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L’état d’urgence sanitaire s’est achevé le 11 juillet : il en reste pourtant des effets…
juillet 18, 2020Afin de prévenir les risques de contagion liés à la pandémie de la COVID-19, la loi d’urgence du 23 mars 2020 a instauré en France un état d’urgence sanitaire à compter du 24 mars 2020. L’échéance (reportée par la loi du 11 mai) était fixée jusqu’au 10 juillet 2020. Mais, des choses perdurent après cette date…
TRIBUNE : L’état d’urgence s’est manifesté tout d’abord par le confinement, terminé le 11 mai 2020. Il fut suivi de trois phases de « dé-confinement » dont la dernière s’est arrêtée le 10 juillet 2020 (sauf certains départements d’Outre-mer).
L’état d’urgence sanitaire a permis au gouvernement et aux préfets de prendre des mesures spécifiques destinées à lutter contre la propagation du virus. A titre d’exemple : la limitation des déplacements.
Cela aura aussi permis d’assouplir bon nombre obligations rendues difficiles d’application en raison du confinement de la population. De nombreuses ordonnances ont ainsi été rendues.
Certains dispositifs mis en place pendant l’état d’urgence perdureront après le 10 juillet. Des aménagements ont été apportés. Ils peuvent rendre les modalités d’application relativement touffues.
Le prolongement des mesures au-delà du 10 juillet…
Les experts-comptables sont les interlocuteurs privilégiés des entreprises pour la bonne application de ces règles. Parmi celles-ci : le report de certaines mesures d’activité partielle jusqu’au 31 décembre 2020, voire jusqu’en juin 2022 pour le nouveau dispositif d’activité partielle de longue durée ; l’aménagement des mesures permettant de faire face à un surcroit d’activité et conditions de prêt de main d’œuvre aménagées, le suivi des salariés vulnérables, le versement de primes de pouvoir d’achat avec possibilité de mise en place de contrats d’intéressement dans les petites entreprises, l’aménagement du fonctionnement de certaines institutions (CSE…), le report autorisé pour la tenue des assemblées générales et le cas échéant adaptation des règles de réunion des conseils d’administration…
Cette liste n’est pas exhaustive. Chacune des dispositions est soumise à des conditions particulières définies, selon le cas, par les ordonnances ou les décrets de mise en place.
Des incidences sur la trésorerie prévisionnelle
Les mesures de décalage accordées par certains créanciers pour le règlement des dettes ont fourni de l’oxygène aux entreprises au cours des derniers mois. Pour autant, il ne s’agit que de décalages dont il convient de bien appréhender les échéances : étalement du paiement des cotisations sociales, report de certaines échéances fiscales, décalage de paiement ou franchise des loyers commerciaux, report des échéances d’emprunt consenties par les organismes financiers, obtention de prêts garantis par l’Etat.
Leur échéance normale est de douze mois à compter de leur obtention, sauf négociation et transformation en prêts moyen terme.
Ces mesures transitoires, ainsi que l’incertitude pesant sur le niveau d’activité des entreprises, peuvent être difficiles à appréhender. Elles peuvent générer des goulots d’étranglement sur le plan de la trésorerie disponible au cours des prochains mois.
Sans oublier les activités soumises à un arrêté d’activité gouvernemental et dont la reprise n’est encore qu’embryonnaire (exemple : les activités évènementielles).
Outre les conseils apportés dans l’application des dispositifs temporaires, les experts comptables sont aux côtés des entrepreneurs pour les aider à anticiper ou simplement mesurer ces effets.
Les attentes pour un retour à une situation plus « normale » du monde économique sont énormes. La situation économique réelle reste encore fragile, voire truffée d’embuches qui s’ajoutent à celles, plus classiques, auxquelles sont exposées les entreprises au quotidien.
Donnons le maximum de chances aux acteurs économiques, gages d’emploi et de PIB !
Jean-Pierre MOUTURAT
Un article réalisé en partenariat avec la Chambre départementale des experts comptables de l’Yonne.
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Près de 10 000 salariés y travaillent : les associations de l’Yonne reçoivent les aides salvatrices du Département
juillet 13, 2020Le Conseil départemental de l’Yonne n’est pas insensible aux difficultés financières que rencontre le monde associatif au sortir de cette crise unique en son genre. Bien au contraire, l’organe institutionnel vient de mobiliser près de 330 000 euros pour alimenter un fonds global de 814 000 euros destinés aux seules associations employeuses…
AUXERRE : Un euro par habitant. Soit une enveloppe totale de 330 000 euros. La somme alimente le fonds d’avances remboursables gérées par France Active dans le cadre du plan d’actions voulu par le Département de l’Yonne. Ce plan a pour objectif de soutenir les associations qui comptent au moins un salarié.
