de pays, en partant de zéro.
Ce dont il ne vous parle jamais, ce sont ces actions qu'il mène pour développer le « handisport », pour aider un ami à rebondir, pour appuyer avec discrétion, et toujours avec la même énergie, une association, une cause ou un partenaire loyal en difficulté.
Je vous propose une rencontre avec « deux » Laurent STEINMANN : celui qui, tout jeune, se lance dans l'aventure entrepreneuriale, et celui qui revient sur les enseignements de cette expérience bien remplie.
Quels sont vos premiers souvenirs du début de votre expérience entrepreneuriale ?
La première sensation, c'est la peur : peur d'échouer. De ne pas pouvoir nourrir sa famille, de ne pas réussir à vendre les premiers produits. Peur d'être rejeté. Envie de rester dans l'avion plutôt que de se lancer, au risque d'envier les professionnels qui se lancent dans le vide avec simplicité et, croit-on, des émotions contrôlées.
En fait, cette peur est salutaire. C'est votre sauvegarde à vous et à votre entreprise. Cette acuité, ce stress qui vous oblige à prévoir le pire, à anticiper, à imaginer des stratégies... A condition qu'elle ne vous inhibe pas.
Vous vivrez mille fois ces peurs ensuite : peur d'embaucher le premier salarié, peur de ne pas payer vos charges, peur de ne pas vous adapter à une réglementation dix fois trop exigeante, peur d'investir cinq ans de résultat dans un nouveau laboratoire, une nouvelle usine ou une nouvelle mission export. Peur de vous implanter aux quatre coins du monde. Peur de ne pas gérer la somme de galères quotidiennes.
Et comment ne pas être paralysé au moment de se lancer, et ensuite, par toutes ces peurs ?
Pour moi, la clé c'est de ne gérer qu'une peur à la fois. L'une après l'autre. Pour ne pas se paralyser. Mais surtout derrière la peur, il y a l'envie !
Au moment de vous lancer, demandez-vous si dans dix ans, vous préférerez avoir des souvenirs vécus ou des regrets. Dans vingt ans, votre vie aura-t-elle valu le coup d'être vécue pleinement, ou est-ce que d'observer les autres depuis l'avion vous convient mieux, « envoyer des cartes postales, plutôt que les recevoir ». Prendre des décisions vous fera craindre des cicatrices ou des échecs. Ne pas prendre vos décisions pourrait vous amener à avoir des remords, ou des frustrations.
Même si l'expérience d'un autre ne se transpose pas, qu'est-ce qui a aidé le jeune Laurent STEINMANN à réussir ses premiers pas?
Plusieurs choses : le fait d'avoir peu d'atouts, hors l'envie et la confiance de croire en moi. Pas d'études, pas d'héritage, pas les compétences techniques suffisantes pour qu'on écoute mes intuitions et mes convictions dans le domaine agricole. Donc l'obligation de le faire tout seul, le fait de n'avoir rien m'a vraiment aidé à y aller. Avec cette peur et cet aiguillon de devoir assumer ses responsabilités familiales.
La conviction aussi. Être un peu fou ne fait pas de mal. J'étais le seul à penser qu'il fallait traiter l'eau de pulvérisation avant de traiter les plantes. Comme aurait dit Coluche « laver la crasse propre ». Aujourd'hui, des millions d’hectares ont été vendus sur ce principe, par mon groupe, et maintenant par mes concurrents. Avoir des convictions, ça aide même si vous ne pouvez prévoir tout ce qui va se passer ni comment tout va se réaliser.
La chance aussi. Il y a beaucoup de hasard dans la vie. Mais le hasard est trop important pour le laisser au hasard. Sachez où vous voulez être dans deux ou cinq ans, et adaptez-vous. Mais ne subissez pas.
Le mental, aussi ! Qu'il faut forger, entretenir, développer. Grâce à des plaisirs. Le plaisir d'une rencontre. Le plaisir d'un repas. Le plaisir d'une œuvre d'art. Le plaisir de vivre pleinement chaque jour. Le plaisir de vivre intensément des aventures, des passions.
En terme de stratégie, quels sont les principes que vous avez toujours (eu) à l'esprit?
