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« On y croit ! ». Et, au vu des premières tendances informatives données par les instituts de sondage nationaux, ils auraient tort de ne pas arborer un large sourire – celui de potentiels vainqueurs de ces législatives en juin ? – sur leurs visages. Les trois candidats de ces échéances électorales dans l’Yonne et leurs suppléants sont prêts à croquer toutes les voix avec délectation qui viendront tomber dans leur escarcelle…

 

AUXERRE : 29 % contre 26 %. L’écart semble se creuser irrémédiablement au dernier pointage, proposé par les instituts de sondage,entre la NUPES et Ensemble. Un premier tour au bénéfice de ce surprenant attelage, qui s’est constitué en dernière minute, par une gauche en quête de résurrection, ayant soif de revanche, après son échec lors de la récente présidentielle.

Encore à touche-touche juste avant la désignation de la nouvelle Première ministre Elisabeth BORNE, les intentions de vote pour la NUPES continuent de prendre de la constante, en version exponentielle, à la plus grande satisfaction de ses ouailles qui croient mordicus en la victoire possible au soir des 12 et 19 juin prochains.

Le tribun de cette gauche, variante 2022, Jean-Luc MELENCHON qui se voit déjà Premier ministre à la place du Premier ministre – aurait-il lu les désopilantes aventures du fameux fakir « IZNOGOUD » né de l’imaginaire fertile de René GOSCINNY et de Jean TABARY- est peut-être en passe de réussir son pari. Du moins, la première étape de cette accession possible vers les arcanes suprêmes de l’exécutif national. Gagner la prime rencontre des deux manches des législatives 2022 ?

 

La montée en puissance de LFI et d’EELV au détriment du PCF et du PS…

 

En tout cas, dans l’Yonne, la mayonnaise, aussi savoureuse soit elle pour les adeptes d’une gauche unie et revivifiée, a pris une belle couleur sans que trop d’œufs ne se soient perdus en cours de route ! Même si les puristes du socialisme se plaindront en s’arrachant les cheveux de ne pas retrouver de candidats à la rose dans l’une des trois circonscriptions de notre territoire.

Et à ce petit jeu-là, de qui représente quoi, c’est d’une simplicité enfantine (IZNOGOUD nous revoilà !) et très simple : La France Insoumise (LFI) et EELV (Europe Ecologie Les Verts) tirent plus que convenablement les marrons du feu dans ce match qualificatif pour élire domicile à Matignon.

Net et sans bavure. Reléguant le Parti Communiste – il aura réalisé toutefois un score plutôt honorable avec un Fabien ROUSSEL disposant d’une très belle cote de sympathie y compris chez les électeurs de droite et du centre -, et surtout un Parti Socialiste, qui ne cesse de boire le calice jusqu’à la lie, après le naufrage de son égérie, Anne HIDALGO vers la seconde division. Ce n’est pas bien, localement, quand dans le même temps, l’emblématique club de football du terroir tente de bouleverser les paradigmes en espérant retrouver l’élite dès la saison prochaine.

 

Ni discordance ni fausses notes dans les arguments…

 

Ils y croient dur comme fer, ces candidats qui se lancent dans cette nouvelle joute électoraliste. Ils ont raison tant au plan mental que pour la motivation car l’appétit vient en mangeant, c’est bien connu.

On sent bien que dans les explicatifs de ces six personnes, les trois titulaires et leurs suppléants, il y a de l’engagement dans les propos, de la passion –elle semble être parfois viscérale pour servir une cause, celle de la défense des intérêts du peuple et de son pouvoir d’achat -, de l’envie, de l’espérance, de l’émotion. De vivre, peut-être, un instant historique si la courbe des sondages ne cesse d’aller dans leur sens ?

Résultante de cet accord national qui n’aura pas in fine accouché d’une souris, malgré moult circonvolutions et périodes d’atermoiements, cette déclinaison locale ne désire qu’une seule chose : être en parfaite harmonie afin de pouvoir interpréter la même partition. Sans couacs et fausses notes.

Force est de constater que la conférence de presse, proposée il y a quelques jours dans les locaux auxerrois de la formation écologiste, n’aura pas révélé de discordance dans les arguments.

Que ce soit chez les thuriféraires investis, hérauts de cette nouvelle alliance ou chez les chefs de partis, venus en témoin, rappeler que les bienfaits de cette coalition, faisant l’unanimité chez ses signataires.

