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La féérie de Noël illumine le lac : Druyes célèbre œcuménisme, beauté et convivialité…
décembre 23, 2019Instaurée depuis de nombreuses années, la fête de la Nativité se célèbre par une singulière manifestation aquatique, emplie de charme et de poésie, aux abords du plan d’eau de la commune de Puisaye-Forterre. Un programme de réjouissances, concocté par l’association des « Lumières de Druyes », à (re)découvrir sans modération en cette fin d’après-midi d’avant Réveillon…
DRUYES-LES-BELLES FONTAINES : Le parapluie sera de rigueur. Compte tenu des caprices pernicieux de la météo. Changeante à l’extrême en ce début de période hivernale.
Pourtant, cela n’empêchera nullement les aficionados de la fameuse célébration de s’agglutiner aux abords du plan d’eau, le lac, situé au cœur de la petite commune médiévale.
Surtout que le rituel de l’allumage de centaines de bougies constituera, une fois encore, le point d’orgue de ce programme consacré à Noël et à ses joies.
Dès 18 heures, petits et grands se précipiteront sur le terrain jouxtant la zone aquatique, munis de leurs précieux lampions enflammés. Ceux-ci seront ensuite déposés délicatement par leurs soins à la surface de l’eau.
L’instant sera très agréable. Presque irréel. Et quasi œcuménique puisque réunissant toutes les générations en ce moment solennel. Il préfigure la célébration religieuse vécue dans la jolie église, bâtie à quelques encablures de là dès 19 heures.
L’œcuménisme sera, là encore, d’actualité avec une cérémonie articulée autour des trois grandes religions chrétiennes, en présence de Magali CARLIER, pasteur de l’église protestante unie d’Auxerre, Robert LACROIX, diacre et le Père Claude GROSSENBACHER, prêtre orthodoxe.
Un peu plus tôt, à 17 heures, l’édifice religieux aura déjà été auréolé de la présence d’un duo d’instrumentistes de très belle facture (Claudette et Sylvain DESSANE, respectivement aux claviers et au violon alto) en représentation unique.
Parmi les œuvres jouées par la présidente des Amis des Orgues de Clamecy et son fils, ancien pensionnaire du Conservatoire national de La Haye : une aria de Jean-Sébastien BACH, une sonate du même compositeur allemand ou la « première suite en sol mineur » de Max REGER, auteur de pièces romantiques s’inspirant de l’école germanique.
Quant aux traditions culinaires de Noël, elles seront respectées. Les promeneurs auront la possibilité de déguster vin chaud et chocolat chaud tout en mangeant le traditionnel pain d’épice.
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Le business center de la Banque Verte continue de se remplir en Côte d’Or. Dernièrement, ce sont six entreprises supplémentaires qui ont rejoint la dizaine de structures aux secteurs d’activités et aux profils variés déjà présentes en ce lieu de la technologie et de l’innovation. Prouvant de manière inéluctable la pertinence du concept sur le territoire régional…
DIJON (Côte d’Or) : Excellente idée que ce Village by CA Champagne Bourgogne ! Depuis sa création, le concept peut s’enorgueillir d’avoir accueilli une quinzaine de start-up issues des secteurs de l’alimentation/nutrition, santé/médical, industrie, gastronomie…
Ces entités aux ambitions prometteuses figurent aux côtés de deux partenaires résidents et acteurs incontournables de la Bourgogne Franche-Comté que sont VITAGORA et la Food Tech.
Facilitateur du développement des entreprises, le Crédit agricole Champagne Bourgogne s’est fait l’écho récemment de l’agrandissement de ce site avec l’accueil de six nouvelles entreprises.
Ces nouveaux occupants sont MEREMPSA, Le GRAND VERRE, LIFE LOVING FOOD, COCOLIS, BEBE SOON et ORA VITIS.
Ces sociétés interviennent respectivement dans les domaines du recrutement dans la santé, la distribution pour rendre le vin français plus accessible aux jeunes Américains, l’utilisation de protéines végétales en guise d’alternatives aux viandes animales, la livraison de colis, l’organisation de week-ends bien-être pour futurs parents et le développement commercial des domaines viticoles.
