Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Le CIRFA (Centre d’information et de recrutement des forces armées) de l’Yonne a accueilli comme à chaque début de mois une dizaine de jeunes gens, interpellés par la carrière militaire à Auxerre. Aptes à revêtir l’uniforme après avoir obtenus les autorisations médicales obligatoires, les membres de ce contingent, issus de la promotion de novembre, ont signé sans l’once d’une hésitation les contrats professionnels, devant les unir sur une période d’un à dix ans avec l’armée de terre…Un acte suscitant beaucoup d’espoirs pour cette génération de vivre de nouvelles aventures passionnantes, équipée de treillis et d’un fusil d’assaut…

 

AUXERRE : D’une moyenne d’âge de 21 ans, neuf jeunes hommes et une demoiselle, originaires du département de l’Yonne et de Côte d’Or, ont dormi loin de leur univers familial au soir de ce premier rendez-vous officiel avec le milieu militaire.

A peine conclue l’ultime séance explicative animée par l’adjudant-chef Bruno NIRLO, responsable du centre de recrutement des forces armées dans l’Yonne, que les nouveaux engagés se précipitaient en direction de la gare d’Auxerre ou celle de Migennes afin d’embarquer à bord d’un train les menant vers leur lieu d’affectation. Metz, Haguenau, Chambéry, Montlhéry, Brive la Gaillarde, Valdhaon, Montauban et même Paris, pour rejoindre les effectifs aguerris de la brigade des sapeurs-pompiers de la capitale, une référence en la matière.

Durant une période d’incorporation de douze semaines, les néo-soldats découvriront les rudiments de la vie militaire au sein de leurs casernes. Un dur apprentissage de la discipline les attend sans forfanterie, avec son lot quotidien de réveils aux aurores, la pratique intensive du sport, des exercices de tir à balles réelles, des marches commandos munies de sacs à dos copieusement garnis au beau milieu de la nuit, sans omettre les tâches inhérentes à l’intendance et à la vie en communauté.

Des spécialisations amenant à la pratique de vrais métiers…

« D’ailleurs, devait ajouter l’adjudant-chef recruteur, si une problématique morale entrave votre dynamique, n’hésitez pas à nous contacter via le téléphone. Si l’institution militaire ne représente pas votre desiderata professionnel : il y a toujours la possibilité de faire machine arrière et de vous rétracter. C’est votre droit fondamental… ».

Balayant les craintes de quelques-uns, qui étaient accompagnés dans ces adieux provisoires par leurs petites amies ou des représentants de la famille, l’adjudant-chef NIRLO invita ensuite les futurs soldats à prendre leur temps pour lire le contrat d’engagement en trois exemplaires remis par l’officier recruteur. Avant que tous n’apposent à l’unisson leurs griffes au bas des documents...

Rares sont les jeunes engagés qui rompent leurs contrats une fois arrivés à bon port. Bien au contraire. Au contact de nouveaux camarades, et dans le respect scrupuleux de la hiérarchie, les aspirants soldats prennent très vite leurs marques afin de voler de leurs propres ailes au sein de ce monde si spécifique mais ô combien nécessaire afin de préserver la paix et l’unité.

Intégrés parmi les effectifs de leurs régiments (artillerie, infanterie, parachutistes, commandos…), les dix nouvelles recrues du terroir bourguignon compléteront ensuite leurs formations avec des spécialités les conduisant vers leur métier définitif.

Des parcours atypiques avec en toile de fond l’envie de bouger…

Conducteur d’engins, de poids lourd, cuisinier, rattaché à la communication ou au service transmission, voire pilote de char ; ces jeunes soldats disposent d’une réelle marge de sécurité au niveau de leurs cursus. N’éprouvant aucune appréhension particulière à l’idée de prendre part aux campagnes de maintien de la vigilance (Opération Sentinelle) ou de s’envoler vers le théâtre conflictuel de certains brûlots de la planète (Moyen-Orient ou Afrique sub-saharienne).