 

 

La NUPES : une alliance qui va au-delà d’une simple candidature…

 

La NUPES (Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale) ne se présente pas pour tenter un coup d’essai, un brin expérimental, ou simplement occuper le terrain, avec ce nouveau scrutin. Que nenni ! La volonté farouche de ces auteurs est de la faire perdurer durablement dans ce paysage issu de la recomposition politique, née de l’après présidentielle qui aura mis à mal bon nombre de certitudes.

Même si, étymologiquement, la nouvelle appellation n’est pas très marketing (!) – doit-on prononcer le « s » terminal ou pas ? -, la NUPES a choisi comme logotype officiel la lettre « nu » (V), treizième de l’alphabet grec, voire même d’origine phénicienne selon les puristes, qui appliqué à la physique, correspond à la « fréquence ». Serait-ce un signe positif pour évaluer le nombre d’électeurs ayant déposé un bulletin étant favorable à cette alliance des partis de gauche au fond des urnes les jours de scrutin ? !

Au-delà de cette « fréquence » symbolisée par ce sigle antique, cet accord, qualifié d’historique par ses commentateurs (Mani CAMBEFORT pour le PS, Alain RAYMONT pour le PCF, Andy WALKDEN pour EELV, et Florent, le porte-parole de La France Insoumise s’exprimant au nom de tous ses camarades), se situe bien au-delà d’une simple candidature unique. Dans les trois circonscriptions de l’Yonne, la mobilisation des différentes composantes de cette nouvelle alliance est palpable.

 

 

Le « V » de « Nu » pour évoquer la victoire finale ?

 

Les thèmes de campagne ne manquent pas : la retraite à soixante ans, le blocage des prix, l’instauration d’une cuisine bio et gratuite dans les collectivités de type scolaire, la planification écologique – item plus que jamais d’actualité même dans la bouche d’Emmanuel MACRON visiblement ! -, la création de services publics pour redynamiser les territoires ruraux qui en ont grandement besoin, la revalorisation du SMIC à 1 400 euros, le soutien à l’agriculture, l’équité applicable dans la fiscalité ou encore le passage à la VIème République, l’inéluctable antienne de Jean-Luc MELENCHON, qui souhaite organiser un référendum d’initiative citoyenne et la fin de la « monarchie présidentielle ».

C’est sûr, les candidats de la NUPES, gonflés à bloc par les récents sondages, se voient investir fin juin le Palais Bourbon en nombre en réalisant le coup du siècle, c’est-à-dire provoquer une cohabitation et un changement de gouvernement.

Qu’en sera-t-il exactement vu du bout de notre lorgnette, dans l’Yonne, terre de droite et du centre droit, depuis tant d’années ?

Confiants,  titulaires et suppléants n’hésitent pas en guise de réponse à faire usage de la lettre grecque « nu » au terme de la conférence de presse, une lettre qui n’a pas été choisie par hasard en matière de symbole. Avec son « V » qui rappelle ostensiblement le signe de la victoire…

 

 

En savoir plus :

La liste des candidats :

Première circonscription :

Florence LOURY, titulaire et Claire LAROCHE-FONTAINE, suppléante,

Deuxième circonscription :

Philippe VEYSSIERE, titulaire et Judicaëlle CALIF, suppléante.

Troisième circonscription :

Manon DENE, titulaire et Jérôme THIRIET, suppléant.

 

Thierry BRET

 


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C’était la fête à tous les étages à Montholon ! En effet, près de 260 personnes avaient répondu à l’invitation de la SARL PICON à l’occasion de la phase inaugurale de leur nouveau bâtiment. Les invités ont pu découvrir à loisir le dernier cri des véhicules exposés dont une superbe Renault Alpine, avant de visionner sur écran géant une rétrospective du garage.

 

AILLANT-SUR-THOLON : Ambiance festive au Garage PICON en cette fin d’après-midi du vendredi 13 mai. La cérémonie inaugurale du nouveau bâtiment qui accueille ce spécialiste de la réparation et de la vente automobile se sera déroulée dans un esprit de joie. Entre la restauration proposée par un « food-truck », privatisé pour la soirée, et la découverte de nouveaux modèles, de la marque hexagonale, Renault.

