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Il conteste la vente à la Fondation SCHNEIDER : Julien ODOUL (RN) en chevalier blanc du domaine de PONTIGNY
novembre 03, 2021Farouchement opposé à la vente de ce haut lieu du patrimoine cistercien à la Fondation SCHNEIDER (celle-ci a pour projet la création d’un complexe hôtelier et d’un centre d’art contemporain), le chef de file du parti bleu marine battra le pavé vendredi matin à Pontigny à la rencontre des acteurs locaux. Il profitera de ce déplacement pour y tenir une conférence de presse sur le sujet…
PONTIGNY : Le leader du Rassemblement National en Bourgogne Franche-Comté Julien ODOUL vient de confirmer par un communiqué de presse la raison de son prochain déplacement dans l’Yonne, ce vendredi 05 novembre en matinée. Il s’agit d’une visite consacrée à 100 % au domaine de Pontigny.
Un sujet qui lui tient particulièrement à cœur. Le défenseur du site patrimonial cistercien n’a en effet toujours pas digéré sa cession par l’exécutif régional à la Fondation SCHNEIDER à l’hiver dernier.
Plusieurs élus du RN accompagneront Julien ODOUL aux abords du site où il tiendra une conférence de presse en fin de matinée. Il rappelle dans sa communication qu’il fut le tout premier à s’être insurgé avec véhémence contre la décision votée par la majorité socialiste de la Région le 11 décembre 2020.
« Nous continuerons à défendre le patrimoine bourguignon et franc-comtois, précise le texte. Les élus du RN exigent l’abandon de cette cession au profit d’un vrai projet de revalorisation et de protection de ce patrimoine inestimable… ».
Ce déplacement est la réponse du RN à l’organisation d’une réunion publique proposée par la municipalité, le 16 novembre prochain, ayant pour ordre du jour les nouvelles exigences de la Fondation SCHNEIDER.
Rappelons qu’un délai d’une année supplémentaire a été accordé par la Région pour que le dossier puisse aboutir afin que l’homme d’affaires François SCHNEIDER trouve un partenaire hôtelier pouvant assurer la gestion et le développement du futur complexe.
Thierry BRET
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BGE Nièvre Yonne ajoute une nouvelle corde à son arc : la gestion d’hôtel d’entreprises comme alchimie du succès ?
novembre 02, 2021La BGE Nièvre Yonne a le vent en poupe. C’est peu de le dire ! Surtout après avoir analysé les faits marquants de la période tonitruante que l’organisme, ex-boutique de gestion, vient de vivre depuis la reprise des activités. Les larges sourires qui s’affichent sur les visages des membres de la structure, en perpétuelle expansion sectorielle, ne sont pas factices. Il se dégage un réel plaisir, teinté d’altruisme et de volonté, à vouloir faire bouger les lignes. Celles d’un entrepreneuriat réussi, accessible au plus grand nombre…
JOIGNY : On l’a déjà ressenti cette chaleur altruiste si particulière qui prédomine chacune des rencontres du BGE Club business ! Un ersatz de rendez-vous d’affaires pour les néophytes de l’entrepreneuriat, dont les premiers pas sont un peu déstabilisés, en mal de reconnaissance et de distribution de cartes de visite à gogo !
Pour beaucoup, l’initiative correspond à de la bienveillance à l’état brut, servie sur un plateau d’argent. Nécessaire, voire très utile à plus d’un titre pour se faire un nom dans ce milieu parfois très hermétique de l’entreprise avec ses codes et usages fonctionnels complexes.
Mais, pour les penseurs de BGE Nièvre Yonne, instaurer une formule club où règnerait le privilège des relations à l’autre et de l’entregent en donnant l’accès à tous au bon trousseau de clés s’avère être un indispensable prolongement de ses fonctions régaliennes. Une sorte de « monde d’après » visionnaire pour cette entité créatrice de tant de richesses et d’emplois. 1 382 sociétés créées sur notre seule contrée Bourgogne Franche-Comté depuis que la structure a vu le jour pour 1 530 nouveaux postes générés…
Le supplément d’âme de BGE aura séduit la CC du JOVINIEN ?
Alors quand BGE Nièvre Yonne a hérité en septembre dernier de la direction et la gestion de l’hôtel pépinière d’entreprises du JOVINIEN, tous les acteurs de ce microcosme en phase de conquête territoriale ont eu de sérieux picotements bien agréables au bas de la nuque, synonymes de source de chaleur retrouvée. La même sensation qui fut déjà observée lorsque le BGE Club fut porté sur les fonts baptismaux !
C’est peut-être ce supplément d’âme et ce sens profond de l’humanité, arguments si subtils au particularisme de la structure, qui a sans doute séduit le président communautaire de la zone, le maire de Joigny Nicolas SORET.
Profitant de l’expiration de la délégation de service public liée à l’établissement (il accueille dans son antre une trentaine de structures professionnelles) cette année, le vice-président en charge de l’économie à la Région a déposé dans la besace de BGE un bien joli « bébé » : le pilotage de ce navire qui accueille tant d’entrepreneuses et d’entrepreneurs en besoin de nouvelles conquêtes et de parts de marché !
