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Les producteurs de fromages fermiers sortent de leur isolement et créent une structure officielle dans l’Yonne
mars 13, 2019Défendre les intérêts de la filière auprès des nombreux partenaires économiques et institutionnels du territoire s’inscrit parmi les axiomes de référence pour ce tout nouveau groupement associatif. Apparue au mois de janvier, la structure accueille l’ensemble des producteurs de fromages fermiers qu’ils soient éleveurs de chèvres, de brebis ou de vaches.
AUXERRE : Originaire de Saint-Père-sous-Vézelay, Catherine ANDRAL aura la lourde tâche de présider la jeune entité associative qui vient d’être portée sur les fonts baptismaux il y a quelques semaines à peine.
Epaulée de Mathilde BOULANGER (SCEA Elevage des crêtes à Champs-sur-Yonne) trésorière, Sonia LEMAIRE (Villeneuve-les-Genêts), secrétaire et d’Audrey BARDOS, du GAEC du Relais, à Vincelles, en qualité de vice-secrétaire, la toute nouvelle présidente envisage la rédaction imminente d’une feuille de route au cordeau, devant expliquer le plan d’actions à mettre en place dès que possible.
Fruit de la première assemblée générale, réunie le 29 janvier, ce bureau est le résultat de plusieurs rencontres entre producteurs transformateurs et porteurs de projets au cours de l’année antérieure.
« Nous souhaitons trouver des solutions collectives aux problématiques spécifiques de notre activité, devait préciser la présidente Catherine ANDRAL, par l’intermédiaire d’un communiqué adressé à la presse.
Autre enjeu primordial au plan humain : rompre l’isolement des fermiers qui choisissent de transformer leur lait.
Ce collectif permettra de se fédérer autour des thèmes de communication, de formation et d’appui technique, d’approvisionnement et de mise en place de solutions de remplacement adaptées au fonctionnement des ateliers de transformation.
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« Dix de conduite » : c’est vingt sur vingt de réussite pédagogique pour GROUPAMA Paris Val de Loire…
mars 13, 2019Parmi les nombreuses missions sociétales déclinées par l’assureur mutualiste sur son territoire, l’opération « Dix de Conduite » tient une place tout à fait privilégiée auprès des futurs conducteurs en herbe. Conçue avec le soutien de deux partenaires idoines de ce milieu professionnel (TOTAL et RENAULT), l’animation reçoit également le précieux concours de la Gendarmerie nationale. Une dizaine d’établissements scolaires de l’Yonne bénéficieront de ces séances sensibilisatrices aux risques et dangers de la route d’ici quelques jours…
AUXERRE : « J’agis là où je vis ». Jamais, le fameux credo propre à GROUPAMA Paris Val de Loire n’aura résonné aussi fort et avec autant de vigueur quand s’amorce à chaque printemps le déroulé de la nouvelle campagne de mobilisation autour de la sécurité routière.
Si 850 adolescents, tous collégiens, ont été les heureux bénéficiaires de cette manifestation la saison passée dans l’Yonne, combien seront-ils cette année encore à profiter de la bienveillance et du professionnalisme des représentants des forces de l’ordre ?
Au vu de la configuration catastrophique observée en matière d’accidentologie sur notre département, l’initiative apparaît plus que jamais salutaire pour ces futurs conducteurs d’engins motorisés.
D’ailleurs, les gendarmes présents à cette session explicative face aux principaux des collèges concernés par l’opération ont lourdement insisté sur les bienfaits de la conduite accompagnée. Une approche pédagogique qui demeure souple et responsable afin de mieux appréhender les risques encourus sur le réseau routier.
Evoquer les addictions à l’alcool et aux stupéfiants…
Une journée type est assez facile à organiser pour les instigateurs de cette opération. Les élèves voient leur temps d’occupation se diviser en deux temps. Celui de la théorie où les représentants de la Gendarmerie nationale procèdent à des révisions élémentaires du Code de la route (signalétique, règles de priorité…).
Puis, un QCM, élaboré autour d’une vingtaine de questions ciblées, offrent la possibilité à ces jeunes gens de tester leurs connaissances. Dans un laps de temps précis : quinze minutes chrono !
