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ECOLLANT n’a pas le moral dans les chaussettes : les textiles usagés et recyclés s'offrent une nouvelle jeunesse
décembre 19, 2021Comment se définit la structure ? C’est une start-up évoluant sur le marché de l’innovation textile, tout simplement ! Apparue dans le sérail économique de l’Yonne en septembre 2019, l’entité (l’une des rares entreprises à être accueillies au Pôle Environnemental d’Auxerre) fait déjà beaucoup parler d’elle question originalité et positionnement. Collecter et recycler des collants de femmes en les valorisant sont des idées astucieuses : il fallait y penser !
AUXERRE : Créer de nouveaux collants destinés à la gent féminine en récupérant les anciennes paires qui circulent sur le marché pour mieux les valoriser en les recyclant est une idée de génie ! Cocorico ! Cette trouvaille du champ des possibles de l’inventivité à la française est même le pur reflet du made in Yonne dont ne départirait pas le candidat entrepreneur à la présidence de la République, Arnaud MONTEBOURG !
Il fallait pour cela toute l’ingéniosité subtile de quelques esthètes de la filière textile pour y parvenir. On pense inévitablement au tandem incontournable qui sévit dans l’Yonne, un duo composé de Laurent TROGNON, PDG de la société DIVINE et son ancien acolyte de la branche sportive rugbystique (vive le Racing 92 et ses pépites entrepreneuriales !) Frédéric ASTRUI pour que naisse enfin ce concept pour le moins singulier.
Une enveloppe de 100 000 euros de l’ADEME en guise de soutien…
Le nom de code inhérent à ce projet fut très facile à trouver : ECOLLANT ! Un jeu de sémantique mêlant les mots « collant » à « écologie ». Avec pourquoi pas, en sus, le clin d’œil à « économie » !
Bref de la belle ouvrage en vérité comme le sont les premiers modèles de chaussettes aux fils recyclés qui ont été dévoilés au préfet de l’Yonne Henri PREVOST lors de sa récente visite plus que de courtoisie au siège de la start-up auxerroise. Ce dernier ne pouvait manquer l’opportunité de se rendre dans une structure professionnelle dont les louanges ont été largement saluées par la voie médiatique, y compris à l’extérieur de nos frontières, pour la qualité de l’initiative.
La preuve : ECOLLANT figure depuis le 24 septembre parmi les heureux lauréats de ces entreprises bénéficiaires de l’une des variantes du plan de relance, dans la catégorie « Tremplin pour la transition écologique des PME ». Un dispositif qui permet à ses récipiendaires d’être accompagnés sous la forme d’aides sonnantes et trébuchantes de la part de l’Etat et de ses organes putatifs que sont l’ADEME ou BPI France.
Cette même ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise des Energies) qui vient de débloquer la coquette somme de 100 000 euros pour booster le concept, né dans les neurones d’un Laurent TROGNON, fondateur de la société, toujours à la pointe de l’offensive entrepreneuriale.
Un produit à recycler en séparant des éléments qui le composent…
Passionné par ce qu’il a vu, Henri PREVOST s’est dit très enthousiaste en découvrant cet univers spécifique, où il a apprécié la stratégie pertinente de cette start-up novatrice, spécialisée dans le recyclage de textile.
Quant aux explications, abondamment fournies par Agathe ROUZAUD, jeune cheffe de projet à la tête bien faite, au cursus et parcours de vie déjà très impressionnants, elles n’ont pu que renforcer l’étroite conviction du représentant de l’Etat de suivre de très près cette pépite aux perspectives prometteuses sur notre territoire.
La jeune femme s’est fendue d’un long exposé des plus dithyrambiques et réalistes sur le bien-fondé de cette structure à l’avenir certain.
D’autant que les chiffres plaident en faveur de cette entité innovante. Plus de 104 millions de paires de collants sont ainsi jetées chaque année après un usage restreint (le produit n’est finalement porté en moyenne que six fois par sa consommatrice) dans l’Hexagone. Or, il y a matière à le recycler.
Comment ? Pour les férus de la technique, il est nécessaire de séparer le polyamide de l’élastomère, des composants qui entrent dans la fabrication de ces vêtements que les femmes aiment porter.
D’où l’importance de cette collecte assurée en amont afin de récupérer la matière première, indispensable à son retraitement selon des procédés technologiques adéquats selon un processus industriel.
Double projet d’implantation de structures dans l’Yonne…
Toutefois, la séparation entre ces deux matières, polyamide et élastomère, des substances dérivées du pétrole, ne s’apparente pas à un jeu de garnement. Les méninges tournent à plein régime parmi les dirigeants de la start-up pour trouver le processus idoine, inspiré de la chimie, mais en faisant abstraction de tout usage de produits toxiques. Les chantiers sont ouverts pour espérer aboutir au plus vite à ces solutions novatrices. Et éco-citoyennes.