Avoir le bon entourage. Par exemple, cinq amis ont misé 500 euros au lancement de mon projet. C'est peu mais cela a aidé beaucoup à ce que le groupe existe aujourd'hui.
Se positionner en amont de la chaîne de votre activité. Pour pouvoir inventer, créer des marges, de la valeur ajoutée. Vous pouvez aussi choisir d'être en aval (sous-traitant) si cela vous convient mieux, mais soyez vigilants du risque d'être dépendants de votre filière.
Jouer le long terme. Votre conviction, essentielle, ne peut pas se nourrir de mensonges ou d'artifices même spectaculaires. Votre offre, vos produits, vos forces doivent être réelles et bâties sur du solide.
Et si on demande au Laurent STEINMANN, patron d'un groupe, membre de commissions très sérieuses, ce qu'il y aurait à retenir de son expérience bien remplie d'entrepreneur ?
Ce qui me vient immédiatement à l'esprit, c'est une image. Le fait d'avoir dans le cerveau des tas de petites cases à gérer. La case de l'énergie, la case de l'administratif, la case « stratégie », la case « technique », la case « réglementations », la case « sponsoring », la case « gestion du personnel », la case « associés »... On a à peu près tous les mêmes cases, plus quelques-unes spécifiques.
Mais la réussite, ce n'est pas de maîtriser parfaitement toutes ces cases. Non, ce qui compte dans votre vie d'entrepreneur, c'est de savoir doser. Chaque jour ce qui va être passionnant pour vous sera de constituer le bon cocktail. Quand tout va bien, je mets un peu plus de tel ingrédient. Quand tout va mal, un peu plus de tel autre ingrédient. Pour que le cocktail soit toujours bon.
Et continuer sans cesse à apprendre, avec curiosité, passion et avec en tête, le nouveau cap des cinq prochaines années.
Des principes à mettre en application
- A la lecture de cette interview, demandez-vous si vous êtes excités à l'idée de vous lancer ?
- Comment va se positionner votre entourage ? Quels sont ceux qui vont arroser votre passion à son début pour aider votre projet à pousser puis à devenir un bel arbre ?
- Mettez en œuvre, demain et dans les quinze prochains jours, dix micro-décisions, qui vous font basculer du côté de celui qui entreprend.
Philippe CARPENTIER
Déciderjuste.com
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Un double étoilé Michelin et un MOF maître d’hôtel aux commandes de la future soirée de gala à VAUBAN…
février 11, 2019L’événement fera date dans les annales de l’établissement. La soirée de gala, concoctée le 09 avril, aura pour objectif de mettre en lumière le tour de main et le talent de jeunes pousses de la gastronomie régionale. Des filles et des garçons qui fréquentent avec assiduité et implication l’enseignement prodigué par des exégètes de la cuisine française. Et non des moindres ! Puisque ces agapes de belle tenue et très particulières où pourront se délecter près de quatre-vingt convives ont reçu le parrainage opérationnel d’un double étoilé Michelin, le chef Patrick HENRIROUX, propriétaire d’un haut lieu de la gourmandise à Vienne, « La Pyramide »…
AUXERRE : Flamboyance garantie au fond de l’assiette. La prochaine soirée de gala, proposée par Capucine VIGEL, proviseur, et l’équipe de l’hôtellerie restauration du Lycée des métiers VAUBAN ne devrait pas manquer ni de panache ni de succulence.
Manifestation traditionnelle servant à promouvoir chaque année la relève de la gastronomie régionale et française, l’événement connaîtra encore des instants emplis de magie et de suavité. De l’émotion, aussi.
A l’instar de la soirée spéciale « Paul BOCUSE », organisée le 06 février. Le restaurant d’application, « La Gourmandise », avait chamboulé sa programmation habituelle pour y accueillir une animation culinaire exceptionnelle.
Chef à l’Auberge du Pont de Collonges, le célèbre établissement où a exercé le Maître de la cuisine française, le MOF (Meilleur ouvrier de France 2015), Olivier COUSIN, concocta ce menu aux exquises saveurs avec le concours des élèves du BTS du lycée professionnel auxerrois.