On y aborde parmi les thèmes essentiels la vitesse, les fautes de comportement lors de la conduite, l’addiction à l’alcool et aux stupéfiants. Il est de bon ton de rappeler qu’un accident sur deux observé dans l’Yonne n’est autre que la résultante d’une conduite addictive. Et que le taux d’alcoolémie d’un jeune conducteur ne doit pas excéder 0,10 grammes dans le sang.
Puis, au-delà de cette heure et demie de théorie, les apprenants vivent des situations pratiques. Chaque élève s’exerce à la conduite, derrière le volant d’un véhicule, maîtrisé par un gendarme. Il s’agit d’apprécier l’aisance du jeune conducteur par rapport à la signalétique présente sur le circuit et de tester ainsi son aptitude réelle à la conduite.
A l’issue de ces exercices, les adolescents reçoivent une note. Cette saison, ils auront l’opportunité de pouvoir piloter deux véhicules à boîte manuelle et une automobile aux rapports automatiques.
Les collèges d’Aillant-sur-Tholon, Bléneau, Charny, Saint-Fargeau, Saint-Sauveur-en-Puisaye, Joigny, Villeneuve-sur-Yonne ainsi que le CFPPA La Brosse et la MFR de Villevalier
Précisons que GROUPAMA Paris Val de Loire affine l’initiative une fois que les jeunes gens obtiennent leur permis de conduire. En leur permettant de connaître les difficultés de la conduite technique en cas de pluie ou de gel lors de stages réalisés sur le circuit de REAU (Seine-et-Marne) dans le cadre du concept CENTAURE.
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L’avenir professionnel n’a rien de virtuel avec le Pôle Formation 58/89 qui ouvre ses portes le 16 mars…
mars 11, 2019Plus d’une cinquantaine de formations, du CAP au Bac + 5, sans omettre les niveaux d’ingénieur et de manager, constitueront l’ossature pédagogique incontournable de cette seconde session de portes ouvertes, concoctées par le centre de formation de l’industrie ce samedi 16 mars. Adoptant une parfaite concordance au niveau de la logistique organisationnelle, les trois sites du Pôle Formation 58/89 (Auxerre, Nevers et Sens) accueilleront celles et ceux des futurs étudiants interpellés par les potentialités professionnelles offertes par les filières industrielles de pointe…
AUXERRE : La haute technologie sera l’une des vedettes à part entière de ce deuxième rendez-vous de l’année 2019. Quelques semaines après le précédent exercice, initié le 26 janvier dernier, l’opération des portes ouvertes du Pôle Formation 58/89 devrait permettre à de nombreux jeunes gens, enclins de rejoindre la filière industrielle, de pouvoir s’instruire en découvrant la pléthorique possibilité offerte par le centre de formation au niveau de ses cursus.
Si 411 visiteurs avaient fréquenté l’un des centres pédagogiques de la Nièvre et de l’Yonne lors du premier de ces deux rendez-vous en 2018, les chiffres communiqués par le service des relations publiques du Pôle montrent déjà une nette tendance à la hausse ce premier trimestre 2019. Bref, l’analyse est simple à la connaissance de cette équation : le nombre de jeunes gens intéressés par le secteur industriel progresse. Rien de plus naturel car ces métiers offrent de réelles opportunités d’emploi à l’issue du diplôme.
Découvrir les diverses spécificités des centres…
Le public aura la possibilité de s’immerger parmi les arcanes de cet établissement qui a reçu l’adoubement de l’UIMM (Union des industries et des métiers de la métallurgie). Accompagnés de leur famille, les jeunes gens auront ainsi l’opportunité de pouvoir découvrir les facettes de l’Institut d’Enseignement Supérieur de l’Yonne (IESY) à Sens ; de l’ITII Bourgogne à Auxerre (la première formation française d’ingénieurs par apprentissage avec ses deux filières, génie industriel et conception mécanique, le tout proposé en trois ans ; ou encore de l’IFAG.
