Le 09 avril dernier, dans le cadre de son initiative « Parle-moi de ton entreprise », la Jeune Chambre Économique d’Auxerre a renouvelé son engagement auprès de la jeunesse en organisant un événement marquant avec le groupe scolaire Saint-Joseph-La-Salle. Une expérience concluante…
AUXERRE : Les étudiants de deuxième année de BTS du campus Saint-Joseph-La-Salle ont relevé un défi original, inspiré de l’émission télévisée « Qui veut être mon associé ? », à travers un défi, conçu pour faire le lien entre leurs ambitions et les exigences du monde professionnel.
Cet événement s’est inscrit dans la continuité des ateliers du 26 mars dernier qui étaient axés sur la prise de parole, l’improvisation et l’argumentation. Il a permis aux participants de confronter leurs idées à celles d’un jury composé de professionnels. Un exercice grandeur nature pour développer des compétences essentielles telles que l’adaptabilité, l’aisance relationnelle et la communication.
Au-delà du concours, cette initiative a été l’occasion d’un dialogue enrichissant entre étudiants et acteurs économiques locaux, favorisant une meilleure compréhension des réalités du marché du travail en constante évolution. Par cette action, la Jeune Chambre Economique (JCE) d'Auxerre affirme sa volonté de mener des actions à impact positif sur le territoire. Elle est prête à renouveler l’expérience, selon sa présidente Esther VITO…
Communiqué de presse JCE
Il s’est dit très surpris et stupéfait de la nouvelle. Le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, Thierry CADEVILLE, a réagi ce lundi en fin de matinée à l’annonce du décès de son prédécesseur Alain PEREZ, disparu ce vendredi 25 avril au centre hospitalier de Nice, dans les Alpes-Maritimes, département où résidait depuis plusieurs années l’ancien dirigeant Icaunais.
AUXERRE : C’est la consternation pour le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, l’entrepreneur Thierry CADEVILLE. Son vice-président, le dirigeant des FESTINS Didier CHAPUIS, devait l’informer au cours de ce week-end de la disparition d’Alain PEREZ à l’âge de 74 ans, des suites d’une maladie. Un Thierry CADEVILLE qui connaissait très bien son prédécesseur qui l’avait préparé à prendre la relève à la tête de la vénérable institution consulaire dès 2019. Une chose qui est devenue officielle à la fin de l’année 2021.
« Je suis attristé, souligne le président de la CCI qui inaugurera le 14 mai prochain les nouveaux locaux de la pépinière d’entreprises auxerroise sous le vocable « d’Octopus », un projet voulu par Alain PEREZ, comme l’ensemble du monde consulaire départemental et régional. J’ai débuté mon mandat consulaire en même temps que commençait le premier mandat de président d’Alain PEREZ… ».
Ces deux-là se connaissaient très bien, effectivement. D’abord en qualité de simple élu de la CCI, puis en étant vice-président, Thierry CADEVILLE n’aura jamais quitté le sillage de son président dont il appréciait l’état d’esprit.
« Nous avons vécu ensemble des situations très complexes, explique l’interlocuteur, faisant référence à la volonté de l’Etat de réduire les dotations aux organes consulaires, au mieux de prélever des liquidités parmi les ressources de la chambre, soit un équivalent de 500 millions d’euros. Alain PEREZ était un être doté d’un grand charisme, d’une pugnacité exceptionnelle : il a tout fait pour limiter la casse en se battant comme un beau lion pour que la Chambre de Commerce et d’Industrie conserve son indépendance, celle d’un établissement public… ».
Faire payer les prestations aux entreprises et sauver le modèle économique
Ce sera le cas, entre autres, lors de la vente de l’hôtel consulaire de Sens. « Soucieux de préserver le modèle économique de la CCI, Alain PEREZ avait souhaité développer la pratique de prestations payantes auprès des entreprises adhérentes et d’être novateur en la matière… ».
Prévoyant et perfectionniste, le président PEREZ avait travaillé dès 2019 soit deux années avant le terme de son second mandat à la préparation de sa succession. Ciblant ainsi le prometteur Thierry CADEVILLE pour lui succéder.
« Nous lui rendrons hommage comme il se doit le 14 mai lors de l’inauguration de la pépinière newlook, ajoute le nouvel homme fort de l’organe consulaire, mais également le 16 mai à l’occasion de la prochaine assemblée générale trimestrielle… ».
Il n’est d’ailleurs pas exclu qu’un troisième hommage encore plus conséquent ne soit rendu à Alain PEREZ un peu plus tard sous une autre forme. Un véritable travail de mémoire, amplement justifié, en somme…
Thierry BRET
La surprise, d’abord. Avant que n’arrive insidieuse la tristesse. Profonde. Immense. Au goût persistant d’amertume. Celle qui noue le ventre et fait mal au cœur. L’inimaginable, en vérité. Pourtant à la relecture du message électronique tombé sur le smartphone en fin d’après-midi de ce samedi 26 avril, on ne peut que faire face à l’évidence. Alain PEREZ est mort. L’ancien président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne – il avait quitté ses fonctions fin 2021 au profit de son dauphin, Thierry CADEVILLE qu’il avait préparé à l’exercice depuis 2019 – nous a quittés la veille. A l’âge de 74 ans, dans une chambre d’hôpital de Nice. Cette ville ensoleillée qu’il affectionnait tant, avec sa baie des Anges…
AUXERRE : C’est un battant qui vient de nous quitter ! Un personnage qui ne laissait jamais indifférent. Il disait tout haut ce que d’autres pensaient tout bas. Et il avait cent fois raison, ne serait-ce que pour faire avancer des dossiers ! Même les plus épineux. Une de ces figures emblématiques des milieux institutionnels et économiques d’un territoire qui laisse une empreinte, bien longtemps ancrée dans les mémoires après son départ.
Un meneur d’hommes et de femmes, un décideur qui aura mis à profit son intelligence et son sens de la stratégie au bénéfice d’un territoire. De son département, celui qu’il aimait le plus, l’Yonne. Même si après avoir tiré un trait sur toutes ses activités consulaires, il avait choisi la Côte d’Azur et les Alpes-Maritimes, dans cette jolie station de Villeneuve-Loubet, pour y couler entre Cannes et Nice, des jours heureux, tranquilles et ensoleillés aux côtés de son épouse, Bernadette.
Alain PEREZ est décédé. Un funeste jour que ce vendredi 25 avril 2025, emporté par la maladie. Une pathologie qui aura donc terrassé cet éternel combattant de la cause entrepreneuriale et de l’attractivité économique. Lui qui aura lutté jadis pour le maintien d’un CCI territoriale, se refusant à toute régionalisation du vénérable organisme, lui qui aura sorti les griffes même devant les représentants de l’Etat lorsque ce dernier ponctionnait la chambre consulaire de douloureux prélèvements afin de renflouer les caisses abyssales des dépenses (déjà) !
Un visionnaire très attaché à l’indépendance de la CCI
On peine à le croire tant ce personnage, âgé seulement de 74 ans et faisant toujours jeune de corps comme d’esprit, avait de la suite dans les idées. On se souviendra de son attachement aux fameuses « RIDY », ces Rencontres Industrielles Départementales de l’Yonne – elles furent menées de main de maître durant toutes ces éditions par une Christine JAN qui n’aura pas compté son temps pour en assurer le succès logistique ! – qui très vite débordèrent largement des frontières icaunaises pour intéresser des industriels des départements limitrophes, avec son lot de conférences et d’ateliers démonstratifs.
Un Alain PEREZ qui était très attaché au développement de l’infrastructure portuaire de Gron – le Sénonais restait son fief ! – avec la création de la société LOGI Yonne, portée par Didier MERCEY et l’implication de la chambre consulaire dans le financement de ce support modal novateur, ouvrant grandes les portes du commerce céréalier et industriel vers la mer.
Alain PEREZ était un visionnaire. Il aura consacré douze années de son existence à présider cette institution incontournable dans le sérail économique dont Gaston SIMONATO lui avait transmis les clés. Son passé de dirigeant d’entreprise, à la tête de la filiale logistique du groupe SENOBLE, « IRIS Logistique », sans doute.
Durant deux mandatures, respectivement de cinq et six ans, le « patron » de la CCI de l’Yonne aura promené sa silhouette dans d’innombrables réunions de travail, de visites d’entreprises, de rencontres avec les autorités étatiques, avec un seul et unique leitmotiv en tête : préserver l’indépendance de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, établissement public dont il était très fier. Plus qu’une volonté, c’est un sacerdoce qui l’aura habité durant ces deux mandats consécutifs et dont il aura transmis le même fil conducteur à son héritier, Thierry CADEVILLE qui l’aura fréquenté de très près durant presque ces douze ans de pouvoir consulaire.
Plusieurs hommages à venir en mai
Adepte de la création d’un guichet unique où il aurait concentré toutes les forces institutionnelles et économiques sous l’égide d’une même structure – son fameux projet « Yonne 2015 » - qui in fine ne verra jamais le jour, fidèle en amitié comme il pouvait être clivant envers ceux qui ne le suivaient pas nécessairement, Alain PEREZ était un garçon entier et de caractère dont on pouvait fort bien s’accommoder lors de la réalisation de projets allant dans la bonne direction.
Une figure qui manquera comme tant d’autres à notre territoire. Une figure dont la mémoire sera naturellement honorée lors d’un hommage prononcé à l’occasion le 14 mai prochain de l’inauguration de la pépinière d’entreprises auxerroise et de ses nouveaux locaux, « Octopus », comme l’a précisé Thierry CADEVILLE ; un hommage qui sera rendu à l’ancien homme fort de la chambre le 16 mai prochain lors de la prochaine assemblée générale.
C’est tout un pan de vie qui s’écroule dans l’Yonne économique avec la disparition d’Alain PEREZ, pour les représentants du monde consulaire mais aussi celles et ceux qui ont eu le privilège de l’avoir côtoyé de près un jour. On pense notamment à l’ancienne directrice des services généraux de la CCI 89, Josette CARRE, fidèle d’entre les fidèles du président PEREZ avec lequel elle aura travaillé durant toutes ces années. Les obsèques se dérouleront dans les Alpes-Maritimes ce vendredi 02 mai à Villeneuve-Loubet. C’est le vice-président de la CCI 89 Didier CHAPUIS et Sylvie RAMISSE, trésorière de la structure qui accompagneront le regretté Alain PEREZ dans sa dernière demeure en compagnie de Josette CARRE…Inconsolables, celles et ceux qui l’ont connu pourront toujours le pleurer ce matin-là en se souvenant de son œuvre et de sa convivialité…
Thierry BRET
Faute d’adhérents, l’amicale des Anciens combattants de la commune périphérique de la capitale de l’Yonne, Auxerre, vient de rendre son tablier. C’est la fin d’une histoire pour son président Michel GAUTRE et ses camarades qui perpétuaient jusqu’alors, selon les rendez-vous du calendrier, le devoir mémoriel de celles et de ceux qui se sont battus pour la liberté et la préservation de la démocratie. Une fin douloureuse lorsqu’une structure associative passe de vie à trépas…
GURGY : L’association des Anciens combattants a malheureusement cessé toute activité il y a quelques semaines. Une structure qui était dirigée par son président, Michel GAUTRE. Pourtant, l’entité était toujours présente dans la vie de la commune icaunaise, notamment lors du maintien du souvenir des combattants morts pour la France et la préservation de nos valeurs républicaines selon les commémorations. Hommages, réceptions officielles… : des moments forts dans la vie d’une localité.
Navré de la situation, l’édile de Gurgy Cyril CHAUVOT a par ailleurs précisé que « la municipalité allait continuer l’œuvre de l’amicale, en célébrant et en représentant la structure associative à chaque cérémonie officielle dans la commune ».
Devant solder les comptes avant de dissoudre de manière définitive l’amicale, les Anciens combattants ont remis un chèque de plus de deux mille euros à la municipalité lors d’une réception en mairie. Un geste salué par Cyril CHAUVOT qui a exprimé ses plus vifs remerciements…
Thierry BRET
Depuis des lustres, nous sommes soumis aux décisions, voire aux dictats, américaines. Les bouleversements se déroulant aux Etats-Unis depuis des années arrivent immanquablement en Europe et en France. Un tel cordon ombilical nous empêche parfois d’agir en toute conscience. Les USA ont toujours fasciné par leur histoire et leur mentalité de cow-boy, le revolver prêt à défourailler, la bouteille de whisky au bord des lèvres, un drapeau pour emblème et la statue de la Liberté (merci la France !) pour signe de reconnaissance…
TRIBUNE : L’Amérique, d’abord, fut toujours le crédo américain. Et Donald TRUMP en a fait sa devise ! Les Américains ne font aucun complexe vis-à-vis de leur amour de l’argent. Ce pays est riche de légendes qui parlent d’hommes et de femmes, partis de rien et arrivant à bâtir d’immenses fortunes. Le revers de la médaille existe aussi : la crise boursière de 1929 a généré de nombreux suicides de banquiers et financiers pour cause de faillite.
Pour avoir côtoyé des Américains lorsque j’étais consultant, je fus témoin de leur désir de s’affirmer en refusant de parler français. Même s’ils savaient pratiquer la langue de Molière. Pas de doublage des films étrangers, seul compte l’anglais. Sans doute, le complexe de la vieille Europe ! Une revanche, sans doute. Une équipe de télévision française part aux Etats-Unis, afin de filmer le chanteur français qui doit interpréter la chanson « Liberté », dans le cadre des fêtes du centenaire de ladite statue offerte par la France. Arrivée à New-York, les douaniers interdisent l’introduction du matériel : « Si vous souhaitez réaliser le reportage, vous devez obligatoirement louer le matériel sur place ». Un protectionnisme au relent de gains à tout propos. Nous sommes encore dans cette ambiance, avec la stratégie de Donald TRUMP et son « Amérique d’abord ! ».
Une expérience significative avec G.E.
G.E. (Général Electric) vient de racheter une filiale financière française et je dois assurer la formation des cadres commerciaux. 21 heures, un coup de fil : « bonsoir, Barbara, je suis la responsable du programme de formation. Je dois vous voir impérativement demain à 10 heures ! J’ose dire : vous avez de la chance, je suis disponible. Non, c’est vous qui avez de la chance répondit l’effrontée ! Le lendemain, elle cadre le projet pédagogique : « vous n’aurez pas une semaine d’animation, comme prévu, mais trois jours, vous pouvez le faire ? Sous-entendu, ça passe ou on se passe de vos services… ». Elle enchaîne : « de plus, nous avons un double objectif pour cette formation, d’une part, former nos commerciaux aux risques financiers de leurs clients et d’autre part, faire que le service administratif connaisse mieux la force de vente. Chacun doit apprendre les contraintes des parties ! ».
C’est un peu compliqué, en plus j’ai trois jours. En conséquence, il faudra arrêter la formation initiale vers 18 heures, leur offrir un rapide dîner, reprendre à 19 heures et boucler la formation vers 23 heures. Je souhaite que vous m’adressiez le programme de cette seconde formation.
