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La maîtrise des risques et l’essor de la prévention, ADN sécuritaire de GROUPAMA Paris Val de Loire...
mars 18, 2019L’exercice s’inscrit progressivement dans le marbre des habitudes médiatiques du territoire de l’Yonne. A raison d’un rendez-vous par trimestre, l’exécutif de l’assureur mutualiste décline sa copy stratégie en présence de journalistes, en prise directe avec l’actualité éclectique de l’établissement. En ce mois de mars, le coup de projecteur voulu par le président Pascal MAUPOIS concernait la prévention des risques et les actions mises en place pour y parvenir. Réunissant un parterre d’acteurs représentatifs, GROUPAMA Paris Val de Loire a pu expliquer ainsi les diverses initiatives qui se déroulent avec réussite dans l’Yonne…
AUXERRE : L’établissement a beau apporté sa plus-value professionnelle et technique dans la gestion des sinistres de tout genre, il lui importe de les éviter en les anticipant le plus possible en amont auprès de ses sociétaires. Dans un souci de citoyenneté, propre à sa déontologie naturelle.
Donc, fort de ce précepte, il n’était pas inutile de concevoir une thématique ciblée sur les initiatives en matière de prévention et de les expliciter en conférence de presse. Un choix non dénué d’intérêt pour les interlocuteurs du jour, c’est-à-dire les médias, parfois très éloignés de la sphère entrepreneuriale et de ses diverses composantes éthiques.
Réunir autour de la même table, les représentants de la Gendarmerie nationale avec le major Stéphane VERSE, référent de la Sûreté, le major Sébastien COULON et l’aspirante Charline PROVOST, se justifiait amplement.
Chacun de ces intervenants put tout à loisir prendre le temps de parole indispensable à l’explication de texte relative à leurs missions. La cyber-criminalité et la prévention du vol en milieu rural revenaient au major Stéphane VERSE ; tandis que les sujets liés à la prévention routière et l’aperçu détaillé du dispositif « Dix de Conduite » incombaient aux deux membres des forces de l’ordre.
Mais, dans un souci de compréhension légitime des tenants et aboutissants de ce dossier sécuritaire, la direction de GROUPAMA Yonne avait opté pour un élargissement des débats. Ainsi, le directeur d’établissement icaunais convia le commandant Gilles ROGUIER, du SDIS (Service départemental d’incendie et de secours) ainsi que l’un des dirigeants du groupe SICLI, Alain NICOLE, une structure spécialisée dans l’extinction des sinistres.
On notait aussi la présence de Florence PENET, adjointe de direction au CFPPA Auxerre La Brosse, le pôle d’enseignement agricole de l’Auxerrois.
La variante rurale du fameux « Dix de Conduite »…
Enseignants et élèves se montrent toujours très enthousiastes, après chaque déroulé de la version rurale de ce dispositif pédagogique. Il est vrai que les bénéfices engendrés par ces séances didactiques portent leurs fruits.
Dans l’absolu, les lycéens profitent d’une initiation réelle au pilotage et à la conduite d’engins agricoles motorisés. Ainsi, plus de quatre-vingts d’entre eux ont pu accroître leurs connaissances en matière de prévention des risques et de maîtrise sécuritaire l’an passé dans l’établissement de Venoy. Tout cela grâce à l’installation d’une piste itinérante dont raffolent les jeunes scolaires. Depuis une vingtaine d’années, l’exercice se répète à chaque saison. Et, toujours avec le même succès. La présence des forces de l’ordre, arborant leur uniforme, n’est peut-être pas étrangère à ce résultat positif.
Côté bilan quantitatif, il est bon de rappeler que depuis le lancement de cette opération (déjà plusieurs décades), les accidents de tracteurs et d’engins agricoles ont reculé de manière significative dans le pays. Il y a trente fois moins à l’heure actuelle qu’il y a une quarantaine d’années…
Les atouts bénéfiques de l’opération « 10 de Conduite »…
Mais, l’autre versant de ce programme destiné aux futurs automobilistes ne manque pas d’attrait. Le manque d’expérience, la mauvaise appréciation des risques routiers au volant de son véhicule, le surcroît de vitesse représentent aujourd’hui la moitié des causes accidentelles concernant les jeunes adultes âgés de 18 à 24 ans.