D’autres structures devraient les rejoindre au cours de 2020…
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Prospective : Laurent PONCET (YNOVAE) excelle dans une analyse géostratégique sur l’agriculture
décembre 12, 2019La pression. Le mot est significatif et se passerait presque de commentaires superfétatoires. Mais, il a été prononcé tout de go par l’une des figures emblématiques de la filière agricole dans l’Yonne, Laurent PONCET. Pour illustrer la situation actuelle. Le président de la coopérative YNOVAE, invité à s’exprimer lors de la récente assemblée générale de la structure, n’a pas choisi ce terme par hasard. La pression, ou plutôt les « multiples pressions », pèsent aujourd’hui de tout leur poids sur les épaules fragilisées de ces femmes et ces hommes qui essaient tant bien que mal de survivre dans ce monde si complexe…celui de l’agriculture.
AUXERRE : Ce n’est un mystère pour personne. Mais de nos jours, le milieu agricole évolue dans un contexte très compliqué. En France où le phénomène de l’agri-bashing atteint des proportions jusque-là insoupçonnées. Une tendance qui est largement entretenue par l’insidieuse influence des réseaux sociaux qui se veulent être des juges de paix. L’agriculteur est devenu la bête noire à abattre si l’on peut se permettre cette métaphore.
Rien d’étonnant, au vu de la gravité de la conjoncture et du sentiment de désamour qui persistent envers la corporation que le président de la coopérative YNOVAE interpelle son public : un auditoire majoritairement composé de celles et ceux qui exercent au quotidien ce dur métier si besogneux et si ingrat.
« Ces pressions que vous subissez dans votre quotidien engendrent nécessairement des conséquences néfastes sur vos modes de production, sur vos propres motivations… ».
Seul, à la tribune, sous la lumière aveuglante des projecteurs, Laurent PONCET livre dans un silence de plomb et sous les regards convergents de centaines de paires d’yeux ses réflexions et interrogations personnelles sur le devenir de cette filière qu’il affectionne plus particulièrement.
Il ne retient dans son intervention que trois items qui prédominent selon lui dans le contexte actuel : les risques sanitaires, les effets de la géopolitique et les conditions d’évolution climatiques.
Une perte de la lisibilité face à l’avenir…
Vis-à-vis du premier argument (les risques sanitaires), Laurent PONCET fustige de qui survient avec régularité à l’autre bout de la planète. En Chine, plus précisément où la peste porcine décime les élevages de porcs. Cela impacte le marché mondial de la viande. C’est le poids réservé aux grandes puissances qui veulent jouer les premiers rôles dans un secteur économique.
« Au-delà de cela, estime Laurent PONCET, il y a une chose positive pour les éleveurs porcins français : c’est l’augmentation des importations vers ce pays de l’Asie ; c’est bénéfique par une augmentation des cours… ».
Mais, le balancier du négatif n’est jamais très loin dans la réalité. Puisque les importations d’orges d’origine françaises destinées à alimenter le cheptel porcin chinois ont subi de lourdes pertes. Pour autant, force est de constater que la qualité et la sécurité alimentaire des produits hexagonaux sont très appréciées à l’international. Faute de l’être chez nous ? Un comble !
Le volet géopolitique suscite là-aussi bien des inquiétudes de la part de l’une des têtes pensantes de la coopérative. Laurent PONCET se dit soucieux. Que penser de l’avènement au pouvoir de personnages aussi atypiques comme peuvent l’être Donald TRUMP ou Boris JOHNSON ? Ils engendrent une perte de lisibilité pour anticiper l’avenir.
Et à ce jeu-là, celui des revirements de situation ou de la proclamation d’annonces inattendues, ce sont toujours les cours et les marchés qui en pâtissent.
« La conjugaison d’une bonne récolte de canola au Canada additionnée aux tensions diplomatiques avec la Chine qui en rétorsion préfère l’origine australienne débouche sur une hausse de 42 % de l’importation européenne du canola canadien. Cela freine la hausse des cours de nos colzas que l’on espérait suite à la plus faible récolte de colza en Europe depuis plus de dix ans… ».
Un niveau de prix pas satisfaisant en France…
Constat désabusé de Laurent PONCET : « Dans une économie mondialisée si la Chine s’enrhume, c’est nous qui avons des poussées de fièvre ! ».