En marge de ces aspects technologiques, le préfet de l’Yonne a pu découvrir la première collection de chaussettes made in Yonne 100 % recyclés, une collection unique en France. Elle vient compléter la ligne de maillots de bain apparue en 2021. Soit dix mille produits qui ont bénéficié de techniques de recyclage.
Autre projet qui n’a pas manqué d’interpeller le préfet Henri PREVOST : l’implantation future de l’usine de production d’ECOLLANT et l’ouverture d’un centre de tri de produits à recycler. Deux infrastructures qui devraient voir le jour dans l’Yonne au cours de ces prochains mois.
Lors de sa prise de parole, Henri PREVOST insista sur « la dimension écologique et environnementale forte, ainsi que la dimension sociale de ce concept ». Une très belle illustration de l’économie circulaire dont on parle tant.
« Ce projet est très illustratif de ce que l’on doit faire dans la gestion de la problématique des déchets (dans le cas présent les collants usagés) et de la méthodologie exemplaire à apporter pour y faire face ».
Rappelant les principes vertueux du plan de relance, c’est-à-dire faire en sorte qu’à l’issue de cette crise que nous traversons, cela puisse armer davantage la France dans la compétition mondiale, le haut fonctionnaire estima que les acteurs de l’entrepreneuriat ont pris enfin conscience de la nécessité de faire évoluer les paradigmes professionnels. Ce dont il s’est réjoui en écoutant attentivement les propos explicatifs d’Agathe ROUZAUD, qui ne manquait certes pas d’arguments…
Thierry BRET
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Sensibilisation aux handicaps : l’EPNAK et le CIFA de l’Yonne en parfaite osmose relationnelle…
décembre 15, 2021La sensibilisation, comme prétexte. Le principe de la découverte, aussi. La connaissance des différentes variantes de handicaps, entre les troubles de l’autisme et la déficience intellectuelle, a servi de socle solide à ce rendez-vous provoqué entre l’EPNAK et le CIFA de l’Yonne. La rencontre a permis de mieux comprendre les différences et les enjeux liés à celles-ci en matière de choix et orientations pédagogiques…
AUXERRE : Il est de bon ton de temps à autre de refaire le point sur des sujets fondamentaux. Surtout en matière d’approche pédagogique lorsque l’on intervient dans le tissu éducatif.
C’est le cas du CIFA de l’Yonne qui accueille plus de mille apprenants, suiveurs de cours théoriques et pratiques avec immersion en entreprise (cela se nomme l’alternance) dans des disciplines aussi variées et éclectiques que peuvent l’être la coiffure, l’esthétisme, la mécanique, la vente, les métiers de bouche, la restauration, l’hôtellerie, etc.
C’est également le cas de l’EPNAK, l’établissement public national A.KOENIGSWARTER. Sa mission est simple. L’accueil d’enfants, d’adolescents et d’adultes en situation de handicap afin de mieux favoriser leur insertion sociale et professionnelle.
Centre trente années d’expérience pour cette structure nationale qui a déjà vu passer dans ses services et sa cinquantaine de centres dont celui de l’Yonne plus de quatre mille personnes !
Alors échanger entre ces deux acteurs de la formation et de l’orientation est plus que naturel. Une intervention qui s’est articulée autour de la prise de parole de Sylvana GENTILE, éducatrice spécialisée et Baptiste CUZIEUX, neuropsychologue, qui ont tous deux brossé le morphotype de l’équipe mobile ESCALE devant un auditoire où prenait bonne note Delphine ENGELVIN, la coordinatrice communication et management du centre de formation auxerrois.
Une découverte approfondie de l’Escale et de sa mobilité…
Portée par quatre structures associatives (Enfance et Jeunesse en Avallonnais, APEIS, La Vie au Grand Air Priorité Enfance et l’EPNAK), l’Escale apporte des solutions médico-éducatives en lien avec le projet de vie sociale, scolaire ou professionnel. Un public qui se compose de jeunes gens, âgés de zéro à vingt-et-un ans. Un public qui est à la croisée du handicap et de la protection de l'enfance, soutenu financièrement par l'Agence régionale de Santé et le Conseil départemental de l'Yonne.
Mobile, ce dispositif a également une mission de soutien vis-à-vis des familles, des professionnels accueillants dans un souci de coopération, de coordination et de continuité des parcours pédagogiques. Les prestations sont diverses. Elles comprennent toute l’année un accompagnement adapté : diagnostic socio-éducatif et thérapeutique, mobilisation partenariale et animation territoriale, interventions sur le lieu de vie, des appuis techniques, de soutiens, conseils et expertises, des propositions afin d’organiser des moments de répit et des bilans qui sont établis au terme de l’accompagnement.