Propulsant ainsi l’organisme vers une nouvelle dimension pour le moins inhabituelle jusqu’alors dans ses missions : la gestion foncière.
Durée du processus : six années ! Suffisant pour transformer le plomb en or et de réaliser de fait une judicieuse alchimie située entre le développement de ce pôle d’accueil de compétences entrepreneuriales et la maîtrise rigoureuse des comptes pour sa partie immobilière.
Devenir gestionnaire de biens, un choix stratégique assumé…
En guise de capitaine pour surfer sur la vague de futurs succès et emmener les 27 sociétés accueillies à bon port vers les rives de la réussite : un visage connu du sérail local, Christelle EMONIERE. Devenue directrice de la pépinière au premier septembre.
L’enjeu est de taille, elle le sait bien. Mais, l’ancienne gérante d’une société d’auto-école locale, cédée depuis à un repreneur, a toujours su par le passé mener sa barque pour atteindre ses objectifs. Ajouter une corde supplémentaire à son arc ne l’inquiète nullement outre mesure.
Pas plus que cela ne gêne le directeur intervenant sur les départements de la Nièvre et de l’Yonne, Eric FREYSSINGE, de devenir par extension un gestionnaire de biens !
La BGE posséderait-elle cette vocation à enclencher d’autres opérations immobilières de la sorte tôt ou tard ? Sûrement ! A-t-elle pour objectif de reprendre la destinée d’autres pépinières d’entreprises ? Sans aucun doute !
D’ailleurs, une petite phrase résume à elle seule la volonté de l’équipe dirigeante de l’organe associatif sur ces orientations stratégiques : « nous aimerions être aussi bien logés dans la Nièvre que dans l’Yonne ! ».
Prononcée par Eric FREYSSINGE, elle en dit déjà long sur les hypothétiques potentialités de ce partenaire viscéral des porteurs de projets de venir occuper une niche avantageuse à bien des égards…
Thierry BRET
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L’UPVY dévoile le bilan de ses essais agronomiques aux élus : on y verra plus clair sur la qualité de l’eau
novembre 01, 2021C’est l’une des préoccupations essentielles de notre société de consommation et celles de plusieurs filières professionnelles dont les agriculteurs. L’eau présente-elle des qualités suffisantes à son exploitation et à ses usages ? Pour y répondre, l’Union des Productions Végétales de l’Yonne (UPVY) réalise depuis quatre années des essais agronomiques. Les élus de notre territoire connaîtront les premières conclusions ce mardi…
GY L’EVEQUE : Les élus ne seront pas les seuls à écouter avec beaucoup d’intérêt les premiers résultats de ce travail de longue haleine mené depuis quatre ans par les représentants de l’Union des Productions végétales de l’Yonne.
Il consiste à réaliser des essais agronomiques très poussés sur des parcelles qui se situent sur la commune de Piffonds dans la partie septentrionale de notre département.
En avril dernier, les médias furent conviés sur site à assister à une démonstration de ces essais. Qualifiés de très utiles pour disposer d’une photographie précise de la situation. Et surtout dans le but de maintenir les cultures de colza tout en participant à une ressource en eau de qualité pour tous.
Mais, cette fois-ci, il s’agit pour les responsables de l’UPVY de tirer les enseignements liminaires de ces quatre années d’études et d’analyses en présentant aux maires des communes rurales un état des lieux le plus pertinent possible.
Une véritable explication de texte devant susciter nécessairement de nombreuses interrogations parmi l’assistance présente ce mardi 02 novembre après-midi à la salle des fêtes de Gy L’Evêque.
Les représentants de la Chambre départementale d’agriculture de l’Yonne y prendront part à l’instar de plusieurs techniciens agronomes soucieux d’apporter leurs lumières afin d’aider les élus de notre territoire pour y voir plus clair sur le sujet. Limpide comme de l’eau de roche !
Thierry BRET
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Les Assises de la santé mentale accouchent de décisions inquiétantes pour la filière : prise de tête chez les psys !
octobre 30, 2021Le remboursement des consultations de psychologue sera mis en vigueur à partir de janvier 2022. Le 28 septembre, Emmanuel MACRON a annoncé ces changements à la suite de la clôture des assises de la santé mentale et de la psychiatrie. Un plan qui semble pourtant bon en surface mais qui s’avère poser de réels problèmes en profondeur.
TRIBUNE: Le 27 et 28 septembre dernier se sont tenues les Assises de la santé mentale et de la psychiatrie afin de trouver plusieurs solutions aux soucis psychologiques engendrés par la crise sanitaire de la COVID-19 et de permettre un meilleur accès aux soins.
Pour donner suite à celles-ci, de nombreuses décisions ont été prises. Des décisions qui ne font pas l’unanimité auprès des psychologues.
« Avant de décider quoique ce soit, il aurait peut-être été judicieux de se rapprocher des psychologues ou des syndicats qui nous représentent... Je ne connais aucun psy qui est d'accord avec ce qui a été proposé ! » déclare sans ambages Chloé TOUTAIN, psychologue en libéral à Dieppe.
