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Ile Maurice, Guinée, Canada ou Portugal : la liste de ces pays ne représente qu’un faible éventail de nations où la langue de l’illustre Molière est pratiquée en bonne et due forme. Vendredi après-midi, les ambassadeurs français en poste dans ces états auront l’opportunité de dialoguer avec l’une des structures associatives auxerroise qui porte haut les couleurs de l’Hexagone à travers ses missions : la Maison des jumelages, de la Francophonie et des échanges internationaux. Une séquence, dite de « diplomatie publique », selon l’appellation officielle, où l’essentiel sera de nouer des liens…durables

AUXERRE : L’opportunité est trop belle : il faut savoir saisir la balle au bond ! Rencontrer les représentants officiels de l’Etat français en poste à l’étranger n’est pas une chose aisée d’ordinaire. La venue d’une délégation d’une douzaine d’ambassadeurs, en cette fin de semaine dans la capitale de l’Yonne, placera sur une orbite relationnelle optimale des représentants de la société civile. Celles et ceux qui agissent en leur âme et conscience, et avec beaucoup de pugnacité, au sein de la Maison des jumelages, de la Francophonie et des échanges internationaux.

Entourée de ses deux vice-présidents, Claude LEROUX et Prudence ADJANOHOUN, en charge du développement de la Francophonie, la toujours dynamique responsable de l’entité, Marité CATHERIN, jamais à court d’idées, ne manquera pas lors de cet échange nourri d’une cinquantaine de minutes d’expliciter les fondements mêmes de l’association icaunaise.

Une structure qui regarde déjà vers l’avenir…

Surtout que cette dernière s’est dotée depuis cinq ans d’une cellule à vocation économique, ayant pour objectif d’endosser le rôle de facilitateur entre les villes jumelles (Worms en Allemagne, Ridditch en Angleterre, Greve in Chianti en Italie et Plock en Pologne) et les intérêts d’investisseurs et entrepreneurs de l’Auxerrois.

On se souvient encore du succès des Journées consacrées à l’économie du patrimoine l’an passé (une grande première sur le territoire bourguignon) et de son lot d’évènementiels qui en avait décliné.

Travaillant avec de nombreux partenaires, à l’instar de la Jeune Chambre Economique, des Jeunes Agriculteurs, mais aussi des Conseils de quartier de la ville, la Maison des jumelages, de la Francophonie et des échanges internationaux se projette déjà vers l’avenir.

Notamment l’année 2020 où devrait voir le jour une nouvelle déclinaison de son savoir-faire, sous la forme d’une manifestation grand public orientée autour du terroir, des arts de vivre et de l’innovation.

Un créneau majeur pour sa présidente Marité CATHERIN qui rappelle que la structure se définie aussi comme un « détecteur d’innovation » à part entière…

 


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Face aux élus communautaires, le président de l’Agglomération de l’Auxerrois Guy FEREZ a présenté ce qui est un indiscutable outil de promotion à la cause du territoire. Quatre mille exemplaires de l’ouvrage « L’Auxerrois : aller à l’essentiel »  serviront à la collectivité qui pourra ainsi les distribuer comme support de communication…auprès, entre autres, d’investisseurs et d’entrepreneurs…  

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Enjoué, le président de la Communauté de l’Auxerrois ne feint pas sa satisfaction à l’issue de la cérémonie. Les premiers commentaires glanés çà et là parmi une assistance composée d’élus communautaires et du département, surpris agréablement après la remise de l’ouvrage, l’ont convaincu de la pertinence de ce dossier. Un chantier entamé il y a plus de dix-huit mois.

C’est le temps nécessaire qu’il aura fallu depuis sa genèse pour que le chemin de fer de ce livre « L’Auxerrois : aller à l’essentiel » prenne corps. Et ne se transforme enfin en réalité palpable !

« Dorénavant, glisse-t-il en aparté de notre entretien, notre territoire peut s’enorgueillir de disposer d’un tel document qui en résume toute sa physionomie, ses richesses, son patrimoine et sa convergence identitaire… ».

Car, c’est bien de cela qu’il s’agit en toile de fond. Derrière l’aspect clinquant de cet opus qui s’étale sur plus de deux cents pages.