 

Une vraie saga familiale dans l’Aillantais…

 

Ouvert en 1962, le garage PICON n’a cessé depuis d’évoluer pour ajuster au mieux son offre vis-à-vis de sa clientèle. L’entreprise a été portée sur les fonts baptismaux en 1972 – soixante ans déjà, un bail ! -, par Georgette et Yves PICON. A l’origine orientée vers les machines agricoles, le couple opte pour une toute autre stratégie en proposant de distribuer les produits automobiles de l’enseigne aux losanges.

En 1977, leur fils ainé Jean-Yves les rejoint au pôle carrosserie. Il ouvre dans la foulée une station-service. Puis, au début des années 80, leur second fils, Luc part dans l’aventure : il prend la gestion de la réparation mécanique auto. Enfin, pour couronner le tout, quatorze ans plus tard, c’est au tour de la cadette de la famille, Christine, de venir apporter ses compétences de gestion et de comptabilité.

 

 

 

Avant qu’elle ne se dirige quelques années plus tard dans la vente des voitures et ne devienne la responsable des ressources humaines au sein de cette structure qui à ce jour compte seize personnes, réparties entre les deux sites de la société, à Aillant et à Appoigny.

Précisons qu’en 1995, les trois enfants modifient les statuts de l’entité en créant la SARL PICON. Ils sont également épaulés par la femme de Luc, Sophie qui s’occupe de toute la comptabilité, et de Pascal, le mari de Christine, technicien de la société.

 

Des investissements tant dans l’humain que le matériel…

 

Depuis cette équipe ne cesse de développer l’entreprise familiale, avec une réfection totale de l’atelier en 2004, puis le rachat de l’agence Renault à Appoigny en 2007, qui propose l’enseigne Citroën en plus de Renault et Dacia.

Durant la crise sanitaire, la société n’a pas trop souffert de la situation. Si ce n’est pour la formation du personnel, les aides au financement étant bloquées. La technologie se développant constamment dans l’automobile, avec entre autres l’arrivé de l’électrique, cela demande de trois à quatre stages de formations par technicien, avec des budgets de 5 000 euros par stage pour arriver à maîtriser cette technologie. Pour la SARL, cela nécessite qu’il y ait autant d’investissements dans l’humain que dans le matériel pour suivre la technologie et continuer ainsi d’évoluer afin d’apporter les compétences nécessaires à la clientèle.

 

Maryline GANDON

 

 


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L’exposition se présente « hors les murs », selon la formule consacrée. De la pure logique, en somme, puisque ce « Chemin d’Artistes », premier du genre concocté par l’association Le Ruban Vert, est une invitation, insolite, à découvrir à satiété un événement culturel proposé sur un circuit riche en biodiversité. Entre forêt d’Othe et Gâtinais. Très tentant !

 

VILLENEUVE-SUR-YONNE : Credo de ce rendez-vous fleurant bon la créativité et la prise d’initiative : créer du lien. Mais, pas n’importe lequel, en vérité ! Celui, très ténu, qui doit exister entre la nature et ses occupants humains, et par extension non-humains. On pense bien évidemment à la présence animalière, végétale et minérale. Rien que cela !

Inaugurée ce samedi 21 mai, sur la localité septentrionale de l’Yonne, cette manifestation, proposée sous l’égide de la structure associative « Le Ruban Vert », interpelle à plus d’un titre.

D’une part, cela permet de placer sous le feu nourri (on le souhaite !) des projecteurs médiatiques le travail de cette entité à la verdoyante appellation. Une association qui exerce ses talents conceptuels depuis 2015 déjà, sous la houlette de sa présidente nationale, Claire TUTENUIT, une personnalité charismatique au demeurant, qui a été récemment promue au rang d’officier de la Légion d’Honneur par le ministère de la Transition écologique.

D’autre part, ce sera l’heureuse opportunité de pouvoir apprécier le travail de vingt-cinq créateurs, nationaux et locaux, durant cette période estivale qui s’annonce belle en possibilités oniriques.

Dans l’absolu, des œuvres éphémères vont être exposées le long d’un sentier formant une boucle de dix kilomètres, une allée de bucoliques promenades qui traverse différents écosystèmes. Un projet revitalisant qui a reçu les soutiens de partenaires conquis, le Département de l’Yonne, la municipalité de Villeneuve-sur-Yonne ainsi que plusieurs mécènes, sensibles à l’art qui s’exprime en toute liberté.

