Sébastien DOLOZILEK reconduit à la présidence de l’UDI de l’Yonne, une simple question de formalité…
C’est le conseiller municipal de Saint-Sauveur-en-Puisaye et porte-parole de l’Union des Démocrates et Indépendants (UDI) dans le département de l’Yonne, Kevin LEGENDRE-BONIFACE qui en a informé les rédactions par un lapidaire communiqué de presse, adressé en ce jour dominical. Le président du mouvement centriste de droite sur notre territoire, Sébastien DOLOZILEK, a retrouvé son fauteuil de numéro un du parti à l’issue de l’assemblée générale ayant eu lieu ce samedi 30 novembre…
AUXERRE : Au sein de l’UDI de l’Yonne, l’atmosphère ambiante est nettement plus tranquille que dans les rangs de l’actuel gouvernement ! Un exécutif brinquebalé entre possibilité d’être sanctionné par une motion de censure à l’issue de la présentation de sa loi de finances tant controversée ou de poursuivre l’application de sa feuille de route, comme si de rien n’était !
En renouvelant leurs instances, samedi matin, en positionnant ses représentants aux postes qu’ils occupaient lors de la précédente mandature, les militants de l’UDI 89 ont fait montre de confiance et de sérénité envers leurs ambassadeurs qui défendent les intérêts de la formation du centre droit sur le territoire. Mais, aussi à l’échelle supérieure puisque, outre les conseillers départementaux, ceux du national ont été également plébiscités par la voie du scrutin.
Et ce n’est nullement une surprise dans le landerneau politique de l’Yonne. On retrouve ainsi dans le fauteuil de président le responsable sortant, l’Auxerrois Sébastien DOLOZILEK, âgé de 47 ans. Un choix unanime de la part des militants de cette formation qui compte également dans ses rangs, la sénatrice et présidente de la Délégation aux Droits des Femmes au Palais du Luxembourg, Dominique VERIEN, qui fut jadis la cheffe de file de l’UDI dans l’Yonne.
Membre de la formation centriste depuis 2011, l’adjoint communautaire et municipal de l’Auxerrois en charge de la Sécurité, natif de Tonnerre, est résolument tourné vers l’avenir, et sa nécessité de rassemblement afin de répondre aux enjeux locaux comme nationaux qui vont se présenter à la France. Dans le viseur, plusieurs élections qui se produiront dès 2026 (les municipales) ou 2027, avec les présidentielles. Si entre-temps, le paysage politique ne se bouleverse pas avec une autre dissolution, toujours envisageable au niveau de l’Assemblée nationale à partir de l’été 2025…
Thierry BRET