Raffiné, à la conception moderne dans sa forme et son graphisme, garni de visuels de belle qualité parfois très oniriques et de textes qualitatifs, le document se définit, dans l’esprit de Guy FEREZ, comme un « point d’unité ».

Celui qui relie positivement et en intelligence les relations parfois complexes existantes entre vingt-huit communes qui constituent cette intercommunalité dont il assure aujourd’hui la présidence.

« Transcrire cette unité sur le papier représente une véritable richesse, précise-t-il, elle se nourrit d’un glorieux passé. Mais, un territoire qui ne vivrait qu’en regardant dans un rétroviseur lui renvoyant sa seule splendeur passée serait condamnée à s’étioler peu à peu. Or, aller à l’essentiel, c’est se tourner résolument vers le futur… ».

La place faite à l’économie dans l’ouvrage : nécessaire et stratégique…

De celui-ci, il en est beaucoup question à la lecture de ce livre. Etonnamment, puisqu’un large chapitre, accordé à l’économie, y figure, certes en fin de cahier, mais en bonne place. Curieux, non, de retrouver cet item ?

« Nous devons tous être fiers de ce livre qui est un excellent outil promotionnel pour notre territoire, ajoute Guy FEREZ, nous devons en assurer son rayonnement autour de nous en notre qualité d’élu. La présence du volet économique était indispensable. Si des porteurs de projets optent pour l’Auxerrois, c’est qu’ils ont bien compris que notre territoire offre à la fois de nombreux atouts présents dans les grandes cités : théâtre, cinéma, centre hospitalier, enseignement supérieur, crèches, associations sportives et culturelles, évènements populaires, sans omettre un bouquet de services destiné à l’habitant. C’est pour cela que la Communauté de l’Auxerrois travaille au renforcement de son développement économique via sa nouvelle zone industrielle appropriée… ».

Après Auxerre qui eut droit aux bienfaits de la prose prolifique d’un rédacteur en 2012 et donc l’Auxerrois, dès à présent (le livre sortira toutefois auprès du grand public à la mi-septembre), pourquoi ne pas envisager alors le dernier volet de cette trilogie, celui se rapportant à l’Yonne dans son ensemble ?

« L’idée est excellente, approuve Guy FEREZ, cela permettrait de boucler ce chantier descriptif où il ne faut jamais omettre d’humaniser notre territoire… ».

 

 


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Le déclic tant espéré par les supporters était-il au rendez-vous de la précédente journée. Celle qui a vu l’équipe de Jean-Marc FURLAN recoller aux basques des Bretons de Guingamp en partageant les points. Le destin de ce match a été forcé de très belle manière. En tordant le cou à une défaite assurée après une première mi-temps complexe où le score était en défaveur des Icaunais (0-2). La rencontre en terre auvergnate face au premier du classement de Ligue 2 ne sera pas une promenade de santé ce vendredi soir.   

AUXERRE : Un match nul faisant office de victoire ? Après la prestation de ses joueurs face à l’En Avant Guingamp (2-2), le coach auxerrois ne peut se montrer au final que satisfait. De bon augure juste avant de tenter de vaincre le « Puy-de-Dôme » de ce championnat : le Clermont Foot sur ses terres.

Une formation que l’ex-entraîneur de Brest connaît bien. D’autant que de nombreuses analogies existent entre les deux équipes, proches l’une de l’autre en matière de possession et de stratégie.

La prudence demeure toutefois de rigueur. « Nous sommes dans l’observation, précise Jean-Marc FURLAN, la question est simple : quelles sont nos capacités d’adaptation face à ce genre d’adversaire qui possède déjà dix points au compteur alors que notre besace n’en accueille que quatre ? ».

Depuis le début de la saison, Auxerre est confronté à un manque de réussite chronique malgré une domination constante sur le terrain.

« Le travail est la réponse idéale à cette malchance, assure le coach, il n’y a ni scoumoune ni malédiction au-dessus de nos têtes. Transmettre l’enthousiasme et l’envie à mes joueurs est une priorité avant chaque rencontre… ».