Peu d’entre eux, d’ailleurs, respectent le port de la ceinture. Or, dans 22 % des cas, cette absence engendre de sérieux traumatismes aux conséquences le plus souvent inéluctables et néfastes.
C’est aussi l’un des axes de motivation citoyenne qui explique l’engagement de GROUPAMA à la propagation régulière de campagnes sensibilisatrices auprès de ces publics.
Grâce à ce dispositif, encouragé depuis quelques années sur notre territoire, tous les établissements scolaires du second degré de l’Yonne profitent de ce ces cours théoriques et pratiques, se révélant être de première nécessité.
« C’est un véritable travail participatif, devait ajouter Jacques BLANCHOT, directeur de GROUPAMA Yonne, RENAULT fournit les véhicules (deux modèles à boîte de vitesse mécanique et une pourvue d’un système automatique), TOTAL abonde en carburant tandis que la Gendarmerie nationale assure la transmission des savoirs. Grâce à notre partenariat avec le centre de formation CENTAURE, l’assureur mutualiste optimise cet enseignement à l’aide d’experts et d’outils pédagogiques idoines… ».
A la découverte de la conduite, il est à noter en parallèle l’initiation aux règles élémentaires du Code de la route, et surtout aux risques inhérents à l’alcool et aux produits illicites. Sans omettre le respect de la règle primordiale sur la route : la courtoisie et le civisme.
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Grand Débat : les adhérents de la CPME de l’Yonne dénoncent une pression fiscale devenue insupportable…
mars 16, 2019Proposé à quelques jours d’intervalle à Sens et à Auxerre, le rendez-vous explicatif citoyen, relayé par la confédération des PME de l’Yonne, n’a pas suscité un réel enthousiasme parmi les rares entrepreneurs présents. Pourtant, l’exécutif du syndicat patronal avait conçu les choses à la perfection, invitant ses adhérents à échanger autour des quatre items prédéfinis par la directive nationale. Des observations nourries et intéressantes en ont résulté. Elles portaient sur la réalité quotidienne vécue par des chefs d’entreprise qui souhaitent une uniformisation de la fiscalité et davantage de justice afin ne plus être considérés à l’avenir comme de véritables vaches à lait pour financer le système…
AUXERRE : Une dizaine de personnes ont pu faire entendre leur voix dans le cadre de la déclinaison locale du Grand Débat, à l’estampille de la CPME, accueillie à Auxerre. Quarante-huit heures plus tôt, un exercice oratoire similaire avait eu lieu à Sens. N’entraînant pas, loin s’en faut, une excitation débordante de la part de participants, incités néanmoins à donner leur avis personnel.
Pourtant, les chefs d’entreprise, à la tête de TPE et PME, ont des choses à dire. Et surtout des propositions à suggérer (voire l’article correspondant). Et cette double désertification de l’assistance n’en enlève pas le crédit accordé à cette séance verbale nécessaire que le syndicat patronal de l’Yonne désirait mettre sur pied.
Le président de la CPME, Olivier TRICON, très détendu, ne sombrait pas dans le fatalisme de circonstance devant cet auditoire quelque peu clairsemé. Bien au contraire ! Sa collaboratrice, Emmanuelle MIREDIN, secrétaire générale de l’organisme, a su conduire la session avec brio en se référant scrupuleusement au mode opératoire en vigueur. Déroulant la discussion autour de chacune des quatre thématiques préétablies initialement par le gouvernement.
Ainsi, point par point, les débatteurs eurent tout le loisir de pouvoir argumenter sciemment sur les thèmes appropriés, pour mémoire, la fiscalité et les dépenses publiques, l’organisation de l’Etat et des services publics, la transition écologique et la démocratie, assortie à son corollaire, la citoyenneté.
La coupe est pleine au niveau du ras-le-bol fiscal !