On ne présente plus l’école supérieure de management de l’Yonne, membre du réseau éponyme qui comprend une trentaine d’établissements à l’échelon national. La structure prépare les créateurs et repreneurs d’entreprise ainsi que les futurs managers et responsables dans les domaines du marketing, du commerce, de la gestion, des finances, des ressources humaines, du management…
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Grand débat : François PATRIAT (LREM) défend l’action gouvernementale et distille ses propres suggestions…
mars 11, 2019Pédagogue, à l’écoute d’une assistance venue en nombre – plus d’une centaine de personnes comptabilisées à l’issue de cette séance prolifique en commentaires – l’ancien président de la Région Bourgogne Franche-Comté a évoqué les réussites de la gouvernance actuelle alors que les Grands Débats nationaux se déclinent sans relâche à travers l’hexagone. C’est à Monéteau que le président du groupe LREM au Sénat est venu rappeler les fondamentaux opérationnels de l’institution étatique. Via des exemples très concrets ayant pour items le budget, la retraite, les services publics, l’emploi ou encore la politique de la santé. En distillant quelques pistes de réflexions très intéressantes sur l’avenir de notre pays…
MONETEAU : Orateur sachant manier le verbe avec aisance et dextérité, François PATRIAT s’est prêté au jeu de l’animation d’un énième épisode du Grand Débat en acceptant de se rendre dans la commune icaunaise au milieu de la semaine dernière. Un exercice de communication qui n’a pas pris au dépourvu le président du groupe LREM au Sénat tant il est coutumier de ces échanges riches et nourris avec nos concitoyens.
Si ce n’est avec les représentants de la sphère médiatique, puisque l’élu de Côte d’Or intègre le panel des personnalités politiques préférées de certaines chaînes cathodiques (BFM, LCI) où il est de bon ton de pouvoir véhiculer ses idées et réflexions pertinentes en seconde partie de soirée.
Là, en présence de l’édile local, Robert BIDEAU, vice-président du Département, et de la conseillère départementale Malika OUNES (également vice-présidente), le chef de file de la majorité présidentielle du terroir Bourgogne Franche-Comté a fait abstraction de toutes caméras et autres microphones pour endosser la vêture du maître de cérémonie d’un rendez-vous porté vers la pédagogie.
Avant de balayer les grands sujets sociétaux du moment, François PATRIAT s’est dit ô combien satisfait de pouvoir être présent dans l’Yonne afin de participer à ce concept participatif et citoyen. N’éludant pas le schéma protocolaire inhérent à ces rencontres où chacun pouvait s’exprimer en toute liberté, l’élu de Côte d’Or profita de la circonstance pour réveiller les consciences civiques autour du droit de vote. Rappelant que chacun d’entre nous bénéficiait des services publics financés par le biais de nos impôts.
« Je considère en tout état de cause qu’il est difficile de critiquer le système étatique dans lequel nous vivons si déjà de facto on ne vote pas ! ».
Observant qu’un Français sur deux ne payait pas l’impôt, François PATRIAT s’est longuement épanché sur le nécessaire effacement de la dette. Celle-ci, astronomique, fruit d’un cumul établi sur plus de quatre décennies, s’élève à plus de 2 000 milliards d’euros. La charge de cette dette représente 37 milliards d’euros chaque année.
« L’ISF, c’est de l’impôt sur l’impôt ! »
Pour mémoire, le sénateur LREM précisa les orientations prioritaires du gouvernement. « Le Président de la République et le Premier ministre s’emploient à réduire la dépense publique pour remettre le budget de notre pays à l’équilibre. Tout en diminuant la fiscalité… ».
Rejetant toute idée de privilégier le retour de la planche à billets (un vieux serpent de mer qui aura eu comme conséquence principale de dévaluer la monnaie de l’époque – le franc – alors que le niveau de l’inflation s’envolait au-delà des 12 %), François PATRIAT répondit ensuite à l’une des doléances de la soirée, qui caractérise le point d’achoppement essentiel entre les « Gilets jaunes » et le gouvernement, c’est-à-dire la réintégration de l’ISF.