Il est encore trop tôt pour se faire une réelle opinion de la méthode FURLAN sur l’équipe. Mais, une chose est sûre : tout cela progresse dans le bon sens.

« Je n’ai pas encore assez de recul vis-à-vis de mon effectif, concède le responsable de la team, mais au vu des CV de certains, je sais qu’ils peuvent faire beaucoup mieux… ».

Ne pas se mettre la pression…

Patient, Jean-Marc FURLAN ne se met pas la pression. Il possède la parfaite maîtrise de l’exercice, lui qui a disputé 300 matches de Ligue 1 en qualité de coach.

« Laissez-moi un peu de temps avant de faire des analyses analytiques, ajoute-t-il, on reparlera de tout çà au bout de quinze journées… ».

Si l’on parle de philosophie de jeu, l’idéal serait de pratiquer une possession du ballon durant les quatre-dix minutes de la partie. Sans trop se livrer et en espérant glaner quelques points de manière éparse.

« C’est totalement utopique dans le milieu du football, affirme-t-il. Souvent la différence de jeu ne se fait pas au niveau de la technique mais bel et bien avec le cerveau. En France, on sépare le corps et l’esprit dans la pratique du sport. Ce qui est une hérésie. Il faut bien au contraire utiliser ses capacités intellectuelles au maximum et prôner l’art du dépassement de soi pour réussir… ».

Gageons que ce raisonnement soit nourri d’efficacité lors de cette cinquième joute du championnat.


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Le milieu de l’apprentissage est en proie à une grande effervescence à l’amorce de ce mois de septembre. Surtout depuis la promulgation d’un texte de loi (05 septembre 2018) qui a visiblement embrouillé les pistes du pragmatisme en matière de formation. Notamment, au sujet du financement des CFA où les enjeux sont d’importance. D’autant que les régions vont être dessaisies de leur compétence au 01er janvier 2020. De passage à Auxerre, le président de la CNAMS (Confédération nationale de l’artisanat des métiers de service et fabrication) Bernard STALTER n’aura pas manqué de s’entretenir de cet item ô combien capital en marge de sa visite au centre de formation de l’apprentissage de l’Yonne, le CIFA, qui l’a accueilli ce mercredi en fin de matinée…

AUXERRE : Le postulat est simple. L’apprentissage se situe aujourd’hui à la croisée des chemins en France. Ignorée, voire le plus souvent galvaudée durant plusieurs décades par les pouvoirs publics, cette approche didactique fondamentale de la jeunesse en quête d’une intégration rapide dans la vie active retrouve enfin grâce aux yeux de la gouvernance de l’ère MACRON. Il était grandement temps, pourrait-on dire !

Et l’importante période, vécue par le prisme de sa réforme, n’apparaît nullement comme une mauvaise chose. Confirmation de ce positivisme par Bernard STALTER, double président de la CNAMS et de l’UNEC (Union nationale des entreprises de la coiffure). Ce dernier effectuait une courte escale ce mercredi dans l’Yonne en découvrant l’un des fleurons pédagogiques régional, le CIFA d’Auxerre.

« Cette réforme votée par le législateur, nous l’attendions déjà depuis vingt ans, concède sans ambages ce haut personnage de la filière artisanale, pensez donc : l’artisanat enregistre depuis une nette carence de ses capacités en matière d’attractivité et d’emplois. Surtout depuis une décision arbitraire prise il y a cinq ans par Bercy (le ministère de l’Economie et des Finances) qui a tout bonnement cessé de distribuer une manne financière essentielle à la filière s’élevant à l’époque à 550 millions d’euros. Le résultat ne s’est pas fait attendre : l’artisanat a enregistré une perte sèche de 20 % du nombre de ses apprentis dans les années qui ont suivies… ».

 

Un déficit de 700 000 emplois pour l’artisanat par manque d’apprentis…

 

Un constat au goût amer que le président de la CNAMS n’a semble-t-il toujours pas eu le loisir de digérer. Et pour cause : du fait de cette coupe sombre et irréfléchie dans son budget de fonctionnement, l’artisanat tente vainement de combler depuis un manque abyssal de 700 000 emplois !