Indépendante dans l’âme, perfectionniste et rompue à la pratique de la discipline, Mathilde, âgée de 20 ans, a profité d’un service civique de sept mois vécue au sein de la Croix Rouge après son baccalauréat pour se forger le mental nécessaire, lui permettant enfin de franchir le cap. Son affectation en qualité d’agent de la circulation routière motorisée pendant trois ans l’enthousiasme au plus haut degré.

Quant à Cédric, père de trois jeunes enfants, il reprend du service après cinq années d’expériences enrichissantes dans l’artillerie. Ce réunionnais a eu beau tenter un retour dans la vie civile (administration) : rien n’y a fait !

Le désir de voyager et de pouvoir bouger aura été le plus fort. Son nouveau contrat de dix ans lui procure déjà d’agréables sensations d’autant que ce sportif accompli rejoint un régiment d’infanterie basé à Metz. Son épouse, ayant déjà choisi de le suivre dans l’est de la France, s’installant dans un lieu de mémoire universel à Verdun, dans la Meuse…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Unique coordinatrice de la VAE (Validation des acquis de l’expérience) sur le territoire de l’Yonne depuis 2014, Frédérique NIKA évoque les principes fondamentaux de ce dispositif professionnel qui a été remodelé au 01er octobre en toute discrétion. Instrument essentiel de la loi de modernisation sociale promulguée le 17 janvier 2002, la VAE est l’une des méthodologies intelligentes de faire reconnaître son savoir-faire professionnel (ou bénévole) en vue de l’obtention d’un diplôme ou d’une progression sociale au sein de son entreprise. Explications…

 

AUXERRE : S’adressant aux salariés, professions libérales, demandeurs d’emploi et même bénévoles associatifs, la VAE est devenue au fil des ans le moyen idoine de faire valoriser ses nombreuses années d’expérience avant d’obtenir le diplôme, précieux sésame légitime permettant de convertir cela de manière officielle.

Pour Frédérique NIKA, coordinatrice de cet outil facilitateur pour gravir les échelons, « une VAE répond à plusieurs objectifs lorsque l’on entreprend la démarche de l’obtenir : attester d’un niveau professionnel atteint pour favoriser l’évolution professionnelle dans le cas d’une reconversion, ou pour obtenir une qualification dans le cadre d’un concours ou d’optimiser sa qualification professionnelle en cas d’évolution de poste et de statut. Dans tous les cas, la VAE est indispensable à la personne pour développer la confiance en soi ».

« On peut être amené à le faire par conviction personnelle, par choix d’évolution, en répondant au besoin d’exigence d’un prêt requis ou pour un concours, mais aussi en face des offres d’emploi, ajoute cette spécialiste de la question.

Le législateur ramène le processus de 3 à 1 an…

Jusqu’à présent, trois ans d’expérience en rapport direct avec le diplôme choisi étaient nécessaires pour pouvoir y prétendre. Mais, la réforme de la loi Travail (Loi 2016 et le texte du 08 août 2017, correspondant à l’abaissement de la durée requise à un an) a modifié sensiblement la donne. Sachant, dans l’intervalle, que tous les ministères n’avaient pas encore appliqué ces mesures. Mais, depuis le  01er octobre 2017, on ne peut sursoir à ces modifications.

« Il est important que le législateur ait fait évoluer le développement de la VAE, concède la jeune femme en charge de la gestion des dossiers dans l’Yonne, la réduction de l’expérience, ramenée de trois ans à un an, est essentielle pour gommer les aspérités techniques de ce dossier et freinait les velléités des prétendants. La notion d’expérience acquise et valorisable s’élargit et ne concerne plus uniquement le seul degré professionnel. Ce qui signifie dans l’absolu que le montage d’un dossier peut entrevoir des réussites obtenues lors d’un mandat électif, pendant une activité associative, mais aussi sportive ou culturelle… ».

Néanmoins, il est nécessaire de rappeler que l’on ne peut valider que des expériences qui ont eu cours sur son chemin de vie. « Si la personne n’a jamais exercé une discipline et qu’elle souhaite l’intégrer au sein d’une VAE, il n’y aura pas d’autres alternatives que de la diriger vers la formation… ».