« Si ce dispositif fiscal fonctionnait bien et avait fait ses preuves par le passé, concéda l’ex-patron de la Région, d’autres pays européens l’aurait déjà adopté. Regardez en 1981 : l’ISF était en vigueur tandis que la France recensait 800 000 demandeurs d’emploi. Est-ce que le fait d’avoir ce système fiscal a permis d’augmenter le pouvoir d’achat des Français et de faire reculer le nombre de chômeurs ? ».
Puis, le sénateur de renchérir sur ce même sujet et d’enfoncer le clou : « D’ailleurs, l’ISF n’a pas été supprimé ! Dorénavant, l’impôt est applicable sur le domaine de l’immobilier avec l’IFI et devrait rapporter une manne financière de 1,450 milliard d’euros. Je rappellerai enfin que la conversion de cet ISF a facilité l’injection de 9,5 millions d’euros dans l’économie française, tout en rassurant les investisseurs étrangers qui ont ramené des capitaux extérieurs dans notre système économique… ».
Suggérant une préconisation personnelle, François PATRIAT proposa alors de taxer à hauteur de 5 % les dividendes des actions boursières. Ce qui permettrait in fine de ramener dans la cagnotte de l’Etat une coquette somme qui excéderait plus de 6 milliards d’euros à l’année. Soit un gain beaucoup plus important que le fruit du seul ISF !
Quant au chômage, l’élu de Côte d’Or observe un net changement par rapport aux dernières évaluations. « Le gouvernement a réduit le taux de demandeurs d’emploi, le faisant passer de 10 % à 8 %. Je précise que la Bourgogne Franche-Comté se situe deux points en dessous de la moyenne nationale ce dont je suis très satisfait… ».
La France est l’un des pays les plus distributifs au monde…
La thématique de la retraite fit surface en toute logique parmi les débatteurs de cette soirée. Bon nombre d’interrogations du public se concentraient sur ce sujet ô combien intéressant. Le président du groupe LREM au Sénat ne manqua de piocher parmi les références historiques de notre nation pour tenter un comparatif astucieux entre les principes vertueux voulus en son temps par le Conseil national de la Résistance et notre système actuel.
« Quand on était en âge de faire valoir ses droits à la retraite à 65 ans en 1945, l’espérance de vie était plafonnée à 62 ans, argumenta François PATRIAT. Aujourd’hui, l’âge légal de la retraite se situe à 62 ans alors que cette même espérance de vie a dépassé les 80 ans ! ».
Le sénateur de Bourgogne détailla par la suite la quote-part distributive des dépenses de l’Etat, se référant à des exemples précis.
« Si l’Etat dépense mille euros, il faut savoir que sur cette somme initiale, 268 euros servent à financer les retraites, alors qu’un seul et unique euro est reversé pour le fonctionnement de l’Etat (35 euros destinés pour le chômage, 17 euros sont injectés pour l’aide au logement, 22 euros alimentent la solidarité…). Aujourd’hui, il nous faudrait un système de retraite plus équitable. Cela passe par la suppression des régimes spécifiques... ».
Précisant à l’assistance qu’il était inutile de faire un procès d’intention au gouvernement (« Nous vivons dans un pays où la tolérance zéro existe… »), François PATRIAT égrena les succès que le gouvernement a déjà mis en place depuis l’accession d’Emmanuel MACRON à l’Elysée. A commencer par la hausse de 6,5 % du SMIC, du jamais vu en de telles proportions depuis vingt ans. Cela méritait d’être dit, afin de rétablir quelques vérités…
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« Talents Gourmands 2018 » : le jury salue le savoir-faire et l’authenticité des esthètes des métiers de bouche…
mars 07, 2019Remarquable édition que ce quatrième rendez-vous valorisant les arts de la table où le jury d’experts et de professionnels aura éprouvé une extrême difficulté pour pouvoir départager les neuf finalistes de ce challenge régional. Présentés au fond de l’assiette, sous la forme de sachets ou contenus dans de petits récipients, les produits du terroir soumis à l’appréciation gustative de ces exégètes ès arts de vivre ont illuminé par leur texture et succulence cet évènementiel porté par le Crédit agricole Champagne Bourgogne et notre prestigieux confrère, Le Bottin Gourmand. Incontestablement, ce fut un grand cru. Y compris pour l’Yonne, qui possède après le plébiscite réservé à Aymeric LUCZKIEWICZ (PYNEAU PRUNUTZ) un brillant lauréat…
URVILLE (Aube) : Ce fut un régal pour les papilles. Mais, aussi pour les yeux. Les membres du jury n’adressèrent à l’énoncé des résultats définitifs que des éloges aux compétiteurs, réunis pour une circonstance bien particulière : décrocher l’un des précieux sésames mis en jeu lors de ces « 4ème Talents Gourmands », selon la catégorie respective.