Une équation aux multiples inconnus qui n’est pas prête d’être résolue d’autant que d’autres motifs d’inquiétude se sont rappelés au bon souvenir du président STALTER. Celui-ci assure mordicus qu’il se battra pied-à-pied pour obtenir gain de cause quant au financement du coût contrat.

« Je travaille à la mobilisation générale de l’ensemble des métiers de service que je représente pour que le nombre d’apprentis augmente dans des filières qui en manquent cruellement : les métiers de bouche, le bâtiment, la coiffure. Certes, il y a eu par le passé quelques ersatz de mesures distillées par l’Etat pour tenter de remédier à la situation (des aides destinées aux petites entreprises qui s’octroyaient les services d’apprentis âgés de moins de 18 ans) mais cela n’aura guère eu d’effets à terme... ».

Muni de multiples cartes de visite corporatistes (il a été élu en décembre 2016 président de l’ACPMA, c’est-à-dire l’Assemblée permanente des chambres de métiers et de l’artisanat), Bernard STALTER dispose de plusieurs atouts dans sa besace. Pour faire entendre sa voix, au sommet de l’Etat. En qualité de porte-parole légitime des différentes filières professionnelles dont il est un précieux ambassadeur.

 

 

Le digne successeur de Pierre MARTIN, figure emblématique de la vie économique bourguignonne (le Tonnerrois a été l’ancien président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne), ne s’en laisse pas conter en bon alsacien pugnace qu’il est face à la ministre du Travail Muriel PENICAUD. Voire lorsqu’il est reçu à Matignon par le Premier ministre Edouard PHILIPPE comme ce sera le cas d’ici une quinzaine de jours.

« L’inquiétude que nous éprouvons n’est pas d’ordre politique, précise-t-il, mais elle est de nature technique. Les ministres que nous rencontrons comprennent les difficultés qui sont les nôtres. Sur le financement de l’apprentissage, il est anormal que de grands groupes (certains issus du CAC 40 et qui redistribuent de forts dividendes) ouvrent des centres de formation en bénéficiant d’un coût contrat qui soit nettement supérieur au coût préfecture que nous avons tous, les CFA existants, aujourd’hui… ».

Et le président STALTER de se poser légitimement la question : est-ce que l’on veut octroyer davantage de moyens financiers aux grands groupes entrepreneuriaux en fragilisant de facto de petits CFA qui ont perdu des subsides par simple arbitrage budgétaire ?

 

La mobilisation des acteurs économiques contre la morosité…

 

« L’apprentissage ne peut pas être un facteur politique, ajoute le prolixe président, on ne peut pas avoir un conflit entre les régions et le gouvernement sur ce sujet. Ce mode d’enseignement correspond à une priorité pour l’emploi et les entreprises de l’Hexagone. N’oublions pas que nous avons 25 % des chefs d’entreprise de notre pays qui sont âgés de plus de 55 ans…Ce serait un véritable drame social si ces entreprises ne se reprenaient pas lors d’une cession d’activité, faute de candidats qualifiés... ».

85 % des jeunes qui passent par l’apprentissage trouvent un emploi à l’issue de leur cursus. 50 % des chefs d’entreprise de notre territoire national viennent de l’apprentissage. Bernard STALTER entend bien resservir ces données statistiques majeures à ses interlocuteurs ministériels lors de ces futurs entretiens.

Reste que le sémillant personnage à la moustache abondamment fournie pousse ses réflexions intellectuelles encore plus loin. Il en appelle à la mobilisation générale contre la morosité ambiante qui grève ce pays. Et surtout à l’aide des médias !

« Supprimez toutes les pages de faits divers qui garnissent à longueur d’édition la presse et mettez plutôt en valeur le vécu de cette jeunesse qui est en réussite sociale et professionnelle grâce à l’apprentissage ! Communiquez sur la valeur travail que nous devons répandre autour de nous ! L’avenir de notre pays passe par cette valeur travail et non pas par des histoires sordides et cruelles qui n’intéressent personne… ».

Curieuse invitation faite à la presse, en vérité. Mais, la démarche pour le moins insolite traduit l’optimisme et l’envie de changer la donne de notre société d’un président dévoué avec passion à sa mission.