Emmanuel MACRON a annoncé que l’Assurance maladie remboursera toute la population dès l’âge de trois ans, après une consultation de psychologie libérale si celle-ci souffre de dépression ou d’anxiété.
En revanche, pour obtenir le remboursement de ces séances, le patient doit obtenir, au préalable, un adressage médical de son médecin généraliste. À la suite de cet accord, il est redirigé vers un spécialiste pour un forfait de huit séances de trente minutes renouvelables.
La première consultation sera facturée 40 euros. Puis, les suivantes seront de l’ordre de 30 euros sans dépassement d’honoraires.
Chloé TOUTAIN s’interroge : « Que fait-on des autres patients ? Et c’est aussi limité à partir de trois ans. Est-ce que cela signifie que je ne peux pas proposer de prise en charge avant cet âge ? ».
Emmanuel MACRON a, en revanche, précisé que les psychologues ne souhaitant pas participer à ce parcours de soins pourront continuer d’exercer comme ils le faisaient avant. Mais alors qu’en est-il réellement pour ceux qui adhéreront à ce projet ?
L’accès aux soins compromis ?
Suites à ces annonces pour le moins contestées, de nombreux hashtags tel que #Remboursementpsy ou #Psyencolère sont apparus sur les réseaux sociaux comme Twitter ou Instagram, afin de faire entendre leurs mécontentements.
Les psychologues ont également fait grève dès le mardi 28 septembre, jour où se tenaient les Assises. Cette grève avait pour objectif de témoigner la détermination des psychologues et ne pas céder à leur identité professionnelle. Ce qui devient problématique n’est pas tant le remboursement mais la dureté des conditions pour avoir accès à un psychologue.
Selon Chloé TOUTAIN : « normalement, le patient est libre du choix de son psy, ce qui n'est plus le cas. Une fois que le psy a vu le patient, il doit rédiger un compte-rendu au médecin pour affirmer qu'une prise en charge est nécessaire. Quid de la confidentialité ? ».
Des séances de soins ramenées à une petite demi-heure…
Élisabeth a relaté les faits et exposé son avis sur Instagram en tant que psychologue clinicienne et diplômée d’un master de psychologie clinique et psychopathologie.
Selon elle, « aller voir d’autres professionnels vient infantiliser et ne légitime pas les patients dans leurs demandes et leurs besoins. »
Selon les besoins, une séance dure en moyenne entre quarante-cinq minutes et une heure trente. Avec les nouvelles conditions édictées par Emmanuel MACRON, celles-ci seront réduites à seulement trente minutes.
C’est l’un des points qui déplaît le plus aux citoyens. En effet selon, Calista MARQUET, étudiante en deuxième année de licence de psychologie à l’université de Bourgogne : « On veut limiter les séances à un certain temps sans même savoir le besoin du patient. ».
Inconcevable ! Or, en réduisant le temps de rendez-vous, le psychologue sera contraint de proposer davantage de créneaux horaires afin de pouvoir être rentable à la fin de sa journée.
De plus, selon Élisabeth, « le temps proposé ici vient accélérer, voire supprimer les temps que comportent une séance (entrée, reprise de confiance afin de se livrer, échanges, silences, séparation) ».
Un dossier kafkaïen à suivre de près !
Jordane DESCHAMPS
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« Wine Business » : une quatrième édition sur fond de géopolitique pour les professionnels de la viticulture
octobre 30, 2021Destinée aux professionnels de la viticulture, la quatrième édition de cet évènementiel annuel accueillera des spécialistes qui apporteront un éclairage économique sur les enjeux de la filière et ses perspectives. Au Palais des Congrès de Beaune, la trame de ce rendez-vous auquel participeront le Crédit Agricole et ALABEURTHE sera rendre pérenne le succès de la Bourgogne viticole…
BEAUNE (Côte d’Or) : Elles et ils représentent les maisons de négoce, les caves coopératives, les viticulteurs, les tonneliers, aussi. Elles et ils seront les deux cents professionnels de la contrée, attendus à l’une des manifestations ponctuant ce mois de novembre, le « Wine Business ».
Concocté par « BSB Junior Consulting », ce rendez-vous annuel permet de mettre en avant les expertises réalisées dans ce secteur.
« Nous avons voulu rassembler les professionnels, les partenaires et les étudiants en un même endroit afin qu’ils puissent échanger sur les différents thèmes et problématiques rencontrés par le monde viticole, un milieu en constante évolution face aux enjeux nationaux et internationaux ».
Du côté des partenaires, on retrouvera, outre le Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne, le MEDEF de Côte d’Or, le groupe ANDRE, la FNEB, etc. Sans oublier ALABEURTHE, l’une des enseignes spécialisées dans la commercialisation de produits de viti/viniculture et des espaces extérieurs.
L’événement s’articulera sous la forme de conférences (les enjeux du foncier en Bourgogne viticole) et de deux tables rondes ; l’une portant sur l’adaptation aux consommateurs de demain, l’autre évoquant les impacts de la géopolitique sur la filière. Surtout après le BREXIT !
Thierry BRET
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