Détecter les différents handicaps et comment mieux accompagner…
En parallèle, lors de cette séance de travail approfondie, il aura été question de la sensibilisation aux divers handicaps (autisme, déficience intellectuelle) nourrissant de fructueux échanges.
« Nous avons aussi évoqué les moyens de détecter ces profils afin de les orienter vers des structures adaptées pour que le jeune obtienne une prise en charge, a expliqué Maxime LAUZET, en charge de la communication au sein du CIFA de l’Yonne.
Bref : un rendez-vous vertueux qui nécessairement en appelle d’autres pour intensifier les projets collaboratifs…
Thierry BRET
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Stop PANHARD fait appel à la justice : la construction d’un nouvel hub logistique pourrait bien tomber à l’eau à Sens
décembre 15, 2021Le projet de ZALANDO se retrouve de nouveau face à une forte opposition locale. D’abord huée par la commune de Montereau-sur-le-Jard en Seine-et-Marne, l’enseigne se heurte désormais au territoire Sénonais où Stop PANHARD montre les dents. Après des mois de combat et d’études des zones d’ombres autour du dossier, le collectif a décidé de porter l’affaire en justice.
SENS : Le collectif Stop PANHARD a fait le point sur le projet de construction d’un parc logistique comprenant un entrepôt de 108 617 mètres carrés au nord de la zone des Vauguillettes, lors d’une récente réunion publique. Chronologie des événements et motifs de l’opposition : le collectif citoyen a exposé l’ensemble de ses actions dont une pétition. Celle-ci a récolté plus de 3 200 signatures. Il s’est, en outre, expliqué sur sa stratégie juridique qui exploitera l’opacité du projet.
Le e-commerce est loin d’être dématérialisé et sans conséquence…
Ce qui préoccupe davantage les membres du collectif, c’est notamment la pollution générée par un trafic de poids lourds très dense, l’impact sur le commerce local et la destruction de près de 40 hectares de terres agricoles.
Alors que « le besoin de terres nourricières n’a jamais été aussi criant » s’indigne Sylvie BELTRAMI, co-présidente de l’ADENY, association de Défense de l'Environnement et de la Nature de l'Yonne.
En termes d’emplois, le projet faisait une belle promesse de création de deux mille postes initialement. Puis, il a été baissé à 1 200 créations de poste. Une aubaine tout de même pour le bassin de Sens dont le taux de chômage est de 7,8 %.
Tandis que le collectif dresse un tableau bien noir avec beaucoup moins d’emplois que prévu (200 à 300), précaires, éprouvants, peu qualifiés et pour une faible rémunération, ainsi qu’un un fort turn-over et des formations courtes.
Plusieurs rapports gouvernementaux rendent compte de cette réalité et même d’une hausse exponentielle des contrats à durée déterminée dans ce secteur.
En 2016, les entrepôts et des établissements logistiques affichaient un taux de recours à l’intérim de 15 %. Aujourd’hui, un tiers des salariés sont embauchés sous ce type de contrat.
De plus, les entrepôts profitent de l’avènement de la robotisation. Cela permet d’augmenter la productivité. Même si les professionnels assurent que les sites ne seront jamais 100 % robotisés, la main d’œuvre humaine affectée aux tâches pénibles sera très certainement remplacée sur le long terme.
Une stratégie juridique axée sur la dissuasion…
Première étape prévue par l’avocat du collectif, Me Grégoire WEIGEL : former un recours contre l’arrêté préfectoral du 28 septembre 2021, portant autorisation environnementale devant le Tribunal Administratif de Dijon.
En attaquant cet arrêté en référé, procédure d’urgence autorisée par le Code de l’environnement sous certaines conditions, le collectif espère le faire annuler et ainsi bloquer le projet.
« Ces conditions c’est, par exemple, la requalification de l’avis du commissaire-enquêteur » qui avait émis un avis positif, suite aux réponses de PANHARD jugées convenables.
Cependant, Me Grégoire WEIGEL estime que le commissaire-enquêteur n’a pas eu connaissance du véritable dossier.
Le projet comporte en effet de nombreuses zones d’ombre dont l’entrepôt de messagerie qui n’a pas été décrit ou encore l’absence de mention de l’accroissement du trafic dû aux retours gratuits proposés par ZALANDO, spécialiste du e-commerce.
Deux paquets sur trois en moyenne seraient retournés par les clients selon le journal suisse « Le Temps ».
Au final, l’objectif du collectif est de déclencher un maximum de procédures afin de dissuader le géant du e-commerce de s’implanter à Sens. Le collectif pourrait bien obtenir gain de cause.