Fonctionnel depuis peu, ce dispositif suppose une demande d’inscription par les structures intéressées. Il suffit de parcourir le site de Bourgogne Active et d’y remplir les documents adéquats. Les demandeurs sont alors recontactés sous un délai de cinq jours. Ils se voient proposer un accompagnement adapté à leur situation. Sous réserve de certaines conditions (notamment la complétude du dossier), les aides parviennent à leurs destinataires sous quinzaine.
Ne laisser personne sur le bord du chemin…
De la culture à l’insertion, du sport aux services à la personne, du handicap à l’éducation populaire : tous les secteurs d’activités sont ainsi concernés par ce geste altruiste. Le but étant de ne laisser aucune de ces entités au bord du chemin.
L’initiative résulte du plan d’actions de dix millions d’euros validé le 03 juillet lors de la session de l’assemblée départementale.
Rappelons que le Département a intégré le Fonds de soutien créé spécifiquement avec le concours de la Région Bourgogne Franche-Comté et la Banque des Territoires pour subvenir aux besoins des associations icaunaises comptant au moins un salarié.
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En quête d’une réélection à la CCPF : J-P SAULNIER-ARRIGHI plaide en faveur de sa vision entrepreneuriale
juillet 09, 2020Et si diriger une collectivité territoriale forte de ses 36 000 âmes réparties dans 57 communes s’apparentait à plus d’un titre à la gestion d’une véritable entreprise ? L’actuel maire de Moulins-sur-Ouanne, conseiller régional et président sortant de l’intercommunalité de Puisaye-Forterre en serait-il pour autant le PDG absolu ? Pas si sûr ! Ce serait plutôt, à ses dires, un dirigeant s’appuyant sur des compétences qui souhaite rebattre les cartes, ne stigmatiser personne et aller de l’avant, avec un discours d’apaisement, au service de ses administrés…
MOULINS-SUR-OUANNE : A 67 ans, tout est possible ! Ce n’est pourtant pas le credo du candidat Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI à sa propre succession. Mais, celui d’un exégète de la chose publique, habitué à évoluer dans la sphère politique depuis pas mal de temps.
Il en connaît ainsi tous les rouages et les subterfuges. A l’instar des chausse-trappes et autres peaux de banane qui se sont déjà dressées sur sa route. Où il lui aura fallu les éviter avec une certaine maîtrise.
Aujourd’hui, à l’avant-veille d’un scrutin qui pourrait paraître capital sur le papier (une réélection au poste de président de l’intercommunalité la plus étendue de l’Yonne), le responsable départemental d’Agir La Droite Constructive mène campagne dans sa « zone de chalandise » en quête de ces indispensables soutiens d’édiles qui pourraient lui apporter in fine les voix nécessaires.
Sans rien préjugé du résultat final (« une élection n’est jamais gagnée d’avance… dixit l’intéressé), le président de la CCPF s’enveloppe d’une certaine sérénité dans sa posture. Même s’il reconnaît que ces trois années de mandature exercées depuis sa prise de fonction en janvier 2017 ressemblaient davantage à une sinécure kafkaïenne à appréhender plutôt que d’être vécues comme un long havre de paix !
Bref, on l’aura compris dans ses propos distillés sans modération lors d’une conférence de presse accordée il y a quarante-huit heures, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI veut convertir ces trois premières années de galère noire en un nouveau challenge plus abouti tant dans le consensus que dans les réalisations.
Faire abstraction des querelles de personnes et privilégier l’intérêt général
Alors, quand il abat ses cartes comme des pions qu’il avancerait sur un échiquier pour expliciter son programme, l’élu de l’Yonne admet bien volontiers que son tempérament vif et clairvoyant lui joue parfois des tours : « peut-être ai-je été un peu trop rapide dans la prise de certaines décisions mais je ne voulais pas perdre de temps… ». Ni les subventions de fonds divers et variés à glaner çà et là auprès d’instances régionales voire européennes dont il était judicieux de bénéficier pour le portage financier de certains dossiers.
A sa décharge, il explique que l’un de ses plus grands regrets aura été une dépense d’énergie constante pour lutter contre une adversité qualifiée de « mauvaise foi ». Il est vrai que ce court mandat de trois ans imputable à la constitution de la nouvelle communauté (il est de six ans en temps normal) aura paru interminable pour l’ancien avocat d’affaires.
Le paysage plutôt mouvementé de ce landerneau kaléidoscopique comprendra dans ce laps de temps : la fusion de trois intercommunalités, l’additif d’une commune nouvelle (Charny-Orée de Puisaye), l’ajout de quatre communes (Charentenay, Coulangeron, Migé et Val-de-Mercy), le retrait de cinq autres, la présence d’un PETR et celle d’un syndicat mixte des déchets…Qui dit mieux ?