Si l’un des intervenants exigea avec véhémence la suppression pure et simple du CESE (Conseil économique, social et environnemental) – soit un budget annuel de fonctionnement de plus de 500 millions d’euros-, d’autres intervinrent sur les problèmes liés aux cessions d’entreprise et à leur taxation.
« C’est clair, fustigea un entrepreneur de manière péremptoire, aujourd’hui quand on est un dirigeant d’entreprise, on n’est empêché de vendre et d’acheter une société ! ».
Ce ras-le-bol de la double peine fiscale s’est fait ressentir avec l’apport de témoignages complémentaires parmi l’assistance. Petit à petit, au fil des minutes qui s’égrenaient, les langues se déliaient avec délectation. Jetant l’opprobre contre le surpoids fiscal envahissant exercé par Bercy.
Parmi le florilège de préconisations que les entrepreneurs de la CPME aimeraient voir aboutir au terme de ce raout citoyen populaire, la suppression des taxes sur les bénéfices réalisés par les entreprises figurent en pôle-position sur la grille des mesures à gérer en urgence. Pour l’un d’entre eux, il est proprement inacceptable que toutes ces spécificités franco-françaises de l’administration fiscale impactent si durement l’économie de notre pays, à l’heure de la mondialisation.
Quant à l’évasion fiscale et la taxation des géants américains regroupés sous l’acronyme des GAFA, l’unanimité fut de mise dans la salle pour demander un plan d’actions immédiat de la part de la gouvernance. A grand renfort de prélèvements fiscaux !
Une vraie lutte doit s’engager contre les profiteurs abusifs du système put-on encore entendre au cours de cette séance qui aura eu le mérite de tâter le pouls de chefs d’entreprise en colère contre le dispositif trop « franco-français » de la fiscalité. Un système devenu insupportable à leurs yeux, aujourd’hui.
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L'un des coaches les plus célèbres de France connaît bien la Bourgogne dont il est originaire. Au fil de cet entretien, il nous partage son talent à conseiller des sportifs et des entreprises, afin de les aider à devenir de grands champions vertueux dans leurs domaines de prédilection. Une manière appropriée de se transformer en champion de sa propre existence…
TRIBUNE : La moustache la plus célèbre du football français impacte les champions qu'elle croise : pour les émotions partagées, les défis remportés, les titres de champions du monde obtenus ou par le contraste entre la simplicité des conseils prodigués et la puissance de leur impact.
Denis TROCH coache de la même façon les dirigeants d'entreprise, les champions qu'il mène au succès ou des individus moins illustres, en s'intéressant à leur spécificité et en révélant leur talent personnel, avec attention. C'est tout naturellement qu'il invite le manager que vous êtes à devenir champion... de son propre monde !
Denis, rien que sur la dernière année, vous avez aidé un club de Ligue 1 à sauver sa saison, un cycliste à devenir champion de France et vainqueur d'une étape du Tour de France, une championne à exercer de hautes responsabilités, un des meilleurs clubs de rugby à enfin dompter une finale ! Sans parler de réussites que la confidentialité garde secrètes. Quelle est votre recette ?
Cet accompagnement est basé à 100 % sur du bon sens. Il consiste à rechercher l'unicité du talent de l'autre, en l'amenant à revisiter sa façon d'apprendre, à se reconnecter à l'expérience positive de sa propre vie.
Lorsque je réussis progressivement à m'aligner entre ce que je pense, ce que je ressens, et les actions que j'accomplis, l'objectif est d'installer cette routine de façon récurrente.
Cet exercice d'aller chercher une émotion positive, puis d'établir le lien entre émotion, pensée et action me génère une vraie ressource. La répétition de cet exercice va résonner et me fournir un background, une réserve de ressources, que je peux dupliquer autant que nécessaire.
La clé est donc de se connecter à soi-même et à son histoire ?
C'est un élément de base, mais on évolue en lien avec les autres. Pour devenir champion de mon propre monde, je dois, bien entendu, me connaître mais aussi être attentif aux autres. A un haut niveau de performance, je vais rayonner naturellement sur les autres.