Une photographie à l’instant « t » de son parcours d’expérience

Le contingent des personnes interpellées par la validation des acquis de l’expérience ne cesse de croître d’année en année. Les raisons en sont évidentes avec le net désir de changer de vie professionnelle de manière plus fréquente et ce besoin assumé de reprendre sa destinée en main. Après avoir pris contact avec Frédérique NIKA, conseillère VAE auprès de la Maison de l’Emploi pour la zone sud de l’Yonne, et le CIBC (Centre interinstitutionnel de bilan de compétence de l’Yonne sur le centre et la partie nord du département), les futurs lauréats à cette validation se renseignent sur bon nombre de questionnements. Les principaux étant le mode de financement, les étapes permettant de suivre ce parcours initiatique, la découverte de ses différents acteurs, l’éligibilité du candidat, les aides dans le choix du diplôme, la prise en charge…

« Ensuite, explique Frédérique, nous les orientons vers l’organisme certificateur qui validera ce parcours pédagogique… ».

Un profil éclectique avec 70 % de public féminin

Entre 36 et 45 ans, de nombreuses femmes s’essaient à la pratique de la validation des acquis de l’expérience. Quel que soit le niveau de diplômes, mais avec un maximum de niveau V et VI. Le délai pour arriver au bout du chemin équivaut le plus souvent à une année.

Mais, dans la grande majorité des cas, la VAE est une approche méconnue des salariés.

« C’est surprenant, s’étonne Frédérique NIKA, tous peuvent y prétendre mais peu connaissent réellement leurs droits… ».

Parmi les freins incontestables de ce processus pourtant très utile à la sécurisation des emplois, c’est la lourdeur administrative qui prévaut.

« En fait, il est nécessaire de passer par un point relais conseil comme celui de la Maison de l’Emploi à Auxerre ou les antennes du CIBC à Sens et à Joigny pour obtenir des informations.

Quant à l’organisme certificateur qui validera in fine le parcours, il peut se présenter sous différentes formes : ministère de l’emploi, de la jeunesse, de l’agriculture mais aussi l’Education nationale, voire des établissements privés. La certification est établie par chacun de ses organismes. Mais, aujourd’hui, le législateur souhaite une uniformisation du processus sans doute pour le rendre plus accessible.

Grâce au concours du point relais, et l’aide au choix et à l’identification du diplôme, le candidat s’inscrit à la demande de recevabilité. Une étape obligatoire afin de mener à bien le terme de cette initiative. C’est là que Frédérique NIKA joue les bonnes fées en apportant sa plus-value et ses connaissances à la constitution de ce lourd dossier, argumentant dans les moindres détails les expériences professionnelles des prétendants.

A l’issue de ce long chemin pédagogique, on ne valide rien. Soit on obtient le diplôme, ou partiellement certains modules. Un jury composé de professionnels peut alors faire des préconisations et expliquer les failles du candidat. S’en suivra nécessairement des formations complémentaires pour pallier aux manques…

Des aides financières de la Région et de Pôle Emploi…

Quant à la partie financière, elle ne peut être édulcorée. L’accompagnement pour atteindre ses objectifs n’est pas obligatoire mais il est vivement conseillé. Afin de bénéficier de conseils pertinents, 95 % des personnes qui suivent ce procédé intellectuel choisissent un accompagnateur. Ensuite, et selon la situation, on pourra mobiliser des aides de la Région et de Pôle emploi pour les demandeurs d’emploi, ou un congé de VAE pour les salariés dans le cadre du Compte personnel de Formation qui remplace les DIF.

Le coût pour une VAE est estimé de 500 euros à 2 000 euros. Les subsides étant analysés au cas par cas (frais d’accompagnement, frais d’université…). Pour les salariés, il n’y a pas de coût particulier car tout est pris en charge grâce aux OPCA qui assurent le financement selon leurs typologies.