Un problème de fonctionnement, pas d’investissements
Se référant à un rapport analytique publié par le cabinet STRATORIAL PUBLIC AVENIR, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI évoque la fiscalité. Un item toujours épineux dans la besace de n’importe quelle collectivité.
« L’effet de la fusion engendrera selon cette étude une augmentation de quatre taxes de 2,5 % par an et ce pendant au moins six années… ».
Prônant les vertus de l’intérêt général, le candidat lance quelques pistes de réflexion concrètes extraites de sa feuille de route. Pour cette prochaine mandature, il désire l’ouverture des commissions aux conseillers municipaux.
« Il existe bon nombre de compétences parmi ces élus alors qu’ils ne sont pas délégués communautaires. Ils doivent s’approprier cet organe et en parler entre eux… ».
Proposer un écrémage dans l’ordre du jour communautaire (des sessions longues parfois de plusieurs heures) s’inscrit parmi les priorités. Les questions de moindre importance se réguleraient dans le cadre d’un bureau délégataire. Quant aux appels d’offres, autre serpent de mer insondable dans la vie des élus, ils seraient traités par un service centralisé ad hoc. La résultante se traduirait par le biais d’une embauche d’un agent supplémentaire.
Tel un entrepreneur déclinant son business plan et sa copy stratégie à son staff directionnel à la barre d’une grosse PME, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI pose son regard managérial de l’organe communautaire autour de trois axes : la vision du territoire, l’organisation et les moyens humains, complétés par le volet financier.
Des projets comme s’il en pleuvait…
Les engagements pris lors de la première mandature devraient se poursuivre en cas de réélection du président actuel. Ainsi, le dossier de la piscine intercommunale bâtie à Toucy, projet d’un coût de 6,6 millions d’euros mais subventionné à 52 %.
A ce titre, le maire de Moulins-sur-Ouanne rappelle le bénéfice des 700 000 euros de subsides qu’il a su obtenir auprès du ministère des sports sans trop de difficultés !
La constitution d’une SCIC (Société coopérative d’intérêt collectif) est destinée à la mise en exergue de la filière énergie bois. L’aménagement des zones d’activité (Toucy, Charny-Orée de Puisaye, Saint-Fargeau…) est en phase d’étude. L’idée de créer une entité supplémentaire aux abords de l’autoroute à Villefranche est dans l’air.
La refonte des bâtiments du CNIFOP à Saint-Amand-en-Puisaye dans lequel la Région mais aussi le Département de la Nièvre voire l’ADEME pourraient être des contributeurs financiers s’envisage très sérieusement.
Le volet sanitaire n’est pas omis de la discussion par le président-candidat. Bléneau, Courson-les-Carrières ou Toucy sont concernés par l’édification de maisons de santé ou d’extensions de leurs sites existants.
Reste le volet environnemental. C’est une priorité capitale dans la bouche de Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI. La voie douce (ou voie verte) devant relier Moutiers-en-Puisaye à Briare et son fameux canal figure en pôle-position dans les tuyaux.
De même, il existe une réflexion autour du rail où se grefferait un partenariat entre différentes collectivités territoriales de la Nièvre, du Loiret et de l’Yonne.
Quant à la construction du nouveau siège intercommunal prévu à Saint-Fargeau, rien n’est encore fait. Le président de la CCPF possède différentes options dans son jeu pour trouver l’alternative la plus judicieuse à ce projet qui permettrait de regrouper sur un site unique l’ensemble des salariés de la collectivité, soit une centaine d’agents.
Seul tacle critique à l’endroit de son vice-président Jean-François BOISARD mais néanmoins adversaire pour le perchoir présidentiel de ce samedi 11 juillet à Saint-Fargeau : une petite allusion emplie de sous-entendus et décochée comme une flèche sur l’attitude de son rival qui a tout accepté des projets en cours en les votants de manière positive durant son mandat…
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Crescent MARAULT arbore désormais l’écharpe tricolore : la victoire tranquille de celui qui refuse le fatalisme…
juillet 08, 2020Une simple formalité. Par le biais de vingt-neuf voix positives obtenues contre deux à la candidate d’Auxerre Ecologie La Ville Envie, Florence LOURY. Auxquels il faut ajouter deux bulletins nuls et six bulletins blancs. Ceux des futurs opposants au nouvel édile de la capitale de l’Yonne. Le vainqueur des municipales 2020 s’installe donc confortablement dans le fauteuil de maire pour six ans de mandature…
AUXERRE: La Tour de l’Horloge, symbole emblématique du cœur d’Auxerre, s’en trouve toujours ébranlée sur sa base. Le coup de foudre qui s’est abattu non loin de là sur l’édifice de l’hôtel de ville au soir du 28 juin en est encore si retentissant qu’il résonne dans de nombreux esprits.