Déjà un joli succès lors de la soirée « Paul Bocuse »…
Le 09 avril prochain, la formule demeurera identique dans sa forme. Mais, cette fois-ci, c’est un autre ténor de la corporation, le brillant Patrick HENRIROUX, honoré par sa première étoile au Michelin dès 1990, qui officiera. Toujours aux côtés de ces jeunes étudiants de BTS. Le chef obtiendra sa seconde distinction deux ans plus tard : une belle récompense pour celui qui a fait ses gammes aux côtés de Georges BLANC !
Le lauréat, grâce à son équipe, du fameux trophée Paul HAEBERLIN 2014 sera accompagné d’un de ses maîtres d’hôtel, lui-même meilleur ouvrier de France. Un duo de choc et de charme pour un événement culinaire qui devrait atteindre des sommets.
Précisons, que le lycée des métiers VAUBAN sera le théâtre, sans doute très disputé, de l’une des sélections nationales qualificatives aux championnats du monde des maîtres d’hôtel dont la finale s’organisera à Bordeaux d’ici la fin de l’année.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
La Cour des Comptes pointe les incohérences inégalitaires de notre société qui ne datent pas…d’hier !
février 11, 2019La vénérable institution vient de dénoncer les avantages considérables dont bénéficient les employés de grandes sociétés nationales. Cette découverte venant de la Cour des Comptes nous fait le même effet que si un savant, par exemple Hubert REEVES venait nous annoncer que « la Terre n’est pas au centre du système solaire mais seulement l’une des onze planètes qui gravitent autour du soleil ». Lorsque Copernic et Galilée ont annoncé urbi et orbi cet état de fait ; cela créa stupeur et tremblements en Occident. En 2019 ce n’est plus un scoop…
TRIBUNE : Ainsi en est-il de ce rapport sur les scandaleux privilèges des employés de ces grandes sociétés nationales. Déjà, en 1982, François de CLOSETS publia un ouvrage qui eut un retentissement considérable dans la société française : « Toujours plus ». Il dénonçait les injustices et le système des privilèges en France ainsi que le corporatisme qui minait notre société à l’époque. Ce sont les corporations qui ont la plus forte capacité de nuisance, qui s’assurent l’essentiel des avantages. Trente-six ans plus tard, la Cour des Comptes nous dit la même chose.
À l’époque où ce livre fut publié, François MITTERRAND venait d’être élu président de la République. Il qualifia l’ouvrage de « salutaire ». Quelle réforme décida-t-il de lancer pour corriger ces monstrueuses inégalités ? Aucune. Rappelons que le chef de file du Parti socialiste fut président de la République pendant quatorze ans d’affilée. On pourrait penser qu’il avait le temps de porter remède à cette tare de la société française qui se targue d’être une République et continue de reproduire les privilèges de l’Ancien Régime.
« S’il n’y avait pas de gouvernement, on rirait moins… »…
Comme Martin Luther King, certains Français en élisant François MITTERRAND sur un programme de l’Union de la Gauche ont fait un rêve. C’était bien un rêve. Trente-huit ans après la publication du livre « Toujours Plus » et cette élection qui chamboula la société française, celle-ci demeure toujours aussi inégalitaire.
Ainsi, nous avons eu cinq présidents de la République, trente-deux ministres de l’Economie et davantage encore de ministres du Travail. Et aujourd’hui, nous avons en prime « les Gilets jaunes » et le Grand Débat National avec peut-être un référendum à la clé. S’il était encore de ce monde, COLUCHE dirait : « c’est rigolo » et Pierre DESPROGES, grand humoriste également, nous aurait divertis par une formule résumant ce « Grand Débat ». On peut aussi faire appel à Chamfort qui a eu cette formule merveilleuse sous Louis XVI à l’époque où les prémisses de la Révolution grondaient dans le peuple de France tandis que la Cour dansait le menuet : « S’il n’y avait pas de gouvernement, on rirait moins…».
Et depuis l’ouvrage qualifié de salutaire par François MITTERRAND nous avons eu plus de trente gouvernements qui nous ont bien donné l’occasion de rire. L’ennui, c’est qu’un jour on finit par ne plus rire car les Français se lassent du formidable décalage entre le discours et la réalité.