Précisons que la Région Bourgogne Franche-Comté qui a habilité la Maison de l’Emploi à proposer ces missions, contribue à financer les demandeurs d’emplois selon certains critères.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Responsable du pôle action commerciale au sein de l’établissement multi-sites courrier de l’Avallonnais, Philippe PATON est intervenu devant les membres de l’AET (Association des entrepreneurs du Tonnerrois) lors d’une conférence instructive où il expliquait la gamme des innovations numériques et stratégiques en matière de marketing, mises en place par l’opérateur national…

 

TONNERRE : La POSTE bouge et le fait savoir de manière didactique dans son entourage. Notamment auprès des chefs d’entreprises et des acteurs de l’économie locale.

Présentant la diversité des offres existantes (colis, courrier, numérique et logistique), Philippe PATON, invité par le président de l’AET, Eric MONNOYER, à venir s’exprimer lors d’une réunion statutaire, a pu mettre en relief les compétences d’un groupe qui multiplie les campagnes de sensibilisation vers les artisans, les commerçants et les dirigeants de PME/PMI.

Dans le temps d’intervention qui lui était alloué, le conférencier d’un soir a pu expliciter les vertus de la nouvelle offre de « prêts à poster » que l’on peut même personnaliser.

L’opérateur développe beaucoup d’offres numériques à l’instar du timbre en ligne, spécifique aux entreprises. L’idéal étant de concevoir le maximum d’économie in fine. Y compris lors des envois de lettres recommandées en ligne.

Signe des temps, La POSTE commercialise aussi des services de prêts à envoyer dans le cas des envois express. « Côté Pro » englobe un ensemble de préconisations dédiées aux activités des commerçants. Afin de leur faire gagner du temps et d’optimiser leur budget. Mais, les services marketing de l’opérateur national ont aussi imaginé des solutions de conquête de parts de marché grâce à la vente à distance ou l’optimisation de trafic sur les points de vente de leurs clients professionnels.

Devenir une entreprise qui s’adapte aux réalités des besoins…

Parmi les aspirations nouvelles qui ont cours en cette fin d’année : la gestion des archives. Poussée par un souci légitime de diversification alors que l’établissement postal a vu chuté de 50 % ses activités sur la distribution d’objets (18 milliards d’objets en 2008 contre 9 milliards dans les perspectives à horizon 2020), La POSTE poursuit sa mue vers des activités novatrices.

La mise en place d’un programme de veille au profit des seniors (« Veillez sur mes parents »), avec la distribution de tablettes tactiles à la clé, traduit cette volonté de jouer un rôle de plus en plus prégnant au niveau de l’éco-citoyenneté et du sociétal.

Quant au traitement des plastiques et des produits non recyclables, après le tri des papiers, il intègre désormais le registre de la sauvegarde de l’environnement de ce groupe en perpétuelle évolution…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

VERMENTON : Jouets anciens, tableaux, gravures, bibelots, vaisselles, lampes, linges de maison, bicyclettes, outils, objets de curiosité…les chineurs et autres férus de vide-grenier devraient largement y trouver leur compte ce dimanche 12 novembre en essayant de s’approprier la perle rare parmi les innombrables pièces proposées par Béatrice et Louis-Marie MAUVAIS, propriétaires de ce splendide monument cistercien au sud d’Auxerre.

Une fois n’est pas coutume, le couple a décidé d’organiser ce deuxième vide-grenier après avoir découverts dans les vastes soupentes et chambres de l’édifice qu’ils occupent depuis plusieurs années des malles et cartons provenant d’anciens déménagements de leurs aïeuls. Béatrice et Louis-Marie ne les avaient jamais ouvertes auparavant d’où leur immense surprise devant tant d’objets si hétéroclites et au charme suranné.

La vente sera organisée par l’association des Amis de REIGNY et aura pour objectif de financer les actions culturelles de la structure qui ne reçoit plus aucune subvention.

Rappelons que celle-ci est à l’origine du fameux Festival Paroles et Musiques, référence artistique incomparable dans le département, mêlant artistes lyriques et classiques aux écrivains, comédiens et poètes.

La restauration du cellier aux moines profitera aussi des subsides imputables à cette manifestation à la fois ludique (le plaisir de dégoter un objet chargé d’histoire) et instructif, en profitant de ce haut lieu du patrimoine architectural de Bourgogne Franche-Comté.