Qu’il s’agisse de la discipline des « agriculteurs et viticulteurs », celle rassemblant les « artisans des métiers de bouche » ou l’ultime référence se rapportant aux professionnels « restaurateurs », l’épreuve était d’un excellent niveau. Aux dires de Michel DRAPPIER, président de ce comité restreint ayant à juger les prestations culinaires des candidats : « les produits à apprécier étaient tout simplement remarquables… ».
Et le responsable du domaine familial éponyme sait de quoi il parle. Lui qui gère aux côtés de son épouse Sylvie et de ses trois enfants, la maison des champagnes DRAPPIER, lieu d’accueil privilégié de cette réception régionale.
C’est donc sur ce site viticole aux références architecturales historiques (l’un des centres monastiques de Bernard de Clairvaux il y a 850 ans) que put se dérouler dans un excellent climat de confiance et de sérénité cette remise de prix.
Sublimer les passions et la dextérité technique de chaque professionnel…
Constatant l’orientation proprement écologique des mets et recettes présentées par les candidats, le jury a su mettre en exergue le savoir-faire de chacun des participants. Ce que confirma Damien CONTAT, vice-président du Crédit agricole Champagne Bourgogne, lors de sa prise de parole. Il évoqua cet indispensable coup de projecteur à accorder à la notion de terroir et à la proximité.
Bien sûr, les orateurs successifs eurent, avec sympathie et réelle émotion, une agréable pensée pour Pascal CAFFET, le professionnel de la chocolaterie (meilleur ouvrier de France et champion du monde des desserts) qui avait accepté initialement d’endosser la vêture de président de jury.
Mais, suite au sinistre qui devait ravager à l’automne certains de ses bâtiments, le professionnel dût se résoudre, la mort dans l’âme, à décliner l’honorable responsabilité. Son absence était dans toutes les mémoires…
Le palmarès qualitatif de cette quatrième édition
La diversification de ses activités agricoles, par l’entremise de succulentes glaces concoctées depuis quelques mois à partir de ses produits, a permis à Matthias COLSON, du GAEC La Ferme de LABERGEMENT (Côte d’Or), de se distinguer. Le jeune homme a empoché le premier prix de la catégorie « Agriculteurs et viticulteurs ». Il devance ainsi Elsa BRULEZ, de la Ferme des Trois Vallons à Bragelogne Beauvoir (Aube) qui assure la production végétale et développe ses propres pâtes alimentaires. L’éleveur de volailles, Adrien RICHARD, de la société « Les Volailles d’Adrien » à Courcelles sur Aujon (Haute-Marne), complète ce podium.
A sa plus grande surprise, le chef japonais Takashi KINOSHITA (Château de Courban, près de Châtillon-sur-Seine en Côte d’Or) devance d’une longueur deux autres de ses confrères dans la catégorie « restaurateurs » : David ZUDDAS, chef à Dijon (« DZ Envies ») et Thomas MAYANCE, du Domaine de la Forêt d’Orient à Rouilly Sacey (Aube).
Enfin, il revient au jeune artisan Icaunais de Chablis, Aymeric LUCZKIEWICZ (SARL PYNEAU PRUNUTZ) de remporter la distinction suprême offerte par la catégorie « Artisans des métiers de bouche », devant Alexandre RIVALLAIN, confiseur de la maison GRAMM’S à Auxerre (les fameux pop-corn aromatisés à la française) et Marc DESARMENIEN, de la célèbre moutarderie FALLOT à Beaune.
Ses gougères généreusement parfumées et sa nouvelle gamme de crackers, commercialisées depuis peu, ont sublimé le jury.
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