Irradiant ceux des vainqueurs du jour d’une soif inextinguible de désirs et de projets à accomplir pour les mener au succès, plombant au plus profond de leur moral déjà en berne les perdants qui ne s’attendaient pas à une telle débâcle.
Et la cérémonie d’installation du nouveau conseil municipal délocalisée dans l’antre du parc des expositions d’Auxerre n’en aura été qu’un nouveau reflet. Car, il n’y eut pas le moindre suspense ni l’ombre d’un doute à se mettre sous la dent quant au résultat définitif de ce long feuilleton si insolite de municipales, décidément peu orthodoxes vues de la cité de Paul Bert.
Même le courageux et improbable soubresaut de Florence LOURY, l’autre moitié du tandem qu’elle formait avec l’écologiste Denis ROYCOURT, n’y aura rien changé au moment de choisir le futur maire de la ville : Crescent MARAULT a été élu en toute quiétude nouvel édile de la Ville recevant presque une bénédiction urbi et orbi de la part d’un nouveau conseil municipal majoritairement acquis à sa cause !
Seul fait notoire à observer dans ce tableau quasi idyllique pour la droite et le centre droit : l’absence du maire sortant, Guy FEREZ qui avait délégué ses pouvoirs au premier fédéral du Parti socialiste de l’Yonne, Mani CAMBEFORT.
Nonobstant, celui qui n’accepte pas la fatalité pour les petites villes moyennes notamment dans leur propension à se développer économiquement a tenu à apaiser son opposition sur sa non-pratique dans l’art et la manière de détricoter tout ce qui aurait réalisé auparavant.
D’ailleurs, le nouvel homme fort de la Ville aura eu des mots de sympathie et de respect à l’endroit de son prédécesseur qui aura dirigé la ville durant près de deux décennies.
Innovation et écologie alliées de la dynamisation d’Auxerre…
Crescent MARAULT l’avait maintes fois répété durant sa campagne : il ne sera pas le maire d’une ville qui deviendrait un musée. Revendiquant ses valeurs entrepreneuriales, ce jeune cinquantenaire qui est loin d’un néophyte en matière de prise de décision dans une collectivité (son mandat de Saint-Georges-sur-Baulche l’atteste) veut impulser une vraie dynamique à la ville et à son bassin via le développement économique et la création d’emplois.
Un programme sur lequel il injectera une bonne dose de modernisme et de technologies, le respect de l’environnement mais aussi la sécurité et de la cohésion sociale dans le cadre du bien-vivre ensemble…
Du haut de son nuage, son pygmalion et regretté ami, Jean-Pierre BOSQUET, trop tôt disparu en novembre dernier, qui fut pour lui une grande source de réflexion et d’inspiration doit afficher un large sourire. Et être fier du parcours accompli…
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Ils ont achevé leur stage à la Chambre des Métiers et de l’Artisanat : en route pour la gloire entrepreneuriale !
juillet 08, 2020Projets novateurs, concepts créatifs : la dernière promotion de stagiaires ayant suivi le cycle pédagogique de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat dans l’Yonne ne manque pas de sel. Ni d’enthousiasme, assurément ! Durant près de deux mois, malgré les incidences sanitaires inhérentes au coronavirus, ces porteurs de projets ont acquis de solides bases de réflexion devant désormais les aider à se propulser dans la vie d’après. Celle de la réalité économique !
AUXERRE: Cela pourrait être le seul et unique stage de ce genre à avoir été dispensé par les services de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat cette année sur notre territoire. La faute à ce satané virus qui aura chamboulé beaucoup de choses dans les plannings organisationnels et les modalités présentielles.
Celles et ceux (le prétendant à ce cursus était seul et unique à revendiquer la masculinité lors de cette session) qui pouvaient y participer en ont profité allègrement. Pour approfondir leurs connaissances en matière de fiscalité, de marketing, de gestion, de finances, d’actualité juridique et de techniques de communication.
Bref, huit semaines ne furent pas de trop pour que cette petite frange de néo-entrepreneurs qui croient mordicus à leurs projets s’imprègne des recommandations et conseils délivrés par les formateurs émérites de la chambre consulaire.
Leur retour d’expérience durant cette immersion au plus près de l’entrepreneuriat fut excellent. Selon les commentaires avisés de la responsable d’unité administrative icaunaise, Nathalie CHEVANCE.
Rappelant que plus de 380 candidats avaient déjà suivi ces parcours formatifs en Bourgogne Franche-Comté depuis leur mise en place, la porte-parole de la chambre consulaire salua la qualité des projets dévoilés lors de cette promotion.
« Grâce à cette formation, vous avez pu bénéficier d’un vrai tremplin pour vous projeter vers l’avant ! ».
Les futurs chefs d’entreprise qu’ils soient naturopathe, couturière, créateur de bijoux, infographiste ou évoluant dans la restauration disposent de toute la latitude nécessaire pour transformer leurs rêves en réalité…
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