L’état d’esprit de ce premier rendez-vous – il en appelle nécessairement d’autres – est résumé par Claire TUTENUIT : « Cette manifestation veut sensibiliser tous les publics à la fragilité et à la valeur de la nature, inspiratrice et décor des œuvres dévoilées… ».

A voir sans retenue !

 

 

En savoir plus :

Inauguration de « Chemin d’Artistes » le samedi 21 mai à 11 heures à la gare de Villeneuve-sur-Yonne.

Retour vers 16 heures, le pique-nique est offert.

Le Musée galerie Carnot ouvrera ses portes à partir de 18 heures pour un cocktail de découverte d’autres réalisations des artistes.

 

Thierry BRET

 


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L’instant se veut solennel. Il se déroule sous le chaud soleil, inondant de sa clarté céleste l’immense cour cernée par les bâtiments flambants neufs de « Paris 2024 », sis à la périphérie de la capitale. Arborant un sourire presque juvénile tant le plaisir irradie son regard, le président du Conseil départemental de l’Yonne, Patrick GENDRAUD, applique avec sage précaution la plaque (« le dossard » dans le jargon de l’organisation) sur une surface murale, montée de toute pièce, par l’ensemble des partenaires et soutiens des Jeux Olympiques.

 

PARIS : « Eux aussi font les Jeux ». Comme un puzzle grandeur nature en perpétuelle construction, où le coloris dominant est le beige, les patronymes s’additionnent au fil des jours sur la surface murale. De petites plaques nominatives qui sont posées avec méticulosité au cordeau. Des noms illustrent y figurent ; à l’instar de celui de Noël LE GRAET, président de la Fédération française de football. On y aperçoit aussi les références de la politique hexagonale et de ses territoires provinciaux. Bref, celles et ceux qui ne peuvent qu’encourager et soutenir le projet du siècle pour la capitale, l’accueil des Jeux Olympiques d’été en 2024.

Alors, forcément, à l’instant où il a dû apposer sa griffe au bas de cette plaque commémorative, baptisée par les instigateurs de cette judicieuse initiative le « dossard », Patrick GENDRAUD, féru de sport, supporteur inconditionnel de cette AJA ambitieuse aux portes de la Ligue 1 et adepte invétéré de la discipline estivale par excellence, soit la pétanque, a eu des frissons dans le dos.

 

 

D’autant que ce court laps de temps aura été immortalisé aux côtés de l’une des stars de l’olympisme à la française, le triple médaillé d’or de canoë Tony ESTANGUET, président du Comité d’organisation des Jeux de Paris (COJO). L’horloge du temps s’est ainsi suspendue un bref instant.

Outre la fierté d’avoir associé à ce projet planétaire et de manière officielle le territoire dont il défend les valeurs avec son sens de l’humilité, Patrick GENDRAUD, tel un gamin dont les rêves de gosse s’accomplissent, ne pouvait que savourer cette cérémonie hors du commun. Un partage qui aura rayonné autour de lui durant cette journée vécue à la capitale au cœur du meccano de l’olympisme national.

 

Thierry BRET

 

 


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Confrontés au douloureux problème des déserts médicaux, les édiles des communes rurales n’ont de cesse de rechercher des solutions pour pallier l’absence de médecins. A Branches, c’est désormais chose faite grâce à l’installation d’une borne de téléconsultation à la mairie. Elle permet l’accès à un professionnel de santé, sans rendez-vous et tous les jours de la semaine.

 

BRANCHES : Les habitants de Branches avaient déjà la possibilité en passant devant la mairie, de s’approvisionner en pain auprès d’un distributeur automatique. Ils pourront dorénavant si besoin, s’y arrêter pour consulter un médecin à distance, via la borne installée dans l’ancien bureau du maire. Un appareil simple d’utilisation, équipé de dispositifs connectés permettant un diagnostic à distance en toute confidentialité.

 

Un appareil installé dans des délais record !

 

A la clé, comme en présentiel : l’édition d’une ordonnance ou le renvoi vers un spécialiste ou les urgences si nécessaire. Et dire qu’il aura fallu à peine plus d’un mois pour voir se concrétiser le projet, suite à une présentation du matériel le 04 avril dernier par l’Association des maires ruraux !