Et comment arbitrer entre l'attitude personnelle de celui qui ne pense qu'à son intérêt et l'attitude généreuse de l'altruiste qui se sacrifie pour le bien de l'équipe, parfois frustré du manque de reconnaissance ?
Tout cela peut se résumer à une posture que j'ai découverte et que j'appelle la « posture ego haloique ». Elle consiste à penser à moi de façon égoïste, pour, dans un second temps apporter du bien-être à mon entourage. Si je ne suis pas bien, je ne peux pas vraiment apporter aux autres. Alors que si je suis bien, je m'alimente, je me ressource et les gens qui m'aiment vont profiter de mon rayonnement.
En me ressourçant, en prenant ce dont j'ai besoin, en me sentant dans une zone de « confort », je me sens bien et le meilleur de moi devient disponible. Mon entourage peut en profiter vraiment. Et en profiter de façon naturelle, sans pomper toute mon énergie, juste en profitant de l'énergie que je dégage.
Au lieu de donner des leçons, avec forcing, de façon descendante et directive (« moi, je sais, je t'explique »), je suis en mesure de transférer de façon naturelle à mon entourage des choses qui l'inspirent en fonction de qui il est, et de son expérience.
Il ne sera donc pas dépendant de moi. Il va trouver sa posture, sa puissance, son autonomie sans avoir besoin d'un mode d'emploi. Il pourra donc à son tour être pleinement connecté à lui-même, à son talent, à son potentiel.
Contrairement à une posture descendante, qui l'oblige à relever la tête pour vérifier qu'il applique bien ce qu'on lui dit, il agit, guidé par ses sensations, en confiance avec lui-même et tout son potentiel. Et dans le haut et le très haut niveau, cela fait une grande différence.
Un autre avantage, c'est que pleinement performant et connecté à lui-même, il apporte, en retour, à son entourage, à ses collègues, à son manager, à ses parents, ou à son entraîneur.
J'ai personnellement observé ce rayonnement naturel chez vous lors de nos échanges, de vos interventions ou d'interviews télévisées. Comment tout cela se passe-t-il ?
Cela tient à une écoute hyperactive. Lorsque vous écoutez avec attention, que tu es bien avec toi-même se produit un phénomène de « flow » où les cinq sens sont en éveil. Vous devenez alors une caisse de résonance ou une chambre d'écho pour l'autre. Vous apportez alors des réponses justes pour l'autre puisque vos réponses sont les leurs.
C'est une attitude que les managers doivent rechercher car elle apporte puissance et sérénité à l'autre. Mais c'est une attitude non réservée aux managers. Chacun, dans une équipe, peut s'autoriser, lorsqu'il le sent à devenir leader pour un moment ou lorsque l'équipe a besoin de son talent personnel, et unique.
Tout le monde mérite de devenir champion de son propre monde dès lors qu'il s'autorise à revisiter ses croyances limitantes et à révéler son talent personnel.
Devenir champion de son propre monde : comment y parvenir ?
Entraînez-vous dans des situations simples et avec bon sens à connecter émotion positive, pensée et action. Comme dans le sport, entraînez-vous jusqu'à ce que cette attitude devienne une simple routine. Puis testez-vous dans des situations à enjeu plus fort.
Lors de décisions complexes, à plus de quatre inconnues, observez votre difficulté à raisonner juste. Et testez votre intuition. Réapprenez à vous faire confiance, et à faire confiance aux autres.
Pour développer la confiance avec votre équipe, partagez les fondamentaux les plus simples de votre équipe.
Par exemple : le football se joue à onze contre onze. C'est simple. Si dans votre équipe, neuf joueurs partagent pleinement ce fondamental, vous allez jouer le match à neuf...contre treize puisque les deux personnes qui ne jouent pas pour ton équipe, aident l'équipe adverse.