Quant aux conditions climatiques, elles se caractérisent aujourd’hui par une forte sécheresse dans l’hémisphère sud. L’Australie enregistre une baisse de volume en blé et en orge. Le Brésil est en retard pour ses semis de soja alors qu’il subsiste un sérieux doute concernant la seconde récolte de maïs.
« Chez nous, rappelle Laurent PONCET, concentré à la tribune, c’est l’humidité qui retarde les semis de blé et perturbe la récolte avec une détérioration des qualités. En Europe, l’Ukraine a battu ses records de production en blé et en maïs ; la Russie est étale en blé mais pulvérise des records en orges et en maïs. Quant à l’Union européenne, elle a battu des records en céréales à paille (148 millions de tonnes de blé) et 63 millions de tonnes d’orges… ».
Si la production mondiale atteint une fois de plus un niveau record que dire de la situation vécue par l’Hexagone où malgré une récolte de blé tendre importante (39,5 millions de tonnes), le niveau des prix n’est pas satisfaisant alors que les céréales françaises voient leur compétitivité se doper sur des marchés comme l’Egypte ou le Maroc.
Une réflexion géostratégique et économique intéressante qui aura servi de préambule au déroulé de l’assemblée générale de la coopérative sur laquelle nous reviendrons plus en détail dans une prochaine publication…
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Deux leaders du monde agricole (FNSEA et GROUPAMA) se rencontrent : rien que du positif au menu !
décembre 06, 2019Ce n’est une surprise pour personne. Ni un secret de Polichinelle à enfouir dans les alcôves! Entre le monde de l’agriculture et l’assureur mutualiste, les liens sont ténus, pour ne pas dire plus. Et ce, de manière séculaire. Aussi, inviter la présidente de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA) Christiane LAMBERT au siège auxerrois du spécialiste de l’assurance et de la prévoyance n’avait rien d’incongru en soi. D’autant que l’origine de cette invitation revenait aux duettistes en charge de la responsabilité de la caisse départementale, le président Pascal MAUPOIS et le directeur d’établissement, Jacques BLANCHOT. Explications…
AUXERRE : A y regarder de plus près : la visite de la présidente du syndicat majoritaire du monde agricole dans l’Yonne était préparée sous le prisme de l’astuce. Voire de l’audace !
Christiane LAMBERT, présidente de la FNSEA, sortait en effet de la manifestation paysanne nationale qui avait bloqué le périphérique deux jours auparavant. Un acte social fort, marqué par de vives contestations populaires qui débouchèrent sur la présence de plus de mille tracteurs (1 086 engins pour être précis) à quelques encablures du cœur de la capitale. Une insolite image, en vérité.
Alors, comment se mettre « au vert », histoire de souffler quelque peu, avant de retourner à Paris pour y rencontrer le Premier ministre, Edouard PHILIPPE, et le ministre ayant la charge de la filière, Didier GUILLAUME, dans d’âpres négociations indispensables à la survie de ce secteur d’activité ?
C’est là que Christiane LAMBERT a dû en son for intérieur véritablement apprécier et bénir l’invitation faite, il y a déjà plusieurs semaines de cela par la Fédération départementale des caisses locales de l’assureur mutualiste de l’Yonne.
Une invitation qui était destinée sur le carton à réunir, au-delà d’une simple rencontre de football, la dame à la tête de la plus importante entité défenderesse des droits des agriculteurs, et ses coreligionnaires locaux. Objectif : valoriser une corporation en souffrance qui n’a pas été épargnée par les soubresauts impulsifs de l’actualité et positiver autour de ces femmes et ces hommes qui en défendent chèrement les valeurs.
La « Piste aux étoiles » de l’agriculture départementale…
Bien sûr, il y aura le temps consacré à la conférence de presse. Un exercice oratoire et complet, décliné dans l’une des salles de réception de l’assureur. Là, Christiane LAMBERT, comme nous l’avons relaté dans un précédent article, détaillera la vision stratégique de cette actualité sociale, riche en atermoiements et en doutes pour celles et ceux qui tentent de survivre comme des funambules aux aléas du climat et des marchés internationaux.
