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Stratégie : les enjeux numériques de demain se préparent aujourd’hui chez CERFRANCE BFC
octobre 27, 2021Crise sanitaire oblige, c’est la première fois depuis la fusion au 01er janvier 2020 des départements ayant donné naissance à CERFRANCE Bourgogne Franche-Comté qu’une assemblée de territoire se déroulait dans l’Yonne en présentiel. L’occasion pour son président Eric COQUILLE et son directeur général Laurent BEURIENNE de présenter les enjeux auxquels devra répondre l’association de gestion et de comptabilité…
AUXERRE: Comme l’a rappelé en préambule Franck NEZET, directeur délégué départemental, CERFRANCE BFC compte plus de 4 500 structures adhérentes, 220 collaborateurs et pas moins de huit agences réparties sur le territoire de l’Yonne. Cet acteur référent du monde agricole et viticole a au fil des années élargi le champ de ses compétences en direction des TPE et PME, commerçants, artisans et professions libérales.
Le cadeau de Noël du Premier ministre pour les équipes de CERFRANCE !
Avec parmi ses axes stratégiques, la volonté marquée de renforcer toujours un peu plus sa proximité avec les adhérents, qu’elle soit de nature géographique ou par une parfaite maîtrise de la relation numérique. Un accompagnement au plus près du territoire également, avec l’agrément obtenu cette année de l’ADEME sur le diagnostic carbone.
C’est un pari payant pour CERFRANCE BFC, au vu des résultats du dernier exercice, avec un chiffre d’affaires de plus de 24 millions d’euros, pour un résultat net de 548 K€. Un bénéfice a rappelé le président COQUILLE, qui permettra de financer le recrutement de nouvelles compétences et d’investir dans les technologies et les outils nécessaires pour répondre aux grands enjeux de demain.
Pour l’heure, l’actualité passe aussi par la décision gouvernementale d’octroyer à tout salarié gagnant moins de 2 000 euros nets par mois, une indemnité inflation de cent euros. Ce qui ne sera pas sans générer un travail supplémentaire pour l’établissement qui gère les bulletins de salaires de nombreuses structures, comme l’a souligné ironiquement Franck NEZET : « le Premier ministre nous a réservé une petite nouveauté pour la fin de l’année, histoire de passer des fêtes de Noël sympathiques ! ».
Vers la généralisation de la facture électronique pour toutes les entreprises…
A partir de 2024, la facture électronique s’imposera à tous les échanges « B to B » des entreprises du secteur privé. Un document numérique qui prendra le pas sur tout le reste et ne doit en aucun cas être assimilé à une simple facture numérisée. Les AGC (Association de gestion et de comptabilité) et cabinets comptables s’y préparent déjà, a expliqué Laurent BEURIENNE, revenant sur les différentes étapes établies par le législateur.
Un calendrier de déploiement en rapport avec la taille des entreprises, afin de leur permettre de s’approprier le sujet et deux dates essentielles à retenir : toutes les entreprises quel que soit leur envergure devront au 01er juillet 2024, être en capacité de réceptionner des factures numériques et concernant les TPE/PME, c’est au 01er janvier 2026, que toutes devront être en capacité d’émettre ce type de factures au moyen de la plateforme de leur choix.
CERFRANCE BFC, a rappelé son directeur général, sera bien sûr apte de proposer à ces dates précises une solution fonctionnelle à ses clients via un outil privé et sécurisé, insistant sur le fait que « l’administration aura ainsi tous les moyens pour pré-remplir la déclaration TVA, qu’elle soit mensuelle, trimestrielle ou annuelle, avec l’objectif clairement affiché d’en faire automatiquement le recouvrement en totale autonomie ».
Avec à la clé, l’idée d’en accélérer le rythme et développer ainsi les recettes fiscales.
Dominique BERNERD
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L’édition reste une galère pour les impétrants écrivains ou les écrivains putatifs : des conseils à compte d’auteur !
octobre 26, 2021Tout le monde veut écrire, c’est sans doute une bonne chose. Mais, nous sommes de moins en moins nombreux à lire des livres. Les librairies diminuent à cause des tablettes. La concurrence des ventes par correspondance s’est accélérée avec la pandémie. L’e-book progresse : en 2019, le livre numérique intéressait 5 % des Français avec 2,3 millions d’exemplaires vendus contre 29 millions de livres papier. Les maisons d’édition souffrent : librairies temporairement fermées, séances de dédicaces en berne et pas d’aide particulière de l’Etat…
TRIBUNE : Nous sommes de plus en plus nombreux à vouloir raconter notre histoire (conséquences d’une société narcissique ?). Pour ceux qui souhaitent faire appel à un « porte-plume », donc utiliser une main d’œuvre extérieure, il faut compter sur un budget de 60 euros de l’heure ou en moyenne sur une somme de 3 000 euros. La volonté de transmettre l’histoire familiale n’intéressera que la famille des personnes concernées…Mais pourquoi pas ?
Pour les écrivains en mal d’éditeur, on peut conseiller de cibler, lorsque c’est possible, les spécialités de la société d’édition : policier, histoire, poésie…
Face à la pléthore d’éditeurs possibles, souvent les novices procèdent au hasard en utilisant un moteur de recherches sur Internet. Conforme à la moyenne européenne, la France compte près de 10 000 éditeurs. Dans le trio des plus importantes citons : Gallimard, Flammarion et Milan.
Si la plus ancienne maison d’édition est « Hachette » (1826) pour la France, soulignons que l’une des plus vieilles de la planète, c’est la « Cambridge University Press » née en 1534 en Angleterre ! Il n’est guère étonnant que Cambridge soit l’une des meilleures universités de la planète !
Le parcours du combattant selon les différentes éditions…
Il existe trois types d'éditions en France : l'édition à compte d'éditeur est la plus connue et la plus sollicitée. L’éditeur accepte votre manuscrit et prend à sa charge tous les frais. Parfois, il peut même verser une avance avant même d’avoir reçu le manuscrit ! C’est le nirvana pour un auteur…
Publié chez « Michel Lafon », mon ouvrage « Tous les banquiers ne finissent pas en prison…Moi c’était dans la rue » a pu bénéficier de cette situation avantageuse. Pour la promotion de l’ouvrage trois attachées de presse : une pour le plan média national, une pour le régional et une autre qui partait à la recherche d’un producteur de cinéma ! Résultat après de nombreuses télés, radios nationales, journaux quotidiens, magasines, dédicaces rencontres dans de grandes librairies : plus de 6 000 exemplaires se sont vendus.
Sans médiatisation, les ventes vont être difficiles. Dans ce cas, il faut viser les médias régionaux, journaux, radios locales…
L'autoédition se répand à vitesse grand V. L’auteur s’occupe de tout (impression, diffusion, promotion…). C’est la certitude d’être édité mais les contraintes découragent souvent les velléitaires de l’écriture !
Et enfin, l'édition à compte d'auteur/ Elle est souvent confondue à tort avec la première, pour le plus grand désarroi des jeunes auteurs. L'édition à compte d'auteur consiste pour un auteur, à faire éditer ses ouvrages par un éditeur qui assure seulement la partie technique de l'édition et de la diffusion, en dehors du choix éditorial proprement dit.
C'est donc l'auteur qui paie les frais d'impression et de publicité de son livre. Certains éditeurs proposent de prendre en charge l’impression : on imprime qu’à la demande et de fait, l’auteur ne fait aucune avance. On peut donc aujourd’hui éditer sans bourse déliée. Attention aux éditeurs peu scrupuleux, aux annonces alléchantes « éditer gratuitement votre ouvrage, réponse assurée sous quinze jours ». Retenez que certains éditeurs ne répondent jamais, que d’autres demandent une participation de 800 ou 1 000 euros pour la correction des textes, en arguant du fait que la diffusion est impossible sans la participation d’un correcteur agréé. Argument fallacieux à plus d’un titre : il n’existe pas de correcteurs agréés, pas plus que d’impossibilité de diffusion, si ledit correcteur n’intervient pas. Restez vigilant, si c’est gratuit cela doit l’être jusqu’au bout !
Censure et chausse-trappes à tous les étages…
Au cours de ma carrière d’écrivain, j’ai eu le privilège d’éditer deux autobiographies à compte d’éditeur, un recueil de poésies comme auto éditeur et une dizaine de recueils de poésie à compte d’auteur chez quelques sociétés d’édition.
Lorsque je souhaite une couverture personnalisée, je règle aujourd’hui une centaine d’euros, mais ce n’est pas imposé par mon éditeur. Tous les autres services proposés par l’éditeur, et payants, sont souvent inutiles : référencement sur des sites, invitation dans des « salons du livre ». Les « salons du livre » sont à votre charge (emplacement, hébergement, transport…) et ne concernent que les vedettes locales.
La majorité des auteurs présents ne sont que les faire-valoir des invités vedettes ! Pour la promotion, notons l’intérêt des réseaux sociaux, les contacts directs avec les correspondants de presse des journaux locaux, les radios locales.
Depuis plus de dix ans, Radio Avallon m’a toujours accordé des interviews lors de la publication de mes ouvrages ! Il est important de rédiger un texte de présentation et un CV personnalisé qui montre vos motivations pour sortir le livre. Une dernière précision : très récemment, je me suis vu refusé mon dernier manuscrit par quelques maisons d’éditions.
Mes poèmes constituent des pamphlets tournés contre le pouvoir, les ministres et notre président. Rien de méchant mais une forme de journal traitant nos élus à la manière des « chansonniers » d’hier. Souhaitant quelques précisions j’ai obtenu les précisions suivantes : « impossible d’éditer ce texte, trop engagé », « nous ne voulons pas de problèmes », « cela peut choquer certains de nos auteurs ou de nos lecteurs »…
Cerise sur le gâteau : « Il n’y a plus de liberté d’opinion aujourd’hui » et « allez chez Amazon, ils éditent n’importe qui » ! C’est sans doute cela la gloire du poète, se faire rejeter comme Eric ZEMMOUR et ultime consécration, le poète embastillé pour propos inconvenants !
Madame « Anastasie », bonjour ! On pourrait dire anesthésie ! Retenons que l’origine grecque d’« Anastasie », c’est « résurrection » : la liberté ne meurt jamais. Pour les plus jeunes d’entre nous, « Anastasie », c’est le nom donné à la censure en France dès 1914 !
Tout le monde peut écrire et se faire publier à peu de frais, mais restons prudents, si la poésie et la dramaturgie font partie des arts majeurs, tout le monde ne pourra pas signer es qualité « artiste ».
La publication à la portée de chacun de nous, c’est sans nul doute une bonne chose offerte par le monde moderne. Attention, il faut beaucoup de travail : écrire, réécrire, corriger au moins cinq ou fois le texte, se faire corriger par un ou plusieurs amis ou membres de la famille.
Mon expérience : je me relis au moins une fois oralement, cela me permet de relever certaines erreurs, et lorsque je trouve que mon travail ne vaut rien et que c’est à vomir, là, j’arrête tout et il est temps d’envoyer le manuscrit à un éditeur ! « Sans travail, le talent n’est qu’une sale manie ». Georges Brassens.
Jean-Paul ALLOU
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L’Aillantais va organiser sa première « donnerie », préalable logique à une future recyclerie ?
octobre 26, 2021Organisée avec le concours du Syndicat mixte des déchets Centre-Yonne et de l’association C3V Maison citoyenne, la première manifestation conçue autour du principe d’un don (une « donnerie ») sera proposée sur le canton d’Aillant-sur-Tholon le 06 novembre de 14 à 18 heures. Dans la perspective de créer prochainement une « ressourcerie » sur le territoire…
MONTHOLON : La Communauté de communes de l’Aillantais est à l’initiative de cette opération menée en partenariat avec le Syndicat des déchets du Centre-Yonne et l’association C3V Maison citoyenne.
Les visiteurs pourront apporter le jour « J » des objets qu’ils n’utilisent plus, en bon état, pour leur donner une seconde vie (CD, jeux, outils, etc.) tout en repartant, s’ils le désirent, avec ce dont ils ont besoin !
En parallèle, une intervention sous le format d’une table ronde sera assurée par les responsables de « La Californie », concept de « ressourcerie », implanté depuis plusieurs mois à Toucy et labellisé par France Relance en juillet dernier.
Car, au-delà du prétexte vertueux de ces échanges standard entre personnes de bonne volonté sous l’égide d’un don, l’organisme institutionnel et ses partenaires réfléchissent à la création d’un futur lieu permettant de donner une seconde chance aux objets. A l’instar de ce qui pratique déjà dans la capitale de la Puisaye !
En savoir plus :
Organisation de la « donnerie » à la salle de la mairie de SENAN le 06 novembre, de 14h à 18h.
Une table ronde avec la présence des responsables de La Ressourcerie de Toucy est également prévue de 16h30 à 17h15.
Contact :
Tel 03 66 25 72 61 ou par mail à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Thierry BRET
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Des entretiens, sources de réflexions constructives entre l’Etat et les collectivités locales à CHAMPIGNELLES
octobre 26, 2021Le plaisir de se retrouver, enfin. Deux ans après la dernière manifestation qui avait permis à un groupe d’élus de s’envoler à destination de Sofia en Bulgarie. Mais, cette année, point de séjour à l’international. Juste une immersion de 48 heures à Alès dans le Gard. Les « Entretiens de CHAMPIGNELLES » reprennent leurs droits. Ils ont été ouverts par la secrétaire générale de la préfecture Dominique YANI...
CHAMPIGNELLES: Acte un en cette journée de mardi 26 octobre 2021 pour ces fameux « Entretiens » auxquels les élus de l’Yonne, et tout particulièrement ceux de la Puisaye-Forterre, demeurent très fidèles.
Tant dans l’esprit que dans la forme. Accueillis par la localité qui prête volontiers son nom à ce rendez-vous annuel, les représentants des collectivités territoriales, une fois le petit café salvateur avalé au point d’accueil, se sont mués dans un silence presque religieux pour écouter assis à leurs tables de travail la brève allocution prononcée par le maire Eric PAURON.
Ce dernier se félicita que se perpétue cette remarquable initiative à destination des élus et de leurs représentants, depuis plus de trente ans. Même la COVID n’aura eu raison de ce rendez-vous vieux de trois décennies, attendu par le plus grand nombre.
Lors de cette prime journée marquant le début d’un rendez-vous qui se compose en triptyque avec un séjour immersif en terre cévenole à Alès (du 07 au 09 novembre) et une ultime séance informative déclinée le vendredi 19 novembre à la salle des fêtes, deux items constituaient le point névralgique de ces échanges qui se veulent constructifs.
D’une part, et ce fut le programme de la matinée, un volet didactique aura été consacré à la carrière administrative des agents communaux. D’autre part, et destiné à agrémenter l’emploi du temps de l’après-midi, le plan de relance vu sou le prisme de l’Europe fut prétexte à l’intervention de différents orateurs dont le troisième vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté, Nicolas SORET, en charge du développement économique.
Un tour d’horizon de l’actualité inhérente aux ressources humaines…
Si Jean-Pierre GERARDIN fit un long exposé afin de dévoiler au grand jour les arcanes du Centre de Gestion de la fonction publique de l’Yonne et ses nouvelles ramifications régionales, c’est à Dominique YANI en sa qualité de secrétaire générale de la préfecture qu’incombait l’ouverture des réjouissances liées à cet évènement. Après qu’elle fut accueillie au pupitre par le président fondateur des « Entretiens », l’ancien maire de CHAMPIGNELLES Jacques GILET.
Malgré une sonorisation plus que défectueuse, poussant l’auditoire à tendre l’oreille entre deux grésillements des plus désagréables, la représentante de l’Etat aborda différents aspects d’une actualité plutôt hermétique aux profanes mais dont les élus prenaient bonne note car les impactant directement.
Ainsi, Dominique YANI eut le loisir d’argumenter les nouvelles décisions prises par l’Etat en matière de ressources humaines, évoquant tour à tour le poids du télétravail dans la fonction publique, présentant la nouvelle instance qu’est le comité social territorial, tout en rassurant les élus et leurs adjoints présents dans la salle. Elle les a invités au passage à ne pas hésiter à faire appel aux services de l’Etat pour plus amples explications.
L’emploi des jeunes par le biais de l’apprentissage : à décliner…
L’autre sujet qui lui tenait à cœur se rapporta au plan de relance. Un dispositif ayant nécessité un investissement de 100 milliards d’euros à répartir sur différents axes dont la priorisation à l’emploi des jeunes.
La secrétaire générale de la préfecture prit soin ensuite de détailler avec moult explications les différents dispositifs dont peuvent usitées les collectivités locales dans leur quête à employer des jeunes.