« J’attire votre attention sur le fait que nous sommes en France, faire travailler le personnel sur une journée de 14 ou 15 heures, vous pouvez vous heurter aux syndicats, et ça ne peut se faire que sur la base du volontariat. En plus, pour moi, ce ne sera pas au même tarif ! Un mauvais réflex franchouillard ! Je ne vous parle pas de prix mais de programme. De toute façon ils seront tous volontaires ! ».
La formation a eu lieu dans les conditions fixées par la disciple du dieu Ploutos ! La suite est tout aussi croustillante. J’arrive le jour J, les stagiaires sont bien là. Une délégation de l’entreprise m’accueille : le patron de la filiale en tête. Son discours me montrera qu’un patron américain ne feinte pas, ne compose pas avec ses troupes pour ménager telle ou telle sensibilité. Je le cite : « Mesdames, Messieurs, vous allez recevoir une formation indispensable pour mesurer votre capacité à éviter les situations contentieuses. Nous sommes ravis d’accueillir Monsieur ALLOU. Nous l’avons choisi, car dans son domaine, c’est le meilleur ! Fermez le ban. Magique, mon intervention est servie sur un plateau, justifiée et le boss ferme la porte à une critique éventuelle. Le lendemain, la délégation est encore là ? Non, prévu au programme, ils tirent tous des mines d’enterrement.
« Mesdames, Messieurs, vous avez tous appris la terrible nouvelle tombée cette nuit (c’est clair, l’entreprise a appris le décès d’un personnage) ». Visage interlope de mes braves stagiaires. Le boss reprend : « Cette nuit, nous avons perdu la première place à la bourse de New-York. Aujourd’hui, un seul combat : reprendre cette première qui nous revient. Je dois rappeler que notre objectif, c’est de réaliser des bénéfices. Les bénéfices, c’est non seulement bon pour les actionnaires mais c’est surtout excellent pour vous : vos salaires, vos primes, votre retraite, et vous êtes aussi des actionnaires de l’entreprise… ». Incroyable, mais un discours limpide, affirmant, sans fard, l’objectif poursuivi par l’entreprise.
Maintenir de bonnes relations en gardant notre vigilance
Cette expérience montre une mentalité dont les Américains n’ont pas à rougir mais qui prend notre culture à rebrousse-poil ! Le DG de G.E., m’a précisé, qu’il fallait toujours nommer un Américain comme responsable d’une filiale. Raison majeure : un Français se croit obligé de bousculer violemment les salariés, s’imaginant que dans la mentalité américaine on est plus proche de la maltraitance organisée que de la berceuse… Et de conclure : « Jamais, je n’ai viré un collaborateur parce qu’il n’a pas atteint ses objectifs. Cela signifie qu’il n’a pas vu qu’il était dans le rouge, et c’est toute une chaîne qu’il a mise à mal. Il y a toujours des circonstances qui font que l’objectif assigné ne sera pas dans le résultat attendu… ».
Pas de jugement hâtif dans cette culture de l’argent, même s’ils dépensent plus en whisky qu’en livres. Demander à un Américain ce qu’il vaut, il répondra 200 000 dollars (son revenu annuel). La même question posée à un Français : ce sera Science Po, ENA, Polytechniques…
Nos amis, outre-Atlantique, ont tout de même marqué leur histoire par un génocide, l’esclavage et une effroyable guerre civile. Ils ont aussi coloré l’aventure du monde par leur hégémonie financière, la volonté de faire de l’argent par tous les moyens et le protectionnisme. Il y eut cependant des hommes marquants comme Abraham LINCOLN et tant d’autres humanistes et savants, des comportements sans ambiguïté, francs et directs…
On doit maintenir de bonnes relations avec l’Amérique, mais garder notre vigilance, sans oublier que si les Américains sont toujours prêts à aider la veuve et l’orphelin, c’est uniquement s’ils sont jugés dignes et de bonnes mœurs !
« L'histoire de la plupart des pays a été celle de majorités piétinant des minorités dix fois plus nombreuses... ». Une citation d’Oliver WENDELL-HOLMES à méditer !
Jean-Paul ALLOU