Si dans votre entreprise, tout le monde partage les fondamentaux simples, alors vous jouez sans doute à onze contre onze et bien plus probablement à treize contre neuf puisque chez vos concurrents, la cohésion n'est pas toujours optimale…
Philippe CARPENTIER
Déciderjuste.com
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La Banque Populaire BFC innove : un transfert d’argent simple comme un coup de fil grâce au service PAYLIB !
mars 14, 2019Fonctionnelle depuis le 04 mars, cette nouvelle solution de virement via une application téléphonique joue d’innovation et de simplicité dans son usage. Sécurisé à 100 %, ce service offre l’opportunité à son utilisateur de pouvoir transférer de l’argent depuis un smartphone sur le compte bancaire d’un ami ou d’une connaissance proche grâce à un simple numéro de téléphone. Le must de l’ergonomie et de la spontanéité…
AUXERRE : Toujours précurseur en matière de technologie, l’établissement bancaire régional endosse une fois de plus son habit de testeur patenté pour proposer une nouvelle déclinaison relationnelle pour ses clients, sous la forme d’un service gratuit. Nom de baptême de cette nouveauté : « PAYLIB entre amis ».
Opérationnel depuis quelques jours, le concept vient enrichir la palette de solutions technologiques déjà proposées dans le cadre de l’application CYBERPLUS. De quoi s’agit-il dans le cas présent ?
« PAYLIB entre amis » n’est autre qu’un mode opératoire ultra réactif pour réaliser un virement occasionnel et d’un montant maximum de 300 euros sur le compte d’un bénéficiaire.
Ainsi, le destinataire de la somme reçoit l’argent sous un delta temporel d’un à deux jours ouvrés, à l’instar d’une transaction classique. On se souvient du lancement de l’offre « Instant Payment » l’année dernière. Ce fut une prouesse technique qui mettait en exergue le virement SEPA instantané. Après l’accélération du délai de réception des transferts, ce nouveau processus, quant à lui, optimise en l’améliorant la facilité de mise en place de ces virements.
Régler un dû ou faire un petit cadeau à un ami devient avec ce procédé simple comme bonjour.
Le numéro de téléphone du destinataire suffit…
Dans l’absolu, l’utilisation de ce principe novateur ne requiert pas d’être détenteur d’un diplôme de polytechnique ! Il suffit au client de se rendre dans les réglages de son application sur le mobile et d’y activer le service directement dans les options qui lui sont proposées. Moyennant quoi, le récipiendaire est automatiquement informé par SMS de l’envoi de la somme d’argent. Si lui-même à initier la même préconisation, le montant est alors crédité sur son compte sans qu’il ait besoin d’effectuer la moindre opération. Dans le cas contraire, la personne doit cliquer sur le lien reçu par SMS et renseigner son IBAN. Du sur mesure, en vérité !
Service offert aux clients de l’établissement, « PAYLIB entre amis » n’est qu’un élément parmi tant d’autres de cette volonté pour la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté d’accroître le confort d’utilisation de ses produits dématérialisés.
Cette volonté de demeurer à la pointe du modernisme se traduit par d’autres innovations. Depuis le 07 mars, l’établissement a conféré de nouvelles fonctionnalités de pilotage à la carte bancaire. Elles s’ajoutent à celles existantes. Concrètement, leurs utilisateurs ont la faculté depuis l’application de pouvoir modifier les plafonds des cartes bancaires. A tout instant. Parmi l’ensemble de ces services, on peut noter la consultation des plafonds, l’activation et la désactivation des paiements à distance ainsi que des paiements et retraits à l’étranger, etc. Ceci en temps réel.
Autre possibilité ingénieuse : le verrouillage temporaire de la carte bancaire. Les clients disposent désormais d’une solution efficace et moins définitive en cas de perte de leur précieux instrument de paiement.
Pour s’y retrouver et bénéficier d’informations complémentaires, rien de plus simple. Il suffit de se connecter sur le site Internet dédié, www.fonctionnalitesenligne.ma-bpbfc.fr, pour en savoir davantage sur les attraits et atouts de la banque ergonomique.