Cette conférence de presse avait la saveur d’une « Piste aux étoiles » avec une représentativité agricole éclectique intéressante : Damien BRAYOTEL, président de la FDSEA de l’Yonne, le président de la chambre consulaire de l’agriculture, Arnaud DELESTRE, Maxime BOUCHER, élu à la tête des Jeunes Agriculteurs de l’Yonne depuis bientôt un an à l’âge de 23 ans et Hervé MIVIELLE, directeur exécutif de la chambre départementale.
Il faut dire que Christiane LAMBERT a été reçue avec les honneurs dû à son rang de chef de file d’une fédération qui demeure la force de frappe syndicaliste de la corporation.
Aussi, du côté de l’invitant, la mobilisation des responsables étaient de rigueur. Présence du président de la Caisse régionale Paris Val-de-Loire, Daniel COLLAY, du directeur du groupe, Eric GELPE, accompagné de son responsable des relations publiques, François DELAISSE.
Pascal MAUPOIS, président de la Fédération départementale des caisses locales de l’Yonne et le directeur d’établissement, Jacques BLANCHOT, fermaient le ban de ces personnalités.
Plus de 1 700 agriculteurs ont convergé vers le stade…
Instigateur de cette visite, ce dernier s’est dit très satisfait de la tournure de l’opération, placée dans le cadre d’un partenariat avec l’AJ Auxerre. Bénéficiaire de deux soirées de gala annuelles, l’assureur mutualiste a pu profiter du derby footballistique opposant les locaux à l’US Orléans pour convier plus de 1 700 agriculteurs à l’Abbé Deschamps.
Une façon de placer sous le feu des projecteurs le positivisme de son action adressée à ce public de fidèles et de permettre ainsi à la dirigeante de la FNSEA de faire d’une pierre deux coups : vivre pleinement sa passion du football même si son cœur de supporter penche davantage pour les deux pensionnaires de Ligue 1 que sont les « meilleurs ennemis », Lyon et Saint-Etienne, et saluer celles et ceux dont elle défend les intérêts grâce à sa mission syndicale.
Le dieu du football était de la partie. Car au terme de cette rencontre, le score paritaire de deux partout au coup de sifflet final, ne pouvait que contenter les dirigeants de GROUPAMA Paris Val-de-Loire, venant du Loiret, et ceux de l’Yonne !
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Il donnera sa vision de 2020 devant les adhérents de 110 Bourgogne : Christophe BARBIER en conférencier avisé…
décembre 03, 2019En marge de l’assemblée générale, statutaire et ordinaire, de la coopérative agricole régionale, l’éditorialiste de L’Express et de BFM TV analysera les perspectives et conjectures d’une future année riche, en rebondissements, celle qui pointe le bout de nez à brève échéance : 2020…
AUXERRE : Sa dernière visite consacrée au territoire de l’Yonne datait de janvier 2018. A l’époque, l’invité médiatique de la Maison de l’Entreprise s’était interrogé avec sa verve et truculence habituelles sur les projets de réformes engagés par le président de la République, Emmanuel MACRON, à propos des milieux économiques et de l’emploi.
Accessible, agréable avec le sens du relationnel qu’on lui connaît, le journaliste à l’écharpe rouge, aussi célèbre que sa personne, avait échangé lors du cocktail, concocté dans les locaux de la Maison de l’Entreprise, avec des chefs d’entreprises. Qui ne manquèrent pas de le questionner sur ce que demain sera fait.
Il en sera vraisemblablement de même à l’issue de l’assemblée générale de la coopérative agricole, 110 Bourgogne, ce vendredi 06 décembre. Accueillis dans l’enceinte principale du parc des expositions d’Auxerre, les adhérents de la structure présidée par Gérard DELAGNEAU, auront tout le loisir de pouvoir écouter la causerie pleine d’allant de l’éditorialiste qui fait les beaux jours de BMF TV depuis plusieurs années.
Si la plongée systématique dans l’avenir de ce que représente la future année sera le point de départ de son intervention, Christophe BARBIER balaiera toutefois un spectre de sujets nettement plus larges, croisant ses réflexions sur le devenir économique de l’Hexagone et de l’Europe, la place de cette dernière dans le cadre de la nouvelle Politique agricole commune (PAC), sa vision du monde agricole et les enjeux politiques, à l’orée des prochaines municipales du mois de mars.
Bref : pas mal de choses à se mettre sous la dent pour comprendre, voire anticiper, ce que demain sera fait en ce bas monde…
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