Dominique YANI eut un couplet sur le dispositif « 1 jeune 1 solution », mesure qui porte ses fruits depuis qu’elle est entrée en vigueur. Elle s’attardera également sur l’importance du PEC, le parcours emploi compétence décliné avec le concours des Missions Locales.
L’une des mesures qui retint l’intérêt de plusieurs élus et notamment celui du président des Entretiens Jacques GILET se rapporta à l’apprentissage. Une voie d’accès idéale pour intégrer le marché de l’emploi. Accompagnée d’un subside de 3 000 euros que la collectivité perçoit si elle favorise l’insertion d’un apprenti parmi ses services comme c’est le cas à l’heure actuelle à la préfecture de l’Yonne qui en accueille trois dans ses services.
Enfin, l’ultime point soulevé par Dominique YANI concerna les conseillers numériques pour aider au développement des collectivités. Vingt-trois de ces jeunes gens opèrent à l’heure actuelle dans l’Yonne. Et cela ne semble pas terminé, visiblement…
En savoir plus :
On notait la présence de la sénatrice Dominique VERIEN, des conseillers départementaux Gilles ABRY, Yves VECTEN et Jean-Pierre RAOUT ainsi que du premier vice-président de la CCPF Alain DROUHIN.
Thierry BRET
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Un maestro en cuisine pour un repas d’exception chez METRO !
octobre 25, 2021La sixième édition de la Journée des Restaurateurs et des Commerçants Indépendants a été organisée chez METRO. Plusieurs personnalités dont la députée Michèle CROUZET y participaient. Répondant ainsi à l’invitation de Philippe BULANT, le directeur de l’enseigne, qui proposa un rendez-vous placé sous le signe de la fête des papilles et de l'enchantement…
AUXERRE : Ce fut un déjeuner de partenariat servi au restaurant éphémère, installé de toute pièce chez METRO. Et quel déjeuner ! Un vrai menu gastronomique, confectionné par l’un des maîtres étoilés du Michelin dans l’Yonne : Franco BOWANEE.
Le chef du Château de Vault-de-Lugny a su faire rayonner au fond des assiettes des produits de saison, agrémentés à ses recettes culinaires.
« C'était une très belle journée, une très belle initiative », commenta ravie Michèle CROUZET, députée de la troisième circonscription, présente en ce rendez-vous des plus agréables.
METRO et toute son équipe avaient mis en effet les petits plats dans les grands pour faire de cet instant exceptionnel, un moment inoubliable placé sous l'entente chaleureuse, conviviale et constructive.
L’enseigne a honoré les restaurateurs et commerçants de l’Yonne qui ont su se mobiliser durant les périodes difficiles de ces confinements successifs imputables à la crise sanitaire. Ce sont ces mêmes restaurateurs qui se sont démenés, en essayant d'innover, de construire des stratégies économiques pour ne pas perdre courage face aux aléas conjoncturels. Ils ont eu la volonté de continuer à distribuer des repas, sans pour autant rentrer en concurrence avec les producteurs locaux.
De son côté, le directeur de METRO Auxerre, Philippe BULANT, a mis en place une stratégie s’appuyant sur la création d'un marché d'intérêt local en vue de favoriser la présentation et l'essor des produits de saison. Le but étant de redynamiser la filière des producteurs locaux, agriculteurs, céréaliers, maraîchers certifiés bio...
Cette vitrine locale est encouragée par des centres de formation professionnelle à l’instar du CIFA ou de l'IFAG, d’organisations patronales dont le MEDEF, des établissements spécialisés dans la confection de produits alimentaires du cru comme « Le BORVO » ou les « FESTINS » de Bourgogne.
On notait aussi la présence de Géraldine HERQIX, de la gérante de la pizzéria « SHACKNP (La Cabane à pizza) à Vincelles où ses produits sont concoctées avec du fromage de chèvre venant de la chèvrerie de Saint-Bris-le-Vineux ou des légumes de la Ferme de Saint-Georges.
Acteur économique incontestable au cœur de la filière des métiers de bouche, METRO se positionne sur cette dynamique de valorisation des produits de saison, prenant en compte la qualité nutritionnelle de notre alimentation. Un item qui titille positivement aux oreilles de Michèle CROUZET puisque la parlementaire a présenté différents travaux sur cet item dans le cadre de la commission d’enquête sur l’alimentation au Palais Bourbon.
Merouan MOKADDEM
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