« Croyez-moi, conclut-il, on peut vivre heureux en France. Si tous les acteurs économiques et institutionnels collaborent ensemble à l’amélioration de notre pays, chacun y trouverait son compte… ».

Et sans doute en premier lieu, la jeunesse en quête d’un avenir meilleur et les apprentis, visiblement…


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Après les trois premiers rounds d’un championnat qui n’aura rien d’une partie de plaisir, l’AJA pointe à la seizième place. Mais ce positionnement n’est en soi guère significatif au plan comptable. L’équipe bourguignonne pourrait en cas de réussite profiter de la venue de l’ancien pensionnaire de Ligue 1 ce soir à l’abbé Deschamps pour marquer les esprits durablement. Il suffirait pour cela que les protégés de Jean-Marc FURLAN affolent enfin le compteur du nombre de buts inscrits (seules deux réalisations pour l’heure) pour que la dynamique et la confiance reverdissent enfin dans le cœur des supporters.

AUXERRE : L’affiche est alléchante. Elle constitue déjà un sérieux test pour la formation de l’Yonne qui l’a appréhendée avec beaucoup de philosophie et de sérénité. Reste à y mettre désormais la manière. Celle de l’offensive car les suiveurs inconditionnels du club ont grand faim de prouesses techniques, de montées d’adrénaline et surtout de buts !

Pourvu de quatre points, l’En Avant Guingamp n’a qu’un seul objectif en tête : retrouver l’élite après sa descente aux enfers après une laborieuse saison. Pas si simple, en vérité car la concurrence est rude dans un championnat qui ne cesse de s’aguerrir d’année en année. Lorient, Lens, Clermont ou le Paris FC ne s’en laissent pas compter. Ces clubs ont des prétentions : ils ne sont pas les seuls.

En s’appuyant sur les qualités professionnelles de leur nouveau coach, qui a, excusez du peu, assurer la montée du Stade Brestois à l’échelon supérieur la saison dernière, l’AJ Auxerre intègre ce maillage de moins en moins hermétique de formations pouvant jouer le titre. Et par effet gigogne l’accession.

Oui mais voilà, malgré les bonnes intentions de leur entraîneur qui ne se formalise pas le moins du monde après seulement trois journées de compétition, les scénarios tournent courts depuis le début du nouvel exercice. Et ils ne s’auréolent que de peu de réussite.

Les « blancs et bleus » possèdent la balle, la font tourner avec une relative assurance tout en occupant le terrain de l’adversaire, parfois avec de la fluidité dans la circulation du jeu. Mais, les offensives demeurent stériles et inquiètent peu les défenseurs adverses.

Bref : hormis la brillance initiale et enthousiaste face au Mans (toujours lanterne rouge du classement provisoire) du premier jour, Auxerre n’a pas encore trouvé depuis son rythme de croisière la menant vers une enfilade de victoires.

Inexpressifs en attaque lors du premier tour de la Coupe de la Ligue face à l’AS Béziers, les attaquants du club icaunais ont ensuite été piégés lors de la séance de tir aux buts (5-6) qui leur aura été fatale.

Un désir de revanche pour les deux formations…

Ce lundi soir soufflera un vent de révolte au-dessus des deux équipes. Du moins, l’espère-t-on ! Entraîné désormais par Patrice LAIR, le team breton aura sans doute à cœur de se refaire la cerise après sa piètre prestation face à Orléans en Coupe de la Ligue (4-1). Malmenés en championnat à l’instar de leurs homologues bourguignons, les défenseurs du maillot rouge et noir breton n’ont d’autres alternatives que de soigner leur image.

La méfiance est donc de mise pour les Icaunais : après une série de six saisons consécutives à l’étage supérieur, Guingamp effectue le voyage dans la cité de Paul Bert avec la ferme intention de glaner les trois points synonymes de succès.

Jean-Marc FURLAN est prévenu. Il lui faudra trouver les mots justes et précis sur le banc pour motiver ses troupes en leur instillant cette envie de vaincre le signe indien du moment. Et de ne plus connaître de mésaventure devant les buts de l’adversaire…

 


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