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Emmanuel BARBE dit stop aux polémiques dérisoires et encourage la lutte contre la violence routière…
mars 14, 2019Le délégué interministériel à la Sécurité routière, en immersion il y a quelques jours au Foyer d’accueil médicalisé Philippe GUILLEMANT à LIXY, n’a pas eu de mots assez forts pour expliquer l’action qu’il mène au quotidien face à la recrudescence de la violence routière. Aux côtés du préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, et d’un aréopage de personnalités des forces de l’ordre, Emmanuel BARBE a pu écouter en y prêtant grand intérêt les nombreux témoignages poignants de ces femmes et de ces hommes (professionnels de santé, représentants de la Gendarmerie nationale, de la police et des sapeurs-pompiers, familles et victimes de l’accidentologie routière…) lors d’une rencontre chargée en émotion.
LIXY : Le visage grave, sur lequel se reflétait une forte intensité émotionnelle, le délégué interministériel à la Sécurité routière a pris le temps de rencontrer plusieurs pensionnaires du FAM, le Foyer d’accueil médicalisé implanté dans l’Yonne septentrionale.
Cet établissement est l’un des rares en France, voire l’unique centre en mode opérationnel par la richesse de sa qualité relationnelle, de son écoute et de la pertinence de ses travaux de rééducation que les administrateurs et équipes prodiguent à ces personnes, à accueillir des blessés de la route, traumatisés à jamais par d’importantes séquelles physiques et psychologiques.
Et, il a beau être en poste depuis le 01er avril 2015 et multiplier ce type d’initiative auprès des familles et des victimes, Emmanuel BARBE n’en est pas moins un homme sensible qui ne peut se résoudre à accepter l’inacceptable. Toute son énergie se concentre à la lutte qu’il mène de manière frontale face la violence routière, qu’il n’hésite pas à qualifier d’« inéluctable homicide ».
« Chaque année, précise-t-il, ce sont 1 700 de nos concitoyens qui deviennent les victimes d’autres personnes et disparaissent du fait de mort violente sur les routes de notre pays… ».
Le sens des actions de la Sécurité routière : une indéfectible lutte…
La Sécurité routière recense chaque année plus de 60 000 accidents de la circulation. Certains sont matériels. D’autres, nettement plus conséquents. La plupart engendrent néanmoins leur lot de drames humains.
« Vous savez, concède le délégué interministériel d’une voix calme et posée non dénuée de fermeté, lorsqu’une personne décède, ce qui est regrettable dans de pareilles circonstances, les familles finissent par faire leur deuil selon le processus psychologique habituel. A contrario, quand il y a des blessés à vie, marqués au plus profond de leur chair, les familles doivent endurer les souffrances physiques et psychiques de leurs proches. Même si elles les accompagnent dans leur existence quotidienne, elles ne s’en remettent jamais… ».
Alors, à quoi bon lui parler de la baisse de la limitation de la vitesse ramenée à 80 km/h au 01er juillet dernier ou de la prolifération, parfois abusive et inappropriée des radars automatiques, Emmanuel BARBE renie ces considérations démagogiques qui n’ont pas lieu d’être en bloc. Fort justement.
La lutte que le délégué interministériel pilote est implacable. « C’est le sens de l’action qui nous anime chaque jour, lâche-t-il, et toutes les polémiques et gesticulations qui vont avec sont dérisoires, voire totalement obscènes après avoir visité un centre d’accueil comme celui-ci… ».
Indifférent aux humeurs de quelques réfractaires au Code de la route, le délégué à la Sécurité routière ne ronge pas son frein. Réduire la vitesse représente un leitmotiv personnel que rien ni personne ne fera déroger d’un iota. Même s’il constate avec amertume que la destruction massive des radars, imputable à certains mouvements de foule depuis novembre, plombe les bons résultats enregistrés au cours de l’année 2018.
Sachant ce que cela coûte aux victimes et familles de se remémorer les postures délicates d’un accident de la route, Emmanuel BARBE juge nécessaire ces entretiens à cœur ouvert. Ne serait-ce que pour accompagner celles et ceux qui demeureront à jamais meurtris dans leur enveloppe charnelle…
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