On aimerait que la réalité dépasse la fiction…
Dans notre pays où l’on parle en permanence de République et où l’on applique si peu ses principes affichés sur le fronton de dizaines de milliers de bâtiments en France, il faut prendre le temps de relire les documents émis par toutes nos administrations : « Liberté Egalité, Fraternité ». On aimerait parfois que la réalité rejoigne la fiction.
Nous verrons ce qui se passera après le Grand Débat National qui doit bien faire rire nos voisins européens : « Si les Français n’existaient pas, on rirait moins… doivent-ils se dire.
« Lorsque les Gaulois se sont réunis pour débattre d’une question, ils considèrent l’avoir résolue… écrivait Jules CESAR il y a deux mille ans. Et quelle différence y a-t-il entre les scandaleux travers inégalitaires de notre société, dénoncés et décrits avec précision dans l’ouvrage de François de CLOSETS, datant de 1982 et la France actuelle ? Aucune !
Est-ce donc avec un Grand Débat National que nous allons mettre un terme aux formidables inégalités qui minent la société française et que tout le monde connaît ? Posez-vous intérieurement la question avant d’y répondre…
Emmanuel RACINE
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Innovation : les générateurs de petit volume offrent de réelles opportunités à CHAROT
février 08, 2019Depuis le 01er janvier, le groupe industriel de Sens s’offre de réelles perspectives d’accroître ses parts de marché au plan national grâce à la commercialisation d’un produit novateur. Celui-ci, baptisé « NOVO GAZ » intègre l’une des segments qui faisait encore cruellement défaut à l’entreprise : le générateur à gaz de petite taille. Désormais, CHAROT lance un sérieux avertissement à l’ensemble de la concurrence avec de solides espérances au niveau des ventes auprès des installateurs…
SENS : L’année ne pouvait pas aussi bien débuter pour le groupe industriel de l’Yonne spécialisé dans la conception de ballons d’eau chaude sanitaire. Après plusieurs mois d’analyse et d’étude de faisabilité, CHAROT a enfin sorti un nouveau produit sur l’une des strates de cet imposant « mille-feuille » que constitue ce secteur d’activité à l’échelle nationale.
Le « NOVO GAZ » correspond à un générateur à gaz de nouvelle génération qui trouve une place légitime sur le segment des ballons d’eau chaude de petit volume.
« Nous possédons depuis toujours une excellente notoriété sur le marché des gros générateurs, confie Pascal CHAROT, dirigeant de la société éponyme, mais nous n’étions pas encore placés sur cette gamme de produits. Or, régulièrement, une forte demande émanait du terrain par les commerciaux qui prennent le pouls sur la réalité des besoins… ».
Lancé le 01er janvier, le nouveau produit offre de belles perspectives de vente pour l’industriel. Il concerne des cibles consommatrices de générateurs de petit volume, c’est-à-dire des salons de coiffure, des structures hôtelières articulées autour d’une vingtaine de chambres.
Un bonheur technique ne vient jamais seul…
Seconde innovation : le réchauffeur de boucle. Ce système a été élaboré pour équiper des établissements hôteliers d’une dizaine d’étages. Placé à chaque pallier, ce concept intermédiaire permet de chauffer l’eau de manière constante et tempérée à tous les niveaux d’un bâtiment. L’innovation porte sur la possibilité de changer les éléments chauffants de cette technique sans procéder à une vidange ni en modifiant l’installation.
Placé à la verticale, le système permet aux opérateurs de réaliser des vidanges avec aisance et d’extraire les impuretés se déposant dans les tuyaux.
Plusieurs ballons d’eau chaude ont subi un léger lifting technique afin de mieux correspondre aux attentes des installateurs et de leur clientèle.
A l’aide de ces nouveautés, le groupe CHAROT devrait conforter ses parts de marché, notamment sur le segment du chauffage eau chaude sanitaire qui représente à ce jour 80 % de son chiffre d’affaires. Celui-ci s’élevait à 26,3 millions l’an dernier.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99