Car le maire de Montereau-sur-le-Jard Christian HUS avait affirmé auprès du journal « La République de Seine-et-Marne » que l’enseigne « ne veut pas être en contradiction avec les habitants et les élus locaux ». Un dossier à suivre de près…
Floriane BOIVIN
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France Loisirs va fermer boutique à Auxerre : seules 14 des 122 vitrines nationales resteront ouvertes…
décembre 14, 2021La liste pourrait s’égrener comme une longue litanie plaintive. Poitiers, Périgueux, Alès, Nîmes, Niort…et au bout du compte, Auxerre ! D’ici quelques semaines, et après acceptation de l’offre de reprise par le groupe Financière du Trésor du Patrimoine, l’ancien fleuron de la vente de livres France LOISIRS aura disparu ou presque de notre paysage commercial national, clouant aux piloris près de 600 collaborateurs dépités…
AUXERRE : Il n’en restera au bout du compte plus que quatorze ! Quatorze de ces fameuses boutiques à la fameuse estampille de France Loisirs qui auront accueilli des millions de nos compatriotes, férus d’ouvrages et de loisirs créatifs.
D’ici peu, à échéance 2022, cent huit de ces commerces vont mettre la clé sous le paillasson. Entraînant la suppression de six cents postes : un nouveau drame sur le registre du volet social et de l’emploi.
Lundi, le Tribunal de Commerce de Paris a validé l’offre de reprise du groupe Financière du Trésor du Patrimoine. Une porte de sortie bien maigre qui ne condamne certes pas l’enseigne mais la réduit à sa portion congrue fonctionnelle et économique après son placement en liquidation judiciaire survenu à la fin octobre.
Sur les 122 points de vente implantés dans l’Hexagone avant cette funeste période, il ne restera donc plus qu’une quinzaine de ces vitrines.
Quant aux filiales de la célèbre maison (on pense au pôle édition), elles devraient perdurer pour un temps.
Selon les experts du Tribunal de Commerce de Paris, c’était la moins pire des solutions. Quatre salariés sur cinq sont ainsi sur le carreau. Avec en perspective un avenir précaire.
Quant au club de livres, il a plusieurs millions de dettes à éponger. Un triste Noël donc pour la sympathique équipe commerciale auxerroise qui la mort dans l’âme se prépare à quitter le navire avec amertume et à laisser définitivement close la porte de la boutique qui n’a plus le cœur à faire la fête…
Thierry BRET
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Deux nouveaux bénéficiaires sur l’Avallonnais : le PEC, la solution d’inclusion durable dans l’emploi…
décembre 10, 2021Emploi, formation et accompagnement. Une trilogie qui sied très bien à la Mission Locale rayonnant sur l’Avallonnais et le Tonnerrois. C’est aussi le principe fédérateur du PEC. Le Parcours Emploi Compétences dont deux nouveaux signataires profitent depuis mercredi des avantages. Le recours à ce dispositif est-il une solution de recrutement efficace pour les collectivités territoriales ?
AVALLON : Elle se félicite de la tournure des évènements. Elle ? Ni plus ni moins que Cécile RACKETTE ! La sous-préfète inféodée à 100 % à sa mission promotionnelle de l’un des dispositifs astucieux, mettant en exergue le partenariat corrélé entre l’Etat, les collectivités territoriales (en l’occurrence dans le cas présent la municipalité d’Avallon), la MILO (Mission locale du cru) et in fine…le jeune signataire !
Deux nouveaux contrats viennent d’être validés cette semaine sur ce secteur géographique. Ils démontrent en substance que cet accord multipartite se révèle plutôt fructueux à bien des égards. D’autant que les jeunes bénéficiaires disposent d’un contrat de travail de huit mois dans leur besace, agrémentés d’un accompagnement tout au long de cette expérience afin de poursuivre la réalisation de leurs propres projets professionnels.
Des emplois proposés dans le secteur du périscolaire…
Bref, ce processus du deux en un judicieux qui offre une possibilité de recrutement pour les collectivités territoriales qui se prêtent volontiers au jeu. Dans l’illustration du jour, ces deux emplois ont été pourvus dans un secteur en extrême tension : celui du périscolaire.
Précisons que l’Etat prend à sa charge 80 % du salaire des jeunes recrutés qui évoluent en zone de revitalisation rurale ; ce qui n’est pas rien in fine.
Rappelons que le PEC repose sur ce triptyque emploi-formation-accompagnement. Le dispositif permet de développer des compétences transférables, un accès facilité à la formation et un suivi tout au long de ce parcours, tant par l’employeur que par le service public de l’emploi.
Thierry BRET
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