La première élue de commune, Emilie LAFORGE, a très vite compris l’intérêt qu’un tel dispositif pouvait avoir pour le suivi médical de ses administrés. La fortune souriant aux audacieux, elle a immédiatement lancé les démarches, avec l’aval unanime de son conseil municipal, pour rendre opérationnel le matériel inventé, mis à disposition par la Société MEDADOM, dans les délais les plus courts. Même le sénateur François PATRIAT, présent lors de l’inauguration en est resté sans voix face à une telle réactivité. Ce qui pour tous ceux qui le connaissent, s’apparente presque à un miracle ! Invitant dans la foulée, Louis de TRAVERSE, responsable des partenariats stratégiques au sein de MEDADOM, à venir présenter le dispositif devant l’assemblée des maires ruraux de Côte d‘Or.

 

 

Une prise en charge de 100 % jusqu’au 31 juillet prochain…

 

Nul besoin d’être technophile ou féru d’informatique pour utiliser la borne de téléconsultation. Elle est intuitive de nature et si besoin, consultable avec l’aide d’une personne référente, présente quotidiennement de 08 h à 22 h. Equipée d’un large écran tactile, d’une caméra HD, d’un casque audio, d’un lecteur de carte Vitale et de carte bancaire, la borne se veut avant tout ergonomique et adaptée à tous les âges. A disposition du patient, six dispositifs adaptés permettant avec l’aide du médecin en ligne, de prendre les constances et élaborer un diagnostic : un thermomètre, un tensiomètre, un oxymètre pour mesurer le taux d’oxygène dans le sang, un stéthoscope pour contrôler le pouls, un dermatoscope pour évaluer les lésions de la peau et un otoscope pour vérifier les oreilles. Autant d’équipements désinfectés après chaque usage et qui permettent par un premier diagnostic, d’identifier une maladie en amont susceptible de s’aggraver.

Un délai moyen de dix à quinze minutes suffit pour être pris en charge par un médecin généraliste inscrit au Conseil National de l’Ordre, pour un coût ne dépassant pas celui d’une consultation en présentiel. Avec l’assurance de voir appliqué systématiquement le tiers payant et ne débourser que le coût du ticket modérateur.

Cerise sur le gâteau : une prise en charge à 100 % jusqu’au 31 juillet prochain est possible, dans le cadre du contexte de crise sanitaire mis en place, suite à la pandémie de la COVID. Le patient ayant pour seules obligations avant d’accéder à la téléconsultation, de se munir de sa carte Vitale mise à jour, de sa carte bancaire et d’un téléphone.

 

 

 

Ils ont dit…

Emilie LAFORGE, maire de Branches
« Cette machine ne remplacera jamais le contact et l’entretien avec un médecin et elle n’en a pas vocation. Sa consultation s’inscrit dans le schéma classique de santé et permet d’espacer les visites chez le médecin pour des actes simples et contrôlables à distance. C’est une solution parmi d’autres, pour lutter contre le phénomène des déserts médicaux qui affecte tant nos territoires… ».

François PATRIAT, sénateur de Côte d’Or
« Je me souviens avoir dit un jour au Chef de l’Etat, « Président, quand tu parles santé, tu parles aux territoires ! Il y avait déjà à l’époque, cinq priorités : le chômage, la santé, le logement, l’environnement et les transports. Cinq sujets essentiels sur lesquels les Français se sentent menacés… ».

Louis de TRAVERSE, société MEDADOM
« Je suis très impressionné par votre efficacité. Entre le 04 avril où vous avez assisté à cette réunion et aujourd’hui, à peine plus d’un mois ! J’avoue que c’est un record, jamais cela n’aura été aussi rapide ! On dit que l’administration publique est parfois lente, là, c’est l’inverse, bravo ! ... ».

 

 

En savoir plus

A l’heure de l’inauguration, on notait la présence parmi les invités autour d’Emilie LAFORGE, première élue de Branches, François PATRIAT, sénateur de Côte d’Or, Yves VECTEN, conseiller départemental et maire d’Escamps, Malika OUNES, présidente d’Initiactive 89. Louis de TRAVERSE, responsable des partenariats stratégiques à MEDADOM assistait également à cette manifestation.

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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