L’entrée est de 2 euros au profit de l’association. Quant à l’amplitude horaire, elle d’étale de 9 heures à 16 heures en cette future journée dominicale du 12 novembre…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Profitant des Assises de l’énergie 2017 concoctées par l’organisme institutionnel et de leur engouement auprès des élus de l’Yonne mobilisés pour la circonstance, le président du SDEY Jean-Noël LOURY devait dévoiler à cet auditoire studieux l’existence d’un nouveau marqueur qui fera beaucoup parler de lui au cours de ces prochaines semaines : « AVENyR ». Ce référent identitaire à l’étymologie positive résume l’émergence de services novateurs sur le territoire en faveur des réseaux connectés tout en renforçant leur attractivité économique...

 

AUXERRE : « AVENyR ». Une nouvelle appellation dont il faudra se souvenir autour de soi dans le paysage icaunais car de nombreux élus et acteurs économiques en entendront beaucoup parler au cours de ces prochaines semaines. Surtout quand il sera question d’évoquer la simultanéité des projets de développement des réseaux électriques et les déclinaisons numériques qui pourraient en découler tout naturellement.

Et c’est sous l’égide de cette nouvelle marque que le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) désire se positionner en qualité d’incontournable partenaire de ce développement technologique à forte valeur ajoutée sur sa zone de prédilection.

Créer une véritable dynamique économique sur l’ensemble du territoire : la Smart City

Placées sous le signe de l’innovation et de la réflexion, une thématique confirmée par la présence de hautes pointures nationales lors de débats passionnants, les Assises départementales de l’énergie auront été le théâtre de cette annonce importante pour l’essor de la transition énergétique vécue dans le département le plus septentrional de la Bourgogne Franche-Comté.

La création de territoires connectés est devenue une priorité essentielle pour le SDEY et ses nombreux partenaires institutionnels qui souhaitent conférer une véritable dynamique à notre secteur géographique.

Pourvu de ses huit commissions locales d’énergie, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne peut également s’appuyer sur l’expertise de ses spécialistes des services techniques pour dérouler cet ambitieux programme qui aura indubitablement des impacts bénéfiques pour les politiques innovantes menées par les élus locaux. Autour de trois axiomes que sont la proximité, l’équité et surtout l’efficacité.

Cette politique d’aménagement des territoires connectés (elle donnera naissance de facto aux territoires d’intelligences) s’arcboutera autour de quatre piliers majeurs que sont le développement des infrastructures de la transition énergétique, celui d’un éclairage public économique et connecté, l’accroissement de la mobilité électrique et l’essor de l’auto-partage, enfin, l’appropriation des usages et services numériques pour tous.

Réseaux connectés et territoires d’intelligences pour améliorer la qualité de vie des habitants…

Une stratégie mûrement analysée et soupesée par le président Jean-Noël LOURY et ses proches collaborateurs qui devrait s’avérer payante d’ici peu.

« Grâce à la mise en place de ces territoires connectés, devait-il confier à la tribune lors de son exercice inaugural des Assises 2017, les habitants pourront profiter de services visant à améliorer la qualité de vie de manière optimale tout en augmentant les opportunités économiques induites… ».

Des arguments qui devaient faire mouche auprès des élus nombreux à écouter dans un silence de cathédrale le discours introductif du président. Devant apporter ensuite quelques compléments d’information à l’assistance, Jean-Noël LOURY apportait sa propre définition de ces futurs réseaux connectés dont il vantait les mérites, « l’innovation inhérente aux réseaux électriques est appelée à devenir de véritables réseaux connectés grâce à des unités de production d’énergie renouvelable fonctionnant à partir de l’éolien, du photovoltaïque ou de la méthanisation. Quant au concept des territoires d’intelligences, il concerne les secteurs géographiques où l’apport de toutes les applications numériques peuvent engendrer de nouveaux services à destination des habitants… ».

La combinaison de ces deux thématiques, au demeurant très complémentaires, justifiera l’existence de la feuille de route de cette nouvelle marque « AVENyR », ayant comme objectif de faire fructifier cet ensemble d’idées nécessaires au développement économique et environnemental de notre département. Un projet à suivre de près d’ici les prochains mois…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil